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Vyvyan

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Tout ce qui a été posté par Vyvyan

  1. La défense du Maréchal Pétain est un droit reconnu par la Cour Européenne de Strasbourg (arrêt du 23 septembre 1998). Pourquoi le sujet a-t-il été supprimé ?
  2. James Joyce; Ulysses Le roman relate les pérégrinations apparemment banales de son héros, Leopold Bloom, petit bourgeois sans histoire, d'origine juive (mais dont les parents se sont convertis au protestantisme), à travers des lieux réels de Dublin. L'action se déroule sur la journée du 16 juin 1904, de 8 heures du matin à 3 heures dans la nuit. La construction du roman fait en réalité référence à l'Odyssée d'Homère, les voyages d'Ulysse étant figurés, et parodiés, par les déplacements de Léopold dans la ville. Chaque chapitre fait référence de façon cachée aux aventures d'Ulysse, mais aussi à un organe du corps humain, à une couleur, à un art et à un symbole. Les 18 épisodes sont regroupés en trois grandes parties suivant le plan de l'original: la Télémachie, l'Odyssée, le Nostos. Les trois chapitres de la Télémachie ne font pas référence à un organe, mais sont centrés sur un autre personnage, Stephen Dedalus, ami de Léopold. Dedalus figure Télémaque, mais aussi James Joyce lui-même, et également l'auto-biographe de Portrait de l'artiste en jeune homme (1915), quelques années plus tard. Ce roman comporte ainsi plusieurs niveaux de lecture, selon les différentes clés qui le décodent. La construction et les différentes techniques d'écriture utilisées, qui changent à chaque épisode, obtinrent un large écho lors de sa parution. Rédigé entre 1914 et 1921, il fut publié par épisodes dans une revue américaine, puis censuré. La première parution eut lieu à Paris en 1922, seule parution de la librairie Shakespeare and Company, fondée par une Américaine (Sylvia Beach). Dans cette ¿uvre Joyce réinvente le roman plusieurs fois, par les changements de style, en s'affranchissant des barrières du langage, et en déplaçant l'objet du roman: de la narration des événements à la narration elle-même et aux pensées intérieures des personnages. On y suit les pensées telles qu'elles apparaissent, se transforment. Le roman s'achève par le monologue-fleuve de la femme de Léopold, long de 38 pages et découpé en seulement huit phrases. Ulysse est une ¿uvre somme, très savante, parodie des épisodes d'Ulysse par des descriptions très basiques et précises des moments de la vie quotidienne, ainsi que du flux des pensées qui en découle chez les différents personnages. Ces descriptions tentent en effet de capturer « ce qu'est la vie », dans le contexte de la modernité du début du XXe siècle. La première traduction française a été commencée dès 1924 et fut faite principalement par Auguste Morel, avec une participation et une supervision de Valery Larbaud. Sa publication date de 1929[1].
  3. Ce programme est très intéressant, et je n'ai pas honte de dire que je suis totalement réactionnaire. Cela fais deux fois que je le dis mais je n'ai aucun rapport avec Alliance Royale, je trouve leurs méthodes ridicules ( ils ne vont pas assez loin ), lisez un peu le sujet.
  4. Oui en effet, mais, je ne pense pas que ces grands hommes imaginaient voir "the love that dare not speak its name" finir ainsi. Je trouve que cela enlève toute la beauté et l'essence de la chose, le mariage, les enfants ...
  5. Je crois que je vais finir par lâcher .. Je suis à bout de forces .
  6. Je n'ai jamais dis cela, je respecte beaucoup les homosexuels et j'en admire même certains au plus haut point, figurez vous . ( Oscar Wilde, André Gide, E.M.Forster : c'était tout de même autre chose, avouez le . )
  7. Dans nos villes de sauvages incivilisés oui ! Le monde tourne déjà à l'envers, à quand les mariages zoophiles ?
  8. Malheureusement, non, cela n'aurait pas été le cas. Mais des pots de chambres sont portés encore aujourd'hui et cela n'est en rien dégradant.
  9. Je n'ai jamais parlé de sexualité. J'ai déjà expliqué la différence, faire un enfant sans s'aimer est une chose horrible, et la différence est là. Le géniteur dans une insémination artificielle doit être le réel père de l'enfant, père dans tout les sens du terme ! C'est tout. Cela revient à comparer les enfants nés d'un viol avec les enfants de parents homosexuels.. Vous semblez tous étonnés mais beaucoup pensent ainsi.
