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lily12

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Tout ce qui a été posté par lily12

  1. Il faut mettre les parents face a leurs responsabilitées et ne pas avoir peur de sanctionner en cas de manquements. Quand on fait des gosses on les assume on ne laisse pas la société ce débrouiller.
  2. Absolument pas car il a accepté cette distinction en tant que président pas en tant qu'homme. Sans parler de son discourt sur les prétres qui remplecerait les instit. Non ce type est hors cadre de sa fonction.
  3. Pourtant que ce soit les Corses ou les Bretons en leurs temps tous réclamment l'indépendance. D'ailleur les langue régionales sont apprisent a l'école.
  4. Ben je pense que ce qui est dit est largement relié par les médias tu sais les quots etc..... donc pas besoin de sources pour ça.Pour l'autre je suis plus septique. Je te flic pas je remarque que tes interventions ne tournet qu'autour des mêmes sujets avec les mêmes argumentations bancales.
  5. Je crois que c'est clair sans compter que leurs interventions sont spécifique a des sujets touchant aux étrangers ou a l'immigration.Ils ne doivnet pas avoir d'autres passions. Sources ?. +1
  6. Visiblement certains ici ne vois que ce qu'ils veullent voir. A lire Flo les dictatures ne sont pas soutenues par les grosses puissances occidentales. En effet il est temps de sortir de ta matrice car le reveil va étre dur pour toi.
  7. Ces gosses étaient Français. Voilà le raisonement qui fait qu'ils se sentiront jamais intégré avec de tels raisonements. :smile2: Ensuite la loi est pour tout le monde Français ou pas. Seulement on est pas tous égaux face a la loi.
  8. Pour ça nous fera faire des économies.
  9. Si les étrangers travaillent et cotises pourquoi leur repocher de proffiter des mêmes avantages que les Français ?. :smile2:
  10. lily12

    Flic au bord du gouffre

    Nous voilà donc en sécurité. :smile2:
  11. Et pour le voile alors ? interprétation ou obligation ?.
  12. http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/...uel_bilan_.html
  13. La fait que des millions de femmes porte le voile (contraint ou pas) prouve que celà aide a une certaine reconaissance dans le milieu musulman que ce soit obligatoire ou pas. Malgré le manque de clareté a ce sujet et le nombre d'interprétations qu'on en fait il n'en reste pas moins que le voile est porté dans des tas de pays. Il est aussi incontestable qu'il est un outil primordial pour les hommes pour assoir un peu plus leur supériorité même si le but originel n'était pas là. Pour moi en effet rien n'est clair sur le port du voile mais si des femmes désire le porter librement celà ne regarde qu'elles et peut importe les raisons cest plus au niveau de la liberté individuelle que de la religion que je vois celà. Les arguments sont plus convaincant en ce qui concerne la non obligation du port du voile tout de même. :smile2:
  14. lily12

    Integration reussie ou non

    Pour l'odeur en regardant la pub pour les déo si on arrive a faire embrasser des aisselles je doute que l'odeur soit un probléme. :smile2: Pour la religion il n'y a qu' a faire un mix de toutes.
  15. lily12

    Integration reussie ou non

    Qui fourni le béret et la baquette de pain pour mettre sous la bras afin de passer inaperçu ?. :smile2:
  16. Vieille recette de la droite et extréme droite la sécurité. Plop +1 :smile2: .
  17. Merci pour ta réponse. Je constate que tu parle surtout d'interprétation et de logique j'en déduie pour ma part que ce n'est pas un ordre précit et nullement une obligation mais plus tôt une dérive culturelle un peu machiste. Quand ce n'est pas clair c'est facilement interprétable.
