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veritas 24

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  1. Je ne comprends pas ou tu veux en venir par: Une des plus grosses erreur étant la croyance en un Dieu créateur ayant fait la terre , les humains et tout le reste si prise mots pour mots ... En quoi est ce une erreur?
  2. Bonjour,vous avez dit :personne ne peut prouver que Dieu existe... Vu comme ça,la religion n’à aucun sens... Les grecs,les égyptiens, les romains et les juifs aux premiers siècles ;les catholiques,les musulmans...ont tjrs eut l’idée de l’existence d’un être parfait et supérieur appelé dieu(x),sans se concerter,ils ont eu la même conclusion à leurs réflexions, étrange non... Pourquoi est ce impossible de trouver Dieu?il s’est pourtant révélé... Pour ceux qui sont intéressés, voici quelques preuves de son existence. Source:la porte latine .existence de Dieu. Introduction : Dieu et la science C’est une heure de joie sereine dont Nous remercions le Tout-Puissant que Nous offre cette réunion de l’Académie Pontificale des Sciences, en même temps qu’elle Nous donne l’agréable occasion de Nous entretenir avec une élite d’éminents cardinaux, d’illustres diplomates, de personnalités distinguées et spécialement avec vous, académiciens pontificaux, bien dignes de la solennité de cette assemblée. Vous, en effet, qui scrutez et dévoilez les secrets de la nature et enseignez aux hommes à en utiliser les forces pour leur bien, vous publiez, en même temps, avec le langage des chiffres, des formules, des découvertes, les ineffables harmonies du Dieu d’infinie sagesse. La vraie science rapproche de Dieu : La vraie science, en effet — quoi qu’on en ait inconsidérément affirmé dans le passé — plus elle progresse, et plus elle découvre Dieu, comme s’Il attendait aux aguets derrière chaque porte qu’ouvre la science. Disons plus : de cette découverte progressive de Dieu, fruit des accroissements du savoir, l’homme de science n’est pas seul à bénéficier, quand il pense en philosophe et comment pourrait-il s’en abstenir ? — mais encore tous ceux qui participent aux nouvelles trouvailles ou en font l’objet de leurs considérations, à commencer par les vrais philosophes ; car, prenant pour base de leur spéculation rationnelle les conquêtes scientifiques, ils en tirent une plus grande assurance dans leurs conclusions, de plus claires lumières pour dissiper d’éventuelles ombres, des secours plus convaincants pour donner aux difficultés et aux objections une réponse toujours plus satisfaisante. Le Pape rappelle les « cinq voies » grâce auxquelles les philosophes scolastiques démontrent l’existence de Dieu. Ainsi stimulé et guidé, l’intellect humain affronte la démonstration de l’existence de Dieu, cette démonstration que la sagesse chrétienne trouve dans les arguments philosophiques éprouvés au cours des siècles par des géants du savoir, et qui vous est bien connue sous la forme des « cinq voies » que le docteur angélique, saint Thomas, offre comme un rapide et sûr itinéraire de l’esprit vers Dieu [1]. Arguments philosophiques, avons-Nous dit ; mais non pour autant, à priori, comme en fait grief un positivisme étroit et inconséquent. Les arguments se fondent, en effet, sur des réalités concrètes et garanties par les sens comme par la science, même s’ils tirent leur force démonstrative de la vigueur de la raison naturelle. De la sorte, philosophie et sciences opèrent selon des processus et des méthodes analogues et conciliables, utilisant dans des proportions diverses, éléments empiriques et éléments rationnels, et collaborant dans une harmonieuse unité à la découverte du vrai. Les cinq voies doivent aujourd’hui être confrontées avec les données récentes des sciences : Mais si l’expérience primitive des anciens put offrir à la raison des arguments suffisants pour la démonstration de l’existence de Dieu, aujourd’hui, l’élargissement et l’approfondissement du champ de cette même expérience font resplendir plus éclatante et plus précise, la trace de l’Éternel dans le monde visible. On pourrait donc, semble-t-il, avec profit, réexaminer sur la base de nouvelles découvertes scientifiques, les preuves classiques du Docteur angélique, spécialement