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Tout ce qui a été posté par Jean Bambois
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On m'a effectivement reproché dans ce sujet d'être patron (une relecture s'impose pour ceux qui l'ont oublié). Et il ne s'agit pas ici de mon statut hiérarchique mais bien de ce que j'apporte à la société par le biais du mouvement économique que je génère en étant patron. Les gens qui ont du travail grâce à moi ne s'en plaignent pas. Il n'y pas de méchant système capitaliste, n'en déplaise à certains.
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Modérateurs avertis pour l'insulte, qui de plus est hors-sujet. On ne parle pas du forum, on parle de la société. Si tu dois en venir là car tu n'as plus d'autres arguments pour plaider ta cause, il est sans doute temps de partir te reposer.
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Je devrais avoir des scrupules de participer à l'économie nationale, et de donner du travail à des gens qui sans moi iraient pointer au chômage ? Non, décidément, je n'ai pas de scrupules.
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Je donne à l'état, comme tout le monde, une taxe sur le revenu, qui sert à payer les routes sur lesquelles je roule avec ma belle voiture, les spectacles culturels auxquels j'assiste volontiers avec ma femme, etc. Il est donc normal que je paie des taxes. Et comme je les paie, ce ne sera pas de sitôt que l'état me "prendra tout". Que dois-je lui donner d'autre ? Absolument rien. Elle est en paix.
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Qui te dit qu'ils sont mal payés ?
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Les 20 films préférés de Jean Bambois
Jean Bambois a répondu à un(e) sujet de Jean Bambois dans Cinéma
16. My Dinner With Andre (1981, Louis Malle, USA) Je continue ma liste avec cet OVNI cinématographique signé de la main du grand Louis Malle. "Mon dîner avec André", comme son nom l'indique, consiste entièrement en une longue conversation dînatoire entre André Grégory et Wallace Shawn. Ce n'est pas très cinématographique, c'est même de l'anti-cinéma, mais qu'est-ce que c'est bon. On se régale de la conversation hautement philosophique et initiatique entre André et Wallace, sur des sujets tels que la nature de la réalité, le théâtre d'avant-garde, et la vie à New York à la fin des années 70. Au programme : culture, intellect, repartie et bons mots. -
Démocratie où j'ai ma maison, ma femme, ma voiture, ma société, mes possessions... que personne ne veut ni ne peut me prendre, et c'est très bien comme ça. Mais j'imagine que Jean Bambois est un grand vilain méchant parce qu'il est patron (et qu'il a des gens qui travaillent pour lui, comment ose-t-il !).
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Oyez ! Oyez ! Bonnes gens, le travers du communisme est en démonstration ci-dessus. Selon ses ouailles, le communisme doit donc s'imposer par la force, et peu importe que "une poignée" ne soit pas d'accord (Définition hautement scientifique d'une partie de la population, "une poignée", hein ? Non ? Ah bon...). Tant que la "poignée" est constituée de gens que les communistes n'aiment pas, peu importe. Ici, en l'occurence, la poignée c'est : les méchants PDGs, les méchants patrons, bref, tous ceux qui ont de l'argent parce qu'ils font marcher l'économie d'un pays (Sans patrons, où iraient bosser les ouvriers pour gagner leur croûte ? Nulle part ? Ah bon... Peut-être pas si méchants que ça les patrons !).
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Les 20 films préférés de Jean Bambois
Jean Bambois a répondu à un(e) sujet de Jean Bambois dans Cinéma
Tu l'as vu, ou bien tu as des préjugés parce que Van Damme joue dedans ? -
Justement, la collectivisation ne peut se faire "au bénéfice de tous". Penser que tout le monde sera d'accord de collectiviser ses biens, et que tout le monde participera également à la société, est un doux rêve. Et que faire pour rallier ces récalcitrants à la cause communiste ? ... Ce qui s'est passé dans tous les systèmes communistes : mettre en place une dictature. C'est inévitable. La notion même de communisme est non-viable de l'intérieur. Le communisme ne s'est JAMAIS imposé sans employer la force, et ne le fera jamais.
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Après combien d'échecs faut-il abandonner une idée qui n'a jamais fonctionné ? 100 ? 1000 ? Ne jamais abandonner ?
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Plus "sympathique" ? Qu'est-ce que ça a à voir ? Une idée sympathique mais non-viable est bonne pour la poubelle. L'anarchie est bien une idéologie périmée. Si je cite le communisme en exemple, ce n'est pas pour faire de comparaison entre les idées, mais bien pour faire une comparaison entre leurs admirateurs. Le communisme a été longuement testé, et seuls les plus aveugles y ont vu une quelconque forme de succès. Pourtant, à l'heure actuelle, il y a encore des imbéciles qui y croient, malgré les échecs avérés et répétés. "Hé, ça n'a pas marché les dix premières fois, essayons une onzième fois !" Il est temps pour tout le monde de rentrer dans le 21ème siècle, et c'est un "vieux" de 44 ans qui vous le dit.
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Et c'est le poupon de 19 ans qui raille les autres sur leur âge et prétend qu'ils parlent de ce qu'ils ne connaissent pas. L'anarchisme, comme le communisme, est périmé et inutilisable. C'est toi qui ignores ce dont tu parles. Vis donc avec ton temps !
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Les 20 films préférés de Jean Bambois
Jean Bambois a répondu à un(e) sujet de Jean Bambois dans Cinéma
Hop, au vidéo-club. -
Marre des cons.
