Maïwenn

Elle nous prévoit quelques surprises pour noël

Et bien, moi je trouve que ça ne lui va pas ces frisettes Ca le rend encore plus "mamie" qu'avant. Ah cest vieilles qui veulent se faire "jeune" c'est d'un ridicule

j'ai froid et j'm'ennuie Pourtant j'ai de la vaisselle qui m'attend Mais j'ai la flemme

Alors, je suis vraiment désolée de te dire ça, mais si l'insudiet c'est de l'hyperprotéiné (et j'en ai ma foi bien l'impression pour perdre 17 kilos en 3 mois), tu as investi beaucoup d'argent pour rien. Surtout si, alors que tu n'a pas encore fini ton programme, tu craques déjà, une fois le programme fini, qu'est-ce que ça va donner? J'ai pas fait insudiet, mais j'ai déjà fat un régime hyperprotéiné, je sais que c'est atirant, parce qu'on perd vite et que les résultats ne se font pas attendre. Mais un régime hyperprotéiné te prives de tout, te fait maigrir, et te lâche dans la nature une fois terminé. Si tu âs déjà envie de craquer maintenant, une fois ton régime hyperprotéiné fini tu te lâchera sur la nourriture, et ça c'est fatal. Je suis désolée, mais je ne peux pas créditer ce genre de régime, parce que j'en ai fait les frais. Je serais toi, une fois le programme terminé, j'irais voir une diététicienne sérieuse pour qu'elle te donne de bonnes bases alimentaires afin de ne pas reprendre le poids perdu (ou du moins d'évitet les dégâts), et de te stabilisée à long terme (ce qu'un régime hyperprotéiné ne fait pas). Et si c'est une diététicienne qui t'as proposé ce régime, oublie là et cherche en une autre. J'espère sincèrement que tu arrivera à garder le cap sans prendre un gramme, mais sans diététicienne ça sera dur.

Tu lui dira merci alors

Tu as peut être utilisé des shampooings trops corrosifs Après je doute que la calvitie ai un rapport avec le frequence de shampooing, c'est plus géntique, ou alors tu as un problème de fer ou autre, t'as déjà demander à un médecin et fait des analyses sanguines?

Quand ? La fréquence du shampooing peut varier selon votre type de cheveux et votre environnement : en ville par exemple, l'atmosphère polluée salit les cheveux longs plus rapidement, et vous pouvez être obligées de les laver tous les deux jours, voire tous les jours. Au contraire, peut-être vous contentez-vous d'un shampooing, trois fois par semaine... Dans tous les cas, l'essentiel est d'opter pour des produits doux et peu agressifs. Lavez-les dès qu'ils sont sales, c'est la seule règle ! Deux shampooings plutôt qu'un ! Comme chez le coiffeur ! Le premier enlève les résidus, la saleté et l'excès de sébum, le second donne du volume. Inutile d'insister sur les longueurs, c'est essentiellement le cuir chevelu qui doit être massé délicatement du bout des doigts. Evitez les shampoings deux en un et fuyez les produits corps et cheveux, votre crinière a des besoins plus spécifiques ! Le rinçage Et là encore, mieux vaut rincer deux fois qu'une ! Les cheveux doivent crisser et non glisser. Mettez la tête en avant puis en arrière pour être sûre que le shampoing s'élimine bien sur toute la longueur. Pour terminer, un petit jet d'eau froide donnera un petit coup de peps et lissera les écailles du cheveu pour le protéger et le rendre plus brillant

Dans la vie aussi tu as ton chapeau de co boy? Donc je réitère, waaaaaaaaaaaa vous êtes très beauuuuuuuuuuuuuuuuuuuux C'est très ressemblant pour le tien, alors on va dir qu'Elaïs doit bien ressembler à son portrait manga

