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Easle

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Tout ce qui a été posté par Easle

  1. Je ne vais pas faire de compétition ici, mais tape homme laid sur un moteur de recherche et tu seras servi. Donc effectivement, il est très loin d'être laid, surtout vu son âge.
  2. Houlà... une conférence scientifique qui a tout dit ? Quelle conférence, je suis des plus curieux ! Tu construis ta connaissance sur un soit-disant fait sans aucune perception critique de ce que tu écoutes ? Ah.. si tu mélanges le grec et le latin en plus on va effectivement avoir de belles listes... Tu n'as pas des mots égyptiens et perses aussi ? Mais s'il n'y a pas de mot pour l'amour, pourquoi d'ailleurs y aurait-il des mots tout court ? A ce train tu peux remettre en cause toute réalité, tout vocabulaire, c'est une fuite en avant dans la discussion, je ne vois pas trop le rapport avec des faits ou le désir de fonder la connaissance sur des faits, sauf à vouloir segmenter le réel en deux ou trois ou + l'infini...
  3. Et voilà... de l'insulte..... Où donc était la moindre proposition de discution ? Ah les pointures... si majestueuses et parées de la magie du statut ! Il y a si peu d'esprits scientifiques qui peuvent rêver sans aspirer aux rêveries passées.....
  4. Le communisme est une mise en commun, ou collectivisation, comme celle que tu proposes, des moyens de production. Dans sa version radicale, on a vu les problèmes que cela posait avec les Kolkhozes et Sovkhozes des soviets. Les paysans avaient une productivité moindre, et lorsqu'ils ont eu de petits lopins de terres privatifs à nouveau, à côté de leur travail collectif, c'est à cette production privée qu'ils mettaient du coeur à l'ouvrage et de la productivité. On peut toutefois se poser la question de "l'empreinte" culturelle, dont ils subissaient la construction de leur personnalité, de leurs aspirations, de leurs mécanismes de pensée et de réaction, possiblement en partie primaire (moi d'abord), mais renforcé par la logique propriétaire, privée, des sociétés humaines "à état", dont la société russe. Mais combien de temps aurait-il fallu pour générer des générations rénovées dans leur vision du monde, du collectif, etc. Qui plus est la partie primaire de cette vision de soi et des autres est-elle si faible qu'elle puisse être contre-carrée par l'éducation et la sociabilité ? Rien n'est moins sûr car l'instinct de survie est tout de même très individuel et plus encore quand le groupe n'est plus si immédiatement nécessiare à cette survie mais peut même devenir un frein, un compétiteur. Et le reste des comportements suit cette priorité, en grande partie, du moins chez la quasi totalité des individus. De fait, qui accepterait de voir son revenu baisser en ne travaillant plus que 15 heures de manière à ce qu'un sdf puisse lui aussi travailler 15 heures ? Si Marx avait lu Tonniës, il aurait pu se poser la question des changements plus profonds encore qu'implique le passage d'une Gemeinschaft à une Gesellschaft , d'une société communautaire (mécanique pour reprendre Durkheim) à une société sociale (organique pour le même). Dans un cas, le soucis des autres reste encore important, comme leur présence, mais aussi leur surveillance, leur contrôle, la dépendance des uns aux autres. Dans le second cas, l'individu s'en est libéré, et tiens, jalousement à rester le plus indépendant possible, quitte à oublier, s'opposer, ignorer l'Autre. Alors le bons sens a malheureusement à faire avec l'Histoire humaine, ses réalités socio-historiques contemporaines, dont certaines ne peuvent même pas être perçue comme problématiques puisqu'elles correspondent à des aspirations que légitime l'organisation matérielle qui ne fait qu'aller toujours plus loin dans l'individuation et l'individualisation : abolition du patriarcat, sans-frontierisme, marchandisation / réification, distanciation, déculturation, soucis de soi, développement personnel, etc. Selon les idéologies, certains de ses éléments pourront être critiqués mais finalement uniquement pour la forme, et pas les mêmes. Les autres seront des évidences d'amélioration, peu importe leurs conséquences. L'économie, la base matérielle des sociétés humaines, ne peut donc s'abstraire de ces lignes de force de représentation qui lui sont dialectiques, au pur sens marxien. Comment dés lors socialiser les moyens de production ? Attaquer les rémunérations excessives ? Sur quelle base de communauté humaine et pour qui ? Au profit final de qui ? On