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Tout ce qui a été posté par Fiphi
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Je ne suis pas tout à fait d'accord avec Pheldwin. Ségolène Royal au cours des récents débats télévisés a beaucoup de choses à dire mais surtout sur rien. Elle élude les questions, n'y répond pas franchement et reste toujours bien vague. Elle dit sarkozy "brutal", hors la gauche et l'extrème se montrent bien plus violents à l'égard de Sarkozy, lequel parait bien plus respectueux. D'autre part, quoi qu'on puisse penser de ce dernier, il est apparu franc et honnête dans les débats télévisés, il prend des risques et ne change pas d'un iota ce qu'il a toujours dit. je dirai qu'il en est de même pour ses partenaires politiques à la différence des élus de gauche et d'extrème gauche. Et on se demande si on ne doit pas croire Tapie qui a déclaré "assister au Bal des Faux Culs !" La tournure que prend le deuxième tour des élections présidentiels est également pathétique et organisée, sans aucune ambiguité, par le parti socialiste et François Bayrou. Mais qu'est ce qui justifie encore la présence de Bayrou dans les débats du second tour et comment peut-on expliquer autrement les comportements de ces deux personnes que comme des manoeuvres politico-politiciennes, sur fond de préparation aux élections législatives. Et les médias de gauche et d'extrème gauche s'en font les portes paroles ... Ca tient du despotisme ! Royal, et c'est tout à son honneur, souhaiterait réformer le parti socialiste en un parti social-démocrate, doctrine adoptée par les socialistes d'autres états, laquelle ne rejette plus le capitalisme. Mais qu'attend t-elle pour le dire ? Et qu'attend donc Bayrou pour afficher ses prétentions idéologiques. Pour ma part, je voyais l'UDF plutôt proche d'un social-libéralisme. C'est certainement la raison pour laquelle de nombreux UDF se rapprochent de l'UMP. Non, ils se résolvent tous les deux à jeter le trouble dans la campagne, à la polluer par des manoeuvres plutôt qu'à débattre des idées. Pour exemple : Sur une question à Royal : "Que pensez-vous des régimes spéciaux ? Il y a bien d'autres inégalités !" Elle n'a pas répondu. Doit-on se contenter d'une telle réponse ? Ensuite, Royal dit "Discuter, il faut discuter". Il s'agit d'une erreur car les élus sont chargés de discuter en lieu et place du peuple dans les assemblées et doivent prendre des décisions. Il y en assez de discuter avec un syndicalisme non représentatif...
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Que reproches-tu à mon troisième paragraphe ? Je disais : La religion islamique est composée de divers courants de pensée et écoles, qui tiennent aux interprétations des écritures, à l'importance qu'on leur accorde, à l'adaptation des écritures à la société moderne. Tous ces courants, sunnites, chiites, wahhabites, salafistes, ne s'acceptent pas les uns et les autres. Dans chacun de ces courants de pensée, il s'est formé des groupes terroristes qui utilisent la violence pour imposer un choix politique et de société, islamisme, djihadisme, fondamentalisme, traditionnalisme...Ils ont des ramifications dans les états musulmans et dans les institutions qui les représentent. Ils sont incontrôlables et prônent la violence. Ils s'opposent ouvertement à l'occident. Ils ont beaucoup d'emprises sur la société musulmane dans son ensemble et conduisent à l'asservir. Les états musulmans ne sont pas des modèles de démocratie laÏque ; ils sont islamistes et la religion impose ses choix politiques et de sociétés. Il est donc normal d'assister à une opposition ferme de la communauté musulmane face à toute forme de caricature. Ils n'y sont pas prêts. L'occident s'est affranchi des choix religieux et il ne doit pas laisser à la culture musulmane lui imposer ce qu'elle doit penser d'elle. Qu'elle s'y oppose ou non, ça ne doit pas changer nos habitudes, notre liberté de pensée. Répondre à la question : Il s'agit de savoir si on peut encore critiquer l'islam ? Mais a t-on toujours pu critiquer l'Islam ? Je pense que l'islam était moins critiquable lorsque les états qui sont de confession musulmane étaient démocratiques et où la pensée pouvait s'exprimer librement. On assiste depuis quelques années à une islamisation de certains états, à la prise du pouvoir ou à l'infuence au pouvoir de courants religieux extrémistes, lesquels n'acceptent aucune critique sous peine de brandir la menace du Djihad. Ils ont détourné l'interprétation ou la lecture du Coran et des autres écritures vers la non tolérance des autres religions...et que dire de l'usage du terrorisme. J'ajouterai également qu'il est d'autant plus facile à ces courants religieux d'imposer leur choix auprès de la population lorsque celle-ci n'est pas éduquée ni à la raison, ni à la sagesse, ni à la laïcité. Nous avons la chance en France d'avoir connu l'époque des Lumières qui ont su affranchir la pensée de toute influence religieuse...L'orient n'a pas connu les Lumières. Ils n'ont pas encore fait cette reflexion et tant qu'ils n'auront pas franchi ce cap, tant que la religion aura main mise sur les libertés des citoyens, elle sera difficilement critiquable... On peut toujours aller chercher des réponses dans la lecture des textes. Chacun y apportera sa propore interprétation, sa foi... Je veux juste souligner que les musulmans de France, représentés officiellement par l'UOIF et autres, sont quoiqu'on en dise influencés ou suivent la pensée actuelle de cette religion dans le monde ; laquelle traduit un rejet de l'occident. Comment expliquer autrement l'opposition et le procès intenté à Charlie hebdo pour la diffusion des caracatures de Mahomet. En ce qui concerne mes questions sur le comportements des maghrébins en France. Je ne fais bien evidemment pas d'amalgame. Je sollicitais des questions et des réponses suite aux débats survenus entre House et d'autres membres. Et cette question peut aussi être interessante parce que selon moi, elle ne traduit pas seulement un problème d'insertion sociale. La question de la religion a également son importance, le rejet de nos institutions et les principes démocratiques occidentaux également.
