Aller au contenu

WEAPON

Membre
  • Compteur de contenus

    6 171
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par WEAPON

  1. c'est bien ce que je te disais en ce qui concerne le terrorisme et de la compétence du TPI; J'ai lu ce que tu me disais, j'y ai répondu
  2. rien à voir avec ce que tu as dis dans le post que j'ai cité
  3. précise, ne soit pas généraliste
  4. dans l'affaire que tu cites c'est une hystérie collective qui a conduit cet état de fait Plus sérieusement qui connait les rouages de la justice dira que toute la chaîne composante celle-ci a été défaillante de l'enquêteur au....
  5. la justice n'a pas traduis ou n'a pu traduire les gens que tu cites pour une simple raison c'est que des tueurs ont décidé qu'il en était autrement. Si je suis ton raisonnement n'importe quelle personne jugeant qu'une autre ne mérite pas de vivre pour telle ou telle raison tu cautionnerais leur meurtre
  6. on doit pas avoir les mêmes sources, je pense que tu as fait fi de ma réponse mais bon, ce n'est pas grave. En plus en ce qui concerne le terrorisme si tu avais lu le préambule tu tiendrais un tout autre discours. Enfin non puisque tu restera dans ta logique. Je suis soulagé
  7. tu me déçois moi qui croyait que tu t'appuyais sur des connaissances mais je vois que ce n'est pas le cas, donc comme les autres je te renvois au CPP;
  8. il n'a pas purgé totalement sa peine, je te rappelle qu'il a été condamné à perpétuité avec une peine incompressible; A l'issue de celle-ci il peut bénéficier d'aménagement comme le prévoit la loi sous conditions. Bis et répétita, la justice a décidé qu'il n'a pas respecté les conditions de sa semi liberté donc retour case départ, en attendant l'appel. Il a payé sa dette, je ne pense pas cela, c'est mon avis mais c'est aux victimes qu'il faut demander cela.
  9. WEAPON

    Pauvre Marseillaise

    euh, fais nous rire Bob, c'est dimanche, mais je pense qu'il n'est pas nécessaire
  10. WEAPON