  18. Deux ans après son élection, ils veulent faire la fête à Sarkozy: <H2 class=grosinter>Les cheminots</H2>Acteurs majeurs coutumiers des grandes journées de grèves, les cheminots se sont particulièrement distingués sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Dès le début du quinquennat, ils se sont mobilisés contre la loi instituant le service minimum dans les transports. Une mobilisation payante, puisque que le texte a été vidé en partie de sa substance. Mais les blocages ont aussitôt repris de plus belle, en raison de la volonté du gouvernement de réformer les régimes spéciaux de retraite. Avec toujours en toile de fond le spectre des grèves de 1995, qui avaient contraint un Alain Juppé « droit dans ses bottes » à faire machine arrière. Cette fois, la mobilisation a connu son point d'orgue en janvier : la gare Saint-Lazare à Paris a été fermée, après un mois de « grèves de 59 minutes » du syndicat SUD-Rail. Un syndicat qui a reçu pour principales réponses des menaces de plainte de la SNCF et s'est vu qualifié d'« irresponsable » par le chef de l'Etat. <H2 class=grosinter>Les chercheurs</H2> Le 22 janvier 2009, Nicolas Sarkozy a réussi à fédérer contre lui un corps de métier réputé discret : les enseignants-chercheurs du supérieur. Pour les mettre dans la rue et précipiter un mouvement universitaire dur (qui a la particularité d'être à l'initiative des profs et pas des étudiants), le président de la République a prononcé un discours très offensif dans lequel il mettait en doute la qualité des enseignements et le bien-fondé de certaines recherches. Dans la foulée, Valérie Pécresse, ministre en charge du dossier, cristallisait la colère en remaniant le statut des universitaires qui se sont battus plus de deux mois contre l'évaluation des chercheurs par leur hiérarchie administrative. <H2 class=grosinter>Les chômeurs</H2>Le mois de novembre dernier a constitué un tournant dans la présidence de Nicolas Sarkozy : avec 64 000 chômeurs supplémentaires, soit 2,068 millions de demandeurs d'emplois au total, jamais le chômage n'avait été aussi élevé depuis son élection. Et il fallait alors remonter à 1984 pour trouver une telle envolée du chômage. La promesse contenue dans le programme présidentielle du candidat de l'UMP paraît de plus en plus difficile à mettre en ¿uvre : « En cinq ans, nous pouvons atteindre le plein emploi, c'est-à-dire un chômage inférieur à 5% et un emploi stable à temps complet pour tous. » Avec la crise économique, ce marasme s'accentue chaque mois. En mars, le nombre de demandeurs d'emploi a franchi en mars la barre des 2,4 millions de personnes en France avec 63 400 chômeurs supplémentaires, soit 2045 de plus chaque jour. <H2 class=grosinter>Les étudiants</H2>Au début de l'année, les étudiants s'engagent aux côtés des enseignants-chercheurs, mobilisés contre un décret d'application de la loi LRU. Les étudiants réclament le retrait total de la loi, une revendication qu'ils n'avaient pas pu satisfaire lors du mouvement 2008. Universités totalement ou partiellement bloquées, manifestations et occupations : la conjugaison des deux mouvements empêche la tenue normal des cours. Malgré une importante mobilisation et une tension grandissante dans les universités, Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur, refuse de céder aux revendications étudiantes. Selon l'AFP, à l'approche des partiels, une vingtaine d'universités sont encore perturbées à des degrés divers cette semaine. <H2 class=grosinter>Les gardiens de prison</H2>Les derniers déçus du Président. Ou plutôt de sa politique sécuritaire qui, depuis 2002, n'a cessé de remplir les établissements pénitentiaires, sans donner tous les moyens nécessaires à son administration. Résultat : une hausse significative des suicides de détenus en 2008 et une détérioration continue des conditions de vie. Un scandale qui dure, montré dans cette vidéo diffusée par LeMonde.fr. Ce quartier de Fleury Mérogis a depuis été fermé pour rénovation. Ce qui n'empêche pas certains chercheurs de proposer des solutions à la surpopulation carcérale. Et de s'interroger sur l'après-Dati, car la loi pénitentiaire est le seul projet que la ministre de la Justice a laissé à son successeur. <H2 class=grosinter>Les infirmières et sages-femmes</H2>Les 35 heures avaient semé la pagaille dans la profession des infirmières. Depuis, rien ne s'est arrangé, comme l'a douloureusement rappelé la mort du petit Ilyès à Saint-Vincent-de-Paul en décembre dernier. Une erreur médicale due aussi au stress qu'elles vivent toutes. Celles qui travaillent en libéral voient désormais leur liberté d'installation encadrée afin de rééquilibrer la démographie médicale. Par ailleurs, pour protester contre le manque de reconnaissance de leur profession, les sages-femmes manifestent également cette semaine afin que leur cursus s'inscrive dans un parcours universitaire. <H2 class=grosinter>Les internautes</H2>Si le projet de loi Création et Internet, appelé « Hadopi », divise