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Tous les contrôles ne sont pas des contrôle d'identité. De là vient l'erreur de jugement. Les contrôles peuvent faire suite à la commission d'un crime ou délit, à la necessité d'une enquête, au signalement d'un riverain sur l'activité douteuse d'un groupe d'individus. On ne peut pas rapprocher sans cesse aux forces de sécurité d'a Tous les contrôles ne sont pas des contrôle d'identité. De là vient l'erreur de jugement. Les contrôles peuvent faire suite à la commission d'un crime ou délit, à la nécessité d'une enquête, au signalement d'un riverain sur l'activité douteuse d'un groupe d'individus. On ne peut pas rapprocher sans cesse aux forces de sécurité d'accomplir leurs missions, d'assurer la sécurité des biens et des personnes, missions inscrites dans la Déclaration des Droits de l'homme et du Citoyen. Enfin, je reconnais que les policiers ne sont pas toujours irréprochables avec les paroles qu'ils emploient. Cependant, sur le nombre de fonctionnaires de police et de gendarmerie, cela est toutefois rare. Et ils font aussi face également à des individus bien souvent virulents, voire très virulents, et qui n'acceptent pas de coopérer. Et ceux là, on ne les critique pas. Force reste à la loi !
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Je ne prends parti ni pour les uns, ni pour les autres, et loin de moi l'idée de faire du racisme. Je me pose toutefois quelques questions : - Il me semble que les jeunes hommes d'origine maghrébine ont un certain penchant vers la délinquance ? - Pourrait-on avoir les statistiques des personnes maghrébines ou d'origine maghrébine incarcérées dans nos prisons ? Je ne jette pas l'opprobre sur cette communauté mais j'aimerai comprendre !?
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La religion islamique est composée de divers courants de pensée et écoles, qui tiennent aux interprétations des écritures, à l'importance qu'on leur accorde, à l'adaptation des écritures à la société moderne. Tous ces courants, sunnites, chiites, wahhabites, salafistes, ne s'acceptent pas les uns et les autres. Dans chacun de ces courants de pensée, il s'est formé des groupes terroristes qui utilisent la violence pour imposer un choix politique et de société, islamisme, djihadisme, fondamentalisme, traditionnalisme...Ils ont des ramifications dans les états musulmans et dans les institutions qui les représentent. Ils sont incontrôlables et prônent la violence. Ils s'opposent ouvertement à l'occident. Ils ont beaucoup d'emprises sur la société musulmane dans son ensemble et conduisent à l'asservir. Les états musulmans ne sont pas des modèles de démocratie laÏque ; ils sont islamistes et la religion impose ses choix politiques et de sociétés. Il est donc normal d'assister à une opposition ferme de la communauté musulmane face à toute forme de caricature. Ils n'y sont pas prêts. L'occident s'est affranchi des choix religieux et il ne doit pas laisser à la culture musulmane lui imposer ce qu'elle doit penser d'elle. Qu'elle s'y oppose ou non, ça ne doit pas changer nos habitudes, notre liberté de pensée.
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Les policiers et les gendarmes ont une manière différente de travailler, ensuite ils n'occupent pas les mêmes parties du territoire. On peut penser que les gendarmes sont dans les périphéries des grandes villes et dans les campagnes et donc moins exposés que les policiers aux zones sensibles et de non droit. La population y est moins nombreuse, mieux contenue, l'urbanisme est différent. Je pense qu'il faut admettre d'une part qu'il existe des zones de non droit, des lieux où le crime et le délit sont monnaie courante, où se developpe le marché parallèle, où le flic n'est pas bien accueilli ni même désiré. Arrêtons ce faux semblant de police de proximité, et de croire que tous les gens contrôlés sont honnêtes. Certains sont contrôlés et déjà connus d'eux pour divers trafics. Les multiples contrôles sont donc justifiés. Qu'apprend t-on à un policier ou un gendarme ? A se protéger d'une part lors d'un contrôle car il n'est pas exclu qu'il soit agressé, que le conrôle est sa mission et qu'elle est une necessité pour faire respecter la loi de la République. Vous débattez du contrôle des policiers ; vous ne vous demandez pas pourquoi ces contrôles sont necessaires. Sarkozy n'y est pour rien. Lui ou un autre, les contrôles existeront toujours, et plus que jamais dans des zones où l'on sait qu'il se commet des crimes et des délits ! Quant au policier tué, pas la peine de chercher midi à quatorze heures, il a été victime d'un meurtrier, conditionné et ignorant la loi de la République. Et c'est d'autant plus regrettable qu'il s'agit d'un représentant de la loi, lequel incarne avant tout la sûreté, la sécurité des biens et des personnes. A qui la faute ? A l'école, à la famille, à la société, à ses amis qui l'ont tous conduit non vers la raison et la sagesse mais vers la cruauté. L'auteur a été incapable de discerner le bien du mal.