

mary.shostakov
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Tout ce qui a été posté par mary.shostakov
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... ... ... Une autre tentative avec un traitement de texte différent ... ... ... Ah, ça marche ! … … ... Récapitulons : C'est Robert Plomin, grand maître de la génétique comportementale, qui parle. C'est une vulgarisation. ... ... ... https://www.youtube.com/watch?v=MGsgA5mldZw Génétique comportementale Le généticien comportemental Robert Plomin parle des études sur les jumeaux, de l'influence génétique des parents sur leurs enfants et du 1% d'ADN qui différencie les individus. Je m'intéresse à la génétique comportementale, qui permet d'étudier les influences génétiques expliquant les différences de comportement entre les individus, comme la schizophrénie ou les difficultés de lecture chez les enfants. Je m'intéresse donc aux causes de ces différences. Pendant un siècle, en psychologie, on a supposé que seul l'environnement comptait, et surtout celui des parents durant les premières années de la vie. Cela remonte à Freud. Or, la génétique comportementale nous a appris que les différences d'ADN entre les individus expliquent près de la moitié des différences entre les individus. C'est bien plus important que tous les autres effets en psychologie réunis. La génétique n'est donc pas la seule à avoir une influence. Elle influence aussi de nombreux aspects de la psychologie : la santé mentale et les maladies mentales, les capacités cognitives, la personnalité et la réussite scolaire. On dit que l'inné est génétique, l'acquis est environnemental. C'est la plus ancienne controverse en psychologie : inné et acquis. Pendant longtemps, on a pensé que tout ce que nous sommes était dû à l'acquis. Nous avons démontré que l'inné et la génétique sont très importants. Cela remonte à une centaine d'années, avec le développement des premières techniques de génétique comportementale : les études sur les jumeaux et les études d'adoption. Les premières ont été réalisées au début des années 1900, principalement en Angleterre, mais aussi dans d'autres pays d'Europe. La méthode des jumeaux consiste à comparer deux types de jumeaux. 1% des naissances dans le monde sont des jumeaux. Un tiers d'entre eux sont des jumeaux identiques. On les appelle monozygotes car ils sont constitués d'un seul ovule fécondé, un zygote, et sont comme des clones l'un de l'autre, possédant le même ADN. L'autre type de jumeaux, deux tiers des naissances de jumeaux, sont dits dizygotes, (deux zygotes). Ils sont comme des frères et sœurs, mais ils naissent en même temps, dans le même utérus. La méthode des jumeaux consiste à comparer ces deux groupes. Si un trait comme les aptitudes musicales est influencé par la génétique, on devrait prédire que les jumeaux identiques se ressemblent davantage que les jumeaux non identiques. C'est une expérience biologique. https://www.youtube.com/watch?v=BYGUjIlq5yA&t=53s Que nous ont montré les études sur les jumeaux ? Une enquête récente portant sur 15 millions de jumeaux, étudiés dans quatre mille articles, a révélé que tout est héréditaire, non seulement en psychologie, mais aussi en physiologie : la longueur des os, la densité osseuse, tout ce qui concerne les différences individuelles en biologie et en comportement est fortement influencé par l’ADN, les différences génétiques héréditaires entre nous. La méthode des jumeaux est une méthode. L’autre méthode est la méthode de l’adoption. La méthode des jumeaux est comparable à une expérience biologique : on obtient deux types de jumeaux. L’adoption est comparable à une expérience sociale. L’inné et l’acquis sont héréditaires. Ainsi, pendant longtemps, les psychologues savait bien que la schizophrénie était héréditaire. Ils n'ont cependant pas eu de problème à considérer l’environnement comme cause de la schizophrénie, parce d'après eux les parents faisaient subir des choses qui rendaient leurs enfants schizophrènes. Mais ils ont ignoré l’importance de la génétique, car elle est héréditaire. Parents et enfants partagent une similarité génétique de 50 %. La méthode d'adoption consiste à rechercher les parents génétiques et les parents environnementaux, car les enfants adoptés à la naissance ont reçu leurs gènes, mais ils ne les voient pas, car ce sont