peut aussi se demander si l'innovation technologique est une bonne chose ? Mais si on admet, effectivement tout l'intérêt du confort, domestique, mais aussi productif, à libérer les humains des tâches médiocres pour qu'il se concentre sur ce qui lui est loisible, comme se passer de cette innovation ? Or peut-on espérer une innovation, une volonté mise à créer de nouveaux outils, des innovations positives, avec la constance et la ténacité que cela implique, sans deux éléments : 1. l'espoir d'en tirer des gains maximum, en terme financier autant que de reconnaissance, de réseaux, de pouvoir, etc. 2. les innombrables miasmes de pseudos innovations, de parasites médiocres, de simples acteurs économiques fournissant du volume et de la fluidité des capitaux par leur simple existence, sans utilité productive ou consommatrice. Si l'économie est "au plus juste" de sa valeur utile sociale, quelle est cette valeur utile ? A quelle échelle, niveau, doit-on se placer pour l'évaluer ? Et si les humains libérés des tâches inintéressantes vont-ils vouloir faire autre chose que jouer ? Ce qui est leur noble aspiration légitime, dans la poursuite de la société du loisir et du consummérisme. Le capitalisme est délétère dans une prédation qu'il renforce mais qui le précède, et de longue date. Le plus délétère pour la limite physique de notre environnement, notre planète, est essentiellement le nombre d'individu qui en dépendent. Une population humaine de quelques dizaines de millions d'individu seraient sans conséquences là où 12 milliards peuvent épuiser la plupart des ressources en peu de temps. Et d'ailleurs quel est l'intérêt à avoir une population en quantité plutôt qu'en qualité ? Et peut-on faire les deux ? Et pourquoi si ce n'est par vitalisme ou croyance religieuse ?
  5. Outre le fait qu'il est loin d'être laid, il va moins attirer, je suppose ou j'espère que tu le sais (mais je sais combien de le déni contemporain est idéologiquement pregnant), par l'argent qu'il gagne, la notoriété, ses relations, etc. que par sa soit disant 'beauté intérieure', celle-ci étant commune à 100 millions de ses très semblables au moins sans le même succès ! Le succès ne tient jamais tant à la qualité qu'à l'opportunité et la contingence (rencontres, compromis, travail, publicité, réseaux, agressivité/tenacité, etc.). L'humour est surtout un outil très pratique de disqualification de la pensée embarrassante, et ce n'est pas nouveau ! Le bel esprit était déjà de cet acabit. A voir et revoir : Ridicule, de Patrice Leconte.
  6. Effectivement nous sommes dans une société qui, pour favoriser la LIBERTE du choix individuel, et certaines catégories de populations, considérées comme supérieurs dans l'objectif de liberté, invite, tranquillement, une partie de l'humanité à s'exclure, à être seule, faire acte de solitude... Qui plus est en ce donnant l'image d'un choix, d'une autodétermination joyeuse et positive (happy face) pour ne pas troubler la joie réelle de celles et ceux qui eux ONT les atouts et le droit, en vertu de ces atouts, de profiter pleinement du monde. C'est intéressant cette fabrication hypocrite des justifications des plus importantes inégalités. "Soyez seul et content de l'être pour nous permettre de ne pas y penser et de ne pas vous voir, que nous puissions nous croire meilleur-e-s que nos ancêtres, plus libre et sans conséquences négatives" Quelle superbe et subtile manipulation !
  7. Méprise moi tant que tu voudras si tu n'as que cela pour me répondre à défaut de fond ! A ton plaisir !
  8. Ca c'est ce que tu as envie de croire. Car l'enfant de deux ans n'utilisent pas que 2 photos de chats pour construire son identification, non. D'une part il va répéter, inlassablement la 'reconnaissance' des chats, pour leur associer le signifiant 'chat', qui plus est en l'opposant à d'autres reconnaissances 'girafe', 'chien', 'cochon', etc. Il va réitérer cette relation un nombre de fois dont tu n'as pas idée car elle t'est invisible, qui plus est lorsqu'elle a lieu aux heures très 'actives' de sommeil pour classer et réactiver les apprentissages dans des reconfigurations formelles virtuelles (rêves / cauchemars). Donc non, je m'en doutais, mais tu surestimes de très très loin la facilité et la rapidité humaine à l'intelligence de son environnement. Platon est 'gentil' mais il n'est pas beaucoup de recul vis à vis de la culture, de la sociabilité, de l'histoire humaine, des processus d'acquisition, de mimétisme, de cognition, etc. Il fait surtout une poïesis des sentiments et du discours !