    Pauvre Marseillaise

    faudra pas s'étonner que l'on entende encore des cris de singes ( pour de plus amples explications creusez-vous un peu les neurones)
  11. Désolé pour ce pavé mais il était nécessaire @ Black survival J'ai lu et écouté, mais tu as bien mis ce que tu voulais même fait un tri. La partie Irako/irano/kurdo/Franco/Stato/Allo, pas de problème sur la Question AUDRAN, y a t-il eu lieu à un procès quelconque l'incriminant ? Ton opinion sur lui n'engage effectivement que toi, tu l'insultes ça te regarde, mais bon donne moi un lien où il a été au moins cité dans une affaire pénale Rouillan aurait du rejoindre sa femme dans le Volvestre parce que je crois que c'est un endroit qui lui aurait bien plu. un village atypique. Ah oui je vais mettre juste en ligne les faits repprochés à AD, et pour ce qui est du terrorisme juste une petite introduction qui répond à tyon questionnement là dessus; FRANCE 05/02/80 : Action Directe échoue dans une tentative d'attentat à la bombe visant la Direction Régionale du Travail et de la Main-d'oeuvre, à Paris. FRANCE 10/02/80 : Action Directe fait exploser une bombe contre les bureaux d'une société immobilière, à Paris. FRANCE 11/02/80 : Action Directe commet un attentat à la bombe contre les bureaux du Semirep, à Paris. FRANCE 16/03/80 : Une bombe, posée par Action Directe, explose contre les bureaux de la D.S.T., Rue Rembrant, à Paris. FRANCE 18/03/80 : Un commando d'Action Directe mitraille le Ministère de la Coopération, à Paris. FRANCE 28/03/80 : Une bombe posée par Action Directe explose contre des locaux du G.I.G.N., à Maison-Alfort. FRANCE 09/04/80 : Les installations informatiques des sociétés Honey Bull et Philips, à Toulouse, sont sabotées. Ce fait est revendiqué par Action Directe, ainsi que par un mouvement inconnu se faisant appeler le Clodo. FRANCE 15/04/80 : Une bombe, posée par Action Directe, explose contre les bureaux du Service d'information routière du Ministère des Transports, Rue Raymond-Losserand, à Paris. Un autre commando d'Action Directe tire une roquette antichar contre le quatrième étage d'un immeuble, Rue Marceau, dans le Paris VXIème, endommageant les bureaux de la maison d'édition Hachette. Cependant, il est probable que ce soit le Ministère des Transports qui était visé, celui-ci ayant des bureaux au cinquième étage du même immeuble. Une seconde roquette antichar est tirée contre des bureaux du Ministère des Transports, Avenue du Président Kennedy (Paris). FRANCE 12/06/80 : Action Directe commet un attentat à la bombe contre la consigne de l'aéroport d'Orly, blessant huit personnes. FRANCE 05/08/80 : Un commando d'Action Directe attaque la mairie de Paris XIVème et y vole des tampons officiels, des cartes d'identité et des passeports. FRANCE 28/08/80 : Un commando d'Action Directe commet un hold-up contre une agence du Crédit Lyonnais, avenue du Bosquet, dans le Paris VIIème. FRANCE 13/09/80 : Jean-Marc Rouillan et Nathalie Ménignon, dirigeants d'Action Directe, sont arrêté, à Paris, à la suite d'une fusillade avec la police, Rue Pergolèse. FRANCE 19/09/80 : Un commando de quatre membres d'Action Directe ouvre le feu au fusil et au pistolet-mitrailleur contre le bâtiment de l'Ecole militaire, à Paris. Pas de victime. FRANCE 23/09/80 : La police arrête, à Rochebesse, Marie-Thérèse Merlhiot, Jean-Pierre Bolognini et Bruno Daribert, soupçonnés d'appartenir à Action Directe. De plus, mille deux cent cinquante kilos d'explosifs, ainsi que sept armes à feu sont saisies. Marie-Thérèse Merlhiot et Jean-Pierre Bolognini seront remis en liberté dans le courant du mois d'octobre. FRANCE 29/10/80 : Un commando d'Action Directe attaque une agence de la Banque Nationale de Paris, à Caluire. FRANCE 20/01/83 : Un commando, se faisant appeler Groupe Bakounine-Gdansk-Paris-Guatemala-Salvador, mène une attaque, à Paris, contre le bâtiment qui abrite l'Association pour le développement et la diffusion d'informations militaires. Pas de victime. Il est possible qu'Action Directe soit cachée derrière ce groupe. FRANCE 07/02/83 : Joëlle Aubron, membre d'Action Directe, est condamnée à quatre années de prison, dont deux assorties de sursis, alors que Mohand Hamani est acquitté. FRANCE 31/05/83 : Le même jour, les agents de police Emile Gondry et Claude Catola sont tués, Rue Trudaine, à Paris, suite à une fusillade qui les a opposés à plusieurs membres d'Action