leurs parents génétiques. Or, les enfants adoptés sont adoptés par une famille adoptive car les parents adoptifs sont liés à l'environnement. Il s'agit d'un test génétique simple et puissant, car il prédit que les parents biologiques, qui ne partagent pas l'environnement des enfants, se ressemblent et constituent un test direct de l'influence génétique. De même, la similitude des enfants avec leurs parents adoptifs constitue un test de l'influence environnementale. Les études sur les jumeaux et l'adoption ont convaincu l'importance de la génétique, à tel point que les psychologues sont désormais mis au défi de trouver un trait non héréditaire. Nous sommes passés de l'idée que rien n'est héréditaire à la prise de conscience que tout l'est. Nous utilisons désormais ces techniques pour étudier des questions plus intéressantes, par exemple sur le développement. À quel âge l'influence génétique apparaît-elle ? Il existe une interaction entre l'inné et l'acquis. Je vais vous donner un exemple. Des centaines de mesures de l'environnement sont utilisées en sciences sociales. Les événements de la vie, comme les perturbations financières et les événements stressants, sont utilisés dans plusieurs milliers d'études. Mais on a toujours supposé que les mesures environnementales étaient environnementales. Or, nous avons montré à de nombreuses personnes dans le monde que ces mesures environnementales présentent une influence génétique presque aussi importante que d'autres traits psychologiques. Et quand on commence à penser génétiquement, on se dit que ce n'est pas fou. Quelles sont ces mesures ? Il ne s'agit pas de l'environnement extérieur, comme le concevaient les psychologues. L'environnement, c'est ce qui nous arrive. En psychologie, nos mesures environnementales sont des mesures de notre expérience, des événements de la vie comme les difficultés financières, les difficultés relationnelles, les disputes, la perte d'un emploi. Il ne s'agit pas de l'environnement extérieur qui nous arrive passivement (on n'y connaît rien), mais de ce qu'on en fait. Et c'est là que la génétique entre en jeu. C'est un bon exemple de la façon dont la perspective génétique a changé notre façon de concevoir l'environnement. Je crois qu'un principe fondamental veut que le fonctionnement des gènes dépende de leur corrélation avec l'environnement, de la façon dont nous l'utilisons. Par exemple, j'étudie les capacités cognitives. Parmi les centaines d'indicateurs, le vocabulaire est la mesure la plus héréditaire. On dit que je parle de différences individuelles : certaines personnes ont un vocabulaire riche, d'autres non. On n'hérite pas des mots, ce n'est pas inscrit dans l'ADN, à cause des différences linguistiques, par exemple. Il s'agit d'une propension à utiliser le langage, à être cognitivement conscient des subtilités. J'ai une petite-fille (elle a environ sept ans) qui veut toujours connaître les nuances, se demander pourquoi un mot a vraiment un sens, ou pas. J'ai une autre petite-fille qui a dit : « Peu importe. Tu vois ce que je veux dire, quelle importance ? » Et c'est ainsi que les gènes commencent à fonctionner. On commence à utiliser son environnement ; on fréquente des personnes qui partagent les mêmes centres d'intérêt. L'une d'elles fréquentera d'autres enfants qui lisent des livres et qui s'intéressent aux conversations intellectuelles. Le développement du langage a été beaucoup étudié. Les enfants diffèrent grandement quant à leur âge d'apprentissage de la parole (Einstein n'a commencé à parler qu'à l'âge de trois ans), ainsi que quant à la façon dont ils ont développé leur aisance verbale (leur facilité à parler couramment) et leur vocabulaire tout au long de leur vie. Voilà donc votre premier apprentissage d'une langue. Une grande partie de la psychologie et des sciences de la vie ne s'intéresse pas aux différences individuelles, mais plutôt à des questions universelles concernant l'espèce humaine. Nous nous demandons notamment pourquoi certains enfants ont des difficultés de lecture et d'autres non, pourquoi certains sont schizophrènes et d'autres non. Une véritable transformation de la recherche dans ce domaine : jusqu'à présent, on se demandait simplement si la génétique était importante, puis dans quelle mesure. Cette question a reçu une réponse quasi universelle. Certains