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Titsta

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Tout ce qui a été posté par Titsta

  1. Titsta

    Que signifie être soi même?

    Je trouve la question très intéressante. C'est pas "est-ce qu'on doit être nous même", c'est qu'"est-ce qu'être nous même." Je pense à plusieurs choses. Déjà, ça ressemblerai plus à être ce qu'on veux pour nous même, plutôt qu'être ce que les autres veulent qu'on soit... Mais le problème, c'est qu'être sois même, c'est pas être ce qu'on voudrait être. ça c'est du fantasme. On est forcément autre chose que ce qu'on voudrait être. Donc déjà, être sois même, ça serait accepter notre côté obscure, (pas dans le sens "vampire" du terme, qui pourrait être notre idéal justement, mais dans le sens "ce qu'on n'aime pas chez nous".) Et être ce qu'on voudrait être, c'est justement ne pas être "nous même"... Je pense à autre chose aussi. Si être sois même, c'est agir en fonction de ce qu'on veux, et pas de ce que veulent les autres. Quelqu'un qui veux profondément plaire aux autres. Je pense à une fille coquette qui aime être admiré par les autres. Serait elle "elle même" si elle n'essayait pas de plaire aux autres ? à fortiori, si les autres qui l'entourent aimeraient à tout prix qu'elle arrète de vouloir plaire aux autre. Est-ce que, justement, elle serait pas plus "elle même", en cherchant à tout prix plaire aux autres même si c'est pas ce que ces autres aimerait qu'elle fasse ??? ça serait renier sa personnalité. Si c'est notre personnalité de prendre tel ou tel masque dans une situation, ne pas le prendre, ça serait pas être "nous même" justement. J'enfonce le clou dans la confusion en me demandant si on peut être autre chose que nous même... Comment "être nous même" pourrait vouloir dire "être quelque chose qu'on a jamais été" ??? En fait, je pense qu'il ne faut pas prendre cette expression dans le sens des mots. Ce qu'on appelle être sois même, c'est souvent exactement le contraire d'être sois même. C'est arriver à trouver un accord entre nos actes et ce qu'on ressent. Parce que très souvent, on agit en désaccord avec ce qu'on ressent. Je fais d'ailleurs une différence forte entre être en accord avec ce qu'on ressent et être en accord avec ce qu'on voudrait être, ou ce qu'on voudrait ressentir !!! C'est pas du tout la même chose ! (C'est le côté "accepter son côté sombre" dont j'ai parlé plus haut) En fin de compte, si on appelle ça "être sois même", c'est parce qu'en agissant ainsi, on sent une sorte d'accomplissement. On a l'impression de se découvrir. En fait, souvent on se "découvre" (dans le sens on se "déshabille", on se "montre"). Je pense que plus que se découvrir, ou se montrer, en fait on se réalise, on se construit par une telle action. Donc on quand on "est sois même" on est pas nous même, on devient quelqu'un d'autre qui est plus en symbiose avec son environnement que ce qu'on était avant. Quelqu'un qui est plus sincère avec lui même, si on veux. (parce qu'il a fallu qu'il accepte ce qu'il ressent, et qu'il arrive à avoir le courage d'agir en fonction de ce qu'il ressent.) Maintenant, je pense que des gens peuvent être "eux même" en étant de parfait manipulateurs. Du moment qu'ils agissent en accord complet avec ce qu'ils ressentent. Je pense aussi que si on agissait réellement en accord avec ce qu'on ressent, ET si on était sincère avec les autres, on ne pourrait que très difficilement vivre avec les autres. La seule voie de sortie, pour arriver à être sois même, et a pas vivre coupé des autres, c'est d'arriver (ou d'apprendre) à bien "présenter" aux autres ce qu'on ressent, en parallèle bien sûr avec le fait d'arriver (ou d'apprendre) à bien savoir ce qu'on ressent. C'est un compromis qu'il faut trouver entre ce qu'on cache aux autres, (en fonction de ce qu'ils sont capable d'accepter), et ce qu'on leur montre. En fait, c'est un compromis entre ce qu'on est (ce qu'on ressent) et ce qu'on voudrait être (ce qu'on veux... par exemple ne pas être seul) Pas étonnant que ça soit si difficile.
  2. ça sert à rien. C'est juste une idée qu'on chérie particulièrement, qui nous représente bien, ou dont on a envie de se rappeler les conseils dans les moments difficiles. La mienne (une petite poésie que j'ai inventé) : La vie n'est qu'un trait, un instant. Je veux que la mienne soit un trait de feu un trait de lumière une étoile éphémère.
  3. Titsta

    Vivons nous en démocratie?

    Si elle ne l'est pas, elle disparaîtra d'elle même Et je trouve ça bien plus sain que de faire des choses très complexes pour faire durer quelque chose qui n'est pas viable. L'application est toujours complexe, ça c'est vrai. Justement parce que le monde passe son temps à évoluer. Mais je ne parlais pas de l'application. é part pour mon "journal" (pour lequel, effectivement, j'ai besoin de creuser un peu). Une fois l'exemple lancé, pleins de gens bien plus compétent que moi, et avec pleins de nouvelles idées sur des améliorations possible appliqueront cette idée, l'adaptant à leurs environnement particulier. Donc je n'ai pas, moi, à concevoir chaque application particulière dans chaque situation C'est la liberté de chacun qui le fera pour moi. ça n'est pas moi qui vais imposer aux autres comment faire. Je ne fais que transmettre l'idée, sa simplicité facilitant sa transmission. Et après, chacun l'appliquera à sa manière Mais c'est vrai que ce genre de pratique ne peut jamais servir ceux qui souhaitent être les seuls à bénéficier d'une idée, ou à en garder le contrôle, mais c'est pas mon cas. Je sais très bien que c'est jamais ceux qui ont des idées révolutionnaires qui en profitent (c'est même ceux là qui ont tendance à se faire bruler ^^ il me semble ) Et je me prend pas pour un génie, donc je sais que les autres me dépasseront bien vite dans ce domaine. Je vais juste essayer de profiter de l'amorce. Avant de me faire dépasser Je suis pas d'accord. é mon avis, plus une idée est simple, plus elle est forte et plus elle raisonne à travers le temps et les cultures. C'est les fonctionnements complexes qui sont limité à une époque et un milieu particulier. Je crois que la complexité, c'est justement la surface du monde Il faut creuser pour trouver les choses simples qui auront des chances d'être immuables.
  4. Titsta

    Reconstitution d'hymen:

    Heu... Nan mais qu'est-ce que t'en sais ??? Tu connais personnellement toutes les filles qui se sont fait refaire l'hymen ? Oui, ça c'est pas une mauvaise idée. D'ailleurs, je suis pour que le plus de filles possible luttent en affirmant leur sexualité. Mais la différence entre moi et vous, c'est que moi, je n'essaye pas d'imposer mon choix aux autres par la loi. (Je parle pas de toi SteCatherine, je parle de tous ceux qui souhaitent interdire cette pratique) Personnellement j'essayerai de convaincre les filles de lutter à visage découvert plutôt que de se faire reconstruire l'hymen. Je serais complètement favorable à l'ouverture d'organismes chargé de les aider à lutter ! Ou à les aider dans l'acquisition de leur indépendance, en cas de rupture familiale. Bref, à des mesures sensé aider cette lutte, à la rendre plus facile et moins risqué. A diminuer les blessures que pourrait recevoir celles qui prendront ce chemin. Mais certainement pas à une interdictions pour celles que je n'aurai pas convaincu ! Qui, en bien meilleure connaissance de leur situation que je ne le serai jamais, on décidé que dans leur cas, il était préférable qu'elle procède à cette opération ! Qui je serai et qui êtes vous pour remettre en cause ce choix ?!! Vous voyez, moi je cherche à défendre leur liberté. Vous vous voulez uniquement asservir ces filles à vos propres décisions ! Vous parlez de les libérer, et la seule chose que vous proposer, c'est de leur retirer des libertés... Vous valez pas beaucoup mieux que ceux qui veulent qu'elles soit vierge : D'un côté ou de l'autre, la seule chose qui vous intéresse, c'est qu'elles soit obligé de faire ce que vous voulez qu'elles fasse. Et que le contraire soit interdit par la loi... Vous êtes pire même, parce que vous prônez une punitions exercé par l'état ! Et donc la poursuite par les flics de celles qui auraient d'excellentes raison de le faire et qui seraient forcé de le faire dans la clandestinité. Vous savez quoi ? Votre lutte pour la sois disant libération des femmes, elle pue.
  5. D'un autre côté, justement, le bouddhisme par sa volonté de n'imposer des choses ou des comportements qu'aux croyant, et pas à tout le monde, me semble bien moins obscurantiste et totalitaire qu'une religion qui, par exemple, imposerait à tous de ne pas commettre de violence. Même ceux qui n'en font pas partit. Je comprend que dans notre quête d'absolue, on puisse être favorables aux visions totalitaires. Mais je trouve que c'est justement une sagesse du bouddisme de ne pas entrer dans ce jeu là.
  6. Titsta

    Vivons nous en démocratie?