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Bien sûr que c'est une utopie. Il y a encore des ignares pour croire que l'anarchie à grande échelle est viable ? Les mêmes qui croient encore au communisme, j'imagine. Allez, hop, à vos manuels d'histoire.
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Les 20 films préférés de Jean Bambois
Jean Bambois a répondu à un(e) sujet de Jean Bambois dans Cinéma
17. Casablanca (1942, Michael Curtiz, USA) Un grand classique qui se passe de présentation. -
Les 20 films préférés de Jean Bambois
Jean Bambois a répondu à un(e) sujet de Jean Bambois dans Cinéma
Bon et bien puisque ça n'intéresse plus personne, je m'arrête là. -
Brad Pitt : Une belle gueule et c'est tout. C'est un acteur trop cabotin, qui use et abuse de tics de faciès et qui veut vous faire croire que c'est ça bien jouer. Ceux qui disent que c'est un des meilleurs acteurs de sa génération me font doucement rigoler... Avez-vous regardé le clip de la fin de Seven posté ici ? "Ooooww, goood! Oooh, noooo!". C'est pathétique ! Il joue mal !
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Les 20 films préférés de Jean Bambois
Jean Bambois a répondu à un(e) sujet de Jean Bambois dans Cinéma
18. Timecop (1994, Peter Hyams, USA) Jean-Claude Van Damme est ici au sommet de son art (c'est-à-dire le karaté) tout en nous régalant d'un numéro d'acteur très convaincant. Le scénario parle d'un homme qui veut tout risquer par amour, et qui est prêt à partir dans le temps pour empêcher sa femme d'être assassinée dix ans auparavant. Vous n'avez rien compris ? C'est normal, le film est assez dur à comprendre, comme tous les films qui parlent de voyages dans le temps. Il faut le voir, le revoir, et si possible prendre des notes. Et c'est là qu'on découvre toutes les finesses d'un scénario en béton armé. Du bon cinéma américain pur jus, ne boudons pas notre plaisir, c'est génial. -
Les 20 films préférés de Jean Bambois
Jean Bambois a répondu à un(e) sujet de Jean Bambois dans Cinéma
19. Le Prix de l'Honneur (2003, Gérard Marx, France) Prenez un Michel Sardou époustouflant, une Alexandra Vandernoot séduisante, un Michel Bompoil étonnant, et un Gérard Marx (déjà réalisateur d'un très bon épisode du Commissaire Moulin) au sommet de son art. Ajoutez de l'intrigue, du mystère, du suspense, et une interprétation presque sans faille, le tout sur fond d'une passionnante histoire policière dans un cadre d'école militaire. La belle Sophie Larrieu est retrouvée morte, un revolver à la main. La police enquête, mais l'armée veut étouffer l'affaire... Honneur, prestige, et trahison sont au programme. Cet excellent téléfilm parvient à sortir du cadre étriqué de la télévision pour nous offrir une histoire bouleversante qui arrachera une larme dans chaque chaumière qui a du coeur. -
Les 20 films préférés de Jean Bambois
Jean Bambois a répondu à un(e) sujet de Jean Bambois dans Cinéma
20. Le Ballon Rouge (1956, Albert Lamorisse, France) Simplicité, efficacité, poésie et légèreté sont les maîtres-mots de ce chef-d'oeuvre d'Albert Lamorisse. Quasiment sans dialogue, tout est dit à travers une course poursuite que joue un petit enfant contre son ballon rouge qui s'est envolé et qui semble animé d'une vie propre. Ode à l'enfance, tellement léger et bien filmé qu'on s'imagine virevolter dans les cieux tel le ballon titulaire, on se régale de ces magnifiques trente-quatre petites minutes et on en redemande. On regarde "Le Ballon Rouge" comme on lit un poème de Prévert. Simple et génial. -
Jean Bambois, ici présent, va établir pour vous une liste complète, documentée et précise de ses vingt films préférés. Cette liste prendra la forme d'un compte à rebours. Cinéphile et spectateur d'à peu près 6.500 films de son vivant, Jean Bambois est une autorité en la matière. Sa liste ne cherchera pas à être "objective" : il s'agit de ses films préférés, et non des films préférés des autres ou des films les plus importants de l'histoire du septième art. Jean Bambois conseille vivement aux ciné-ignares d'en prendre de la graine, et aux autres de se régaler. A tout de suite.
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Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal
Jean Bambois a répondu à un(e) sujet de funcinema5 dans Cinéma
Une énorme déception. Harrison Ford n'y croit visiblement plus du tout et assure juste le minimum. Aucune épaisseur n'est accordée au personnage de Cate Blanchett, qui joue une "méchante russe" sans le moindre intérêt ni la moindre réplique mémorable. Les images de synthèse sont horriblement mal faites et gâchent toutes les scènes où elles apparaissent, contrairement aux trucages réels qui fonctionnaient bien dans les précédents films. Et pour finir, les relations entre les personnages principaux sont bâclées et ne parviennent pas à émouvoir le spectateur. La relation entre Indiana et son fils ne va nulle part (contrairement à celle avec son père dans le troisième film, qui fonctionnait tellement mieux) et on se moque bien de l'histoire de leur réconciliation. Idem pour Indiana et Marion, aucune épaisseur, aucun vrai sentiment, tout n'est qu'eau de rose et artificialité. PS : Sans commentaires pour la scène avec le frigo. -
Regardable, mais le spectateur averti lui préférera les deux opus de Tim Burton, qui restent la référence en la matière. Burton est un grand maître du fantastique, ce que Nolan n'est pas, malgré les autres qualités qu'il a.