ne l'acceptent toujours pas, mais la grande majorité l'accepte. Non seulement la génétique est importante, mais elle est essentielle à presque tous les domaines de la psychologie. Elle est tellement ancrée qu'il n'est plus intéressant de dire que ce trait est héréditaire, car tout est héréditaire. Nous allons au-delà et nous interrogeons sur le développement et la relation entre les traits. Un enjeu majeur aujourd'hui est la diversité des diagnostics en psychopathologie et en maladie mentale. Il s'avère que les effets génétiques sont quasiment identiques, c'est-à-dire que les mêmes gènes sont à l'origine de bon nombre de ces maladies dites différentes. C'est un exemple d'approche multivariée. Un troisième domaine (le premier étant le développement, le second étant multivarié) est l'interaction entre les gènes et l'environnement. Si l'inné et l'acquis sont tous deux importants, car la génétique n'explique pas toutes les différences, elle n'en explique généralement que la moitié. Ainsi, si l'inné et l'acquis sont importants, de nombreux chercheurs s'intéressent à leur interaction, à l'interaction, à la corrélation et à l'interaction entre les gènes et l'environnement et leur impact sur le développement. L'essentiel est d'aller au-delà de l'héritabilité et de dire : « Trouvons les gènes ». C'est une sorte de génétique moléculaire, et c'est le sujet d'actualité. Les choses sont héréditaires, d'accord, trouvons les gènes, car si on peut les trouver, on peut faire beaucoup plus en termes de recherche, et surtout en termes de transposition à des problèmes importants. L'ADN est le meilleur outil dont nous disposons pour prédire les problèmes, ce qui nous permet d'intervenir pour les prévenir, comme le fait la médecine. Plutôt que d'attendre d'être alcoolique ou obèse pour tenter de guérir, si l'on peut prédire qui sera atteint de ces problèmes, on pourrait intervenir pour les prévenir, ce qui est beaucoup plus rentable pour l'individu, mais aussi pour la société. L’enthousiasme actuel porte sur la recherche de ces gènes et nous sommes à un tournant où nous commençons à trouver des gènes qui nous permettront de faire des prédictions individuelles sur le risque génétique, la résilience, la vulnérabilité et la force, ce qui nous permettra éventuellement de prédire les problèmes et, espérons-le, de commencer à les prévenir. … … ...
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. Essai My interest is in behavioural genetics. It is looking for genetic influences on why people differ in behaviour so some people become schizophrenic, some children have reading disability. So I’m interested in what causes those differences and for a century in psychology people assumed all that’s important is the environment and especially the environment your parents provided in the first few years of life. That’s from Freud onward. But what we’ve learnt using behavioural genetics is that DNA differences between people account for almost half of the differences between people. This is far bigger than all the other effects in psychology put together, so not only does genetics matter. It matters in a lot for almost all areas of psychology: mental health and illness, cognitive abilities, personality, school achievement. Traduction Je m'intéresse à la génétique comportementale. Elle étudie les influences génétiques expliquant les différences de comportement entre les individus, comme la schizophrénie ou les difficultés de lecture chez les enfants. Je m'intéresse donc aux causes de ces différences. Pendant un siècle, en psychologie, on a supposé que seul l'environnement comptait, et surtout celui des parents durant les premières années de la vie. Cela remonte à Freud. Or, la génétique comportementale nous a appris que les différences d'ADN entre les individus expliquent près de la moitié des différences entre les individus. C'est bien plus important que tous les autres effets en psychologie réunis. La génétique n'est donc pas la seule à avoir une influence. Elle influence aussi de nombreux aspects de la psychologie : la santé mentale et les maladies mentales, les capacités cognitives, la personnalité et la réussite scolaire. . Ah, c'est la traduction de Google qui pose problème. . Je vais faire traduire ça par ChatGPT. (j'aurais dû commencer par là, d'ailleurs) . À bientôt ... .