Directe, dont une femme. Un troisième agent, Guy Ade, est quant à lui blessé. La femme du groupe est une italienne, membre des Communistes Organisés pour la Libération Prolétarienne, qui sera arrêtée, en 1984, dans son pays, et condamnée à vingt années de prison pour de nombreux actes terroristes. Les autres membres du commando étaient Claude Halfen, Nicolas Halfen, Régis Schleicher et Mohand Hamani. FRANCE 29/07/83 : Un commando d'Action Directe attaque une banque, à Saint-Etienne. Un client est blessé d'une balle dans le ventre. FRANCE 30/07/83 : Un commando d'Action Directe commet un hold-up contre la Bijouterie Aldebert, à Paris. FRANCE 29/09/83 : Action Directe commet un attentat à la bombe contre le Cercle militaire Interallié, à Paris. Pas de victime. FRANCE 30/09/83 : Une bombe explose, au Palais des congrès de Marseille, près des pavillons américain, soviétique et algérien, ce, au cours d'une foire commerciale internationale. Cet attentat, qui a fait un mort et vingt-six blessés, est revendiqué par Action Directe, par les F.A.R.L., ainsi que par le Groupe Orly/Asala. FRANCE 13/10/83 : Un commando d'Action Directe commet un hold-up, Place des Ternes, à Paris, contre une agence de la Société Générale. FRANCE 14/10/83 : Le terroriste d'Action Directe, Ciro Rizzato est tué, à Paris, suite à une fusillade qui l'oppose à la police. Deux agents sont quant à eux blessés. FRANCE 29/01/84 : Action Directe commet un attentat à la bombe contre les locaux de la société d'armement Panhard-Levassor, à Paris. Pas de victime. FRANCE 27/03/84 : Un commando d'Action Directe attaque une agence de la B.N.P., à Lyon. Dans cette agence, le général de gendarmerie Guy Delfosse est abattu de cinq balles tirées à bout portant. FRANCE 10/07/84 : L'Unité Combattante Ciro Rizzato d'Action Directe fait exploser une bombe, à Paris, devant le bâtiment de l'Institut Atlantique des Affaires Internationales. Pas de victime. FRANCE 13/07/84 : L'Unité Combattante Benchellal d'Action Directe commet un attentat à la bombe, Rue Crillon, à Paris, contre des locaux du Ministère de l'Industrie. Aucune victime n'est rapportée. FRANCE 02/08/84 : L'Unité Combattante Ciro Rizzato d'Action Directe fait exploser une bombe contre les bureaux de l'Agence Spatiale Européennen à Paris, blessant six personnes. FRANCE 23/08/84 : Un appel téléphonique d'Action Directe averti l'Agence France Presse et la police qu'une voiture piégée a été placée devant le bâtiment de l'Union de l'Europe Occidentale, à Paris. Cependant, la voiture, qui avait été piégée par vingt-trois kilos d'explosifs, ne sautera pas, suite à une défaillance du système de mise à feu. FRANCE 28/08/84 : Paris. Une bombe, posée par Action Directe, explose devant le Ministère de la Défense, Boulevard Saint-Germain. Pas de victime. La même organisation commet un autre attentat à la bombe, contre le siège du Parti socialiste, Rue Solferino. Aucune victime n'est rapportée pour ce second attentat non plus. FRANCE 20/10/84 : L'Unité Combattante Farid d'Action Directe fait exploser une bombe, à Montrouge, contre les bureaux de la société Messier-Hispano-Bugatti, blessant trois personnes. FRANCE 21/10/84 : Action Directe commet un attentat à la bombe contre des bureaux de la société Marcel Dassault, à Saint-Cloud. Pas de victime. FRANCE 25/01/85 : Le Commando Elizabeth Van Dyck, agissant pour Action Directe et la Fraction Armée Rouge, assassine, devant sa résidence de Saint-Cloud, le général René Audran, ingénieur en chef de l'Armement et Directeur des affaires internationales au Ministère de la Défense. Action Directe et la Fraction Armée Rouge annoncent, dans leur communiqué de revendication, leur fusion. FRANCE 13/04/85 : L'Unité Combattante Sara Mheidli, d'Action Directe, commet un attentat à la bombe, Boulevard des Italiens, à Paris, contre la banque israélienne Leumi. Pas de victime. La même "unité" fait exploser une seconde bombe, Rue de la Procession (Paris), contre les bureaux de l'Office National d'Immigration. FRANCE 14/04/85 : Paris. Action Directe commet un attentat à la bombe, Avenue Marceau, contre les locaux du périodique Minute. Pas de victime. FRANCE 27/04/85 : L'Unité Combattante Benchellal d'Action Directe commet un attentat à la bombe, Avenue d'Iéna, à Paris, contre les bureaux du Fond Monétaire International. Pas de victime. FRANCE 30/04/85 : L'Unité Combattante Ciro Rizzato, d'Action Directe, fait