    Mmmm ça se défend. Personnellement, je pense que pour conserver un contrôle sur ce qu'on crée, il faut que ça soit archi-complexe. Mais je ne souhaite pas conserver le contrôle sur ces choses. Comme je l'ai dis, je ne souhaite pas prendre le pouvoir. Et je pense que les choses toutes simple ont plus de capacité pour changer les choses sur le long terme. Parce qu'elles sont simples. Par exemple, l'idée de la laïcité n'est pas une chose complexe. C'est une chose toute simple. L'idée de voter pour choisir son dirigeant aussi. Pour en revenir à l'économie, l'idée de l'argent, du billet, des banques (des organismes dont le rôle est de prêter de l'argent contre des intérêts), de la carte de crédits, etc... c'est des choses simples. (Je dis pas, après on peut en déduire des choses très complexe) Ou wikipedia, pour un autre domaine. Ou l'idée du journal, autrefois. C'est tout simple sur le principe, mais ça a la capacité de changer beaucoup de chose dans le monde, et de changer radicalement nos comportements. Mes idées sont de ce genre là. Et je pense qu'elles se développeront facilement parce qu'elles vont répondre à un besoin clairement ressenti de la population, et à un besoin des hommes politiques. Il me semble aussi que c'est exactement la bonne période pour lancer ces idées, et qu'elles trouvent rapidement un terreau fertile. (en fait, c'est justement parce que c'est pas des idées de contrôle et de domination, mais des idées qui peuvent servir à tout le monde que je pense qu'elle se développerons rapidement) Et comme il s'agit de création "en plus" et non pas de modifications, ou de révocations de ce qui existe déjà, il n'y aura pas de réforme à faire. Donc à la base, pas de lutte contre le "conservatisme". J'ai toujours trouvé plus simple de créer des choses nouvelles que de modifier les anciennes. ^^ La seule chose, c'est que si ces idées se développent, elles changeront de fait le fonctionnement de la politique. Peut être pas par quelque chose inscrit dans la loi, mais par une pratique et des organismes mis en place. Exactement comme les banques ou les médias de massent changent radicalement les fonctionnements de la sociétés sans qu'elles ai eu besoin d'avoir été inscrite dans la loi avant. (Même si, par la suite, je suppose qu'un tel organisme finira par être inclus dans des législations... mais ça sera après qu'il ai prit beaucoup de puissance.) L'avantage des idées simples, c'est qu'elles se répandent très vite, et qu'elle ne s'oublient pas facilement. Désolé si je parle à mots couvert, j'aime pas trop ça mais j'ai besoin, justement parce que je compte m'en servir un minimum, de complexifier un peu les choses, donc de ne pas répandre tout de suite ces idées (Pour reprendre l'exemple du journal, avant de lancer l'idée n'importe où à n'importe qui, j'aimerai monter mon propre "journal")
  7. Titsta

    Reconstitution d'hymen:

    Je précise Goldored. J'ai accusé personne d'hypocrisie ici En général, je laisse toujours le bénéfice du doute (parfois même devant les évidences) Quand j'accuse quelqu'un, je dis clairement qui. Mais je pense que c'est très facile d'être hypocrite là dessus, et pas dans le sens dont on a parlé jusque là. Le parallèle avec l'avortement est pourtant énorme. Et sur énormément de points. Déjà, il y a ceux qui veulent imposer leur décisions à tout le monde. Ils ne veulent pas avorter, donc il faut que personne ne puisse. Et là, il n'y a même pas l'argument du "meurtre" qu'on pourrait vouloir interdire, et qui pourrait justifier l'interdiction de l'avortement. Je le redemande donc à tous ceux qui souhaitent l'interdire, dans la reconstruction de l'hymen, quel est le crime ?? On interdit de rouler à plus de 130 parce que c'est dangereux et que ça peut tuer pleins de gens. On interdit le vol, le meurtre etc... Mais à partir du moment où quelque chose ne nui à personne, de quel droit l'interdire ?!!! Je trouve que beaucoup ici aimerai que leur choix personnels soit imposé par la loi à tous ! Un peu comme si moi, je trouvais honteux de pas s'habiller en noir pendant 1 ans quand quelqu'un de proche est mort, et que je voulais qu'une loi sois voté pour qu'il soit interdit de s'habiller autrement qu'en noir pendant 1 ans ! et encore, ça serait une loi bien moins contraignante que ce que vous proposez ! ça me semble à la limite du fascisme : Des lois pour décider du "bon comportement", et des interdictions de s'éloigner du "bon" comportement, même si ça nuit à personne. Les lois sont là pour protéger les gens ! Pas pour leur dire ce qui est un bon ou un mauvais comportement ! Donc reconstruire son hymen, ça met en danger qui ? à part permettre à certain con de continuer à se complaire dans leur certitudes et leur connerie en permettant à quelqu'un de vivre sa vie comme elle le souhaite et d'échapper à cette connerie, je vois pas ce que ça fait. Ne pas être d'accord, ne pas comprendre, trouver ça honteux, c'est une chose. vouloir l'interdire, c'est quelque chose de grave qui demande des justifications un peu plus importante que "j'aime pas ça". ou parce que ça vous semblerait mieux que les personnes foutent leur vie en l'air pour de toute manière ne pas faire changer d'avis leur entourage mais simplement "avoir l'air bien" à vos beaux yeux ! C'est vous qui les prendrez en charge si leur famille les rejettent ? C'est vous qui les défendrez si des cons veulent les tabasser ? ça m'étonnerai bien ! Avant d'obliger des gens à assumer la conneries des autres (et pas leurs actes), je trouve qu'il faudrait déjà apprendre a assumez les conséquences de vos propres positions ! Parce que vos positions sont de favoriser la violance, de faciliter la barbarie, et de facilité l'apparition d'énormément de souffrance et de douleur. Donc je le redemande, de quel droit vous imposeriez que des gens prennent des risques énormes sur leur vie pour défendre une cause, quelle qu'elle soit ! C'est une atteinte très grave aux libertés de chacun ! En plus, question propagation de la "merde" comme vous dites, je suis absolument pas d'accord. Le fait de pouvoir reconstruire son hymen offre seulement à certaines filles la possibilité de vivre leur vie comme elles l'entendent sans avoir à subir les conséquences des cons dans leur entourage. Et leur interdire, c'est pas les obliger à assumer leur sexualité, c'est les obliger à assumer la connerie des autres ! Le faire leur offre aussi le pouvoir de rester avec leur entourage, et, peut être, à la longue, de finir par les convaincre. L'évolution des mentalités, elle se fait aussi par l'élimination naturelle des anciennes générations. Cette femme, et très certainement ses enfants, n'auront pas ces considérations de merde sur la virginité. ça me semble bien plus profitable à la pédagogie que de permettre aux cons de dominer les femmes, qui se retrouveront obligé d'être vierge au mariage parce qu'elles n'auront plus beaucoup d'autres choix (et qui probablement, par la suite l'imposeront donc aussi à leurs enfants) De plus, je pense que le fait de ne pas pouvoir savoir si une fille est réellement vierge ou non finira par convaincre pas mal de monde d'abandonner ces pratiques archaïques et dégradantes. Même s'ils sont pour la virginité au mariage, si exhiber son utérus à toute la famille pour bien voir que la fille est vierge ne prouve plus rien, il ne le feront tout simplement plus. et ils seront forcé de se reposer sur la "confiance" en la parole de la femme. ce qui me semble une considérable évolution dans la libération de la femme. Ou en tout cas, un équilibrage de fait entre les hommes et les femmes sur ce plan. C'est ça que propose cette technique. En interdisant cette pratique, la seule chose que vous feriez, c'est faciliter la propagation de la merde, le tout en ruinant la vie de nombreuses personnes. Simplement parce que vous aimez que des gens foutent leur vie en l'air connement du moment qu'il y a du "sport", de la lutte ouverte et idiote qui ne change rien, de la souffrance, des raffermissements de positions de part et d'autre, du sang et des larmes comme on dit. Je trouve que c'est très cher payer votre trip romantique. Surtout quand ça va à l'encontre des libertés, et à l'encontre de la libération des femmes. Il y a d'autres manières de faire changer les mentalités. Je préfère celles qui ne provoquent aucune blessures, et ne foutent la vie en l'air de personne. En plus, je pense que c'est ces méthodes qui ont un réel impact, la violence ne résous jamais rien.
  8. Titsta

    Vivons nous en démocratie?