  9. Reste toujours donc la question : que fait-on des autres hommes ? On les met dans des camps ? On les astreint à rester chez eux pour ne pas déranger les belles personnes ? On les invite à comprendre que l'abandon volontaire de la vie n'est pas leur moindre solution ? Comment aurait fait l'être humain pour survivre si cet état de conséquence des inégalités avait été aussi rigoureux dans les petites sociétés traditionnelles ? Et quel développement aurait-on pu attendre avec ces uniques brillantes apparences choisies par les seules femmes ?
  10. Mais de combien de vue de chats penses-tu avoir eu besoin pour identifier un chat ? Comment crois-tu qu'un humain apprend ? Qu'est-ce que "l'amour" humain au-delà du désir ? Cela ne s'apprend-t-il pas, socialement, par acquisition ?
  11. Beaucoup d'hommes se trouvent donc ici dans la situation d'un concours, d'une embauche, dans une compétition telle qu'ils sont dans ce stress propre à la domination (de l'institution, de l'entrepreneur, etc.). Les femmes sont ainsi dans une position de supériorité, inégalitaire au dernier degré, celui de faire dépendre de leur choix de nombreux individus. Qui peut encore croire alors à une inéglité leur étant préjudiciable EN TOUT et PARTOUT ? Et les autres, à la poubelle ! (ou dans des camps ?)
  12. Belle réponse de Chat GPT... Par contre, la médecine ontologique m'est inconnue, puisque j'ai fait une faute de frappe (certes amusante) voulant parler de la médecine oncologique... Sur la généralisation et la diversité, il n'y a, vous les remarquerez et c'est assez amusant, que concernant les individualités humaines que la prudence est de rigueur ! Pour tout le reste cela ne nous pose pas de problème ! Mais généraliser les extraorinaires, les divines, entités uniques et irremplacables que nous sommes, nous humains, regardant notre nombril comme, finalement, la seule merveille du monde, là !!!!!!! Ô Rage, Ô infamie !!! Nous qui sommes si Grand, si Fort, si Beau, si Unique !!!! Comment peut-on oser réduire une telle singularité ! la comparer même est un crime !!! pfffffff
  13. Oh.. Tu préfères donc les aphorismes aux livres... Je comprends mieux !
  14. Oh, tu n'es pas drôle ! Je te forcais la main mais pas tant que ça non plus !!! Tu veux absolument te voir TOI comme n'aimant QUE par pur altruisme, l'Autre pour lui-même ? Franchement.... Nous savons qu'il n'y a là que du degré, du "plus que subtil" qui se ment surtout à lui-même.... Ah, mais je sais, "peut-être en ce qui te concerne mais ne m'attribue pas ta médiocrité" vas-tu me répondre. Comme je le dis souvent, le langage et nos besoins de justification de nous même comme supérieur dans nos comportements, permet de tout dire, de tromper, de tricher. Et PIRE ! de demander, que dis-je d'IMPOSER ! d'être crû sur parole ! Allors bon...... S'il est si important pour toi d'être sûr et certain, absolument, qu'il n'y aura jamais aucune IA consciente et amoureuse car cela est saintement et religieusement réservé à l'être humain sur son piedestal en or massif, va et soit bienheureux de ta certitude !
  15. C'est le problème récurrent avec l'individualisme hyperbolique.... Y-a-t-il une motivation radicalement différente, aux antipodes de toutes les autres pour chaque inscrit ? Pensez-vous, avec les spiritualistes du forum, que les statistiques sont inutiles, sans valeurs ? Que la médecine ontologiques qui les utilisent se fourvoie, que la météorologie est équivalente à l'astrologie ? Il n'y aucune généralisation possible dans aucun cas ? Pourquoi le mot 'généralité' existe-t-il donc s'il est sans substance ? La diversité est une question d'échelle d'observation et même là ! Une molécule d'hydrogène est légèrement différente à une autre molécule d'hydrogène, mais on parlera de deux molécules d'hydrogène, pas de deux molécules ayant leur propre ontologie, leur unicité, etc. Les différences dont vous parlez sont ici inopérantes, sans importances.
  16. Vous êtes dans l'affirmative, pas la démonstration.... Qui plus est en sous-entendant des insultes. Ce seul dernier fait devrait vous inviter à douter de la rationnalité de ce que vous énoncez, trop d'émotion, trop d'egocentrisme humaniste.