  10. Pourquoi ? Le fait de concevoir un enfant est un acte d'amour sacré, entre un homme et une femme. Dans le cas de l'insémination pour les femmes homosexuelles, ses critères qui sont mien, ne sont pas respectés.
  11. merci de ne pas répondre "saint thomas".
  12. Je pense à l'insémination artificielle pour les femmes homosexuelles, c'est tout à fait différent !
  13. La démocratie est la chose la plus dangereuse qui soit. Le peuple, la majorité a rarement raison. La démocratie, dans l'idéologie profonde du terme, amène à l'avènement d'Hitler au pouvoir. (censure , repression des opposants , corruption , gaspillage sans frein car aucun compte n'est à rendre à personne) La démocratie n'empêche pas de telles manoeuvres.
  14. je pensais à l'insémination artificielle
  15. Vyvyan

    Une Europe pontificale ?

    Toute forme d'autorité religieuse sur la masse est par nature illégitime, sur le plan moral. Dans notre société actuelle, libertaire et scientifique, cela est tout à fait impensable. Toute croyance, reste croyance. L'organisation d'une telle entreprise est encore plus inconcevable dans le contexte actuel, c'est du délire. J'espère que Simplicius considère le sujet comme une simple idéologie, malgrès toute les qualités qu'elle comporte. Je crains d'ailleurs que le pape refuserait une telle fonction et y serait tout à fait opposé. Cela va à l'encontre de l'idéologie chrétienne, les déviances catholiques ont déjà été assez nombreuses.
  16. J'en arrive à me poser des questions sur vos capacités intellectuelles. Vous envoyez trois fois le même message ! Un message totalement stupide, qui vous ridiculise ! Je peux reprendre cette étude sur plusieurs sites que ce soit "jurivie" ou autre chose, c'est sans intérêts ! D'autre part, il n'y a pas de VRAI ni de FAUX concernant le problème. Les études restent des études, elle peuvent prouver tout et n'importe quoi, et cela dans les deux sens. Le sujet est extrêment complexe et l'on ne peut affirmer qu'un couple homosexuel ne peut nuire à un enfant. Chaque enfant est un cas particulier et il est évident que nombre d'entre suite à de simples moqueries seront victimes de troubles psychologiques divers. C'est l'évidence même ! Les couples homosexuels donnent à leurs enfants de nombreuses difficultés à affonter, c'est la société qui veut cela. Je refuse tout contact avec cette hérésie diabolique qui défie aujourd'hui, grâce au progrès de la science, les lois naturelles et divines.
  17. C'est incroyable .. Je rêve .. Ce site n'entretient aucun rapport avec une l'étude ci dessous, cela devient pénible, le site relait juste l'information ! http://www.jurivie.org/documents/articles/...option_homo.pdf Aquilino Polaino Lorente est médecin chirurgien diplômé de l'Université de Grenade. Licencié en Philosophie par l'Université de Navarre, il s'est spécialisé dans le domaine de la Psychiatrie et la Psychologie Clinique. Professeur de Psychopathologie à l'Université Complutense. Directeur du Département de Psychologie de l'Université San Pablo-CEU. Directeur de la Division de Psychologie et Psychiatrie de l'Institut de Sciences pour la Famille (Université de Navarre). Président de la Section d'Education Spéciale de la Société Espagnole de Pédagogie. Auteur prolifique d'articles et de livres. Patricia Martínez Peroni est professeur de la Faculté de Psychologie de l'Université San Pablo-CEU et de l'Université Francisco de Vitoria. Elle donne les cours d'Anthropologie psychologique, d'Histoire de la psychologie et de Psychologie de la personnalité et des différences individuelles. Master en Philosophie. Mónica Fontana Abad est professeur de la Faculté de Psychologie de l'Université San Pablo-CEU. Elle donne les cours d'évaluation familiale et de Thérapie familiale. Auteur de nombreux articles et livres sur l'adoption, comme Instrumentos de evaluación en la adopción, Programas de intervención psicopedagógica en el proceso adoptivo ou La adopción : evaluación psicológica del niño y selección de los padres adoptantes, entre autres. Membre de l'Assemblée de Direction de l'Association Espagnole pour l'étude et la Recherche de la Thérapie Familiale. Pablo Romeu est chercheur dans le domaine des Analyses et études de l'Association HazteOir.org. Ingénieur informatique diplômé de l'Université Jaime I de Castellón. Voilà les auteurs de l'étude.