celles qui sont tirées du mouvement et de l’ordre de l’univers ; autrement dit, rechercher si et dans quelle mesure la connaissance plus profonde du macrocosme et du microcosme contribue à renforcer les arguments philosophiques ; considérer ensuite si et jusqu’à quel point ils auraient été ébranlés, comme on l’entend dire parfois, du fait que la physique moderne a formulé de nouveaux principes fondamentaux, aboli ou modifié d’antiques concepts — dont le sens, dans le passé, était peut-être tenu pour stable et défini — comme par exemple ceux de temps, d’espace, de mouvement, de causalité, de substance, tous d’importance majeure pour la question qui nous occupe présentement. Ainsi, plus que d’une révision des preuves philosophiques, il s’agit ici d’un examen des bases physiques d’où ces arguments dérivent, et Nous devrons nécessairement, faute de temps, Nous limiter à quelques-unes d’entre elles. Aucune surprise n’est d’ailleurs à craindre : la science elle-même n’entend pas déborder les frontières de ce monde qui, aujourd’hui comme hier, se présente avec les « cinq modes d’être » d’où prend son essor et sa vigueur la démonstration philosophique de l’existence de Dieu. En particulier, les sciences nous montrent aujourd’hui, sous une clarté nouvelle, 1° le changement et le mouvement des choses ; 2° la fin de l’univers. De ces « modes d’être » du monde, qui nous entoure, appréhendés, avec une pénétration plus ou moins grande, mais une égale évidence, par l’esprit du philosophe et par l’intelligence commune, il en est deux que les sciences modernes ont merveilleusement sondés et vérifiés, et approfondis au-delà de toute attente : 1° la mutabilité des choses, y compris leur origine et leur fin ; 2° l’ordre de finalité qui resplendit dans toutes les parties du cosmos. La contribution apportée ainsi par les sciences aux deux démonstrations philosophiques qui s’appuient sur elles et qui constituent la première et cinquième voies, est très notable. A la première, la physique, en particulier, a apporté une mine inépuisable d’expériences, révélant le fait de la mutabilité jusque dans les profondeurs cachées de la nature où, avant notre époque, aucun esprit humain n’en pouvait même soupçonner l’existence et l’ampleur, et fournissant une multiplicité de faits empiriques qui sont d’un puissant secours pour le raisonnement philosophique. Nous disons secours : car pour ce qui est de la direction de ces transformations — attestée elle aussi par la physique moderne — elle Nous semble dépasser la valeur d’une simple confirmation et atteindre presque à la structure et au degré d’une preuve physique en grande partie nouvelle et, pour beaucoup d’esprits, plus acceptable, plus persuasive et plus satisfaisante. Avec une telle richesse, les sciences, surtout astronomique et biologique, ont fourni ces derniers temps à l’argument de l’ordre du monde un tel ensemble de connaissances et une vision, pour ainsi dire, si enivrante de l’unité de conception qui anime le cosmos, et de la finalité qui en dirige le mouvement, que l’homme moderne goûte par avance cette joie que le poète Dante imaginait dans le ciel empyrée, lorsqu’il vit comment en Dieu « est contenu — lié par l’amour en un volume — ce qui s’effeuille par l’univers » [2]. L’homme de science peut donc lire dans la nature, la présence de Dieu : Toutefois la Providence a voulu que la notion de Dieu, si essentielle à la vie de chaque homme, puisse se déduire facilement d’un simple regard jeté sur le monde, à tel point que n’en pas comprendre le langage est une folie [3], et que d’autre part, elle reçoive une confirmation de tout approfondissement et progrès des connaissances scientifiques. Pie XII exprime l’intention de démontrer cette thèse : Voulant donc donner ici une rapide esquisse du précieux service que les sciences modernes rendent à la démonstration de l’existence de Dieu, Nous Nous limiterons d’abord au fait des mutations, en en faisant surtout ressortir le caractère d’ampleur, d’étendue et, pour ainsi dire, de totalité, que la physique moderne découvre dans le cosmos inanimé. Nous Nous arrêterons ensuite sur le sens et l’orientation de ces mutations, tel qu’il est également attesté. Ce sera