    Si tu trouvais ça confus monkey, fallait lire le lien que je t'ai passé. Tout y était expliqué. Ensuite, je suis pas d'accord, on est pas "démocratique" ou pas. C'est pas un état binaire, sauf dans la tête des simplets. (et je pense pas que tu le sois) La démocratie est un idéal, comme n'importe quelle idéologie. Et on s'en approche plus ou moins. Exemple : imagine que tu as devant toi plusieurs personnes de gauche ou d'extrême gauche. Tu peux donc en trouver une qui est "la plus proche de l'idéologie libérale". Et pourtant, elle ne l'est pas assez pour que tu la considère comme de "droite". Bah moi, c'est pareil pour la France. C'est une des plus proche de la démocratie dans le monde. Mais c'est pas de la démocratie. Elle ne l'est pas assez pour que je la considère comme "une démocratie". (je parle même pas d'être "l'idéal", je dis que pour moi, elle l'est même pas assez pour en mériter le titre) Ensuite, d'une part, je ne t'ai pas dis que je voulais me présenter aux présidentielle. (Bien qu'en tant que personne, il me semble difficile de me présenter à d'autres élections, qui concerne plutôt des partis.) Ensuite, j'ai dis que je voulais peut être le faire un jour pour "tester" le système démocratique Français. Certainement pas pour le changer. J'ai jamais pensé que c'était la façon dont je procèderait pour changer cette démocratie en France. Il me semble bien plus facile et efficace de changer directement le système politique Français que de lâcher la proie pour l'ombre, et essayer de se faire élire, de gagner politiquement le pouvoir de changer les choses (ce qui me semble incompatible) et trois de le faire. Puis je sais déjà comment le changer. La France n'est pas une démocratie actuellement, mais elle a ce qu'il faut pour en devenir une. Et sans même avoir à changer les institutions. (c'est un leurre d'ailleurs, c'est pas les institutions qui font la démocratie. ça ne peut qu'en donner l'apparence, comme en URSS...) Par contre, ça risque de révolutionner l'économie, mais ça, c'est facile à bouleverser avec des idées toutes simples.
  9. Titsta

    Reconstitution d'hymen:

    Je comprend pas de quel droit on pourrait interdire ça !!! Si j'ai envie de me faire des doigts palmé, j'ai le droit non ? en quoi ça vous regarde ? En quoi ça serait un "crime" ! en quoi ça devrait être interdit ! Ok, c'est complètement con ! Ok, quand on est pas très malin, on pourrait prendre ça pour de la soumission de ma part envers l'espèces des grenouilles ! J'ai envie de dire, et alors ? putain ! Laisser les gens libre ! Le faire rembourser, ça, c'est une autre histoire. Bien que dans certains cas, je puisse le comprendre. Ensuite, vous supposé d'emblée que celle qui le font veulent retrouver leur virginité. (donc qu'elles sont conne) Ensuite, on est parfaitement d'accord, l'idéal, ça serait que personne ai à faire cette pratique. Maintenant, ceux qui sont pour l'interdiction pour cette raison me font penser à ceux qui sont contre l'avortement parce que le mieux, c'est quand on a pas à avorter... excusez moi, mais c'est un peu con comme raisonnement... Pourquoi pas interdire les soins dans les hôpitaux parce que c'est mieux quand on à pas à se soigner ? Ensuite, il y a l'idée de la lute pour la libération de la femme, et son libre accès à la sexualité. Ok, on pourrait en vouloir à celle qui cherchent ce moyen détourné plutôt que de prendre les armes pour défendre leur condition. Mais je trouve plutôt malhonnêtes d'exiger des autres de prendre les armes... quoi qu'il peut leur en couter. C'est bien qu'il y en ai qui le fassent, mais on peut pas l'exiger ! Dans quel pays on vit ici ? Depuis quand on est obligé de risquer notre vie, ou des emmerdes phénoménales pour rendre moins con notre entourage quand il est con ? Et quand un petit mensonge résous complètement le problème sans risque ? Je trouve que dans certains cas, quand on est entouré de con vraiment borné (et y en a pas mal), cette solution me semble bien plus pratique et efficace que d'essayer de les convaincre d'abandonner leur bêtise. J'aurai aucun remords à mentir à des cons, en particulier si ma liberté était à ce prix. Alors ok, les éduquer, ça serait mieux, ok, c'est contre productif du point de vu de la pédagogie. Mais c'est facile de mettre le prix de cette pédagogie sur le dos des autres je trouve ! et d'exiger que ça soit à elle de le payer, sans même réflérchir aux conditions ou aux raisons pour lesquelles elles peuvent avoir recours à cette pratique. Et honnêtement, qui parmi vous à réussi à faire changer d'avis certaines personnes bornée et con de sa familles ? Imaginez maintenant que ces personnes con et borné, ça soit vos parents, qui menacent de vous rejeter si vous n'êtes plus vierge ? (à la rue, plus de soutiens financier etc... ) Ceux qui pensent qu'un tel acte est promouvoir cette soumission ? vous assumeriez réellement de vous retrouver à dormir dehors pour lutter contre cette soumission ? ça m'étonnerai bien ! Donc dite moi, vous empêchez leur connerie comment ??? Je trouve franchement exagéré, limite affreux, ceux qui considèrent qu'on devrait m'interdire de mentir à ces cons, et donc me forcer à devoir supporter et assumer leur connerie (parce que c'est de ça qu'on parle), simplement pour le principe que mentir, c'est mal ! Y a un moment ou faudrait savoir rester lucide sur l'enfer que peuvent vivre certaines personnes à cause de la connerie de leur entourage. Si passer par cette opération permet de leur éviter l'enfer, je vois pas de quel droit on le leur interdirait ! Perso, j'ai l'impression que ceux qui veulent l'interdire, c'est plutôt ceux qui veulent pouvoir être sûr que la femme est bien vierge ! Parce qu'il me semble que c'est la seule raison pour laquelle on pourrait vouloir le faire. Hypocrisie on disait ?
  10. +1 J'ajoute que la santé est un combat qui concerne tout le monde. Je dirais même l'humanité entière contre un ennemis commun. Personne n'est à l'abri d'un problème, ni lui ni un de ses proches, et quand ça lui arrivera, il sera bien content de pouvoir en bénéficier. Connaissance qui n'aurait pas été possible sans la drogue reconnait le C'était peut être pas des connaissances utiles, encore que ça soit un avis subjectif. Mais admet que l'expérience peut être tenté par curiosité, et non pas seulement par volonté de défonce. Non, je ne serai pas aussi catégorique que toi. La prise de toute drogue possède en sois quelque chose de malsain, cette "défonce" dont tu parle. Et je suis d'accord que le nier est hypocrite. Mais si elle est présente, je n'irais pas jusqu'à dire que c'est nécessairement la motivation qui a poussé à sa consommation. Moi. Mais c'est aussi parce que je n'ai jamais pris de la drogue pour des raisons de défonce, ou pour "fuir" le monde actuel. Même si je reconnais que c'est la plupart du temps les raisons qui poussent à sa consommation.
  11. Titsta

    Vivons nous en démocratie?

    +1 Je suis aussi d'accord pour dire que la France est peut être un des pays les plus démocratique qui soit. Mais elle me semble très loin de l'idée de base de la démocratie. Donkey, je me suis déjà cité pour faire remonter ma critique de la démocratie en France. je vais pas me reciter une deuxième foi. Mais je t'invite à aller voir directement mon post là. Tu y trouvera quelques unes de mes réponses à tes questions assez pertinentes je dois dire. http://www.forumfr.com/index.php?s=&sh...t&p=2504831 (et je te précise que ma considération selon laquelle on ne vie pas en démocratie n'a rien à voir avec mon contentement ou non envers la politique actuelle du parti au pouvoir. Je n'ai pas voté pour le président actuel, c'est donc tout à fait normal que je ne sois pas content de sa politique, et je respecte complètement la démocratie, surtout qu'il n'a pas été élu de peu.) Pour ce qui est de se présenter, je vais essayer un jour, pour tester ce système démocratique. Mais je ne me fait pas d'illusion, je me doute que les filtres plus ou moins légaux vont fonctionner pour m'éliminer politiquement bien avant que je puisse acquérir un pouvoir suffisant pour porter atteinte à l'intérêt d'un des grands partis. Je pense que c'est un peu utopique de penser que quelqu'un de sérieux mais d'inconnu puise se présenter. Les "touristes" pas sérieux aux présidentiels sont tolérés puisqu'ils ne créent pas de réels risques aux grands partis, vu qu'ils ne dépasseront jamais quelques pourcents.
  12. Titsta

