Easle
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Non, nous avons eu des débats ailleurs, et chacun-e de vous a les mêmes raisons de faire ici corps, antérieurement à ce fil puisque d'ailleurs vous n'y avez apporter quasiment aucun fait, aucune critique de fond, mais uniquement de forme de de personne... Alors pourquoi ne pas plutôt intervenir comme al_flamel, sur le fond ? Arrête ta crise de combat de coq...
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De supérieur ? Vous vous pensez supérieur parce que vous me prenez de haut ainsi que quelques autres ? Et si non, pourquoi le ferais-je ? Montrez moi l'un des intervenants s'être "remis en question" ? Si plusieurs personnes vous insultent et vous renvoient au non droit absolu de vos propos en vertu de leurs idées, nécessairement plus légitimes, vous partez du principe que vous avez donc tord dans le moindre de vos propos ? Car il n'y a aucune nuance qui m'est donnée ici... vous n'êtes absolument pas des "cons". et là c'est vous qui vous victimisez. Mais vous refusez le dialogue, l'échange. Relisez le fil : vous soutenez des personnes qui me disent d'entrée de jeu que mon propos est ce qu'il veulent y voir, sans tenir compte de ce que j'en dis... Et qui juge a priori, avant tout forme de débat, d'idées qu'ils m'imputent !
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Mais interroges-toi, pourquoi aimes-tu agresser ? N'est-ce pas là, d'ailleurs, dans le sujet, cette vision tout à fait de dominant-e : agresser puis traiter l'agressé-e comme risible, fausse victime, et ainsi traiter un homme, avec un relent étrange de "pauvre petite chose fragile". C'est très intéressant Merci !
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Pourquoi t'ai-je simplement posé une question ? Parce que l'époque compte. Oui, depuis Napoléon, le code civil constituait l'homme en seul chef de famille légal. Et les patriarcats ont souvent cette caractéristique. Mais j'ai parlé, justement de la longue histoire. Or non, ca n'a pas été la situation générale des femmes dans toutes les sociétés. Je ne défend aucunement le patriarcat. Je veux simplement me poser la question de ce sur quoi il s'est fondé, de ce qu'il implique comme société, comme cultures, comme civilisation. Et de la possibilité de faire sans s'y référer. Ce pourquoi l'analyse que faisait philomag d'une fiction qui en reprend des schémas qui montre bien la complexité de la relation que les femmes entretiennent tout autant que les hommes au pouvoir...
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Il est possible qu'il y ait gourance. Je n'utilise pas de grands mots inutiles à mon sens. Ni de belles phrases, mais je ne vais pas rétrécir mon style (je n'en aurais même aucun pour certain-e-s évidemment ;), il faut faire feu de tout bois). Je ne méprise jamais les personnes. Mais je n'hésite jamais à prendre en défaut ce qui me semble problématique. Mais à peu près comme tout le monde ici d'ailleurs. Vous pouvez choisir d'en légitimer certain-e-s et d'en délégitimer d'autres par affinités avec des personnes que vous connaissez depuis longtemps ici d'être compréhensif envers untel plus que tel autre, ou par affinité idéologique, assez probable. Le fait de préférer la vulgarité me semble être un peu teinté d'anti-intellectualisme, qui sera évidemment requalifié par les termes les plus agressifs, dénigrants, insultants possible par certain-e-s qui y verront une occasion trop belle puisque c'est un enjeu de territoire, et d'idéologie, qui ne doit en aucun cas se soumettre à une complexification qui sera vu comme complication. Et de fait, vous voyez des effets de groupes, des effets de lynchage aussi se former. Chacun-e embrayant sur l'autre, devant même surenchérir. C'est dommage pour un sujet que je pensais pourtant avoir lancé de façon assez ouverte, mais c'était sans compter sur les effets de poursuite, de chasse. C'est très intéressant d'ailleurs en soi ;). Mais je préfères les gens qui comme al_flamel cherchent seulement l'échange sur le sujet.
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Excellent !!! Mais je ne suis pas agressif moi. Et d'ailleurs on voit ce qui en découle ensuite... Toc, toc, toc...
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Ouais, ouais, ouais, ... et toi avec ta bienveillance haineuse.
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Tu ne peux rien répondre d'autre. On dirait du chatgpt, du langage copier/coller. Les forum invitent effectivement souvent à cela. De fait trois personnes qui en agresse une autre, qui ne fait que répondre à ces attaques, sont des gens bienveillants qui ne nullement dans l'agression quand ils l'insultent... A qui veux-tu réellement faire accroire qu'il s'agit de paranoïa ? Pourquoi ne pas plutôt assumer cette volonté de déformer les interrogations pour imposer une idéologie ?
