maffy

Rien

J'éduque ma fille de 16 ans à prendre son temps, de ne pas vouloir faire comme les autres, de ne pas banaliser l'acte sexuel, que c'est bien plus que de serrer la main. La première fois est une des plus importante, celle que l'on oublie jamais : que se soit bon au moins affectivement !

Un jeu tout simple. Vous n'avez absolument pas envie de mourir, mais vous allez vous imaginer que vous allez passer à l'acte (faites un choix de type de suicide). Vous y pensez très fort, vous l'imaginez, vous commencez par la préméditation. Vous vous voyez vous jeter sous la rame du métro, près à être déchiqueté, ou passer une lame sur vos veines, le sang inondant la baignoire. Absorber une surdose de médicament laissant ainsi votre corps inerte au médecin légiste. Vous allez avoir peur, peur de la mort et vous allez vous demander comment il est possible d'arriver à cette extrémité, que la vie est belle, qu'il y a un espoir. De toute façon, vous n'avez pas envie de mourir. Si vous avez bien ressenti cela, vous comprenez dans quelle extrémité et dans quel désespoir il faut se trouver pour mettre fin à ses jours.

Mdr. Mais je ne pense pas que ce soit systèmatique. C'est le côté moins sentimental des garçons, mais les filles aiment aussi le sexe !

Plus con ? Ah bon ? Il faut dire qu'un femme a attentes différentes de celles d'un homme. Si l'homme ne le comprend pas, oui, il est con.

Tu as raison. Un mec aussi c'est compliqué, et ça l'est d'autant plus que c'est silencieux. Cependant, ça dépend de son passé. Tu veux savoir quoi ?

Des fois ça peut faire du bien : http://jurojin.skyblog.fr

Je regarde en premier c'est sa main gauche, l'annulaire en particulier

Je n'ai pas grand chose à dire si ce n'est que je m'oppose à la quasi totalité de la population, ces moutons attardés et handicapés du célophane, dont un créateur, dans sa propre méchanceté, à privé d'une intelligence dépassant celle d'un chimpanzé trisomique. Je ne leur veux pas grand mal comme je ne souhaite aucun mal au nid de cafards du pavillon de mon voisin au bout de la rue. Je ne veux pas ce nid de cafards chez moi, c'est tout. Un jour en seront-ils conscient ?

des femmes