Petitpois

C'est vrai, parait-il. En même temps, il est "malheureux " au bout de cinq minutes !

Je suis une vraie chienne, tu sais !!

Il faut toujours avoir raisonnablement peur de tout animal, même domestique. On ne sait pas quelle a été son éducation , ni son caractère, à priori. J'ai toujours expliqué à mes enfants qu'il fallait être prudents avec les animaux qu'ils ne connaissaient pas. Pour eux, vu les nôtres, aucun animal domestique/domestiqué ne pouvait être dangereux.

Anecdote : Je me souviens, durant l'épidémie où l'on commençait à peine les interviews par visio, du réanimateur (ancien de Charlie Hebdo) P. Pelloux qui, en pleine parole, a eu son chat qui s'est posé sur l'ordi ! Fou rire de l'intéressé.... Merci. Pourquoi ? Je crois me souvenir que tu vis en campagne. Tu n'as pas de chats qui y viennent ?

Tu papouilles ?!! Sinon, je pense vraiment que ces préférences , ou non préférences, trouvent raison dans ce que l'on est soi-même. En dehors des possibles traumatismes vécus, tels griffures, morsures dans l'enfance, souvent. Je ne parle pas des possibilités raisonnables / impossibilités d'en avoir un, qui ne changent rien aux préférences .

Un truc comme ça, je ne sais pas, ou bien le contraire, chercher ce que l'on n'est pas au travers de l'animal. Un rapport à ses propres sentiments/inclinaisons. L'indépendance du chat , la dépendance du chien ( toutes relatives) , être sécure ou moins, avoir besoin des deux.... Non? PS Je ne m'adresse pas qu'à La Mite, là. Votre avis à tous m'intéresse.

Cc! Tu ne crois pas que ça a à voir avec notre caractère, ces préférences ?

Les chiens aussi ont leurs demandes /exigences. Ado, j'avais une chienne qui se plantait devant sa laisse quand elle voulait sortir (pas forcément pour ses besoins, hein, non, juste sortir). Bien droite , bien raide, assise le regard alternant sur la laisse et sur moi ....jusqu'à ce que j'aille faire un tour avec elle. Celle que j'ai maintenant , se plante à côté de la porte arrière de la voiture dés qu'elle "sent" (en mettant mes chaussures par exemple) que je vais partir . L'été, quand il fait trop chaud dans la voiture pour l'emmener et donc la laisser à la maison c'est galère !

Oui, adopter un animal doit être un acte réfléchi. Il faut assumer le temps qu'ils réclament et le cout de leur bien-être, en effet, sans compter la patience quand ils font des bêtises (enfin, ce que nous, humains, estimons être des bêtises).

C'est très vrai. D'ailleurs ma chienne va partout où je vais...pas les chats Je peux même les laisser qq jours "tout seuls" grâce à la chatière, une bonne provision d'aliments et d'eau ( contrairement aux chiens, ils ne se jettent pas sur la bouffe en une fois), et la surveillance lointaine de mes voisins. bon, quand je reviens, certains m'ignorent ostensiblement et d'autres se collent pendant des heures. A chacun ses réactions, mais, manifestement, ils n'apprécient guère. C'est vrai aussi. Tu t'en rends à peine compte mais en fait ils te suivent partout où tu vas. J'en ai une qui déteste que je jardine et enlève/change des plantes !

Je viens de voir le post de @PASCOU sur un autre topic , au sujet des morsures des chats. Je crois que beaucoup de propriétaires ne savent pas qu'un chat s'éduque comme un chien s'éduque, ou ne savent pas faire. Les miens ne mordent ni ne griffent. Plutôt, quand ils se sentent proches de le faire, ils partent d'eux mêmes avant de passer à l'acte. Ou un simple "non !" ferme les arrête immédiatement.

Mais ! un objet est immobile !! Et pourtant on connait , généralement, chacun de nos objets, non ? Et on y porte une certaine affection, sinon, pourquoi les exposer ? Nan, les chats sont loin, très loin d'être des objets ( à part objet de notre affection), c'est bien ce que beaucoup leur reproche !