  18. Enfin bon, il y a pire je crois .. nous sommes sans aucunes solutions malheureusement..
  19. c'est une étude espagnole menée en colaboration avec linstitut de politique familiale espagnol. Les sources proviennent de monde entier. Mais étant donné que vous refusez de lire.
  20. Votre stupidité éclate ici au grand jour, si vos propos se limitent à de telles galejades, rien ne sert de continuer. La façon dont vous évitez une étude respectable menée par d'éminents spécialistes et se basant sur d'autres études provenant du monde entier est d'un ridicule qui dénote à merveille votre manque de discernement.
  21. Vous ne savez pas lire non plus apparemment !
  22. Je parle de l'étude et pas du site, vous ne comprenez vraiment rien !
  23. l'étude n'a aucun rapport avec le site !
  24. http://www.jurivie.org http://www.jurivie.org/documents/articles/...option_homo.pdf Cette étude ne prend pas partie mais expose les différentes études qui ont été mené. Cela met en exergue le fait que la question n'est pas si simple que cela.
  25. Définition extraite du Littré. Ne prenez pas vos fantasmes pour des réalités. Les informations ci dessus ne sont pas "des vérités" mais des observations faites par des spécialistes. D'autres études indiquent d'autres variables à tenir en compte pour l'adoption par des couples de même sexe. Par exemple : 1. Cameron et Cameron (2002) réfléchissent sur les multiples problèmes d'identité sexuelle qui arrivent chez des enfants éduqués par des couples de même sexe. 2. Lewis (1980), malgré le fait qu'il soit favorable à l'adoption des enfants par des couples de même sexe, souligne des problèmes de cohabitation entre les enfants et la mère biologique ou sa compagne. Plusieurs enfants ont été emmenés par leurs mères à suivre une thérapie, et après les avoir interrogés, ils identifiaient la thérapeute, selon les mots de Lewis, comme «la co-conspiratrice de leur mère». Lewis affirme qu'après quelque rendez-vous manqué avec une personne du sexe opposé, certains enfants se demandaient s'ils allaient sortir avec des personnes du même sexe, et que quelques-uns affirmaient même que s'ils racontaient leur échec à leur mère, elle les encouragerait à essayer avec des personnes de son propre sexe ¿ voir p. 200 ¿. 3. Deevy (1989) indique que les enfants avec des parents homosexuels manifestent des symptômes de stress, de colère envers leur père/mère biologique ou son compagnon/sa compagne, de faible estime de soi, un plus grand indice de dépendance à la drogue et une tendance à s'automutiler. Dans le même sens, Osman (1972) étudie une relation orageuse d'un fils de 16 ans avec la compagne de sa mère. 4. Javaid (1993) réalise une étude des enfants de mères homosexuelles, nés d'un mariage hétérosexuel antérieur. Il trouve que les enfants eux-mêmes «manifestaient certaines réserves» envers la mère homosexuelle, certains avaient même une mauvaise relation avec elle. De plus, ils se montraient incertains quant à une vie en couple future et quant à avoir des enfants. Javaid souligne que d'habitude les enfants préféraient vivre avec leurs pères, puisqu'ils ne s'identifiaient pas avec l'expérience homosexuelle de leur mère. 5.Tripp (1998) soutient que l'absence d'un père ou d'une mère a des conséquences préjudiciables pour la santé physique et psychique de l'enfant. 6. Dans plusieurs revues scientifiques de psychiatrie américaines, comme le Journal of American Academy of Child and Adolescent Psychiatry ou Health Psychology et des études comme Welch, Collings et Howden-Chapman (2000) ; Rothblum (1990) et Sandfort, de Graaf, Bijl et Schnabel (2001), il est dit qu'il y a une probabilité beaucoup plus forte pour que les gays, les lesbiennes et les bisexuels souffrent de maladies mentales, aient plus de conduites sexuelles de risque et en général, une santé beaucoup plus détériorée que les couples hétérosexuels. 9. Au sujet de troubles dans la conduite alimentaire parmi les jeunes, Martinez-Gonzalez et al. (2003) trouvent qu'une famille différente d'un mariage traditionnel est directement associée à un risque significativement plus élevé. 