nerelucia

Après-midi dans la chambre jaune Frédérick-Carl Frieseke, américain Le parasol rose, même peintre Jour grisâtre sur la rivière même peintre, beau rendu de l'eau Bonnard Pierre derrière la clôture, 1895

Vanité, Auguste Toulmouche (1829-1890) Cousin par alliance de Claude Monet, il aidera et guidera ce dernier lors de ses premières années parisiennes. Toulmouche sera un des peintres les plus célèbres du Second Empire, à peine moins connu qu'Alfred Stevens, Jean-Léon Gérôme ou William Bouguereau. Frederick Carl Frieseke, femme assise sur le sofa d'intérieur L'oeuvre de ce peintre américain ayant vécu à Giverny, est disséminée dans de très nombreux musées aux USA. Le miroir dans le jardin Frederick Carl Frieseke

John White Alexander (1856-1915), peintre américain, a voyagé (Paris, Munich, Bavière, Italie), professeur d'art à Princeton (USA), a peint des fresques murales pour des édifices publics américains. Le jardin de Monet à Argenteuil - le blanc de la nappe, les ombres au-dessus de la tête de l'enfant - Gustave Moreau (1826-1898) Leda et le cygne Ce thème est omniprésent en peinture : http://mythologica.fr/grec/leda.htm

oui et le fil ne prête pas à l'humour, pour une fois. Si cette femme ne s'est pas suicidée ou n'est pas devenue folle, c'est pour que ses enfants vivent. Il y en a d'autres ailleurs, pourquoi non ? Condamné à mort ? Non, la prison à vie et les autres détenus vont l'écarter, on va lui créer un isolement total pour qu'il apprenne ce que c'est.

Westminster Goodwin Albert (1845-1932) Thé party Pierre Bonnard (Paris 1867-Cannet 1947) Peintre Français, graveur et photographe. il est connu pour son utilisation de la couleur. Il a été membre des Nabis. Jeanne-Marguerite Lecadre dans le Jardin,1866, Monet.

Femme dans le jardin Frederick Carl Frieseke, peintre américain ( 1874 - 1939) Reflets, même peintre Guy Seymour Joseph Sortie d'été, 1861

Leonard de Vinci, La Vierge des Rochers, 1495, actuellement à Londres

Raphaël, 1507, famille sainte, Florence.

La Madonne allaitant, 1490, (pupille milanaise du peintre) Leonard de Vinci Musée de l'Hermitage à St-Petersbourg

" pendant les deux premiers jours de sa séquestration, la jeune fille aurait été attachée à un poteau avec des menottes, puis, pendant les six à neuf mois suivants, avec une laisse lui permettant d'atteindre les toilettes." (dans l'article)

Les pendre oui, par les pieds oui, puis les dépendre et recommencer sans jamais leur ôter la vie.

Madjid, Idyll II Alexander John White (1856-1915) Jeune femme arrangeant ses cheveux Johan Laurentz Jensen, peintre réaliste danois (1800-1856) Pensées, Ferdinand Hodler, art nouveau Dans la cour, Evert Pieters, peintre hollandais (1856-1932)

laisses tomber ce fil, il doit rester sans réponse. Personnellement, je recharge 150 images effacées, j'ai du travail.

et moi je te trouves con. Sais-tu combien je passe de temps dans le musée ? 1h30 au minimum par jour (je jongle avec deux hébergeurs et un logiciel photos). Alors tes réflexions tu te les gardes. Moi, je ne te connais même pas. On reste poli quand on est sur un forum.

mes posts dans musée du forum : 2770 visites en 3 pages. L'autre jour, grosse panique (j'ai été "hackée", normal), j'envoie un mp à Caez, pas de réponse. J'aurais aimé qu'il me réponde. Je fais confiance aux gens compétents. PS : la fonction "plus d'options de recherche" ne fonctionne pas quand on choisit un forum.

Sommeil Frederik Carl Frieseke Une nymphe aquatique, 1898 Léon Bazile Perrault, peintre classique français (1832-1908), élève de Bouguereau Central_Park, 1901 Maurice Brazil Prendergast (1859-1924)

En Poppyland, 1906 Adams John_Ottis (1851-1927) Jan Van Huysum (1682-1749) hollandais, le peintre de la nature morte Pierre Bonnard, table au jardin. Toujours la chaleur des ombres en été .