Je copie ici un de mes posts émis ailleurs : .../... Lorsque je gérais un accueil , j'amenais régulièrement ma chienne. Une personne, a même "retrouvé" la parole, en tout cas une forme d'expression verbale par" il est beau ce chien", et s'est remise à s'exprimer verbalement ensuite. J'ai vu qu'à certains procès, on laissait des chiens type labrador errer dans la salle du tribunal pour soulager les victimes, et même la personne incriminée, et que les effets en étaient plus que positifs. Et que chacun en était réconforté. Je ne comprends pas. Tu expliques "bibelots" svp ?

Bonjour, suite à une intervention sur umfr.com/sujet927169-vous-en-avez-rien-à-fout-mais-je-vous-le-dis-quand-même-la-suite.html?page=1100#comment-13633118, je voudrais bien savoir qui préfère de façon inconditionnelle les chats plutôt que les chiens et inversement. Et pourquoi ? Et votre ressenti par rapport à ces animaux (aimés ou pas). Merci de vos réponses.

D'une gifle à l'autre.....

Dans le même genre : Dans un bus: "plus de racisme, on sera tous bleus "....Les bleus clairs devant, les bleus foncés derrière ! je dis juste que tu as souvent dit n'avoir aucune empathie et tu manifestes, très souvent, un positivisme avéré.

Ouais mais toi, tu as souvent écrit que tu n'avais pas d'empathie. Par conventions et expériences , tu crois savoir quoi dire. Et peut-être tu le sais. Mais sans empathie le "coeur" n'est pas là. Et ça se sent. Des réponses standards en plein positivisme. Ca marche ...ou pas. C'est bien possible en effet. Je ne sais pas trop.

Bien sûr que systématiser est une erreur, mais... quelqu'un qui va mal dérange peut-être l'Ego de l'autre face à son impuissance à ce que ça aille mieux ( bien) grâce à son intervention ? A la peur, la projection craintive que ce mal la touche un jour ? J'ai vécu un grand malheur et j'ai répondu à la personne qui me disait" 'faut que tu remontes la pentes, que tu vives normalement" _ "mais toi, si...(énonciation de ma malheur)" ... Pas le temps de finir ma phrase ! Réponse de l'intéressée : _ " tais toi ! je ne veux même pas y penser" (véridique, hein!) "Fin de la discussion "ai-je dit. mais oui, ne systématisons pas.

Pense ce que tu veux, j'arrête ce HS, sans pour autant te donner raison, juste par respect du topic et de CGU.

Je viens d'aller voir le topic dont tu parles, ben rien à voir! Après, en dehors du positivisme agaçant, il y a aussi la critique négative perpétuelle plus qu'agaçante. Le râleur permanent, le schtroumpf grognon , Le Bacri aussi....ouais, bien vu.

"Les ceux qui positivent" (veulent positiver et faire positiver ) tout le temps me gonflent prodigieusement. Nan, une peine est une peine, un malheur est un malheur et, au moins "le temps de le digérer", il s'agit de l'accepter, de l'intégrer, de le vivre si on le désire (d'autres peuvent s'enivrer par différents moyens pour "oublier". C'est aussi leur droit ). Mais, soyons justes, le pus souvent, sauf cas "minimes", la personne en peine, en "ça va mal", "je vais mal", a seulement envie qu'on lui reconnaisse ce droit, cet état. L'enfer et pavé de bonnes intentions et je ne doute pas de la bonne intention de ces gens qui t'imposent de positiver. c'est aussi te priver de paroles et de peine, voire de désespoir et t'obliger à les garder pour toi. Et puis ces personnes dites positives, paniquent le plus souvent devant le malheur des autres (craignant pour leur bonheur, ou leur paix, ou encore de leur déni). Un trop de positivisme face à une personne en peine, c'est comme nier cette peine, telle qu'elle soit. Voire d'y porter un jugement d'exagération, de laisser aller. Sinon, oui, il y a toujours pire. Et l'on peut finir par se dire que "ça pourrait être pire"...

Mon grand-père disait "l'excès en tout nuit".

Mon ex belle mère disait, en italien, un truc comme : "le meilleur des roux a jeté sa mère dans un puits".

Perso, mon odeur varie aussi suivant mon humeur. Parfois même c'est elle qui me "dit" si je suis bien ou pas. Acidulée : beurk, ça ne va pas ! Et si ça va bien, odeur de viennoiserie, genre croissant-beurre.

Toutes ces histoires de poils me rappellent un film, conte philosophique peu connu : Human nature....ou l'histoire du formatage aux normes sociales du moment.