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... ... ... 40 %, c'est déjà mieux que 0 %. Par ailleurs je ne te vois pas t'intéresser tant que ça à Robert Plomin, qui est le premier concerné dans cette affaire de génétique comportementale. Pallions à celà par une simple vulgarisation exprimée par Robert Plomin lui-même. ... ... ... J'éprouve quelque difficultés à faire un copié-collé sur ce forum. Me dire si c'est quand même lisible ou compréhensible. Merci ! ... ... ... Non, ça ne fonctionne pas. Je vais tenter de me débrouiller pour que ça fonctionne. À bientôt... ... ... ...
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... ... ... Il reste les promesses de la science, surtout des sciences du vivant en général et des sciences médicales en particulier.
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... ... ... Tu es libres d'être conforté par ce que tu veux dans la mesure où tu ne consultes pas les scientifiques. ... ... ...
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... ... ... Les coranistes qui rejettent les hadiths, ne sont-ils pas rejetés par les judaïste, les christianistes, les taoïstes, les manitouistes, les mormonistes, les adventistes, qui, chacun, est rejeté par toutes les autres religions du monde ?
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... ... ... Tu me dis que les mathématiques maîtrisées par Rovelli, Barrau et Penrose ne permettant aucune observation, alors ces scientifiques ne font pas de la science. C'est ça ? ... ... ...
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... ... ... C'est de la théologie fondée sur le Coran de La Mecque et certainement pas de Mèdine. Pas vrai ? ... ... ...
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... ... ... Tu me dis que tu ne sais pas encore le fond de la pensée de Rovelli et de Barrau sur la longueur de Planck et la gravité quantique ni celle de Penrose sur la géométrie conforme, quoi ... ... ... ...
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... ... ... Bien sûr que le scientifique peut avoir certaines croyances. Ils vont même parfois matérialiser leurs rêves dans des romans de science-fiction ou des ouvrages de poésie. Voir les romans d'Isaac Asimof, Artur Clarck, Jean-Pierre Luminet ... Voir la poésie d'Hubert Reeves, Carl Sagan, Roger Penrose ...
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... ... ... Tous les scientifiques que j'ai vu raffermir leur foi était financés par la fondation Templeton. Pour mémoire la fondation Templeton a été fondée par John Templeton, qui a mené une vie profondément ancrée dans le christianisme. Néanmoins, aucun des travaux scientifiques des scientifiques financés par la fondation Templeton ne fait état d'une quelconque foi. Les scientifiques qui prennent l'argent de la fondation Templeton ne vont pas jusqu'à trahir la science. Ils prennent l'argent puis ils font les discours habituels leur permettant de ne pas cracher dans la soupe servie par Templeton. Les choses qu'ils disent sur la finesse préalable à l'émergence de la vie sont d'ailleurs contredites par les astrophysiciens explorant les diverses formes du ou des multivers. Voir les travaux de Carlo Rovelli, Max Tegmark, Aurélien Barrau. ... ... ...
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... ... ... Je n'ai pas dit ce que tu dis de la science se reposant sur la foi. J'ai dit que ces deux choses sont complètement indépendantes l'une de l'autre. Le scientifique peut raffermir ce qu'il veut dans l'intimité de son unique personnalité, mais il ne publiera jamais un seul article sur l'amalgame de sa croyance et de sa science dans aucune revue scientifique à comité de relecture par des pairs. D'ailleurs il ne le fait jamais. Aucun scientifique ne s'amuse à une telle chose à moins d'être devenu fou. ... ... ... ... ... ... La science ne s'occupe pas des croyances injustifiées qui se passent au fond de tout scientifique. La mise à l'épreuve de la science et de sa méthode est à ce prix. ... ... ...