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Et ai-je dit le contraire de tout cela ? Le soucis, c'est que je poste un fil qui se veut interrogatif, voire mes échanges avec certains. Mais que Toi, comme Pheldwin, cherchez seulement à en profiter pour m'agresser, pour trouver des moyens de me discréditer, pour interpréter, aussi abusivement que possible pour déformer mes propos. Vous ne participez QUE dans ce seul objectif de réussir là où vous avez échoué sur d'autres fils, sans sortir d'une forme de fabrication de l'ennemi. Je ne vois pas de sens à ce type de combat, personnel. Je m'en défend car il me semble important de défendre le sujet, c'est tout. Il suffirait que je dise qu'un avion vole pour que vous me repreniez sur le fait qu'il roule aussi... C'est si agréable d'être du côté du nombre
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Et cela n'est pas de la suffisance Tu es d'une mauvaise foi qui confine à l'humour contemporain.
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Je n'ai pas dit que vous inventiez, juste que c'était réducteur et caricatural lorsqu'on avait l'impression de la description d'une police faites d'individus en situation de handicap mental. Lorsque votre description devient plus précise, elle n'en est que plus intéressante en revanche. Oui, le niveau est faible. Sur ce point, je l'ai dit je suis d'accord. Et je pense même, mais à cela certain-e-s se récrieront, que le niveau, effectivement, baisse, mais pas que dans la police, partout. Et l'expression, évidemment s'en ressent progressivement. Sur le reste, il y a donc des faiblesses de formation. Mais c'est selon vous le seul élément problématique. Rien du coté de la criminalité et de la délinquance ? Elle est structurellement inchangée et sans évolution ? Elle ne doit être vue que sous le prisme de la pauvreté qui l'explique pour l'essentiel (et donc dans toute société humaine ?) ? Et quelles sont vos solutions, à part toujours plus d'argents, de chaque côté ? Ce que tout le monde demande tout le temps comme un mantra magique. Que le racisme doivent être combattu, bien, nous sommes d'accord, mais quelles multiples vagues immigration dans l'Histoire française, avant le 20e s. ?
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Affligeant de réductionnisme. Toujours la même pensée absente, les connaissances bafouées.
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J'ai donné plusieurs éléments, tu veux une bibliographie ? Levi-Strauss. Les structures élémentaires de la parenté. François Héritier. Masculin / Féminin. Pierre Clastres, Archéologie de la violence. Par exemple, pour les fondamentaux. Mais tu réclames à corps et à cri des sources que jamais tu ne proposes, nulle part... C'est surtout cela qui me parait un comble ! Tu parles d'une histoire humaine à laquelle tu sembles être entièrement étrangère. Le révisionnisme et l'eugénisme = l'abomination ? Est-ce là la réduction mentale populaire de notre époque ? En fait, quand tu entends ces mots, tu ne vois que Nazisme s'afficher en rouge et noir ?
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Si j'ai donné ce texte (s'il est vu comme long, je comprends alors mieux le soucis, et aussi la difficulté à le lire réellement) c'est parce qu'il avait ici tout son sens, jusques et y compris en terme de définition : Le patriarcat est avant tout une affaire de famille, donc nécessairement, aussi, une affaire de femmes. Tout simplement parce que l’héritage (un synonyme de « succession ») passe en partie par elles. Victimes et complices du patriarcat, les femmes d’un certain milieu le sont toutes à la fois. Le Patriarcat est un mode de succession, patrilinéaire, (donc par les hommes). Le patriarche choisit, plus ou moins selon les systèmes et leurs formes juridiques, son héritier principal ou le mode de répartition entre ses héritiers. Ce qui peut conduire une fille à hériter d'ailleurs dans certains cas. C'est aussi une représentation symbolique de l'ordre du monde et de sa reproduction. Il a été parfois supposé en anthropologie un matriarcat primitif qui voyait, aussi bien les hommes que les femmes, le ventre féminin comme source de la reproduction, le rôle fécondant de l'homme n'étant pas perçu ou étant relativisé. Dans le patriarcat, la prépondérance du sperme, identifiable à la différence de l'ovule, est vu comme la source de l'être, la matrice féminine étant un simple réceptacle, sur le modèle de la terre et d'une graine. Image que nous conservons malgré tout souvent. Mais le patriarcat a surtout une visée équilibrante : répartir femmes et hommes au mieux de façon à éviter les conflits et à stabiliser le groupe par des liens matrimoniaux essentiellement patrilinéaires (bien qu'il existe des sociétés patriarcales matrilinéaires, probablement pour des raisons d'accident démographique à une époque donnée). Hommes et femmes sont ainsi distribués de façon à ce que le groupe tienne ensemble et puisse se développer et survivre efficacement et s'opposer également à d'autres groupes humains (guerre, très constante dans les sociétés traditionnelles). Les hommes ont cette prépondérance en regard de leur importance pour défendre l'existence du groupe dans une réalité ethnique et territoriale de la survie de celui-ci. Mais la position des femmes n'a jamais été de simple et pure soumission. C'est un système qu'elles coproduisent (marieuses, castes, etc.) en fonction de leurs intérêts propres et familiaux. La patriarcat est comme le texte le dit plus simplement : Une affaire de famille. Certes les mâles sont prépondérants, le plus souvent (pas toujours), mais c'est surtout la famille, la lignée qui compte. Ce qui domine dans le patriarche, c'est la famille bien plus que l'homme, qui peut être tué par ses fils et/ou ses filles si besoin pour la famille. Quelle époque ?