prêter l’oreille à quelques accords du concert de l’immense univers, assez puissants toutefois pour chanter « la gloire de Celui par qui tout l’univers se meut » [4]. a) La mutabilité du cosmos Le fait de la mutabilité se constate dans le macrocosme : On est en droit de s’étonner à première vue, en constatant que la connaissance du fait de la mutabilité a toujours gagné du terrain dans le macrocosme et dans le microcosme, au fur et à mesure que les sciences progressaient, comme pour confirmer par de nouvelles preuves la théorie d’Héraclite : « Tout s’écoule, panta rhei ». On le sait, l’expérience quotidienne elle- même révèle une prodigieuse quantité de transformations dans le monde, proche ou lointain, qui nous entoure, notamment les mouvements des corps dans l’espace. Mais, outre ces mouvements strictement locaux, sont aisément observables aussi les multiples changements physico-chimiques, tels que le changement de l’état physique de l’eau dans ses trois phases de vapeur, de liquide et de glace ; les profonds effets chimiques obtenus par l’action du feu, déjà connus dès l’âge pré-historique ; la désagrégation des roches et la corruption des corps végétaux et animaux. A cette commune expérience vint s’ajouter la science de la nature qui enseigna à interpréter des phénomènes et d’autres semblables comme processus de destruction ou de formation des substances corporelles à partir de leurs éléments chimiques, c’est-à-dire de leurs parties les plus petites : les atomes. Allant même plus loin, elle rendit manifeste que cette mutabilité physico-chimique n’est en aucune façon limitée aux corps terrestres, selon la croyance des Anciens, mais s’étend à tous les corps de notre système solaire et de l’immense univers que le télescope et mieux encore le spectroscope ont montrés formés des mêmes espèces d’atomes. Le fait de la mutabilité constaté dans le microcosme : Contre l’indispensable mutabilité de la nature, même inanimée, se dressait l’énigme toutefois du microcosme, encore inexploré. Il semblait de fait, que la matière inorganique, à la différence du monde animé, fût en un certain sens immuable. Ses plus petits éléments pouvaient bien s’unir entre eux selon les modes les plus divers, mais ils paraissaient jouir du privilège d’une éternelle stabilité, et indestructibilité, puisqu’ils sortaient inchangés de n’importe quelle synthèse et analyse chimique. Il y a cent ans, on les croyait encore de simples, indivisibles et indestructibles particules élémentaires. On en pensait autant des énergies et des forces matérielles du cosmos, surtout sur la base des lois fondamentales de la conservation de la masse et de l’énergie. Quelques savants se croyaient même autorisés, au nom de leur science, à une fantastique philosophie moniste, dont le souvenir mesquin est lié entre autres, au nom de Ernst Haeckel. Mais justement, à son époque, vers la fin du siècle dernier, cette conception simpliste de l’atome fut, elle aussi, balayée par la science moderne. La connaissance croissante du système périodique des éléments chimiques, la découverte des radiations corpusculaires des éléments radioactifs et de nombreux faits semblables ont montré que le microcosme de l’atome, aux dimensions de l’ordre du dix millionième de millimètre, est le théâtre de continuelles mutations, non moins que le macrocosme bien connu de tous. Le fait de la mutabilité constaté dans la sphère électronique : Le caractère de la mutabilité fut vérifié en premier lieu dans la sphère électronique. De la condensation électronique de l’atome émanent des radiations de chaleur et de lumière qui sont absorbées par les corps externes, en correspondance avec le niveau d’énergie des orbites électroniques. Dans les parties extérieures de cette sphère, s’accomplissent également l’ionisation de l’atome et la transformation de l’énergie dans la synthèse et dans l’analyse des combinaisons chimiques. On pouvait cependant encore supposer que ces transformations physico-chimiques laisseraient un refuge à la stabilité, puisqu’elles n’atteignaient pas le noyau même de l’atome, siège de la masse et de la charge électrique positive qui assignent à l’atome sa place dans le système naturel des éléments, noyau où l’on