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... ... ... Tout le monde fait des erreurs, mais la méthode scientifique comprend un important domaine de mise à l'épreuve scientifique en vue de débusquer la moindre erreur et y pallier scientifiquement, rapidement, définitivement. La foi ne permet pas une telle pensée, une telle action. La foi se heurte ingénument à l'erreur mise sous son nez par l'ensemble des fois de formes différentes de la sienne. ... ... ...
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... ... ... La foi est une affaire d'intimité et de réflexion personnelles qui méritent tout le respect qu'on doit au croyant, mais jamais la foi ne s'est immiscée dans la méthode scientifique. Quand un scientifique est dans son intimité et sa réflexion personnelle permises par sa seul foi, il n'est pas dans la science. Et quand il est dans la science, il n'est pas dans la seule foi lui permettant son intimité et sa réflexion personnelle. Un scientifique qui mêlerait foi et science se ferait jeter de la science. ... ... ...
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... ... ... Si tu regardes attentivement la note du bas de chaque page de ChatGPT et que tu la lis attentivement tu pourras comprendre que ChatGPT peut faire des erreurs. Pensez à vérifier les informations importantes. ... ... ...
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... ... ... La science n'a pas pour objectif de tout savoir, mais elle n'a pas non plus pour vocation de dire n'importe quoi. Il n'existe aucune limite sur les sujets choisis comme il le veut par n'importe quel scientifique, même s'il porte son désir et sa volonté d'exploration et d'explication sur n'importe quelle chose véritablement infinie. ... ... ...
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... ... ... La science appliquée par les scientifiques de notre époque ne permet pas de se prononcer sur la croyance en Dieu, qui est en réalité l'habit de cérémonie de la crédulité. Mais dans le travail des scientifiques de notre époque il existe un secteur qui permet d'explorer et d'expliquer la crédulité, et donc toutes les croyances émergeant de la psychologie. De la psychologie étudiés scientifiquement et vue comme un domaine de réalité permettant toutes les intelligences, certes, mais aussi tous les délires. Par ailleurs, cela fait déjà un bon moment que les scientifiques connaissent tous les stratagèmes de l'intrusions spiritualistes en science. Premier stratagème : Refuser à la science le droit de s'occuper du mécanismes commandant la foi, la croyance, la crédulité, le délire. Deuxième stratagème : Convoquer quelques scientifiques pour leur permettre d'expliquer la finesse d'un univers prouvant l'existence de Dieu sans jamais voir les deux choses caractérisant ces scientifiques, à savoir qu'ils sont tous financés par la fondation Templeton (se renseigner sur l'objectif exact de cette fondation) et qu'aucun de leur travaux scientifiques, de leur travaux véritablement scientifiques ne parle de cette finesse généalogique de la preuve de l'existence de Dieu. Aucun. Néanmoins, dans le passage des reconnaissance à ceux qui leur ont permis d'effectuer leur travaux scientifiques, il y a une mention spéciale à la participation financière de la part de la fondation Templeton, le cas échéant, car cela fait partie de l'éthique voulant que tout scientifique déclare ses liens de collusion avec toute personne ou toute organisation pouvant avoir eu une influence sur ses travaux scientifiques. Il existe d'autres stratagèmes d'intrusions spiritualistes et impostures intellectuelle en sciences Chacun pourra se renseigner avantageusement en lisant attentivement l'ouvrage à plusieurs auteurs suivant : ... ... ... Messieurs les théologiens, métaphysiciens et autres philosophes du monisme idéaliste, ne prenez pas les enfants du bon dieu pour des canards sauvages. ... ... ...
