Yavin

Je rentre dans mon pays à cause du climat raciste en France Vendredi 13 Août - 12:17 Photo : un buste noir et blanc de Marianne, au lycée professionnel Brassens en Seine-Saint-Denis (Meyer/Tendance Floue) « Ma décision est prise. Je rentre définitivement au Maroc en 2011. » Mohamed, ingénieur de 25 ans, témoigne. Depuis près d'un an (avec le lancement du débat sur l'identité nationale), plusieurs membres du gouvernement et de la majorité se sont succédés avec des amalgames, des propos racistes à peines voilés. En tant qu'immigré marocain, je vis toutes ces déclarations et lois sécuritaires qui visent particulièrement la communauté musulmane (et depuis quelque temps les gens du voyage et les Roms) comme une profonde humiliation. Et c'est pour ça que je rentre chez moi¿ Et je ne suis pas le seul. Suite de l'article... Source: Rue89.com

Hier, j'ai shooté le concert de Placebo:

Je préfère le voir au rabais dans un bon film, que magistral dans un infâme navet... Ca ne cadre pas vraiment avec le film en général, où la majorité des réponses sont livrés en pâtures. Mais, je me contenterais de ça.

Hier, j'ai survolé le dernier album de Moderat. Je ne m'accoutumerai jamais à leur disque, bien que leur efficacité en live soit redoutable.

Ca, je l'avais bien compris, c'est comment l'architecte élabore ses plans et surtout, comment s'y prend-t-elle pour "insérer" ces données dans l'esprit de ses "co-rêveurs".

J'adore ce groupe! Walking with Thee fait partie de mes incontournable.

Elle est tout d'abord un clin d'oeil à la destinée de Cobb, tenaillés par ses regrets et ses remords, elle joue également un rôle primordiale, afin d'avertir en vue d'une décharge imminente les sujets impliqués dans un rêve, puisque ceux-ci ne peuvent communiquer. Différentes pistes sur la présence de cette piste dans le film ont également été étaillé. Je suis également dans le flou quant à ce point.

Las Robertas Mardi 10 Août - 20:40 [/Justifier] [Justifier] Las Robertas, c'est un quator féminin qui vient du Costa Rica : coin du monde réputé pour ses plages, moins pour sa scène indie, à tord, comme nous le prouvent ces jeunes filles en fleurs qui délivrent une avalanche de sons pop noise, lo-fi et un tantinet punk dans leur premier album Cry out loud (sortie début mai) enregistré à la force de leur petits bras. Guitares saturées, et voix éthérées qui font un peu penser aux Vivian Girls, à Dum Dum Girls, ou même à Sonic Youth. Construit avec sincérité et talent, il est même disponible en téléchargement gratuit ici ! Suite de l'article... Source: ecoutepremiere.blogspot.com

Tout dépend de la fréquence des visionnages et de tes connaissances actuelles en anglais. Pour ma part, je dévore les films en VO et lors de mon voyage aux USA, je n'ai éprouvé absolument aucune peine à me faire comprendre et à comprendre par les autochtones. Je ne peux que te recommander à poursuivre.

Tu n'as vraiment rien compris au cinéma et à ses intérêts, mais ça, c'est une autre histoire. Sinon, pour t'éclairer sur cette fin qui t'a décidément déplu:

Veuve, enceinte et... exécutée en public par les talibans Lundi 09 Août - 16:49 © KEYSTONE archives | Les talibans accusaient la veuve d'adultère. afghanistan | Une Afghane, veuve et enceinte, a été fouettée avant d'être exécutée en public de trois balles à la tête par les talibans qui l'accusaient d'adultère. AFP Suite de l'article... Source: 24heures.ch

Je ne veux entendre aucun commentaire de celle d'en dessus!

Le "trailer" de l'album:

A voir absolument en live. Il devrait y aller mollo avec la poudre. Je ne connaissais pas du tout, mais je raffole de cette musique qui me rappelle un peu la musique du protégé de Raster-Noton, Byeton, en moins musclé. Sinon, un de mes petits préférés, qui se laisse écouter sans fin:

Et toujours aucune annonce d'un passage des 22-20s en Suisse.