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Ce n'est en rien une définition mais un jugement non étayé, sur un système qui a produit justement les principes démocratiques, républicains etc. On touche là à cette forme de ré-écriture actuelle de l'Histoire, de révisionnisme. Sur la base de l'absence de connaissance historique. Où, quand, comment ? Des exemples précis d'une époque, de récits, de documents, même archéologiques ! (il y en a mais il ne vont pas te dire des choses aussi simplistes ).
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Refus d'obtempérer : un jeune de 17 ans tué
Easle a répondu à un(e) sujet de Zéno dans Actualités - Divers
Suffisamment significatif ? Et donc tu veux recruter des gens en leur demandant d'avancer sans défense (ah si un bâton et un taseur) ? Face à des gens qui le sont potentiellement (avec des armes de guerre parfois). Peut-être vaut-il mieux embaucher des anglais, effectivement. Mais donc, tu restes tout aussi factuel sur les policiers et policières tuées ? Mais serait-ce moins graves car ce serait les .. Risques du métier ? -
Refus d'obtempérer : un jeune de 17 ans tué
Easle a répondu à un(e) sujet de Zéno dans Actualités - Divers
Non, le terme de racaille peut très bien s'appliquer à un individu qui comment pour la première fois des délits en série et ou en bande. De fait c'est une qualification sociale, comme salaud, abruti ou chevaleresque. Mais lorsqu'on se fait détruire son magasin effectivement il est normal de parler de racaille. Et là on en vient justement à la généralisation du fait. Qui n'a d'ailleurs pas échappé aux lfistes, qui deviennent de suite des 'rouges', imaginant une colère 'populaire', sociale, une révolte avec des aspirations révolutionnaires car c'est leur horizon de prise du pouvoir et surtout leur fantasme de mise à bas d'un régime, mieux d'une organisation sociale pour un Grand soir, qui jamais n'expliquera concrète, dans le détail des interactions individuelles à venir, et de la psyché humaine, ce qu'il en attend. Disons simplement que 'tout ira mieux' parce que le père sera mort et qu'on pourra donc prendre sa place... Mais la réalité est bien différente. La police n'est pas là que POUR les citoyens, elle est là pour la communauté nationale également, et de fait elle est là CONTRE les citoyens ou non citoyens qui troublent l'ordre public. Si on ne veut pas d'ordre public, pourquoi avoir une police, pourquoi pas ! Si le mot ordre est insupportable, quel est l'aspiration ? Vraiment, concrètement ? Jusqu'où chacun peut faire ce qu'il veut ... ! ? Quelle loi ? Ou quelles absences de la loi (qui seule permet de réfléchir à s'en passer, même partiellement). Et surtout, comment ignorer la revendication identitaire d'une majorité de ces jeunes à qui une élite de gauche répète sans cesse que la France surtout et plus largement l'Occident forment les pays du mal, la [seule dans les médias] région du monde qui a colonisé, et mis en esclavage, contre laquelle il sont légitimement en droit d'attendre une réparation PERMANENTE (sous forme de rente pour mille an ?), ce qui implique des états structurellement de la pire espèce qui soit : l'homme blanc, par essence, nature, raciste, fasciste, totalitaire, misogine, homophobe, etc. (lui seul à la surface du globe)... Car c'est bien l'image qui leur est donnée. De fait l'inconscience d'un passage avec filtre ultra réducteur des réalités racistes, raciales, patriarcales à étudier et débattre dans un domaine universitaire légitime la pure et simple destruction de la seule civilisation ayant produit sa propre capacité à l'auto-critique... Sa propre auto-destruction en vertu de pratiques que TOUTES les autres cultures au monde ont eu... TOUTES ! On me dira "mais... ce n'est pas ce qui est dit ! " Mais c'est ce qui est donné à être entendu... et cela seulement ! Tout discours sur la racisme africain, sur l'excision, sur le mariage forcé, sur les patriarcats des pays du sud, sur la traite des noirs et des blancs par les arabes, etc. est immédiatement suspect de racisme, ou d'islamophobie et donc interdit ou discrédité pour tel, donc non entendu, non existant. Ce qui est fabriqué, c'est