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... ... ... Cette histoire est fascinante en ce sens qu'elle permet de réfléchir sur une morale des plus assurée. Mais une science dont l'origine n'est ni juive, ni chrétienne, ni musulmane, ni théologienne de quelque sorte, c'est-à-dire une science moderne appliquée suivant la méthode scientifique moderne de notre époque actuelle, affirme que la morale a émergé du monde il y a des millions d'années, c'est-à-dire bien avant la création de Yahvé, de Dieu, d'Hallah et de toute théologie par l'homme. ... ... ...
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Question aux athées
mary.shostakov a répondu à un(e) sujet de Véritable Lucifer dans Religion et Culte
... ... ... À la question posée aux athées du début de cette enfilade de messages, je répondrais par l'étymologie du terme athée. L'étymologie de ce terme, c'est la suivante : sans dieu ... Je suis athée parce que je vis sans dieu. Les discours des théologiens ne me font ni chaud ni froid du moment que ces penseurs de la pensée se pensant elle-même ne cherchent pas à m'expliquer qu'ils veulent «sauver mon âme» par la décapitation, la pendaison, le pal ou le bûcher. Dieu ou les dieux peuvent exister ou ne pas exister, cela ne me fait ni chaud ni froid. Dieu ou les dieux ne sont pas ma tasse d'athée. ... ... ... Par contre, et contrairement à l'avis des théologiens qui pensent que la foi, Dieu, la croyance en Dieu sont exclus du domaine de la science, il n'y pas plus scientifiques que les éludes de Pascal Boyer, que j'invite tous à consulter pour voir et comprendre d'où sortent la foi, Dieu et la croyance en Dieu et aux dieux s'ils en ont envie. ... ... ... Par ailleurs et si l'on est intéressé par la génétique comportementale, il sera possible de se renseigner sur les conclusions que ce nouveau secteur de la biologie sur la croyance, cette habit de cérémonie de la crédulité. Voir ci-dessous. (attention, c'est un peu long, ça demande donc un peu d'intelligence et un peu de travail ou tout au moins un peu de concentration) ... ... ... La remarque est du camarade Nietzsche : L'erreur est nécessaire à la vie. L'incrédulité face à cette remarque est évidente. Comment une erreur arithmétique telle que 2 +2 = 5 est-elle nécessaire à la vie ? Conclusion : il s'agit sans doute d'une vérité d'un autre ordre. Nietzsche ne savait manifestement pas ce que sa remarque comprenait de vérité. Les outils scientifiques qui lui aurait permis de se comprendre lui-même n'existait pas encore. Il s'agit donc d'une intuition de sa part. Une intuition littéralement géniale, certes, mais qu'il ne fait pas suivre de la moindre explication, hors de remarques devant tout à la psychologie de son époque, à la construction de laquelle il avait par ailleurs fortement contribué. Freud y puisera plus tard sans trop le dire. On percevra l'essence de cette erreur le jour où la primatologie aura émergé du champ des sciences du vivant accompagné de la génétique commandant la sélection des espèces chère au camarade Darwin. Les nombreuses observations de singes en liberté ont révélé que lorsqu'un grave danger se manifestait sous la forme d'une sensibilité à une modification de l'environnement, par exemple un mouvement brusque du feuillage, ces singes ne se posaient pas la question de savoir si c'était le vent ou un léopard qui était la cause de ce mouvement. Ils avaient presque tous le réflexe de fuir devant la possibilité non négligeable que ladite cause, c'était un léopard. C'est là que la sélection naturelle entre en jeu. Devant ce mouvement du feuillage, il y avait une faible proportion de singes qui ne fuyaient pas. Alors deux possibilités pouvaient émerger. Soit les feuilles était agitées par le vent, et le singe survivait. Soit les feuilles était agitées par un léopard, et le singe se transformait en repas et ne survivait pas, par définition. Si le premier survivait, il avait