exploser une bombe, Rue Cantagrel, à Paris, contre les locaux de la société de télécommunications S.A.T. Pas de victime. La même "unité" fait exploser une seconde bombe, toujours à Paris, contre la société de télécommunications T.R.T., blessant une personne. FRANCE 26/06/85 : Un commando ouvre le feu, à Paris, vers Henri Blandin, contrôleur général des armements, mais le manque. Cette tentative d'assassinat est revendiquée par l'Unité Combattante Lo Muscio d'Action Directe. R.F.A. 08/08/85 : Une voiture piégée explose, devant la base aérienne américaine de Wiesbaden, tuant deux personnes et en blessant vingt autres. L'attentat est revendiqué par le Commando George Jackson de la Fraction Armée Rouge/Action Directe. BELGIQUE 23/08/85 : La gendarmerie saisit, dans une cache des Cellules Communistes Combattantes, rue des Cottages, à Bruxelles, deux fusils de guerre F.A.L., une mitraillette Sten, trois pistolets ainsi que des faux papiers. De plus, fait important, des empreintes de personnes appartenant à Action Directe sont trouvées dans l'appartement; ce qui souligne les liens entre A.D. et les C.C.C. FRANCE 05/09/85 : Action Directe commet des attentats à la bombe, à Paris, contre la société Spies-Batignolles, située dans la Tour Winterthur, contre la firme Renault, la société Pechiney et l'A.T.I.C. Une personne est blessée à l'A.T.I.C. FRANCE OCTOBRE 1985 : Action Directe commet des attentats à la bombe, à Paris, contre les locaux de la chaîne de télévision Antenne 2, contre les bureaux de la Haute Autorité de l'Audiovisuel, et contre les studios de Radio France. FRANCE 15/03/86 : Deux membres d'Action Directe échouent dans une tentative d'assassinat visant Guy Brana, vice-président du C.N.P.F. L'attaque a eut lieu devant sa résidence, à " le Vesinet" (Yvelines). FRANCE 28/03/86 : La police arrête, à Lyon, André Olivier et Bernard Blanc, membres d'Action Directe. Elle saisira également trois revolvers, un pistolet et un pistolet-mitrailleur. Le même jour, le Front National de Libération de la Corse commet treize attentats à la bombe contre des bureaux du gouvernement et des banques. Pas de victime. FRANCE 29/03/86 : La police arrête, à Lyon, Joëlle Crepet, membre d'Action Directe, et saisi un fusil, ainsi que quatre pistolets. FRANCE 16/05/86 : Un commando d'Action Directe ouvre le feu, à Paris, sur le bâtiment qui abrite le siège d'Interpol, blessant un policier affecté à la surveillance de l'immeuble. Ensuite, les terroristes font exploser deux bombes qui endommagent les lieux. FRANCE 06/07/86 : Des locaux, abritant du matériel informatique de la firme Thomson, situés au 105 de la Rue de Castagnary (Paris XVème), sont endommagés par une bombe posée par Action Directe. L'organisation extrémiste fait encore exploser une voiture piégée contre les bureaux de la société L'Air Liquide, au 75, Quai d'Orsay (Paris VIIème). Dans sa revendication, Action Directe accuse ces deux sociétés de traiter avec l'Afrique du Sud. Pas de victime. FRANCE 09/07/86 : Une bombe explose, Quai de Gesvres, à Paris, contre le siège de la Brigade de Répression du Banditisme (B.R.B.), tuant l'inspecteur divisionnaire Marcel Basdevant et blessant vingt autres personnes. L'attentat est revendiqué par Action Directe, sous le nom de Commando Loïc Lefèbvre, du nom d'un jeune homme abattu quelques jours avant au cours d'une fusillade avec la police, rue de la Victoire, à Paris. FRANCE 21/07/86 : Action Directe fait exploser une voiture piégée, Rue Franqueville (Paris VXIème), contre le siège de l'O.C.D.E. Pas de victime. FRANCE 01/11/86 : Deux bombes, posées par Action Directe, explosent, à Paris, l'une contre les bureaux de la compagnie aérienne Minerve, au 4 de la Rue Cambon, et, l'autre, contre des locaux de la section parisienne de l'Office National de l'Immigration. Dans leur revendication, les terroristes annoncent avoir agi en signe de représailles contre "la politique injuste du gouvernement à l'égard des immigrés". FRANCE 11/11/86 : Action Directe commet un attentat à la bombe, à Paris, contre le siège administratif de la firme automobile Peugeot (Rue de la grande Armée) et, deux autres, aux Tours Total du quartier de la Défense, contre une société pétrolière et contre la firme Pechiney-Ugine-Külhmann. Aucune victime n'est rapportée FRANCE 17/11/86 : Georges Besse, Directeur général de la régie Renault, est assassiné, à Paris, par un commando d'Action Directe. FRANCE 15/12/86 : Une bombe explose contre la voiture du Garde des Sceaux, Alain Peyrefitte. Celui-ci n'est pas atteint; toutefois, son chauffeur est tué. L'attentat est revendiqué par Action Directe. FRANCE 21/02/87 : La police arrête Jean-Marc Rouillan, Nathalie Ménignon, Joëlle Aubron et Georges Cipriani, tous membres d'Action Directe. 