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Tout ce qui a été posté par Yoannbzh
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un coup d'un soir c'est dans la phrase Je suis puceau et fière de l'être :smile2: . Les personnes qui aiment les coups d'un soir, je les diabolise pas. Ils font se qu'ils veulent Du moment que eux nous traite pas de looser, de moins que rien... J'ai eu beaucoup de propositions pour un coup d'un soir. Mais je leur est dit que ça ne m'intéressé pas et que j'étais encore puceau.
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pour la première fois, si on lui dis rien. il ou elle va parler vulgairement: Vas-y met ta grosse q :smile2: dans ma petite grotte et b moi grave..... un truc qui met mal a l'aise si c'es la toute première fois
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mais beaucoup n'explique plus, tappe, tappe pour les faire comprendre mais quoi aux enfants?
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A MrLau: je déteste le petit coup d'un soir. On fait se qu'on à a faire et puis bye. Citation (Yoann029 @ dimanche 08 février 2009 à 19h09) je n'en ait pas encore vuMarylia: je suis là :smile2: Donc tu es la seule pour l'instant
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c'est vrai, mais elle va s'en rendre compte vite fais
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je n'en ait pas encore vu Et le dire après de l'avoir fais, je crois qu'elle va le savoir avant aux premiers gestes
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je ne me prend pas la tête pour ça
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il y en a beaucoup de mec, qu'ils ne veulent pas avoir un palmarès pour coucher.
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je l'est toujours pris cool, mais quand tu lui dit, elle stress ou elle fuit. A force c'est énervant
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Les effets de la fessée sont évidents Mis à jour le vendredi, 16 janvier 2009 08:53, créé le dimanche, 14 septembre 2008 12:04 Susan Lawrence, lettre à The Ottawa Citizen, 23 juin 2008 L'auteure de cette lettre ["Who knows best?", 23 juin 2008] pose une question essentielle : « Les enfants qui ne reçoivent pas de fessées deviennent-ils de meilleurs citoyens que les autres ? » La réponse est un « Oui » retentissant ! La recherche scientifique montre régulièrement que le fait de frapper les enfants [spanking, désigne essentiellement la fessée, mais aussi les châtiments corporels en général] tend à accroître les comportement antisociaux. Selon la méta-analyse de 88 études réalisée par l'université de Columbia, la fessée fait augmenter les taux d'agression et de délinquance, fragilise les relations parents-enfants, accroît les problèmes de santé mentale, et augmente le risque d'être victime de relations abusives à l'âge adulte. Une étude menée en 1990 par le ministère de la Santé de l'Ontario sur 5 000 adultes a montré de hauts niveaux d'anxiété, de dépression grave et d'abus d'alcool chez les adultes qui avaient reçu des coups dans leur enfance par rapport à ceux qui n'avait pas été frappés. En Californie, une autre étude a montré que moins un enfant était frappé, plus il avait de chances d'obtenir un diplôme universitaire et de ne pas devenir délinquant. Une toute récente étude de l'université du New Hampshire à Durham montre que la fessée augmente le risque de problèmes sexuels par la suite (relations sexuelles imposées au partenaire, pratiques sexuelles à risque, pratiques masochistes). Une étude de l'université du Manitoba a montré que depuis l'interdiction des châtiments corporels en 1979, la Suède avait vu chuter ses taux de délinquance juvénile et de suicide. Plusieurs études ont également démontré qu'une proportion importante des cas de maltraitance commencent par les châtiments corporels « ordinaires ». Qui ne voudrait pas vivre dans une société avec moins d'agressions, moins d'abus de drogues, moins de maltraitance, moins d'abus et de problèmes sexuels ? Il faut se rendre à l'évidence et cesser de mythifier la fessée. Accepter l'interdiction du châtiment corporel des enfants, c'est se préparer à vivre dans une société meilleure(<a href="http://www.oveo.org/index.php?view=article&catid=2%3Aetudessondages&id=78%3Ales-effets-de-la-fessee-sont-evidents&option=com_content&Itemid=3#note1" onmouseover="displayTexte('note1');" onmouseout="UnTip();">1). Source : The effects of spanking are obvious
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Au contraire tu ne dégoutterais pas le gars du sexe à vie si tu prend les choses avec patience. Elle n'a pas besoin de se mettre la pression.La 1ère fois c'est quelque chose de magique et on en se souvient souvent.