    le passé et son impact

    J'admire cette précision. C'est ce que je pense aussi quand j'interviens sur un sujet, mais je ne pense jamais à le préciser dans mes posts, et de plus, j'ai souvent un ton qui tendrai à faire penser le contraire... et ça crée souvent des quiproquos ! Oui, effectivement, le ressenti, dans l'instant, on ne le contrôle pas. Mais le ressenti est toujours dans le présent, et là effectivement on ne contrôle pas le présent. Mais si tu réfléchis aux causes de ce ressenti. Quelque chose nous fait du mal (ou du bien) en fonction de ce à quoi il touche et qu'on considère comme important. C'est donc lié très fortement à nos considérations personnelles sur ce qui est important ou non pour nous. Sur nos valeurs (donc difficile à changer) ou sur des considérations un peu moins importante (donc plus facile à changer) Par contre, plus tard, quand on se souviendra des faits qui ont provoqué ce ressenti. On pourra soit ressentir la même chose, (en particulier si on n'a pas changé notre position), soit ne pas ressentir la même chose si on a remis en cause ce qui était important à l'époque. Pour prendre un exemple (ça sera plus clair). Une fille que tu aime te dis qu'elle ne t'aime pas. C'est du présent, ça te fait mal. Plus tard, si tu l'aime encore, d'y repenser ça te fera mal. Si par contre, tu ne l'aime plus, ça ne te fera plus mal. Si (et c'est mon cas pour beaucoup de filles) tu l'aime encore, mais que tu considère que l'important, c'est que tu l'aime, pas qu'elle t'aime aussi (ce qui est à mon avis plus un sentiment égoïste que de l'amour) dans ce cas, le fait qu'elle t'ai dit qu'elle ne t'aime pas ne te fais plus mal. Dans ce cas précis, face à la douleur du ressenti initial, j'ai remis en cause mes sentiments, mes attentes, l'importance que j'accordais au fait qu'elle "devait" m'aimer... J'ai considéré que mon sentiment d'amour était toujours important, mais que, par contre, ce que j'exigeai d'elle n'était que de l'égoïsme issu d'un manque d'affection et d'amour. En comblant ce manque d'affection et d'amour autrement, j'ai pu changer l'importance que j'accordais au besoin que j'avais de recevoir d'elle cet amour et affection. Et le fait qu'elle ne m'aime pas n'est plus important pour moi car j'ai su trouver d'autres personnes pour me donner cet amour et cet affection. (et en parallèle diminuer mon besoin d'en recevoir en sachant m'en donner directement à moi même ) Et j'ai su préserver ce faisant le sentiment d'amour que je lui portait. (J'ai par contre changé un peu aussi ma définition de l'amour sur d'autres plan. en particulier sur le fait qu'on peux aimer plusieurs personnes.) Ce qu'elle m'a dit par le passé ne me fait donc plus mal. Il n'a plus vraiment d'importance pour moi. J'ai par contre pendant longtemps considéré qu'une des caractéristique de l'amour était l'attente d'une attention de la part de l'être aimé. Et j'ai souffert pendant longtemps tant que j'ai considéré cette caractéristique comme importante. C'est en changeant ma définition que j'ai cessé de souffrir. Et d'ailleurs, le fait d'avoir réussi à changer cette caractéristique m'a permit de ne plus jamais souffrir de ne pas être aimé par quelqu'un que j'aime Mais je précise qu'il m'a fallu de très nombreuses années pour arriver à changer cette définition, cette valeur présente en moi. ça a pas été un travail simple à faire. En réalité, je pense qu'on a toujours un choix à faire. Une comparaison. Sois on considère que les valeurs à l'origine de notre souffrance sont plus importante que le fait d'endurer cette souffrance. Et on ne change rien, et la souffrance continue quand on y repense. Sois on considère que la souffrance dépasse l'importance qu'on donne à ces valeurs, et on les change. Et la souffrance cesse, même quand on y repense. On peut aussi, et c'est le chemin que je prône même si c'est long et difficile, réflechir et rechercher comment changer ce à quoi on donne de l'importance pour conserver les valeurs qui ont de l'importance pour nous, et effacer les causes de la souffrance. Un travail un peu plus "chirurgical" quoi. Mais je peux vous dire que même si c'est très difficile au début, plus on essaye de le faire, plus c'est facile et rapide à faire, et mieux on sait "gérer" notre souffrance. C'est vraiment une question d'expérience et de pratique. Actuellement, je souffre rarement plus de quelques jours d'une peine sentimentale (ou d'autre chose), et je vie pourtant à fond. Et c'est assez pour m'être rendu compte que la souffrance n'est pas une "pénitence" qu'il faut endurer, mais un signal que notre corps (ou notre esprit) nous envoie pour nous apprendre qu'il faut changer notre position ou notre point de vu. Un peu comme la souffrance physique est un signal qui nous indique qu'il faut retirer notre doigt de la flamme de la bougie. Le problème, c'est que beaucoup ne le savent pas, et "endurent" sans chercher à trouver une autre position. De ce point de vu, je vois souvent les gens qui n'arrivent pas à sortir d'une souffrance comme on pourrait voir des gens qui se brulent à une flamme sans penser à enlever leur main de la flamme. (Non pas que je les juges bête, ou maso, je sais que c'est très difficile quand on n'a pas conscience qu'on a le pouvoir de bouger sa "main" dans ce domaine.) Oui, la position que je tiens est un peu "extrème" je suis tout à fait d'accord, et on peut dire aussi un peu provocatrice. Et je comprend très bien qu'on n'ai pas la même. En fait, je ne sais même pas si c'est réellement vrai. Si je tiens cette position, c'est parce qu'elle me permet d'agir beaucoup plus rapidement pour "révoquer" des souffrances. Et aussi parce qu'elle me donne le sentiments d'être beaucoup plus libre, et le pouvoir de l'être aussi (Parce que considérer qu'on est pas responsable, c'est aussi s'oter le pouvoir d'agir dans ce domaine) Dans l'ensemble, je considère qu'on choisi nos influences. Parce qu'on choisi, sois nos amis, sois de considérer que nos proches sont importants ou on un droit de regard sur telle ou telle décision etc... Tout ça constitue une construction complète d'une sorte de "mécanisme" d'influence. Construction qu'il est très difficile de modifier c'est clair. Mais à la base, cette construction d'influence n'est bâtis que sur nos choix et considérations personnels. (et peut être aussi sur des conditionnements, c'est vrai. D'où l'importance pour moi d'effacer mes conditionnements pour les remplacer par des choix personnels) Oui c'est vrai ce que tu dis là. Mais c'est là aussi où peut intervenir notre libre arbitre. C'est plus facile de changer ou de relativiser grâce (au à cause) de certains évènements. Mais on peut aussi être à l'origine de ces évènements qui nous ont fait changer d'avis. C'est là où se situe notre pouvoir d'action sur nous même. Plus que dans un simple "travail mental" (qui a son importance quand même, mais c'est très relatif comparé à ce que peut faire pour nous des influences "réelles") On peut choisir de vivre certaines expériences, dont on sait qu'elles vont changer notre vision des choses. C'est un peu ce qu'on fait par exemple quand on se force à sortir, même quand on en a pas envie, quand on ne va pas bien. Pour provoquer des expériences qui vont nous faire penser à autre chose, qui vont nous faire oublier, ou relativiser ce qui nous fait du mal. On peut aussi se servir consciemment de notre "construction" d'influence quand on la connait un peu pour changer des choses en nous. (C'est aussi ce qu'on fait quand on demande à un ami, important pour nous, de nous remonter le moral) On n'est pas obligé de "subir". Et peu à peu, à force d'actions sur nos valeurs et sur notre construction d'influence, on peut de plus en plus nous donner de pouvoir sur nous même. C'est en quelque sorte "prendre son indépendance" vis à vis du monde extérieur, ou de notre passé. C'est loin d'être évident, et dans une certaine mesure, je pense que c'est une quête qu'on atteind jamais complètement, mais c'est possible. Sinon, on peut aussi utiliser (avec parcimonie, mais c'est très efficace et j'ai commencé par là) notre imaginaire. Des expériences imaginaire ont aussi une influence sur nous même. L'important, c'est de ne pas s'y perdre et de les vivres pour changer des choses en nous, et non pas pour supporter plus longtemps la souffrance. (Parce que c'est ça qui est fait le plus souvent). L'imaginaire est un moyen d'action sur nous même très efficace, mais c'est vrai que c'est dangeureux. Il ne doit être qu'une utilisation temporaire sous peine de perdre la réalité. L'idéal, c'est quand nos expériences imaginaires nous servent et nous poussent à nous rapprocher du réel, et non pas à le fuir.
  13. Titsta