une non intégration à une société horrifique dans ses fondements moraux. Une haine de soi de blancs, aidés en cela par une forme de revanchisme, racial, ethnique, féminin, très largement construit et promoteur de prise de places à prendre, d'argent à réclamer, du même et toujours humain accaparement sur la base des justifications utiles à cet unique dessein. Il y a eu, il y a encore des gens originaires de pays du sud, ou des femmes qui veulent l'égalité, et seulement cela. Mais ils deviennent de moins en moins nombreux et laissent place, surtout à de la simple prédation, ancestrale, humaine, et voulant affirmer la revanche du modèle culturel, de formes culturelles, vu comme plus légitimes car ayant été 'opprimée'. C'est cela qui s'est exprimé ici, et qui ne cesse de monter et s'exprimera encore sur d'autres bases si besoin. Et comme la grenouille... -
C'est une simplification hallucinante, à ton image à mon sens. Tu réduis absolument tout à la simplicité de tes a priori, et de ce que tu as déjà réclamé : le droit de parler sans s'informer, sans s'intéresser aux sujets, sans les étudier... Si tu m'avais lu, ainsi que le texte que j'ai soumis, tu aurais la réponse à ma définition. Mais je suppose que lire ce que j'écris lorsque je ne m'adresse pas à toi (ce qui te permet de tacler, ton seul sport de la semaine ?), est trop chiant, vulgaire, idéologiquement sale, facho, nazi (ou 'similaire aux islamistes' comme tu me le disais avec beaucoup de bienveillance), etc. Ce qui te permet de ne lire que ton bréviaire lfiste. En tout cas, c'est pour l'instant la seule chose que j'ai lu de toi, donc ce n'est pas là un a priori mais un a posteriori. Puisqu'il n'y a pour toi qu'une seule et unique façon d'être de gauche : la tienne en tout point (et ça c'est bien ce que tu as dit dans un fil sur la gauche). C'est à mon sens une de ces formes de pureté idéologique qui mène toujours au totalitarisme. Je trouve un intérêt d'étude et d'analyse aussi bien au patriarcat qu'au matriarcat, au système patrilinéaire pour être plus précis qu'au système matrilinéaire.
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J'aimerai avoir ton avis sur les deux autres questions également D'une part l'assignation à un sexe, s'il n'a PLUS à être obligatoire, ne l'a PLUS uniquement grâce à des évolutions techniques. dans les sociétés agricoles, cette assignation se réduisait en réalité quasiment à la gestation, l'allaitement, l'élevage de la prime enfance, et ce, sur des fondements biologiques : un homme ne peut pas enfanter, il ne peut allaiter qu'avec un cout important sur l'activité nécessaire à la famille, au groupe, de fait il n'est pas enclin à participer beaucoup à l'élevage et n'y est d'ailleurs pas et très peu invité. Sur le reste, femmes et hommes sèment, sarclent, moissonnent, vendent, cuisent, indifféremment. Certaines tâches sont plus souvent masculines ou féminines du fait de l'habitude et de registre qui permettent à chacun-e d'avoir en quelque sorte un pré-carré, une valeur spécifique, qui permet de défendre son intérêt personnel, existentiel, dans le groupe. La division du travail augmente surtout dans une société moins communautaire et plus industrielle, donc en réalité dans des systèmes de forte urbanisation et de processus industriels (dés l'antiquité). C'est une division moins patriarcale que de système de production, et c'est pour cela qu'elle explose dans le système capitaliste. Ce n'est pas pour rien que Marx explique que l'ouvrière devient alors la "prolétaire du prolétaire". Elle ne l'était pas auparavant. Même si la femme avait une position le plus souvent moindre à l'homme (mais surtout pour les cultures du sud (méditerranée, afrique, moyen-orient, orient), beaucoup moins dans les cultures du nord du centre et du nord de l'Europe). Lorsque tu parles de valorisations d'activités à quoi penses-tu ? (ménage, élevage, etc.) ? Que fait-on du symétrique traditionnel avec beaucoup d'hommes qui font du bricolage (réparation du toit, de la clôture, des volets, de la serrure, entretien du jardin - parfois mixte -, etc.) dont on ne parle jamais sur le même principe ? Quid des droits que tu