  17. Donc dans UN dictionnaire... que vous choisissez soigneusement pour correspondre à VOS besoins... Le Centre National de Ressources Textuels et Lexical, dictionnaire scientifique, donne lui parmi les différentes acceptions, pour celle qui nous occupe : b) S'approcher (de qqn) pour lui parler, entrer en relation avec lui : 25. La troisième espèce est, de beaucoup, la plus nombreuse : vous reconnaissez les gens dont elle se compose, à leurs prévenances, à leurs civilités obséquieuses, à l'empressement qu'ils mettent à vous apprendre la nouvelle du jour, à vous arracher une réponse insignifiante qui leur donne le prétexte de lier conversation aujourd'hui, et de vous aborder le lendemain comme une ancienne connaissance. V. de Jouy, L'Hermite de la chaussée d'Antin ou Observations sur les mœurs et les usages français au commencement du XIXesiècle,t. 2, 1812, p. 236. 26. Je suis d'une timidité stupide au début. Je n'ai jamais su aborder une femme dans la rue. Je les suis, je tourne autour, je m'approche, et jamais je ne découvre la phrase nécessaire. G. de Maupassant, Contes et nouvelles,Les Sœurs Rondoli, t. 1, 1884, p. 1260. 27. Il faut comprendre, aimer Pascal avec toute notre sensibilité de catholique. Je ne dis pas de croyant, c'est une autre affaire. Mais l'aborder et l'aimer comme un des héros de notre espèce, de notre race, de notre sol, de notre culture, comme l'un des chefs de notre famille. M. Barrès, Mes cahiers,t. 7, 1909, p. 172. 28. De loin on hait merveilleusement. Au contraire, quand on aborde, on trouve le semblable. Mais ce fut une pudeur, encore après la guerre, de ne point vouloir aborder l'ennemi, et de ne négocier qu'avec ceux qu'on sentait d'accord. Alain, Propos,1934, p. 1218. Pas de nécessité d'inconnu donc. Cela peut-être le cas (ex. 26) comme non (ex. 25), ou sans matière (27) On se demande qui RAME en choisissant des définitions si spécifiques qu'avec le terme "inconnu", et surtout pourquoi ? et surtout pourquoi vous esquiver toujours les questions simples : Pourquoi mes chiffres vous dérangent-ils ? Que mettent-ils en jeu ? Pourquoi cela vous oblige-t-il à vous cacher derrière de l'ironie sans matière et des haussements de sourcils sans plus de justification... ?
  18. Rien de nouveau depuis Héraclite et Démocrite donc : d'un certain point de vue, rien ne change et de l'autre "On ne se baigne jamais dans le même fleuve"... Peut-on réduire une machine performante à elle-même ? Et à quelle elle-même ? Une IA est-elle immuable, comme le semble le résultat attendu d'une machine ? Er en ce sens, n'est-elle pas déjà dans ce changement qui qualifie la vie, le souffle de l'anima ? hummm ! C'est une question de degré plus que de nature... Et bien des humains ne sont que des machines, certes, qui ne se baigne pas deux fois dans la même journée de travail, mais quand cela est-il réellement perceptible ? A partir de quand le degré de sens invite-t-il à songer à une machine plus qu'à de l'humain ? Et de l'humain qui serait donc ??? Pas toutes et tous, oui, effectivement. Mais, au fond... pour quelles raisons ? Sur quels fondements ?
  19. D'inconnu ? Où donc avez-vous trouver une définition d'aborder avec "Inconnu" ? pour "de but en blanc", je vais voir ce que vous faites d'une concession : disons alors franchement, directement ! Cela vous va-t-il ou vous faudra-t-ilencore ramer et ergoter ? Qui donc RAME pour éviter de répondre à la question !? Pourquoi mes chiffres vous dérangent-ils ? Que mettent-ils en jeu ? Pourquoi cela vous oblige-t-il à vous cacher derrière de l'ironie sans matière et des haussements de sourcils sans plus de justification... ?