autant les artistes que les politiques, il fait la quasi unanimité contre lui chez les internautes. A la tête de la fronde contre ce texte qui vise à sanctionner le téléchargement illégal : Le Réseau des pirates, qui revendique plus de 12 000 signataires de son Pacte pour les libertés numériques. Un pacte accompagné d'un appel qui commence par ces mots : « Nous sommes des millions, ils font de nous des pirates. » Autre initiative, cette fois de La Quadrature du Net : l'association demande aux internautes de « peindre leurs sites, blogs, profils, courriers, commentaires ou avatars de la couleur noire du black-out ». <H2 class=grosinter>Les journalistes</H2>Les journalistes, et surtout ceux de l'audivisuel public. Pour en finir avec « l'hypocrisie » de la nomination politique en sous-main des présidents de France Télévisions et Radio France, Nicolas Sarkozy a fait inscrire dans la loi¿ qu'il les nommerait lui-même. Ce que le Parlement lui a bien évidemment concédé. Manifestations immédiates de mécontentement chez les personnels de l'audiovisuel public. Un de ces mouvements d'humeur est d'ailleurs visible dans la vidéo off de Nicolas Sarkozy sur le plateau du « 19/20 » de France 3, diffusée en juillet dernier par Rue89. Une vidéo qui a entraîné une plainte de France 3, sur pression de l'Elysée. Et par la même occasion une nouvelle ire des syndicats de France Télévisions, lorsque deux journalistes de France 3 et deux autres de Rue89 ont été convoqués par la police judiciaire le 1er avril pour cette ubuesque affaire, alors que les perquisitions et les arrestations se multiplient dans le monde journalistique (au Canard, à Libé, au Monde¿). <H2 class=grosinter>Les lycéens</H2>En décembre dernier, la mobilisation lycéenne avait contraint Xavier Darcos à repousser la réforme du lycée à la rentrée 2010. Malgré le recul du ministre, les lycéens redescendaient dans la rue dès janvier pour réclamer son abandon définitif et l'annulation des 13 500 suppressions de postes prévues pour rentrée 2009. Si les différents syndicats appellent à rester mobilisé, le mouvement s'est essoufflé après la désignation de Richard Descoings, directeur de Sciences Po Paris, pour mener une concertation nationale. Ce dernier doit rendre son rapport mi-mai. Il est cependant déjà prévu que la réforme sera testée dès la rentrée prochaine dans une centaine d'établissements. La Fidl appelle donc les lycéens à se remobiliser dès le mois de septembre prochain. <H2 class=grosinter>Les magistrats</H2>Les magistrats ont au moins trois raisons d'en vouloir à Nicolas Sarkozy. La première est un symbole et s'appelle Rachida Dati. En bon soldat du Président, elle a d'emblée appliqué au pas de course des réformes impopulaires, sans réelles concertations pour ce qui concerne la carte judiciaire. L'avocat général Philippe Bilger a très vite qualifié la garde des Sceaux de « chouchou du couple présidentiel », qui « n'a pas été choisie par le Président pour sa compétence ». La seconde raison de la colère, c'est un style brutal qui a irrité les juges, convoqués à tout crin par la Chancellerie. Enfin, le clou a été enfoncé dans les toges lorsque fut annoncée la suppression à venir du juge d'instruction, figure tutélaire de l'indépendance de l'ordre judiciaire. Pas sûr que cette réforme arrive à terme. <H2 class=grosinter>Les mal-logés</H2>L'année 2007 a été marquée par deux événements peu flatteurs pour la France en matière de logement : pendant l'été, le parquet de Paris ordonne le retrait des dernières tentes de SDF le long du canal Saint-Martin, puis, quelques semaines plus tard, c'est au tour de mal-logés de s'installer rue de la Banque à Paris, pour alerter l'opinion et les pouvoirs publics sur leur situation. Christine Boutin, ministre du Logement, instaure alors le droit au logement opposable, qui garantit normalement un logement décent à toute personne qui en est privée. Mais avec un parc disponible de 60 000 logements pour au moins 600 000 demandeurs, la loi est difficilement applicable. Le DAL et les Enfants de Don Quichotte, à l'origine des deux événements de 2007, ont été condamnés par la justice à l'automne dernier pour avoir installé des tentes dans les rues de Paris. <H2 class=grosinter>Les médecins</H2>Le gouvernement leur avait préparé une grande loi au nom ambitieux, « Hôpital Patients Santé Territoire ». Jugée nécessaire par tous les professionnels, la réforme de l'hôpital a pourtant réussi à faire descendre dans la rue même les plus connus des « mandarins ». Inquiets pour la médecine de proximité, redoutant la privatisation de l'hôpital public, et craignant de ne pas être associés à la nouvelle gouvernance. Cédant à cette pression, des sénateurs ont déjà fait savoir qu'ils amenderaient le texte lors de son passage prochain devant la haute assemblée. Roselyne Bachelot laissera-t-elle son nom à une grande réforme ? <H2 class=grosinter>Les ouvriers</H2>46% des ouvriers avaient voté pour Nicolas Sarkozy, boudant l'abstention, Le Pen ou la gauche. Le