    La vérité

    +1 picsel ! C'est un peu la question de l'inteprétation en religion. Il y en a qui s'arrètent à la surface du texte et disent que la surface est "vraie" ou "fausse". D'autres un peu plus intelligent, qui cherchent un peu plus en profondeur, pour savoir si les idées réellement contennues dans le texte sont "vrai" ou "fausse". Malheureusement, on manque beaucoup de ces derniers à notre époque. Tu commence sérieusement à être énervant. Un peu pour ton acharnement (qu'après tout je maintiens aussi), mais surtout parce que tu ne peux pas t'empêcher de lancer des insinuations de manipulation, comme si j'étais un vicieux qui cherchais à tromper tout le monde. Tu peux pas imaginer que tout simplement j'ai pas le même avis que toi ? Imagine une seconde que ce qui nous divise, c'est une nuance que toi, trop plein de tes certitudes, tu n'arrive pas à saisir. Tu m'as dis et répété qu'une théorie scientifique était à l'origine une hypothèse, qui avait été testé. là, on est d'accord. Et c'est ce que disent les définitions que tu as donné. Par contre ce que tes définitions ne disent pas, et là où toi tu place ta définition perso de la théorie, c'est que tu considère que le fait d'avoir été testé change son statut d'hypothèse pour celui de théorie. Comme si c'était des "cases" et que le test la faisait changer de case. Si tu veux un exemple, remplace dans tes définitions le mot "hypothèse" par "être humain", et le mot théorie par "Adulte" : ¿ é l'origine, tu as un être humain, et le fait d'avoir passé 18 ans en fait un Adulte. ça veux pas dire que c'est plus un être humain. ¿ é l'origine, tu as une hypothèse, et le fait de l'avoir testé en fait une théorie, ça veux pas dire que c'est plus une hypothèse. La nuance sur notre désaccord est elle plus visible là ? Je vois bien que c'est deux visions des choses qui s'affrontent, la tienne et la mienne. (et pas une manipulation de ma part pour apporter le "mal" et "l'erreur" dans le monde.) Seulement, moi, je n'ajoute aucune propriétés aux définitions que tu as toi même donné, je les prend telles quelles et je n'ajoute rien. ça s'appelle avoir une approche rigoureuse. Toi, tu rajoute (sans t'en rendre compte) dans ta version la propriété suivante : "une hypothèse une fois devenue théorie perd son statut d'hypothèse". Chose qui n'est dit nul par dans les defs que tu as apportée. Et c'est uniquement là dessus qu'on est en désaccord. De surcroit, je t'ai démontré ta propriété perso n'était pas pertinente, puisque les tests en question ne peuvent pas avoir été tous fait. Il existe donc encore des centaines de domaines, ou de raison de considérer ces affirmations encore comme des hypothèses. Non, elles ne disent pas des choses contradictoires, et c'est bien le problème Là, ton postulat de base est erroné. On peut les interpréter de manière à dire qu'elles disent des choses contradictoires. En particulier quand on considère qu'elle décrivent la réalité physique et terrestre. (et au passage, c'est le point de vu des intégristes religieux. C'est à dire d'une minorité des religieux) Mais on peut aussi les interpréter de manière à dire qu'elle ne disent pas des choses contradictoires. (si si, je t'assure) Je sais que tu n'es pas fort du tout sur la notion de l'interprétation, mais faut arrêter de prendre ce que raconte les religions comme si c'était des descriptions de la réalité. Elles n'ont jamais eu vocation de décrire la réalité, même si on a pu pendant des siècle le croire, ça a jamais été leur vocation. Elles ont pour vocation de nous élever spirituellement et de nous présenter des sagesses. La grande majorité utilisent pour cela des paraboles. Et je te conseil fortement d'arrêter tout bonnement de parler de religion tant que tu n'aura pas compris ce que signifie ce concept. ça t'évitera de te ridiculiser. é la limite, on peut dire que certaines religions nous présente certaines sagesse (avec des histoire et des paraboles) et d'autres religions nous en présentent d'autres, avec d'autres histoires et d'autres paraboles. Et que les luttes entre les religions se portent non pas sur leur contradictions, mais sur les divergences entre leurs défenseur sur la manière de considérer que tel ou tel chemin est le "meilleur" chemin. Les pacifistes et les ouverts d'esprits (tout de même nombreux dans les religions, qui le prône quasi toute à la base) considère qu'il y a des chemins différents, qui se valent tous. Les "guerriers" considère que c'est le leur le bon chemin, et que donc celui des autres est "inférieur". Quand on affirme des contradictions entre les religions, c'est souvent le signe qu'il s'agit non pas d'une lutte théologique, mais politique. Les vrais luttes religieuses qui ont existé on surtout porté sur le bon chemin à apporter aux "infidèles", ou aux "indigènes" plutôt que sur des contradictions entre les religions (parce qu'à la base déjà, considérer des contradictions, c'est connaitre la religion de l'autre, et ça impliquerait de débattre.) Enfin, c'est intéressant, mais c'est hors sujet, donc je développe pas plus. ça c'est une question intéressante. Pour ma part, la réalité est le monde matériel (défini par les éléments possédant une masse) et par tous les éléments pouvant entrer en interaction directe avec ces éléments (par exemple la lumière) Ce qui existe est tout ce qui a une influence sur nous même (je pars du "je pense donc je suis" pour définir que j'existe. ensuite, tout ce qui peut avoir une interaction avec moi, par extension, existe) En ça, par exemple, le père noël existe, puisque cette idée à des influences sur moi. Mais il n'est pas réel puisqu'il s'agit d'une histoire (d'un mythe), et non pas d'un élément matériel. Le père noël existe donc en tant qu'entité non matérielle. (et cette entité a par ailleurs une influence considérable sur le déroulement du monde, à travers nos comportements pendant les fêtes de noël) Je fait donc une distinction entre ce qui existe et ce qui est réel. Non, j'ai appliquer non pas une vérité absolue, mais la définition du mot arbitraire. Qui s'applique d'emblée à tout choix, puisqu'il s'agit d'un choix "sans raison". Ensuite, si ce choix possède effectivement une raison, ce que tu défend, à toi d'expliquer laquelle est-ce. Ce que je te demande, c'est seulement d'expliquer ta position. J'aurai peut être dû dire, dans la mesure où on ne peut pas, ni par la logique ni par l'observation, déterminer si le passé a réellement existé [...]. Et à toi de me démontrer que nous ne somme pas dans cette "mesure". C'est mon postulat de base pour tenir mon raisonnement. Et il y a toujours un postulat de base à tout raisonnement. Même scientifique, ne t'en déplaise. Tout n'est pas "prouvé" en science. En particulier, le fait que le temps existe, par exemple, qui est un postulat de base indémontré et jamais testé par la moindre expérience, présent dans chacune des théories scientifique. En gros, si tu voulais rester cohérent, si tu rejette mon fonctionnement comme étant non scientifique, tu devrais rejeter toute la science, parce qu'elle fonctionne aussi comme ça. Pas de chance. Mais si je me trompe, libre à toi de me présenter une théorie scientifique qui a tenté de tester l'existence du temps, sur laquelle elle se basait. Perso, je peux pas t'apporter toutes les théories scientifiques qui ont été faite pour te montrer qu'aucune ne l'a fait. C'est gentil. En gros, tu suppose que j'ai raison pour essayer de me démontrer que mon raisonnement est faux. Mis à part que c'est un peu vicieux parce que tu considérais cette affirmation irrecevable, j'apprécie le fonctionnement Ce qui signifie que, sois j'ai raison et ma démonstration est fausse, sois ma démonstration est juste et j'ai raison Nan mais blague à part. Il serait plus respectueux de ta part si tu essayais de défendre ton point de vu, plutôt que de simplement essayer de détruire la crédibilité de ceux qui t'affrontent. ça par contre, ça a rien d'un fonctionnement scientifique (même si ces fonctionnement gangrène de plus en plus les milieux scientifique), et honnêtement, moi, je m'en fou de savoir qui as raison. Je cherche à savoir quel point de vu se défend le mieux. Et pour l'instant, il s'avère que c'est le mien, mais ça serai le tien j'en serai tout aussi content. Encore faudrait'il que tu le fasse. Bref, si tu revenais à la position que tu défendais ? Sinon, je considèrerai que mes arguments ont eu raison de ta position. Et qu'en réalité tu as été convaincu, et n'a plus le moindre argument à m'opposer, même si tu préfère ne pas le montrer. (donc que le débat sur la question s'arrète, chose que je te propose depuis bel lurette, puisque tu semble n'avoir plus aucun arguments) ça c'est ce que tu crois de la science. Mais c'est pas tout à fait exact. En science, on démontre toute propriété qu'on considère s'appliquer. Le "arbitraire" est l'absence de propriété permettant de choisir. Elle n'a donc pas à se démontrer, c'est la position de base de la science. Le doute, l'absence de propriété, le vide tant qu'on a rien démontré. C'est si on considère qu'il y a une quelconque chose permettant de choisir un sens plutôt qu'un l'autre qu'il faut prouver que cette chose existe. La science ne se préoccupe pas de savoir quel individu doit prouver quelque chose. Elle est impersonnelle. Elle considère que c'est chaque existence de propriété qu'il faut prouver. Chaque personne apportant l'hypothèse selon laquelle une propriété existe doit la démontrer. Tu considère qu'il existe une propriété qui permet le choix non-arbitraire. à toi donc de l'expliquer, c'est pas moi qui peut le faire puisque je n'en vois aucune. Mais je t'accorde que la plupart du temps, les gens apportent des hypothèse sur des propriétés, et que la plupart du temps, c'est donc à eux de tester ces propriétés qu'ils apportent. Pour ma part, ce que je fais reviens à un travail de critique scientifique qui exige de quelqu'un qui a posé une théorie sois disant testé, de tester quelque chose de capital qu'il n'a pas encore tester en posant sa théorie. De surcroit, si on regarde un peux nos comportements respectifs : - Je considère que le choix entre les deux hypothèses, en l'absence de toute observations, est arbitraire. - Tu me dis que ce choix n'est pas arbitraire. - Je te demande pourquoi ? de me donner tes raisons. - Tu me demande à moi d'expliquer pourquoi je considère que c'est arbitraire. - Alors je t'ai déjà expliqué sur quels postulat, et sur quels raisonnement je me basais pour arriver à ma position. (Raisonnement que tu n'a pu réfuter qu'en supposant la logique elle même fausse je te rappelle.) - Ensuite, je te redemande de me donner tes arguments, tes raisonnement, tes observations ou les postultas sur lesquels tu te pose pour affirmer que ce choix n'est pas arbitraire. Chose que tu te reffuse de me donner. - Tu me répond que c'est à moi de démontrer que c'est un choix arbitraire ! Franchement ! Lequel de nous deux est honnête dans le débat ? Je t'ai donné mon raisonnement pour expliquer ma position. T'as des choses à en redire, soit. Il y a toujours des choses à redir à un raisonnement. Maintenant, si tu pouvais me donner le tiens, ne serait-ce que pour me donner l'exemple d'un raisonnement "parfait"... ça serait sympa. ça tombe bien, c'est ce que je te demande. Remet ma croyance en doute. Seulement, je ne remet pas ma croyance en doute simplement pour te faire plaisir et parce que tu l'as exigé. Pour ça, il faut que tu m'apporte des arguments, des observations, des raisonnements, des expériences... quelque chose quoi, n'importe quoi, mais au moin un truc. Or tu n'a rien de tout ça. Pourquoi remettrai-je en cause mes croyances ? De surcroit, je te demande depuis longtemps maintenant de remettre ma croyance en cause et de m'apporter ces éléments ! Ce qui devrait te montrer ma bonne foi quand à ce qui est de vouloir remettre mes croyances en question. Ce qui me rend susceptible (parce que c'est vrai que tu commence à m'énerver) c'est quelqu'un qui passe son temps à essayer de démonter que j'ai tord uniquement pour démonter que j'ai tord. En attaquant ma crédibilité ou ma bonne foie et non pas mon point de vu, sans chercher à donner le moindre argument pour défendre le siens de point de vu, mais en exigeant par contre perpétuellement de nouveaux arguments de ma part à la foule que je t'ai déjà donné. Quelqu'un qui bloque la discussion sans chercher à débattre donc (puisque pour moi, un débat, c'est deux point de vu qui s'affrontent, et chacun essayant de les défendre en leur apportant du poids et des arguments). De surcroit, j'ai montré plusieurs fois qu'on était d'accord sur de très nombreux point, mais que tu créais artificiellement cette lutte, par exemple en essayant de démontrer que mon raisonnement est inexact, sans discuter une seconde sur les idées elle-même contenu dans ce raisonnement.
  14. Titsta