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c'est bien je ne suis pas le seul sur ce forum a être encore puceau indy: Ne vous faites pas de bile les gars, les femmes aiment prendre les initiatives, un fois que vous avez fait le premier pas, il vous suffit d'être honnête avec elles et de leur dire losque le moment sera venu, et normalement tout devrait bien se passer, si ce n'est pas le cas, pas de regrets à avoir cela voudra dire que vous êtes tombés sur une conne, ça arrive, mais on n'en meurt pas! beaucoup de femmes fuient quand on leur dis la vérité :smile2:
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Voici certains pays où la fessée est interdite: Suède (1979) UE Finlande (1983) UE Norvège (1987) Autriche (1989) UE Chypre (1994) UE Italie (1996) UE Danemark (1997) UE Lettonie (1998) UE Croatie (1999) Bulgarie (2000) UE Allemagne (2000) UE Israël (2000) Islande (2003) Ukraine (2004) Roumanie (2004) UE Hongrie (2005) UE Grèce (2006) UE Pays-Bas (2007) UE Nouvelle-Zélande (2007) Portugal (2007) UE Uruguay (2007) Venezuela (2007) Espagne (2007) UE Costa Rica (2008) Sur les pays de l'Union Européenne, 15 pays sur les 27 l'ont interdite.
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j'y suis sur facebook
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Autre histoire: "Quelques jours plus tard, un garçon de 8 ans met efficacement en oeuvre ce qu'il a appris, mais pas dans le sens prévu... Ses parents sont divorcés, sa mère vit dans un autre état. L'enfant vit avec son père et sa belle-mère qui sanctionnent la moindre bêtise par une fessée. L'enfant les compte et décide qu'il les supportera jusqu'à la millième. Lorsque la 1001e fessée menace, il prend l'arme de son père, la charge, enlève la sécurité et vise. Le père meurt sur le coup." Droit d'être protégé contre les mauvais traitements "L'enfant doit être protégé contre toute forme de violence, brutalité ou de négligence" Article 19 de la Convention La violence peut être : sexuelle : une personne, consciente d'avoir un ascendant (hiérarchique, parental, physique, psychologie) impose à une autre des actes sexuels non désirés ; symbolique : une situation de domination légitime ou non d'une personne sur une autre, d'un groupe de personnes sur un autre, mais mal vécue par l'une des deux parties. Exemples : autoritarisme d'une hiérarchie d'entreprise ou d'armée, organisation politique d'un pays, vie de famille mal vécue par un membre de la famille ; conjugale : quand le comportement d'un conjoint est identifiable à l'une des violences décrites ci-dessus sur l'autre conjoint ; spéciste : quand la violence est tournée contre une autre espèce sensible que les humains comme les animaux ; froide : terme parfois utilisé pour l'opposer à la violence « chaude », agressive. Consiste à contraindre directement ou indirectement (par exécutants interposés) autrui à entrer et demeurer dans une situation de souffrance (par exemple séquestration, déportation, extermination...) ; sur soi-même : action de ne pas tenir compte de tous ses besoin dans ses actions. Donc d'accepter des tâches qui nous écrasent. (Par ex : aller à un barbecue alors que la semaine a été dure et que l'on préférerait passer l'après-midi en famille et pas au barbecue). éducative : on entend par "violence éducative" les violences sur enfants perpétrées à des fins éducatives, à ne pas confondre avec la maltraitance laissant des marques sur le corps et qui ne sont pas dans un but éducatifs.
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name='Miloluna' date='jeudi 05 février 2009 à 22h48' post='3103448' ... Tu estime que ce n'est pas grave de frapper une femme si ça ne laisse pas de traces ??? Non au contraire mais c'est pareil que frapper un enfant si ça ne laisse aucunes traces
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Là je suis d'accord
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Donc c'est pareil qu'une femme battue. Si on la frappe sans laisser de traces. C'est sans gravité. (Je n'est jamais frappé une femme) Mais dans plusieurs cas la femme a toujours eut le dernier mot sans avoir de preuves (radios). C'est pareil pour un enfant
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2009 pourrait être l'année de l'abolition de la fessée Delphine de Mallevoüe 23/01/2009 | Mise à jour : 20:48 .yui-panel { position:relative; background-color:white; }.mask { background-color:#000;opacity:.25; *filter:alpha(opacity=25); } figcom_sep_bulle='avec'; | Commentaires 202 |Ajouter à ma sélection . Venu d'un expert des Nations unies, ce souhait est encore loin d'être une réalité. En France, 87 % des parents interrogés pratiquent cette correction sans état d'âme. La fin de la fessée aurait-elle sonné ? C'est ce que laissent penser les directives internationales qui ont établi que 2009 serait l'année butoir pour l'abolition des châtiments corporels dans tous les pays du monde. Une échéance qui a été fixée par le Pr Paulo Sergio Pinheiro, expert indépendant des Nations unies, dans