10. Green et Bozett (1991) montrent que les enfants des couples hétérosexuels, par rapport à ceux des lesbiennes, tendent à être plus agressifs, plus dominants et avec une nécessité plus grande de s'affirmer. Malgré le fait que Green et Bozett jugent cette découverte positive pour les enfants de lesbiennes ¿ en utilisant même une terminologie négative pour qualifier un comportement habituel chez les enfants d'hétérosexuels ¿, il est certain que ces traits sont ceux d'un rôle masculin, qui fait défaut aux enfants des lesbiennes. 11. La fameuse macroétude de 1994 «The Social Organization of Sexuality : Sexual Practices in the United States», où sont indiquées les habitudes sexuelles aux états-Unis, donne les données suivantes à propos de la stabilité des couples homosexuels : - Nombre moyen de compagnons/compagnes sexuel(le)s au cours de la dernière année : 1,2 chez les hétérosexuels face à 8 chez les homosexuels. - Nombre moyen de compagnons/compagnes sexuel(le)s dans la vie : 4 face à 50. - Personnes interrogées qui se déclarent monogames, c'est-à-dire 100% fidèles à son compagnon ou à sa compagne : 85% face à moins de 2%. 12. Kurdek et Schmitt (1986) indiquent que les relations homosexuelles sont beaucoup plus instables. Duffy et Rusbuilt (1985-86) soutiennent que les couples d'hommes homosexuels sont plus stables, mais les données apportées montrent une claire divergence. Sans inclure les mariages, 41% des hommes homosexuels, 76% des hommes hétérosexuels et 88% des femmes hétérosexuelles se déclarent 100% fidèles à leur compagnon/compagne. Rothblum (1990) montre la même chose pour les lesbiennes. 13. Brooks (1989) indique que les aventures sexuelles des parents ont un effet négatif chez les enfants. 14. Selon Miller et al. (1980), qui réalise une étude des attitudes de plusieurs femmes hétérosexuelles et homosexuelles, les femmes homosexuelles ont des attitudes négatives envers les hommes. Dans ce sens, il cite Loney (1973), qui reprend la réponse majoritaire des femmes lesbiennes étudiées, qui croient que les pères ¿ masculins ¿ ne traitent pas bien leurs enfants. Miller fait un résumé de faits dans lesquels il lie cela à une pauvre ou mauvaise relation des femmes homosexuelles avec leur père, en se basant à son tour sur d'autres études préalables. Entre autres, Bell (1978) ; Caprio (1954) et Saghir et Robins (1973). 15. Herrell et al. (1999) réalise un rapport sur orientation sexuelle et suicide. Fergusson et al. (1999) fait également un lien entre les deux. La Fédération d'Associations de Gays, Lesbiennes et Transsexuels (FEGLT) elle-même dispose dans sa page Web d'un document en français sur la tendance au suicide des jeunes homosexuels. 16. Selon l'INE, le nombre d'hommes atteints par le SIDA en juin 2003 dû à un contact sexuel est de : - Homosexuels/bisexuels : 9.058 hommes - Hétérosexuels : hommes 5.899 hommes - Inconnu/Ne répond pas : 2.402 hommes En supposant que la catégorie «Inconnu/Ne répond pas» est formée uniquement par des hétérosexuels, et en supposant une limite maximale de la population homosexuelle masculine en Espagne de 3,3%, nous obtenons que la probabilité d'être atteint par le SIDA se multiplie quasiment par 4 pour les hommes homosexuels. 17. Selon un rapport d'Andersson, G. et al. (2004) «Divorce-Risk Patterns in Same-Sex ¿Marriages' in Norway and Sweden», les unions homosexuelles en Suède ¿ union homosexuelle avec les mêmes conséquences que le mariage, y compris l'adoption depuis 1995 ¿ et en Norvège ¿ où seule l'union homosexuelle est légalisée depuis 1993 ¿ ont un risque de divorce supérieur à 50% pour les gays et à 167% pour les lesbiennes. S'il l'on contrôle les variables démographiques qui provoquent un risque de divorce, la situation n'est pas meilleure : 37% de plus pour les gays et 200% pour les lesbiennes. Si l'on tient compte qu'en Suède il y a 53 divorces pour 100 mariages, le nombre de divorces chez les homosexuels acquiert une proportion encore plus élevée. 18. Des études relatives à la Hollande, de Xiridou et al. (2003), montrent que la durée moyenne d'une relation «stable» entre homosexuels est d'un an et demi. 19.Selon Deneen (1994), toujours à propos de la Hollande, le nombre moyen de compagnons chez des personnes homosexuelles pour une relation stable est de 2,5 la première année, et arrive à 11 la sixième année, bien que, reconnaît l'auteur, peu sont les couples homosexuels qui arrivent à la sixième année. McWhirter et Mattison, dans leur étude de 1984 se voient contraints de constater que chez les couples homosexuels la fidélité sexuelle n'existe pas, bien qu'ils le justifient en soutenant que la vraie fidélité est la fidélité émotive ¿ voir p. 253 ¿. 