    le passé et son impact

    Je ne suis pas tout à fait d'accord. On a un pouvoir colossal sur le passé. Peut être pas sur les faits qui se sont déroulé, mais sur leurs conséquence sur nous mêmes. Sur leur importance. Personne d'autre que nous même décidons ce qui est important pour nous, ou ce qui ne l'est pas. Et c'est ça qui va faire qu'un fait dans le passé va avoir une influence énorme, ou n'avoir strictement aucune conséquence. Je le redis : personne d'autre que nous décide de ce qu'on juge important. La difficulté, c'est d'acquièrir un pouvoir sur cette décision, qu'on est peut être le seul à prendre, mais qu'on ne prend pas toujours avec la plus grande lucidité Et peut être aussi d'acquérir le pouvoir de re-décider de cette importance, de la remettre en cause. Mais ça exige d'être capable de remettre en cause ses propres jugements, et c'est loin d'être évident. Et notre pouvoir sur le passé ne s'arrête pas sur l'importance qu'il a, on peut aussi choisir dans quel sens il va nous influencer. La même chose, qu'on a jugé importante peut nous motiver considérablement, nous apporter la paix, ou nous détruire en fonction du sens dans lequel on a choisi de le prendre. En réalité, mis à part les évènements qui ont eu des séquelles physiques, je pense que le passé n'a aucune influence sur nous. Il n'y a que nos décisions présentes qui en ont. Le problème, c'est que ça implique qu'on est seul responsable de ces influences, (pas des faits, bien sûr, mais on est les seuls responsable des influences que ces faits auront sur nous même) et c'est une idée qui n'est pas toujours plaisante, puisqu'accuser le passé permet de se déculpabiliser. Bien sûr, je précise, ça n'est pas parce qu'on est seul responsable de ces influences que c'est quelque chose de facile à faire. Je pense qu'il n'y a rien de plus dur dans la vie que d'être capable de prendre cette liberté, de choisir ce qui importe pour nous ou non, et dans quel sens les évènements vont nous influencer. C'est surement le travail de toute une vie, ou en tout cas ça pourrait être une forme de quête spirituelle, d'arriver à maitriser ça au mieux.
  15. Titsta

    Vivons nous en démocratie?

    Je rappelle quand même que la question du topic c'était vivons nous en démocratie, pas est-ce que la démocratie est le meilleur système. Je chipote peut être, mais la question n'est pas vraiment de trouver un autre système que le système démocratique (bien que ça soit une bonne question), mais de se demander si déjà on l'applique en France. Et honnêtement, je ne pense pas. On vit dans une apparence de démocratie. Mais comme les deux trois "familles" au pouvoir ne sont pas si mauvaises que ça, on s'en rend pas trop compte. Un peu comme on ne se rendrait pas compte qu'on ne vie pas dans un système idéal quand on est dirigé par la dictature de quelqu'un d'éclairé.
  16. Titsta

    le passé et son impact

    Je dois dire que, pour ma part, je m'aime tel que je suis maintenant. Enfin, faut pas croire, y a pas mal de chose que je voudrait changer, comme chacun, mais au moins, j'en ai conscience, et j'ai envie de les changer, ces choses... donc globalement, je suis content de moi. Et si je suis moi, c'est grâce (ou à cause) de mon passé... C'est pour ça que j'ai rien envie d'y changer, même les choses qui on été dure, parce que je ne serait plus le même, et je pense que je ne me plairait pas si je n'avait pas vécu ces choses dures. Je serai certainement plus con, plus prétentieux, plus vide et superficiel, avec une personnalité plus commune, moins intéressante... (Oué, mine de rien, je me lance des fleures là, je sais, désolé :snif: ) Donc globalement, je suis reconnaissant de mon passé et même de ses souffrances, pour avoir fait ce que je suis maintenant, quel qu'il ai pu être. Donc dans un sens, je l'ai accepté. Mais je pense que si j'arrive à le faire, c'est surtout parce que maintenant, dans le présent, je m'aime. (Même si, comme j'ai dis, y a encore quelques choses à changer). J'aurai donc tendance à croire que pour accepter son passé, il faut s'aimer dans le présent. Je ne sais pas si l'avenir, et la considération qu'on en fait, est si importante que ça. Je crois que le vrai "opposé" du passé, c'est le présent. Puisque le passé, c'est des souvenirs, l'avenir, c'est de l'imagination... bref, tout ça, c'est du "cerveautage". Alors que le présent, c'est des sensations, des sentiments, bref du réel.
  17. Titsta