fameux discours sur le « travailler plus pour gagner plus » s'adressait notamment à ces électeurs contents de remplir un peu leur porte-monnaie. Deux ans après, ils déchantent. Comme ces ouvriers de l'automobile forcés d'accepter un chômage partiel et les baisses de salaires qui les accompagnent. Comme ces salariés de Continental qui avaient cru sauver leur usine en passant à 40 heures et se voient aujourd'hui baladés par un gouvernement qui a du mal à s'engager comme arbitre face à des directions souvent absentes. Parfois, la colère explose, des patrons sont séquestrés, chez Sony, Molex, Caterpillar, 3M¿ au point de faire craindre une « situation révolutionnaire ». Lors de ses différents discours de crise, Sarkozy a tenté de regagner la confiance de cette « France qui se lève tôt ». En vain. <H2 class=grosinter>Les parents d'élèves</H2>Depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy, un groupe de mécontents s'est structuré et étoffé au gré des grosses manifs nationales comme le 29 janvier : les parents d'élèves. Ils descendent dans la rue contre la suppression de l'aide aux élèves en difficulté, contre les fermetures de classe ou d'école, mais aussi contre les choix pédagogiques de Xavier Darcos ou, au début du mandat présidentiel surtout, les arrestations de parents sans-papiers. Dans les écoles, ils prennent le relais des enseignants en cas de retenues sur salaires ou de sanctions disciplinaires. Le logiciel « base élèves » et d'autres fichiers cristalisent la grogne des plus mobilisés. <H2 class=grosinter>Les pêcheurs</H2>Le quinquennat de Nicolas Sarkozy avait commencé de la plus mauvaise des manières entre le chef de l'Etat et les pêcheurs. Pris à parti lors d'une manifestation au Guilvinec en novembre 2007, le Président nouvellement élu n'avait pas hésité à rétorquer à un manifestant : « Toi, si tu as quelque chose à dire, tu as qu'à venir ici ! » Des manifestations qui se sont ensuite multipliées régulièrement. En mai 2008, les pêcheurs ont fait le déplacement depuis Cherbourg, Quimper, Trépas, Martigues¿ pour se rassembler à Paris, avec comme revendications la baisse du prix du gasoil et le relèvement des quotas de pêche. Une seconde requête que les pêcheurs n'ont toujours pu voir satisfaite au mois d'avril dernier, malgré les blocages des ports de Dunkerque, Calais ou Boulogne, même si Michel Barnier, ministre de l'Agriculture et de la Pêche, leur a promis une enveloppe de quatre millions d'euros. <H2 class=grosinter>Les professeurs</H2>Depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy au pouvoir, les profs sont très remontés. Contre la suppression annoncée des classes pour enfants en difficulté (Rased), l'évaluation des élèves en milieu d'année, mais aussi contre la loi d'août 2008 qui impose aux municipalités d'assurer le service minimum d'accueil dans les écoles primaires lorsque les enseignants font grève. Ministre de l'Education soutenu depuis la première heure par l'Elysée, Xavier Darcos a aussi réussi à se mettre à dos les professeurs de maternelle qui « changent des couches », les profs de sciences économiques et sociales dont il veut supprimer la filière, ou encore des directeurs d'école, qui commencent à écoper de retenues sur salaires pour avoir manifesté leur hostilité aux réformes. <H2 class=grosinter>Les prostituées</H2>Novembre 2007, six mois après l'élection de Nicolas Sarkozy, les prostituées manifestent devant le Sénat à l'appel du collectif Droits et prostitution, pour réclamer l'abrogation de l'interdiction du racolage passif. Depuis 2003 et les lois sur la sécurité intérieure dites « lois Sarkozy », le racolage est en effet devenu un délit, passible de deux mois de prison et 3750 euros d'amende. La plupart des associations reprochent aux textes ses effets pervers, notamment celui de précariser et d'isoler les prostituées, à coup de condamnations répétées. Depuis l'adoption de ces lois, les travailleuses du sexe ne cessent d'en réclamer l'abrogation et l'obtention d'un statut légal. Au mois de mars, elles ont crée le premier syndicat du sexe, le Strass. <H2 class=grosinter>Les sans-papiers</H2>Avec 27 000 expulsions visées en 2009, Eric Besson maintient l'objectif de Brice Hortefeux, premier ministre de l'Immigration et de l'Identité nationale, emblématique du premier mandat de Nicolas Sarkozy. Moins d'arrestations à la sortie des écoles, depuis le tollé de la rue Rampal à Paris, à la veille de l'élection présidentielle, mais de nombreuses interpellations y compris aux abords des préfectures et parmi les « aidants », même si Eric Besson nie l'existence d'un « délit de solidarité ». Depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy à l'Elysée, les sans-papiers ont structuré leur mouvement, aidés par la vigueur de RESF. Ils sont de plus en plus nombreux à faire grève et occuper leur lieu de travail, voire les locaux de la CGT. Le sommet européen de Vichy a été le point d'orgue de la contestation de la politique d'immigration de Nicolas Sarkozy.