  20. En 1851, les agriculteurs représentaient 65 % de la population française active. En 2018, moins de 1,5 % Alfred Sauvy, dans les années 50, théorisait sur cette base, et les chiffres de l'industrie, qui a son tour voyait certains de ses effectifs diminuer avec l'automatisation pour être absorbé par le tertiaire, à haute valeur [supposément / virtuellement] ajoutée. Les IA vont pouvoir permettre de se défaire de centaines de millions d'emplois où des humains s'ennuient, mais aussi se plaisent tant ils n'y font pas grand chose d'autre que de se promouvoir par du discours et du bidonnage, ou dans lesquels ils sont assez peu efficaces malgré la haute idée qu'ils se font d'eux-mêmes et de leurs compétences (juristes, médecins, AAArtistes, etc.), surtout face à une compétitrice IA, et plus encore à terme d'une trentaine d'année. Rien de nouveau donc puisque cela s'est déjà produit pour des centaines de millions d'autres personnes sur des milliers de type d'emploi sur les deux derniers siècles. Que pensez-vous des agitations que cela suscitent chez les intéressés ? Du tapage médiatique qu'ils arrivent à en faire faire ? Et du suivisme de populations (parfois étant reliées aux intéréssés, ou simplement émotifs devant le 20 h) ? Alors, certes, le déversement ne va pas se faire vers un autre secteur que celui du chômage, ou du loisir et de la consommation. Ce qui était déjà en cours depuis des décennies avec l'informatisation et la poursuite de l'automatisation. Donc vraiment rien, là non plus, de nouveau !!! Cela donnait beaucoup d'emplois creux, vides : Bullshit jobs ; et d'emplois fleurtant avec l'escroquerie, voire ne faisant pas que fleurter, et de plus en plus...... par dizaines de millions Mais lorsque Sam Altman propose, avec d'autres, un revenu d'existence pour tout ces gens qui vont être largués par ce déversement dans le désert, dans la continuité donc des travaux et propositions de revenu d'existence, pas plus nouveau que le reste !!!!! L'échelle change cependant un peu. Beaucoup de gens vont devoir ne plus travailler ou possiblement, si les autres le leur permette, travailler moins. Ce qui correspondrait à une convergence avec les prévisions de Keynes (l'économiste) qui pensait qu'en 2030, on ne travaillerait plus que 15 heures par semaine pour une productivité au moins doublée en regard de celle des années 1930. 1. Préférez-vous / accepteriez-vous une répartition du travail, avec moins de temps de travail pour tous et toutes (mais aussi des salaires diminués de moitié dans un premier temps) ? 2. Préférez-vous un revenu d'existence, et à quel niveau ? Pour en faire quoi ? 3. Dernière possibilité : Ce changement introduit évidemment la structuration du rapport K / W, Capital / Travail. Êtes-vous, communistes ou assimilés, pour un effondrement capitaliste au profit d'une révolution (et à quel cout humain ?) socialisant les entreprises et divisant d'office le travail avec de hautes rémunérations ( x 5, x 10, x 30 ?) pour les 'travailleurs' ne travaillant plus que 15 heures par semaine mais touchant en quelque sorte les dividendes directs de leur propre "plus value" additionnée des gains de productivité gagnés par les immobilisations en technologie ( du K d'état ?) ? A) Comment voyez-vous les modèles de société qui s'en poursuivent ou en émmergent ?
  21. Merci. donc aucune différence entre une IA et un homme ou une femme de ce point de vue.
  22. Et ce serait donc illustratif d'une réponse... artificielle ?
  23. Je me suis exprimé longuement au-dessus sur le sujet, dont je trouve ennuyeux de se réduire à des modalités passées, et lointaines dont la généalogie et bien connue dans ses apports, ou plutôt non apports. Mais bon, donc nous avons fait le tour avant de nous limiter à nos positions
  24. Easle

    Droits d'auteur et IA

    Tu es obligé, comme beaucoup ici d'utiliser ce "fait de la merde" pour... ? Affirmer l'horreur de la chose, le mépris ? La peur ? Combien de temps l'IA aura besoin de toi ? elle qui peut tant faire pour t'aider à créer alors qu'elle n'existait pas hier.... Stress ? Sécurité absolue devant la supériorité infinie et mystique de l'homme, divin ? Personnellement, cela me ravi de voir tous les emplois de "branleurs et branleuses" (pour utiliser le même registre de langue), qui commence à en être affecté, et qui vont se faire remplacer, décalés vers le bas, etc. Tous ces "Zaartistesss, ces JOurnalistes, avOcats, jurIstes, médeCins, enSeignants, etc.". Ces forts en justification réthorique de leur importance, de leur puissance, de leur créativité, de leur Indispensabilité... (dont les maîtres peuplent les cimmetières) qui vont devoir faire un effort de réflexion, réelle, sur leur valeur, sur leurs pratiques... Qui parmi eux s'est ému de la disparition de métiers manuels avec l'automatisation durant le 20e s ? Quel battage médiatique sur les risques pour leurs professions par les tenant des médias ou leurs amis, risibles dans leur pauvre petite nature humaine gigotante face à la grande méchante menace sur leur confort, leur mode de vie. Non, aucune envie, aucune jalousie, seulement l'amusement du retour de bâton, du spectacle de l'arroseur arrosé (même si cela peut bien me toucher et me faire rire malgré tout) !!! Parce qu'un auteur, humain, ne s'inspire de personne ? Ne recopie aucune phrase... ne plagie jamais
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