Pour ceux qui ont suivit, parce que ya plus le début ( ) et que ya eu un long moment de silence Il émergeait lentement du sommeil. Il sentait très vaguement que son dos le faisait souffrir, dormir sur de la paille était pire que ce qu'il pensait finalement. La brume des rêves se dissipait petit à petit, il voulu s'étirer pour s'arracher au voile de fatigue qui ne voulait le quitter mais bizarrement, ses mains ne voulaient pas bouger de derrière son dos. Il senti des picotements sur ses poignets, non, non pas des picotements, en y réfléchissant bien, cela ressemblait plus à des brûlures. Et plus il essayait de bouger les mains, plus ça le brûlait, quelque chose de rêche lui retenait les mains et frottait sur sa peau. D'instinct, il tenta de bouger les jambes. Mais ses chevilles réagissaient comme ses poignets, des frottements occasionnaient des brûlures et il ne lui était guère possible de faire usage de ses jambes. Mais qu'est-ce que¿ Charles émergeait maintenant totalement et ouvrit péniblement les yeux. Les rayons du soleil le frappèrent de plein fouet, la lumière trop crue fi naître une vive douleur sous son crâne. Il se sentait lentement ballotté de tous côtés, et ses yeux finalement habitués à la lumière firent monté la panique dans son esprit. Comme lorsqu'il c'était endormi, il était toujours couché sur de la paille, mais le reste avait bien changé. Il n'était plus libre de ses mouvements, ses mains et ses chevilles étaient liées par de grosses cordes miteuses. Il se trouvait dans une sorte de cage roulante tirée par un cheval noir, Ses compagnons de la veille tous endormis et ligotés à ses côtés. Ils faisaient toujours route au sein de la forêt. Difficilement et douloureusement, il tenta de se redresser, la corde mordait sa chair rendant ses mouvements éprouvants. Il parvint après de nombreux efforts à se mettre en position assise, le dos appuyé contre les barreaux de sa cage. Au devant, le grand cheval noir état tiré par un homme encapuchonné de noir, derrière lui, deux hommes en noir également, fermaient la marche. Charles se pencha autant qu'il le pouvait, et cria à l'attention de son conducteur : « Hé !... Hé, vous, monsieur ! » L'homme ne tiqua pas, restant droit et impassible, le pas cadencé. « Hé ! Je vous parle ! Vous êtes sourd ? Qu'est-ce que c'est que cette mascarade ! » L'homme fit faire halte au cheval, Se retourna vers Charles et lui fit signe de se taire avant de mimer un égorgement. Aucun visage n'était visible sous la grande capuche noire, l'homme leva le bras et attrapa une corde fixée sur la cage. Il la tira d'un coup sec, libérant ainsi une grande bâche noire qui recouvra instantanément les barreaux de fer. Soudain dans le noir, Charles se ré adossa violement sur les barreaux rouillés. Sa respiration se fit plus rapide, tout se bousculait dans sa tête, que faisait-il dans cette cage roulante, qui étaient ces hommes en noir, où allaient-ils, et comment allait-il retrouver Bénédicte maintenant ? C'en était trop, il ne pouvait en supporter davantage, la soupape de pression de son esprit commençait doucement à lâcher. «- Non, non, non, NON, NON ! » Sa prison s'arrêta légèrement puis reprit sa progression. Les larmes commençaient à couler sur son visage, il n'arrivait plus à les retenir, pourquoi jouer au fort quand au final tout semblait perdu ? il repris la parole, mais pour lui même cette fois, d'une voix base entrecoupée de sanglots. «- Je viens ici, sans vraiment comprendre comment ou¿ par quel moyen et¿ Pourquoi ? Me faire mettre en cage par¿ par des¿ je ne sais même pas, merde ! » Il s'effondra et laissa le chagrin prendre tout contrôle, il n'arrivait plus à parler tant son corps était secoué par les hoquets et les reniflements. Il capta un mouvement sur sa gauche, et le bruit de la paille qui se froisse. Il tourna la tête Mélina était en train de se réveillée. Elle tentait de remuer, tirait sur ses bras, la corde mordant sa chair. Charles tenta de ramper vers elle, sans grand succès, ses poignets le faisaient souffrir à la limite du supportable. Mélina ouvrit les yeux, regarda de droite et de gauche encore assoupie, puis son regard capta Charles dans la demi pénombre, ses yeux s'agrandirent elle poussa un léger cri. Immédiatement, Charles lui intima de se taire, de la calmer du mieux qu'il pu. Il se força à ramper, la corde mordait de plus en plus ses chairs, il serra les dents et ne renonça pas. «Ca va aller, murmura-t-il doucement, ça va aller. - Qu'est-ce qui se passe ? - Je n'en sais rien, je me suis réveillé ici tout comme vous. Des hommes nous transportent, ils ont abaissé la bâche quand j'ai commencé à leur poser des questions. - Des hommes¿ sûrement, les opposants¿ ceux qui partent en guerre contre Myraïna. Je ne sais où ils nous mènent mais¿ tout ça n'augure rien de bon¿ » Yaura une suite bientôt, j'ai bien avancé, surtout aujourd'hui, 126 pages word

waaaaaaaaaaaaaaaaaaa comme vous êtes beauuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuux!!! tu peux les repostées on ne voit rien

j'ai tout quitter pour suivre mon homme. On était sur Paris, j'avais un CDI (mal payé certes mais un CDI tout de même), il finissait sa thèse. Après sa thèse, il fallait donc qu'il trouve un poste, ça à été chose faite, avec beaucoup de mal (piston et compagnie dans l'éducation nationale en fac ). Après de longues attentes il à trouver un poste en juin, mais pas à Paris, à Caen. De toute façon, on savait qu'il était fort peu probable qu'il ai un poste à Paris (piston et compagnie), donc il à pris ce qui est tombé sans vraiment avoir trop le choix. Le soucis c'est qu'il fallait être là bas pour mi ou fin juillet, forcément ça laisse pas beaucoup de temps pour tout préparé. J'ai quitter mon CDI pour me retrouver ici, et depuis juullet 2007 j'ai toujours pas trouver de taf stable. Est-ce que je regrette? Alors oui, evidemment, ne pas avoir de taf au bout de tout ce temps ça me fait chier, mais j'aurais pas pu vivre en le sachant loin et trouver un taf ici via Paris, c'est pas pratique (j'ai tenter avant de démanager). Mais au fond je regrette pas, parce que je lui ai prouvé certaines choses à lui (parce que je suis pas forcément très démonstrative), parce qu'au fond, la vie parisienne je saturait, ici c'est plus calme et moins stressant.

Génial ça! c'est super! Je t'apporte tout mon soutien, ça doit petre drôlement stressant! Il parle de quoi ton manuscrit?

Contente de te revoir tout de même

Bonjour ^^ J'écris ce message pour canelle^^ elle à des soucis de connexion Elle n'arrive plus du tout à se connecter au forum Elle se connecte pourtant avec sa bonne adresse mail et son bon mot de passe, pourtant elle reçoit ce message d'erreur : Quelqu'un pourrait nous aider?

Superbe idée!! Bravo Galen!

Mylène Farmer - je m'ennuie 9A tombe bien vu que j'm'ennuie en cette après midi

il faut croire Trois fois pas forcément quand même