la possibilité de se reproduire après avoir séduit une femelle de sa tribu. Si le second singes était transformé en repas avant d'avoir atteint son âge de reproduction, alors il ne se reproduisait pas. Inutile de dire que le singe qui fuyait toujours devant la moindre possibilité - vraie ou fausse - de se transformer en repas avait toutes les chances de se reproduire quelqu'ait été la réalité - vraie ou fausse - qui l'avait fait détaler. Et c'est là que la chose devient particulièrement intéressante. À moins de défendre une position religieuse ou métaphysique, tous les faits à notre disposition laissent penser que l’homme procède de l’évolution biologique au même titre que toutes les autres espèces vivantes sur Terre. Tous les traits humains, tous ses comportements, toutes ses pensées et toutes ses actions, sans exception, possèdent une base matérielle, moléculaire, cellulaire, qui influe sur leur expression. L’existence de cette influence n’est plus guère niée, même si sa nature exacte reste encore l’objet d’investigations scientifiques. Tout ça pour dire que si l'on trouve l'héritage d'une caractéristique génétique et donc d'un comportement chez les primates singes, cette caractéristique et ce comportement se retrouvent chez le primate homo-sapiens-sapiens. L'erreur au départ incompréhensible du camarade Nietzsche (l'erreur est nécessaire à la vie), c'est celle qui, face à tout changement inattendu de l'environnement au sens très général de ce terme, mais qui offre deux possibilités d'évaluation largement fulgurante à l'homo-sapiens-sapiens, soit ce changement n'est pas dangereux, soit ce changement est dangereux, cet homo-sapiens-sapiens aura toujours le réflexe immédiat, déterminé, incontrôlable de pencher pour le changement dangereux. (Faire le rapprochement de ce déterminisme humain avec celui bien indiqué par le camarade Spinoza ayant pensé, écrit et décrit le déterminisme humain tel qu'il le voyait sans doute grâce à une intuition égale à celle de Nietzsche.) ... ... ... -
... ... ... Je serais favorable à un baptême fondé sur le cadeau de trois encyclopédies au nouveau-né, qui pourra en entreprendre une consultation et une lecture à n'importe quel âge de son existence où il en exprimera la volonté. Les sujets de ces trois encyclopédies seront l'ART, la SCIENCE et la PHILOSOPHIE. Un silence absolu sera observé à chaque lecture décidée par le baptisé. Seul un faible chuchotement sera permis lors de la déclaration obligatoire suivante : Au nom de l'art, de la science et de la philosophie ; ainsi soit-il. ... ... ...
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Qui a encore envie de voyager aux États-Unis?
mary.shostakov a répondu à un(e) sujet de Gouderien dans International
... ... ... Tiens, comme c'est curieux. Dans les discussions de forum, on peut parfois atteindre le repos d'une sérénité dépourvue de toute les fatigues d'un intellect en vacance. Je crois que je suis trop con pour comprendre le contraire de cette remarquable chose de la vie informatique. ... ... ... -
Qui a encore envie de voyager aux États-Unis?
mary.shostakov a répondu à un(e) sujet de Gouderien dans International
... ... ... Si on te le demandes ... ... ... -
Qui a encore envie de voyager aux États-Unis?
mary.shostakov a répondu à un(e) sujet de Gouderien dans International
... ... ... Je suis trop con pour comprendre cette phrase. ... ... ... -
Qui a encore envie de voyager aux États-Unis?
mary.shostakov a répondu à un(e) sujet de Gouderien dans International
... ... ... Supporter ou ne pas supporter l'insupportable. That is the question. ... ... ... ... ... ... Ah, mais tu es des plus libres, mon p'tit vieux, des plus libres. ... ... ... -
Qui a encore envie de voyager aux États-Unis?
mary.shostakov a répondu à un(e) sujet de Gouderien dans International
... ... ... Tu as deviné juste ! ... ... ... ... ... ... Ça dépend surtout de l'âge du capitaine. ... ... ...