pensait avoir trouvé le type même de l’absolument stable et de l’absolument invariable. Le fait de la mutabilité se constate dans le noyau atomique : Mais dès l’aube du nouveau siècle, l’observation des processus radioactifs, se référant, en dernière analyse, à une scission spontanée du noyau, conduisait à exclure un tel mythe. Une fois donc vérifiée l’instabilité jusqu’en la retraite la plus profonde de la nature connue, un fait toujours demeurait qui laissait perplexe : il semblait que l’atome fût inattaquable au moins par les forces humaines, puisque, en principe, toutes les tentatives faites pour en accélérer ou en arrêter la naturelle désagrégation radioactive, ou encore pour scinder des noyaux non actifs avaient échoué. La première très modeste désagrégation d’un noyau (d’azote) remonte à peine à trente ans, et ce n’est que depuis peu d’années seulement qu’il a été possible après d’immenses efforts, d’effectuer en quantité considérable des processus de formation et de décomposition des noyaux. Bien que ce résultat qui, dans la mesure où il sert aux œuvres de paix, est certainement à inscrire à l’actif de notre siècle, ne représente qu’un premier pas dans le domaine de la physique nucléaire pratique, toutefois il fournit une importante conclusion à la question qui nous occupe : les noyaux atomiques sont bien, dans beaucoup d’ordres de grandeur, plus stables que les compositions chimiques ordinaires, mais néanmoins, ils sont eux aussi, en principe, soumis à des lois semblables de transformation et donc muables. On a pu constater en même temps, que de tels processus ont la plus grande importance dans l’économie de l’énergie des étoiles fixes. Au centre de notre soleil, par exemple, s’accomplit, selon Bethe, à une température d’environ vingt millions de degrés, une réaction en chaîne, en circuit fermé, dans laquelle quatre noyaux d’hydrogène sont condensés en un noyau d’hélium. L’énergie qui est ainsi libérée vient compenser la perte due à l’irradiation du soleil. Dans les laboratoires modernes de physique, on réussit également, moyennant le bombardement par des particules douées d’une énergie très élevée, ou par des neutrons, à effectuer des transformations de noyaux, comme on peut le voir dans l’exemple de l’atome d’uranium. A ce sujet, il faut d’ailleurs mentionner les effets de la radiation cosmique, qui peut scinder les atomes plus lourds, libérant ainsi assez souvent des essaims entiers de particules subatomiques. Nous avons voulu citer seulement quelques exemples susceptibles cependant de mettre hors de doute la mutabilité indiscutable du monde inorganique, grand et petit : les mille transformations des formes d’énergie, spécialement dans les décompositions et combinaisons chimiques du macrocosme, et tout autant la mutabilité des atomes jusqu’à la particule subatomique de leurs noyaux. Dieu immuable est aujourd’hui saisi avec plus de profondeur, face à cette mutabilité universelle : Le savant d’aujourd’hui, pénétrant du regard l’intime de la nature plus profondément que son prédécesseur d’il y a cent ans, sait donc que la matière inorganique, pour ainsi dire dans sa moëlle la plus secrète, est marquée par l’empreinte de la mutabilité et que, dès lors, son être et sa subsistance exigent une réalité entièrement diverse et invariable par nature. Comme dans un tableau en clair-obscur, les visages ressortent sur le fond sombre et n’obtiennent qu’ainsi leur plein effet plastique et vivant, de même l’image de l’éternellement immuable ressort claire et splendide, du torrent qui emporte avec lui toutes les choses matérielles du macrocosme et du microcosme et les entraîne en un changement intrinsèque qui jamais ne cesse. Le savant arrêté sur la rive de l’immense torrent trouve le repos dans ce cri de vérité par lequel Dieu se définit lui- même : « Je suis Celui qui suis » [5] et que l’Apôtre loue comme « le Père des lumières, en qui n’existent aucune vicissitude, ni ombre de changement » [6]. Désolé, c’est un vrai pavé...
  3. Alors pourquoi dire non? Moi je peux te prouver que si. Toi si tu dis non,tu dois pouvoir expliquer ton avis...
  4. ́est facile de dire non,mais Développe ton idée,
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