2. Les cibles Il faut se replacer dans le contexte pour comprendre le choix des cibles. D'une part, le groupe comptant de moins en moins de militants, il en est venu à radicaliser ses méthodes pour se faire entendre. Les dynamitages et autres actions de "sabotage" n'ayant jamais rien donné, les derniers activistes d'Action Directe ont, de toute évidence, décidé de frapper plus fort afin d'occulter la faiblesse de leurs effectifs et, comme le dit Jean-Marc Rouillan lui-même, pousser les ouvriers français à l'affrontement avec le pouvoir. En effet, depuis sa prison, le chef d'Action Directe ne cache pas que le choix de Georges Besse comme cible s'inscrivait dans une problématique "sociale". L'entreprise Renault, que dirigeait Besse, licenciait alors des milliers d'employés. Néanmoins, pourquoi Georges Besse et non pas un autre capitaine d'industrie confronté au problème du licenciement d'une partie de ses employés ? Nous pensons à une piste iranienne. Au milieu des années 80, loin du folklore de Mai 68, des agents iraniens frappent la France. On sait, à l'époque, le soutien de la France à l'Irak de Saddam Hussein, en guerre contre l'Iran, la cause de ces tentatives de déstabilisation. A la même période, la jeune république islamique cherche aussi à pousser Paris à honorer un contrat nucléaire signé entre l'Iran du Shah et la France. En effet, la France s'était engagée en décembre 1974 à aider le monarque à mettre sur pied son programme nucléaire. Jacques Chirac, alors premier ministre de Giscard d'Estaing, s'était rendu en Iran et avait engagé notre pays à livrer 10 % de son uranium enrichi à ce pays. En échange, ce dernier entrait dans Eurodif, consortium européen chargé de l'enrichissement de l'uranium. Or, Georges Besse était alors président d'Eurodif. Cet accord était unilatéralement dénoncé par la France à la suite de la révolution islamique de 1979. L'Iran n'en cessait pas pour autant de faire valoir ses droits. Notre pays faisant la sourde oreille, en 1986, Paris était la cible de plusieurs attentats. La même année, Georges Besse était assassiné, alors que, dans le même temps, il s'opposait à la reprise des livraisons d'uranium à l'Iran. Mais dès la fin de l'année 1986, la France et l'Iran renouaient des relations. En 1991, l'Iran redeviendra même pleinement actionnaire d'Eurodif. Entre temps les attentats cessaient et les otages français au Liban retrouvaient la liberté. Dès lors, que faut-il penser de la mort de Georges Besse ? Les prisonniers d'Action Directe ont toujours nié l'interprétation des faits suggérée plus haut. Ils peuvent cependant avoir été manipulés. Les Iraniens sont experts en la matière. En outre, Action Directe coopérait déjà depuis des années avec d'autres groupes armés sévissant au Moyen-Orient, dont certains étaient en relation avec l'Iran. http://www.terrorwatch.ch/fr/terrorism.php
  12. victime de quoi ? de leur faits, ça c'est sûr
  13. c'est ton opinion, pas celui de la justice en première instance attendons l'appel et ces droits d'expression et touti quanti ils sont soumis à restriction par le JAP, sa liberté n'est pas totale, comme dit Black va sur google et va lire le CPP tu t'enrichissera
  14. si tu appelles poser des questions un acharnement, je crois que c'est méconnaître Weapon car si tu veux que je te montre comment ça fait d'être "la tête de turc" je pense que tu vas déchanter lequel Fond, ne compare pas ce qui n'est pas comparable est reste dans le sujet, il a des raccourcis qu'il faut éviter de faire La justice rend des jugements et arrêts suivant la personne morale ou physique qui comparaient devant elle et du dossier et s'appuie sur le CPP et le CP, rien d'autre donc "il n'y a pas de conception a avoir de la justice" sauf si on me demande mon avis dans un sujet bien précis la concernant et la ce n'est pas le cas à ta disposition pour parler du sujet et non de comparaison qui n'ont pas lieu d'être
  15. merci PS : manque le point bonus pour le Stade, dommage
  16. une course conte la montre du post, :)

    Bonne journée

×