    La vérité

    D'une part, je n'ai pas dis que certaines idées était arbitraire, mais que le choix pour l'une ou l'autre de ces hypothèse l'était. Ensuite, comme tu semble vraiment borné, je vais rigoler un peu et te rappeler la définition d'arbitraire ^^ Je te cite donc ton propre dico : étant donné qu'on ne peut pas, ni par la logique, ni par l'observation, déterminer si le passé a réellement existé ou s'il s'agit d'une connexion récente de nos neurones qui forment nos souvenirs, c'est donc un choix arbitraire qu'on effectue pour l'une ou l'autre de ces deux hypothèses. La démonstration te convainc-elle ? (bien que ça n'en soit pas une, c'est une simple définition du mot arbitraire...) Ensuite, je ne t'ai pas demander de pencher plus pour cette hypothèse que pour l'autre. Je te demande d'accepter que cette proposition est une hypothèse, au même titre que la proposition opposée. Et que ni l'une ni l'autre ne font partit du domaine de l'observable, ou de l'expérimentable, puisqu'on ne peut observer le passé directement. Ensuite, ça n'est pas moi qui te dis que l'une ou l'autre de ces hypothèse était vrai. ou que je détiens une quelconque vérité sur ce plan. Toi, par contre, tu trouve que considérer que choisir l'hypothèse que le passé existe n'est pas un choix arbitraire, et que l'hypothèse que je te propose est une absurdité. Je te demande donc d'agir en scientifique et de me donner des observations ou des expériences pouvant donner un peu plus de poids à l'hypothèse "le passé existe" ou un peu moins de poid à l'hypothèse "le passé n'existe pas". Je suis désolé de te l'apprendre, mais c'est comme ça qu'on fonctionne en science. Sinon, le choix de l'une ou de l'autre hypothèse est arbitraire, du moins du point de vu de la science et de la logique. (J'aurais peut être dû préciser ça...) Tu sais qu'avec ce genre de raisonnement, ont pourrait dire que Pascal n'a quasiment rien écrit, pas réfléchi à grand chose, et qu'il n'a eu aucune influence sérieuses sur le monde. Vu que les 9/10ème de ce qu'il a apporté était des brouillons, des correspondances, etc... et pas des "ouvrages". Ha au fait, je te l'apprend peut être, mais "les pensées", c'est pas un de ses ouvrages, c'est un recueil de ses notes et brouillons
  18. Titsta

    La vérité

    Tiens, cette réflexion me fait penser que si la réalité était entièrement logique, alors il n'y aurai pas d'illogisme, et on n'aurai pas à faire tant d'effort pour rester logique... Donc la réalité n'est pas toujours logique :snif: Si tout était logique, sans exceptions, la notion de "logique" n'existerai pas. Une conception du monde basé sur la logique ne peux donc pas le concevoir complètement. +1 Des choses peuvent être vrai. Mais à priori, tant qu'on en a pas la preuve, ça reste une hypothèse (j'aime bien faire crisser les dents de grenouille verte) Que quelque chose soit vrai, c'est une chose, qu'on puisse le montrer, c'en est une autre ^^ A laquelle de ces définitions correspond une théorie scientifique ? Clairement pas le A.1.a. ou le A.2 qui sont des définitions qui n'ont pas grand chose à voir avec notre débat. Considérons le A.1.b. Il ne peut pas s'agir d'une théorie scientifique, car une telle théorie est confirmée par "par la déduction ou par l'expérience". Il ne peut pas s'agir non plus de la définition B, puisque une théorie scientifique n'est pas juste le fruit d'une anticipation de l'imagination. Hoooo comme j'aime les batailles de dico !! ça me rappelle tant les batailles entre obscurantistes, incapable de pensez par eux même, se balançant leurs textes sacrés à la figure ! :coeur: Bon, déjà, tu donne les defs d'un dico pour hypothèse, sur lesquelle on était pourtant d'accord. Et tu balance comme si tu détenais la vérité suprème ce qu'est une théorie, où là, à la limite il pourrait y avoir un désacord. (en fait, il n'y en a pas, mais j'ai l'impression que ce qui t'annime, c'est pas une quète de la vérité, c'est une quète pour démontrer que les autres ont tord) • Donc à la lumière de tes définitions, je répète pour la centième fois qu'une théorie scientifiques est bâtis sur une hypothèse qui a été confronté à de nombreuses expérience (tu me dira quand je me serai répété assez de fois) ! Ce à quoi j'ai ajouté : Aussi nombreuses soit elles, comme il est impossible d'avoir effectuée des expériences dans toutes les conditions, sur toutes les variables possibles, avec une rigueure absolue (innatégnable) sur quelques hypothèse scientifique que ce soit, elles restent donc des hypohtèses. Mais il est vrai, un peu plus valable scientifiquement que de simples hypohtèses qui n'ont pas été vérifiée par la moindre expérience. On possède ainsi en science une sorte de "graduation" entre les différentes hypothèses en fonction du nombre d'expériences qu'elles ont subits, et de la variétés des conditions dans lesquelles elles visent à vérifier cette hypothèse. J'aime pas ça, mais à partir de maintenant, si tu me rabache encore les oreilles sur des choses que j'ai déjà dites, je te ferai bêtement un copier coller du passage que je viens de mettre juste au dessu. Marre de me perdre mon temps pour affronter les démons d'un inculte qui pousse jusqu'au ridicule uniquement pour montrer que les autres on tord, histoire de se prouver une éventuelle suppériorité intellectuelle. PS : si tu étais malin, tu t'arréterai, parce que là, à t'enfoncer, tu va vraiment finir par passer pour un con, chose que je ne souhaite nullement. Je ne confond rien du tout. Ensuite relis toi, tu verra toi même tes bétises. Je n'ai pas dis qu'une vérité avait besoin d'être prouvé pour être vraie. J'ai dis qu'une hypothèse avait besoin d'être prouvé pour ne plus en être une. Et après, tu dis que c'est moi qui saisie mal les nuances... Je n'ai jamais dis le contraire il me semble. Le problème, c'est que tant qu'on a pas de preuve, il est imposible de savoir si on est tombé juste ou non. Et les preuves, possibles en math, sont impossibles à réaliser dans le monde réel (entre autre en science) Il n'y a rien de choquant dans le fait de croire en quoi que ce soit pour ma part. Ce qui est chocant par contre, c'est de faire croire qu'on détiens des vérités, ou de ne pas savoir sois même qu'on croit dans cette choses, et que cette croyance, comme toute croyance, est sujette à cautions. Ce qui est chocant aussi, c'est quand ces personnes reffusent le doute quand à leurs croyance. Et ce qui l'est encore plus, c'est quand ces personnes considèrent que toutes autres croyances que la leur est nécessairement mauvaise et incompatible avec la sienne. C'est tout ça ce que j'appelle être un illuminé. Et il y a beaucoup d'illuminé de la science. Mais je précise, on peut croire dans la science (par exemple comme moi) sans être un illuminé. Sinon, croire en quelque chose plutôt qu'en une autre n'est jamais raisonnable... La raison arrive après, dans la manière dont tu arrenge tes croyances mais c'est là des nuances qui me semble un peu trop complexe, vu le niveau du débat entre nous. Là tu manque sérieusement de rigueure. Réflechi deux seconde comme un scientifique, (si tu en est capable) et essaye de m'apporter la moindre "preuve" tangible montrant que le passé existe et n'est pas qu'une simple illusion de tes neurones. (qui pourrait très bien venir de se connecter ainsi il y a quelques seconde à peine.) Donne moi la moindre observation qui contredirait cette hypothèse ! Tu me parle de nombreux éléments, moi je te dis que tu n'en a pas un seul ! Tout bonnement parce que ça fait partit des choses impossible à observer. (du moins, tant qu'on ne sera pas capable de côntroler le temps et de sortir de cette dimension.) L'hypothèse (et là, c'en est une simple, selon tes définition) selon laquelle le temps existe est pourtant à la base de la science !
  19. Excuse moi pour la réponse tardive :/ Je crois qu'il va changer beaucoup de chose pour moi ton post !! ^^ Vraiment intéressant et très bien expliqué !!!! En plus, maintenant, j'ai l'impression d'être bouddhiste ! :mdr: Mais pas vraiment dans un des courants qui existe. Effectivement, en prenant comme base les enseignement de bouddha que tu as cité, je pense qu'on pourrai concevoir un bouddhisme qui ne serait pas ce que j'appelle une coupure de la vie. Il y a tout de même un point sur lequel je ne suis pas totalement d'accord avec Bouddha. Dans l'idée que la cessation de la souffrance arrive quand on cesse de s'attacher. Enfin, c'est vrai dans l'absolu, mais je ne pense pas qu'il s'agisse de la seule voie pour cesser de souffrir. Or c'est ce que cette phrase semble insinuer. Sinon, je ne suis pas sûr que la souffrance soit nécessairement mauvaise. C'est pas que je sois pervers dans l'âme (quoique ) mais il me semble que la souffrance n'est pas nécessairement négative. Quand on n'arrive pas à s'en libérer, oui, là c'est négatif. Mais pour moi, souffrir fait partit de la vie. C'est parce qu'on souffre qu'on peut être heureux. (et parce qu'on est heureux qu'on peut souffrir, certainement) Pour moi, c'est indissociable. (et encore une fois, je ne pense pas être pervers quand je dis ça ) Nous couper de toute forme de souffrance, c'est aussi nous couper de toute forme de bonheur. La béatitude bouddhiste me semble tout de même plus proche de l'apathie que du bonheur. Certaines choses me fond du mal, mais paradoxalement, ce surpassement, la "sublimation" de cette souffrance me fait du bien aussi. à mon avis, fuir les passions, c'est en avoir peur. Mais à mon avis, comme bouddha dis qu'on peut cesser de souffrir, moi je pense qu'on peut aussi gérer ses passions pour ne pas s'y enfermer, tout en y puisant une vie bien plus profonde, bien plus vécu, que la vie béate des bouddhistes. (que je respecte profondément tout de même ! j'ai pas employé béate dans un sens péjoratif).
  20. Titsta