Mata Moana, Robert Henry (1865-1929) la layette, Robinson Theodore (1852-1896), impressionniste américain

Place Saint-Marc, Venise, 1898 Maurice Brazil Prendergast Sur la colline, 1898-99 Maurice Brazil Prendergast Maurice Brazil Prendergast (1859-1924), peintre américain post-impressionniste, illustrateur, aquarelliste. Tout est bon chez lui. Elève de Benjamin Constant entre autres professeurs français. Lesbia et son oiseau, Edward John Poynter (1836-1919), peintre anglais, époque victorienne néo-classique. Repos dans les bois de Pontoise, 1878, Pissaro ***

Je ne crois pas à l'impunité du voisinage. En 45, les ruraux proches des camps d'internement ne savaient pas non plus. Je crois que les autorités ne font pas leur travail quel que soit le pays. Imaginez la souffrance de cette femme, l'avenir de ces enfants qui n'ont jamais vu le jour.

Bedos brocardant Sarkozy, si c'est comme ses sketchs, pauvre président.

Comment la femme a fait pour ne jamais voir la nourriture pour 4 personnes, le linge à nettoyer ? Qui a aménagé la cave avec sanitaire, cuisine ? Ce devait être un sacré dictateur pour contrôler toutes les factures. Il n'y a jamais eu de cris ?

ben non, il n'a pas les mêmes fonctions dans le premier post et le suivant. C'est important de choisir les forums qu'on veut voir.

Pour comprendre ce qui se passe en Autriche, il faut lire les thèmes des écrivains majeurs- actuels- autrichiens : http://www.bibliomonde.com/auteur/joseph-winckler-347.html « Winckler est très tôt confronté à l'hostilité du monde rural qui l'entoure : dans son récit, Le serf, sont dévoilées la brutalité, l'arriération mentale des paysans, leur haine envers les juifs, les homosexuels et tout ce qui n'est pas conforme aux rituels orchestrés par l'église catholique. « ¿"Serf de la mort", il compose avec ce livre tourmenté une symphonie funèbre aux thèmes vengeurs : la violence ordinaire de celui qu'il appelle "le laboureur", son père; la folie croissante d'une s¿ur à jamais figée dans ses voiles de deuil ; le lent déclin de sa mère; la vie méprisée des servantes et des valets de ferme ; la toute-puissance d'un catholicisme qui exalte la souffrance et n'a plus d'autre fonction que répressive » http://www.bibliomonde.com/livre/cinquieme-annee-582.html Marlen Haushofer, la cinquième année : « ¿ Au cours de la cinquième année de sa vie, une petite fille s'aperçoit que la solitude, la violence ou la mort sont juste en lisière de sa quiétude. Cette sensation, tous les personnages du livre l'éprouveront à leur tour, telle cette femme qui, dans un lit d'hôpital, voit revenir dans un rêve ses appréhensions d'enfants. Comme si l'auteur voulait signifier qu'un jour l'angoisse nous met un fil à la patte, et que par là, des années plus tard, elle viendra nous reprendre. » (extrait de la présentation de l'éditeur) http://www.bibliomonde.com/livre/nuit-583.html La nuit, même auteur : « Si les thèmes de la nuit, de la peur, de l'enfermement, de la punition, de l'oppression domestique, de l'invisible menace sont si présents dans les livres de Marlen Haushofer, c'est petit-être parce que la romancière autrichienne n'a cessé toute sa vie d'exorciser des craintes qui sont le lot commun de l'enfance. é la fois plausibles et fantasmatiques, effleurant bien souvent l'intime mémoire du cauchemar, les récits qui composent ce volume semblent en vérité projeter sur l'âge adulte, par un effet de macroscopie, quelques-unes des appréhensions les plus sensibles de l'âge tendre. Voici en tout cas un recueil empreint d'inquiétude et de révolte étouffées, qui apporte une belle conclusion à la publication de cette ¿uvre révélée en France, il y a près de dix ans, par le fameux Mur invisible. »