  19. Je répond a ton mp ici car ta boîte est pleine. ADMETTONS je n'ai pas tout regardé j'ai juste lu la page sur le voile qui est trés intéréssante et qui est repris sur d'autres liens donné par transporteur et qui ne sont pas du même auteur . La question est surtout est ce que ce qui est dis est faux ?. Le fait que ta soeur le porte et soit heureuse ne veut pas dire que le port du voile soit légitime et qu'il ne soit pas une interprétation masculine d'hadits.Je n'ai pas une grande espérience coranique toute fois en lisant les passages du coran j'ai du mal a voir l'obligation du port du voile et en ce sens je serais assez d'accord avec Transporteur et ericlagaffe. Voici une explication qu'on ma donné: Il n'est dit nulle part de manière explicite que la femme musulmane doit OBLIGATOIREMENT porter le voile mais elle y est vivement invitée car elle doit preserver sa pudeur c'est la "soutra". Dans la sourate noor il est dit qu'elle doit etre descente et couverte tout comme l'homme je le rappelle. Parler de Hijab dans le coran est un anachronisme car le hijab est une parure moderne. J'ajoute aussi que le foulard est une tradition antéislamique car les femmes arabes vivaient dans le desert et afin de protéger leur cheveux du sable elle nouaient un foulard autour de leur tete ( les hommes portaient un équivalent contre le sable) puis ce sont les femmes du prophete qui le portaient afin de marquer la distinction et maintenant chaque femme musulmane peut le porter si elle le veut car cela fait partie de la sunna(tradition) et non pas du fardh(l'obligation) voila! Je serais donc curieuse d'avoir ta vision et ton interprétation afin de m'éclairé. :smile2: Bonne journée a toi.
  20. Ce site n'est pas si islampohobe que ça je viens d'y jetter un oeuil il est cependant sacrément critique. Il pose quand même de bonnes questions . Je regrette que l'ancienne n'ai pas repondu sur le fond. :smile2:
  21. Disons que les plus riches eux ne regrette surtout pas leur vote. Là ou Sarko a été fort c'est de faire croire aux classes moyennes qu'il allait arranger leur quotidien et qu'il comprenait leur labeur. Au final il c'est bien foutut de leur(notre) geulle.
  22. montant maximum du Rmi dépend de votre situation : Nombre d'enfants 0 1 2 par enfant en plus Vous vivez seul(e) 454,63 ¿ 681,95 ¿ 818,34 ¿ 181,85 ¿ Vous vivez en couple 681,95 ¿ 818,34 ¿ 954,73 ¿ 181,85 ¿ Après accord du Président du Conseil général, le Rmi vous sera versé dès le mois de la demande pendant trois mois. Ensuite, un nouveau calcul sera effectué tous les 3 mois. Les conditions Vos ressources, certaines prestations familiales comprises, ne doivent pas dépasser un certain montant. Vous ne devez pas recevoir l'allocation équivalent retraite versée par les Assedic. Vous devrez vous engager à souscrire un contrat d'insertion, au plus tard dans les trois premiers mois de versement. A noter que les allocations de chômage, pensions d'invalidité ou de retraite, sont versées prioritairement sur le Rmi. http://www.caf.fr/wps/portal/particuliers/...e/metropole/rmi EXEMPLE : famille de 4 enfants = 1319 euros par mois + APL entier donc pas de loyer. factures payées par l'aide sociale , bons alimentaires , cantine gratuite , pas de taxe télé ni d'habitation , bons de vacances , prime de noël . Tu idéalise le systéme là.
  23. Il y a quelque années de ça la démographie en France était négative (il y a10 ans) en europe elle l'est toujours. Le RMI est soumis a des critéres si tu ne les remplis pas tu n'y a pas droit. De plus pense tu que vivre toute sa vie avec le RMI soit si génial que ça ?,permet moi d'en douter.
  24. Ben figure toi que tout dabord on ne choisit pas toujours d'avoir un second enfant,ensuite pour cause de démographie négative jusqu'a présent il était fortement encouragé d'avoir plusieurs enfants. Tout le monde ne fait pas d'enfants pour les alloc surtout que celles ci ne durent qu'un temps limité. :smile2: C'est encore le même refrain et les même idées reçues débile que l'idée que les étrangres mange le pain des Français.
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