    Vivons nous en démocratie?

    Déjà, c'est pas parce qu'il y a droite dans l'expression "extrème droite" qu'il s'agit d'un partit de droite. La droite prône l'idéologie libérale, la gauche l'idéologie socialiste (c'est à dire groso modo une voix milieux entre le libéralisme et le communisme). L'extrême gauche est souvent vraiment à gauche, puisque communiste, ou opposé à l'idéologie libéral. L'extrème droite en a rien à cirer de l'idéologie socialiste ou libéral. Donc elle est ni à droite ni à gauche... c'est d'ailleur ressassé dans la plupart de leur discours il me semble. Donc c'est pas parce qu'on sençure le frond nationnal que la "dictature" qui le fait est "de gauche" Cette précision à part, je suis d'accord que, fondementalement, les dictatures peuvent autant être de gauche que de droite. Sinon, je suis d'accord aussi qu'il y a énnnnormément d'anti-racistes très con. Qui sont souvent encore plus racistes que les racistes. Et encore plus d'anti-américain qui serait sans hésitations déclarés comme racistes si c'était des "anti-affricains". Maintenant, ce qu'il y a de raciste c'est pas réellement d'affirmer qu'un délinquent est d'origine magrébine, c'est le faire alors qu'il ne s'agit pas d'une information pertinante. Les raciste accordent plus d'importance au fait qu'il soit d'origine maghrébine qu'au fait qu'il ai les yeux bleu, les cheveux noirs, de groupe sanguin 0+ etc... Or, pourtant, ces éléments sont tout aussi pertinent dans le fait que cette personne particulière soit un délinquant. Je précise, pour pas dire de conneries tout de même, que le fait d'être pauvre est souvent un élément particulièrement pertinent dans la délinquance, et que les immigrés ou enfant d'immigrés, ayant souvent des difficultés d'intégrations, sont très souvent pauvres et mal éduqué (l'éducation national les évacue très vite) Donc statistiquement les gens d'origines étrangères sont plus souvent délinquant. (et encore, pour être un peu plus pertinent, faudrait faire la différence entre ceux d'origine étrangère, issue de l'immigration récemment, et ceux qui sont d'origine étrangère, mais dont la famille est française depuis plus de 150 ans...) ça n'en fait pas moins que ça n'est pas parce qu'ils sont d'origines étrangère, mais parce qu'ils sont pauvres et mal éduqués. Considérer que leur origine est un élément pertinent (mis en relation à la délinquance), c'est ça être raciste. et ça, même si statistiquement, c'est vrai. Je pense qu'il y a des gens d'extrême droite qui ne sont pas raciste. (J'en connais un d'ailleurs que je respecte beaucoup, mais c'est un peu une exception quand même ^^ ) Je pense que ça serait utile quand même qu'ils saisissent clairement ce qu'est être raciste ou pas. Ne serait-ce que pour se défendre quand il ne le sont pas.
  21. Non non ! justement, si c'est légal, (et pas une entreprise privé, mais un service publique qui cherche pas à faire du fric) il n'y aura plus de dealer ! Si tu peux acheter un produit pur en pharmacie au prix de production, (c'est à dire que dale) les dealer ne pourront plus se payer la moindre marge sur leur produit ! Dans notre monde, quand quelque chose est légal, même les petites entreprises légale arrivent pas à tenir... tu connais la moindre fabrique illégale de chose légale toi ? Je suis d'accord que ça ne réglera peut être pas le problème de la drogue, mais au moins, ça éliminerai directement toute forme de deal, et offrirai à la population des drogues non coupé de saloperies. C'est peut être la seule chose dont on peut être raisonnablement sûr dans sa proposition. Le reste (a savoir une moindre consommation) étant tout de même un paris. En ce qui concerne les jeunes, je pense qu'effectivement les drogues se répandront si on les légalise. Je crois que c'est humain de vouloir tester les effets des drogues sur notre organisme. En plus, quand on est jeune, on est très souvent mal dans sa peau, et ça permet en plus de le "punir" d'une certaine manière, ce corps. D'où une activité "défonce" plus marqué chez les jeunes. (J'ai toujours considéré sauf exception rarissime que prendre de la drogue était toujours un plaisir malsain) Le problème, c'est que si les jeunes en prennent, bah plus tard, il ne pourront plus s'en passer adultes. C'est pas des erreures de jeunesses dont on se remet. (Je parle des drogues dures) Donc on se retrouverait en une génération avec une population importante de drogués. Ton argument sur le fait que c'est pas parce qu'on y a accès qu'on n'a pas envie d'en prendre suppose une maturité importante. C'est à relativiser effectivement quand on parle des jeunes. (et si c'est légalisé, ça sera d'accès très facile pour les jeunes aussi quoi qu'on fasse, faut pas se leurer.)
  22. Mmm je sais pas. Justement l'idée de légaliser les drogues était d'en diminuer la consommation, certainement pas d'en augmenter la consommation. Philosophiquement, si on était complètement libre face aux drogues, je préfèrerai qu'on les légalise et qu'on sensibilise en même temps pour en faire disparaître l'usage (ou le restreindre à une minorité considérable) par la volonté conjointe de tous, et non par l'interdiction. Puisque l'interdiction, à mon avis, ne fait que propager sa consommation. (par la joie de braver l'interdit, par l'argent que ça rapporte de le faire aussi...) Par contre, je précise, si je suis d'accord avec cet effet de propagation provoqué par l'interdiction, je ne sais pas si la légalisation complète propagerai plus ou moins cette consommation.
  23. En réalité, je pense que la notion de drogue légale ou pas tiens plus de la culture (par exemple du vin et du tabac en France) que d'une considération médicale. Ou même d'une considération sur les risques de comportement dangereux. Mais je pense qu'il faut aussi faire la distinction entre l'effet addictif chimique et l'effet psychologique. Les forums par exemple (au hasard) provoquent des effets addictifs. Les jeux vidéo encore plus. Faut aussi faire la différence à mon avis entre un effet addictif et un effet nocif, sur nous-même, notre entourage, et sur la société en générale (c'est à dire l'impact que ça peut avoir globalement d'avoir pleins "d'addicté")
  24. Oui, je suis d'accord, c'est important de le faire remarquer. Je pensais surtout aux impacts sociaux de la consommations de drogue. Mais c'est vrai que c'est un problème compliqué. Que ça soit pour le joint au volant, ou pour le tabagisme passif qu'on impose aux autres en fumant à côté d'eux. De surcroit, pleins de petits risques cumulé, ça fini par faire une grosse probabilité de problème. (c'est bien le problème du tabagisme passif)
  25. En fait, c'est un peu ce que je disais. Pour avoir des comportement aussi violant, il faut aller chercher dans les drogues très dures. Pour ce qui est de la légalisation des drogues, je pense qu'effectivement, pour que ça ne soit pas une question de fric (pour ne plus qu'il y ai d'inscitation) il faudrait que ça soit un organisme d'état qui les fabrique et les vendent, sans faire de bénéfices bien sûr. Je suis d'ailleurs pas loin de penser qu'on devrait faire pareil pour le tabac...
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