20. Orejarena, Cortés, Avila et Santelis ; ainsi que Barlow et Durand ; Belloch, Sandin et Ramos et Green, indiquent que le trouble de l'identité sexuelle ¿ identification avec le sexe opposé ¿, défini comme un trouble par les manuels de psychiatrie, est dû à un manque de modèles paternel ou maternel. On parle aussi comme cause de l'excès de zèle maternel ou paternel. Belloch et al. vont plus loin et indiquent que souvent la cause peut être de forcer l'enfant à adopter les comportements du sexe opposé, et que parfois ils sont encouragés à cela par leurs propres parents. Person et Ovesey (1983) se prononcent dans le même sens. 21.Biller (1971), (1974) et (1993) regroupe plus de 1000 études et articles sur l'importance du rôle paternel dans le développement de l'enfant, et, contrairement à Judith Stacey, il trouve que celui-ci est très bienfaisant pour l'enfant. Pedersen (Ed.) (1980) et Radin et al. (1991) vont dans le même sens. Ces derniers trouvent que, dans des foyers monoparentaux, où il y a seulement une mère, l'influence du grand-père est bienfaisante pour l'enfant, tandis que ces bénéfices se perdent si seule la grand-mère est présente. L'auteur conclut que la présence d'un rôle masculin pour l'enfant, en absence du père, est bienfaisante et vice-versa. C'est-à-dire, que l'absence de ce rôle est préjudiciable. 22. Morgan (2001) réexamine 144 rapports sur le sujet et conclut que beaucoup d'études comprennent de graves erreurs et carences, que beaucoup ¿ y compris celles qui sont favorables à l'adoption homosexuelle ¿ montrent une tendance à l'homosexualité des enfants, que la confusion de genre est habituelle chez les filles de lesbiennes, que sont également habituels les problèmes psychologiques chez les enfants, etc. De plus, elle reprend des rapports des Etats-Unis, de Grande-Bretagne, de Hollande et de Nouvelle-Zélande où il est indiqué que le mariage dans le sens traditionnel du mot est le meilleur cadre pour élever les enfants. 23. Heineman (2004), une personne favorable à l'adoption par des personnes du même sexe, a une vision des rôles masculin et féminin différente de la vision qu'on trouve habituellement dans la littérature favorable à l'adoption. Heineman ne dit pas que la mère ¿ dans le cas de couples gays ¿ ou le père ¿ pour les lesbiennes ¿ n'est pas nécessaire, mais il suggère que l'enfant dans ces cas doit assumer l'absence du père ou de la mère. C'est-à-dire, selon Heineman, que l'enfant a deux pères et une mère qui n'est pas présente, ou deux mères et un père qui n'est pas présent. 24. En général, Bronstein et al. (1993) assurent que les enfants qui ne font pas partie d'une famille traditionnelle ont plus de problèmes psychologiques, une conduite plus mauvaise en classe, des notes plus médiocres, une faible estime de soi, etc. 25. Daily (2001) réalise une très bonne approche du problème des études sur l'adoption homosexuelle. Il réexamine la promiscuité sexuelle et la santé des couples homosexuels, ainsi que les problèmes d'identité sexuelle chez les enfants, en analysant tout spécialement l'incidence des différents rôles que le père et la mère représentent, en indiquant qu'ils ne peuvent pas être assumés par des couples du même sexe. 26. Asch (1997) est un résumé d'expériences de mères lesbiennes avec leurs enfants. Certaines mères décrivent leurs enfants avec des symptômes de Troubles d'Identité Sexuelle. Y est décrit le cas particulier du fils de l'auteur, et quelque anecdote très significative, comme lorsque l'institutrice demande aux enfants de se diviser, les garçons d'un côté, les filles de l'autre, l'enfant en question reste au milieu. L'auteur, loin d'y voir une conduite étrange chez l'enfant, accuse la société de ne pas s'adapter à son fils. 27. Turner et al. (1990) montrent que les mères lesbiennes sont ouvertement hostiles aux rôles masculins. Ainsi, dans l'étude on peut observer des attitudes telles que se refuser à offrir aux enfants des jouets associés au rôle masculin.
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