une étude soumise à l'Assemblée générale de l'ONU en octobre 2006 afin d'harmoniser les politiques qui, dans ce domaine, sont très variables d'un pays à l'autre. Or à en juger l'état des lieux des législations dans le monde, le défi semble trop ambitieux pour 2009. é ce jour, seuls 23 pays sur les 192 existant ont interdit les fessées, gifles et autres tapes, et 24 ont promis d'effectuer la réforme dès que possible. En Europe, ce sont seulement 18 pays du Conseil sur 47 qui l'ont interdite. La France n'en fait pas partie. Et à en croire les derniers sondages d'opinion, cette idée ne remporterait pas les suffrages puisque 87 % des parents interrogés ont reconnu pratiquer cette correction dans l'enquête de l'Union des familles en Europe, réalisée en décembre 2007. D'autant que la tendance est à la hausse, 85 % recueillis par la Sofres en 1999. «C'est certain, l'objectif ne sera pas atteint cette année, convient Elda Moreno, directrice du programme «Construire une Europe pour et avec les enfants» au Conseil de l'Europe. La sensibilisation et le processus législatif sont toujours longs, regardez ce qui s'est passé avec l'interdiction de fumer ! Mais on avance.» Le Conseil de l'Europe, qui a fait une vaste campagne en 2008, va approuver courant 2009 «une politique commune de stratégies intégrées contre la violence» pour accélérer les choses. «Les enfants ne sont pas des mini-êtres humains dotés de minidroits», s'indigne l'institution. «Quand on frappe les adultes, c'est une agression. Quand on frappe les animaux, c'est de la cruauté. Quand on frappe les enfants, ¿c'est pour leur bien¿», fait-elle observer avec ironie. «Les effets nocifs indiscutables» Si certaines associations familiales revendiquent le droit des ménages à exercer leur rôle parental, dût-il passer par les corrections physiques, et invitent «l'état à se mêler de ce qui le regarde », de nombreux spécialistes accusent les effets néfastes d'une telle pratique éducative. «Les effets nocifs sont scientifiquement indiscutables», martèle le Dr Jacqueline Cornet, fondatrice de l'association Ni claques ni fessées ! Pour ce médecin militant dont les publications ont mis en évidence la corrélation entre la violence reçue par un sujet et la multiplication d'accidents et de maladies psychosomatiques chez ce sujet, «une fessée n'est jamais pour le bien de l'enfant, toujours pour le soulagement des parents». Fondateur de l'observatoire de la violence éducative ordinaire, Olivier Maurel va même jusqu'à affirmer que la violence de nos sociétés trouverait son origine dans «le dressage violent infligé depuis des millénaires à la majorité des êtres humains au moment où leur cerveau est en formation».
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Vas-y lance toi, la robe rouge n'est pas vulgaire. Et en plus c'est ton mariage, l'un des plus beau jour de ta vie Et ça dirait bien avec ta tête et coiffure (photo)
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Quelques textes pris sur internet: -Ce qu'en pensent les Français Globalement, l'opinion publique semble trouver la fessée « occasionnelle » comme faisant partie d'une éducation traditionnelle. La plupart des adultes ayant reçu des fessées ne remettent pas en cause ce moyen de «correction ». Peut-être par peur de voir ressurgir certains traumatismes, ou pour ne pas remettre en question l'éducation de leurs parents ? D'autres en sont quand même revenus et se mobilisent pour que ce châtiment corporel soit rayé de nos habitudes. -Si certaines associations familiales revendiquent le droit des ménages à exercer leur rôle parental, dût-il passer par les corrections physiques, et invitent «l'état à se mêler de ce qui le regarde », de nombreux spécialistes accusent les effets néfastes d'une telle pratique éducative. «Les effets nocifs sont scientifiquement indiscutables», martèle le Dr Jacqueline Cornet, fondatrice de l'association Ni claques ni fessées ! Pour ce médecin militant dont les publications ont mis en évidence la corrélation entre la violence reçue par un sujet et la multiplication d'accidents et de maladies psychosomatiques chez ce sujet, «une fessée n'est jamais pour le bien de l'enfant, toujours pour le soulagement des parents». Fondateur de l'observatoire de la violence éducative ordinaire, Olivier Maurel va même jusqu'à affirmer que la violence de nos sociétés trouverait son origine dans «le dressage violent infligé depuis des millénaires à la majorité des êtres humains au moment où leur cerveau est en formation».
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La fessée est une maltraitance physique qu'elle soit petite ou grosse Il y a maltraitance psychiques, négligence lourde et sévice sexuel, aussi.
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Voici encore une bonne loi. J'en ai une des fessées , jusqu'aux jours où mon poing est arrivé dans la g :smile2: de mon beau-père . Hôpital, mâchoire en vrac . Il n'a pas osé porter plainte et arrêté de le faire. Il re-produisait se que faisait ses parents.