The 22-20s - Shake, Shiver and Moan The Coral - Butterfly House The Radio Dept. - Clinging To A Scheme

Deux albums m'ont tenu en haleine ce week-end et encore pour les semaines à venir, à n'en pas douter: Menomena - Mines The Black Keys - Brothers Sorti à moins de deux mois d'intervalles ces deux disques marquent l'opposition, plutôt marquée, entre deux formations, qui cultivent une qualité musicale rare. A ma droite, The Black Keys, une formation longtemps seconde dans sa catégorie, reléguée dans l'ombre des White Stripes. Un mauvais souvenir. Après sept disques blues/rock bien senti, le duo d'Akron a désormais tous les attributs du parfait groupe de stade. Tout le contraire du concurrent de gauche. Originaire de Portland, Menomena cultive un injuste anonymat en regard de ses multiples productions. Son dernier opus, Mines est d'ailleurs à l'image du groupe. Passionnant, foisonnant de sonorités et très réfléchit, parfois trop, viendrait-on à le regretter. Ne s'entêtant pas à pondre des morceaux pop savants et trop élaboré, le groupe renouvèle son répertoire, se rapprochant de ses aînés The National, jouant parfois de l'électricité et des mélodies à la Built To Spill ou se contentant tout simplement de livrer des morceaux virtuoses à la Helio Sequence. Virtuoses, The Black Keys le sont également. Leur petit dernier, Brothers, rompt quelque peu avec la musique de leurs débuts, sans tourner le dos à la recette de leur succès. Ce qui serait bien bête. Taillée dans le rock, leur dernière galette transpire la virilité et la testostérone. Tranchants et efficaces, leurs chansons s'agrémentent désormais de petite touche électro et pop, et marque la très nette évolution de la formation. Pour le plus grand plaisir de l'auditeur.

Du concert au Madison Square, il reste encore une vidéo du backstage et un morceau:

Weezer, qui s'y ose encore?

Contrepied? Je m'attendais à ce que tu sois plus virulent, mais dans le bon sens du terme. Je te rejoins pour la mise en scène, mais pour le reste... Pfiou... Je trouve terrible que quelques'unes des scènes d'action en rappellent à Matrix, c'est visuellement joli, mais c'est tellement dépassé. A ce titre certaines scènes souffrent d'une terrible manque d'efficacité, je pense en particulier aux scènes de poursuites, de sorte que le spectateur s'y sent rarement impliqué. Dommage. Toutefois, je suis obligé de reconnaître que le concept-titre est très fort et propose au spectateur de belles pistes de réflexions. L'ensemble reste malheureusement bien brouillon. Et, ces cinq dernières minutes! Et, je trouve ta dernière phrase bien triste, en regard des District 9, Les Fils de l'homme, Moon, V for Vendetta, Watchmen, 28 jours plus tard, Minority Report, X-Men, The Road, Sunshine (j'ai fait le tour en diagonale de ma dvdthèque... ) La méthode de l'Architecte; comment importe-t-il ses créations dans le subconscient d'autrui? Ou encore, cet espèce de vide spatio-temporel, ces limbes, qu'en est-il exactement?

Je l'ai moi-même vu en début de semaine et mes impressions restent très tempérées. C'est un bon film d'action, des scènes justement largement pompées chez Matrix (ou eXistenZ) et parfois agaçantes, malgré tout on ne s'ennuie pas, jusqu'à ce fameux quatrième segment où on plonge dans un sequel de James Bond (comme s'il avait à claquer un budget motoneiges et skieurs). Christopher Nolan a l'avantage de prendre le spectateur par la main, sans se payer sa tête en le balançant tête la première dans la problématique. On apprécie. Pas de quoi crier au chef-d'¿uvre pour autant, juste de quoi passer un bon moment de cinéma, car l'ensemble reste passablement brouillon et laisse nombre de questions ouvertes (je parle pas de la fin).