évoques ? de l'argent ? Toujours plus de capitalisation, de marchandisation des actions humaines, des activités ? Ou des droits de retraite, etc. Et genrées ou pas ? D'autant que certaines féministes vont pouvoir te dire que cela inciterait des femmes à reproduire leur place à la maison ou de génitrice en y voyant un cocon douillet plutôt que de sortir faire une 'carrière'... Ce à quoi les concernées et possiblement autant féministes expliqueront que c'est un choix de vie qui en vaut un autre et qu'une carrière de journaliste ne vaut pas mieux "par essence" mais uniquement dans une perception individuelle. Pour ton dernier paragraphe, désolé, je ne veux en rien être trop critique mais c'est un peu "langue de bois"... Qu'est-ce que le "bon sens" ? On peut tout mettre derrière ça. N'y-a-t-il pas là cette vision religieuse, hégélienne, d'une sorte de linéarité de l'Histoire, allant du moins au meilleur, de la barbarie au progrès ? Une vision entachée de mysticisme et qui n'a plus aucune valeur historique actuellement. Et donc le pire est l'enfer écologique des progrès de notre espèce et de son grouillement à la surface de ce petit globe.
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En quoi me tromperais sur les sociétés capitalistes ? Elles ne sont pas formaté à penser en terme d'innovation ? Tu me parles d'innovations russes, oui, et alors, cela montre, au mieux ce qu'était le communisme appliqué : un capitalisme d'état, fortement redistributif mais peu efficient dans sa dynamique, justement, d'équipement et d'innovation (très concentrée vers les courses internationales - armement, spatial). Donc, si je me TROMPE ! Démontre moi que le capitalisme ne repose pas sur une positivité de l'innovation, en particulier par une permanente destruction créatrice. Ah tu en es encore à ta vision hyper individualiste ou chacun pense et fait dans son coin sans discuter avec les autres, sans regarder, sans imiter, sans s'inscrire dans des groupes, des parties, des mouvements, etc. ton individu, à chaque génération n'apprend rien des autres, il réinvente la roue, le papier, le stylo, ce qu'il mange, ce qu'il construit pour habiter, ce qu'il sait du soleil, des autres planètes, re-créé du divin et des rites etc. ? Franchement ? Tu ne vois pas l'absurdité ? Dommage que tu n'ais pas lu le texte, pourtant court, que je proposais.
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D'une, un niveau faible et une difficulté à s'exprimer que vous décriviez assez près du handicap mental, c'est extrêmement différent, sauf à avoir une lecture purement réductrice et caricaturale. De deux, une restructuration... Mais pour la gauche, la restructuration de la police passe par moins de policiers, des policiers qui ne sont aucunement inquiétant. Or comment un policier pourrait ne pas être inquiétant pour un délinquant sauf à ce que ce dernier sache qu'il ne risque RIEN. On ne parle pas de mort, mais être pris et mis en prison est INQUIETANT ! Pour supprimer l'inquiètude, comment faire autrement qu'en supprimant les sanctions. La gauche veut une police qui ne soit occupée qu'à sanctionner les riches qui ne paient pas leurs impôts (et ce serait bien effectivement), et qui tabasse des fachos, une loi qui interdise les expressions que la gauche pourra, elle-seule, définir comme illégales car de droite (à l'image de ce que fait la droite, symétrie par exemple entre l'écoterrorisme et l'islamophobie). Et une police qui aide des vieilles dames à traverser, indique le supermarché ou la station essence la plus proche, etc. Et tout cela ne serait pas nier des problèmes de fond bien plus important ? Les conflits entre culture n'existent donc pas, sont des fictions ? L'histoire des guerres donc, dans TOUTES les cultures, dans TOUS les pays, serait une invention ? Va-t-on ré-crire l'Histoire humaine ? Le vol, la violence, ne sont que des problèmes de "pauvreté"... relative aux plus riches ? En abolissant la richesse, on abolit donc le désir d'êtres humains à avoir plus que d'autres ? On abolit la psychologie humaine ? Tous vont penser comme une seule femme avec la même passion pour une égalité de fait quasi parfaite et des comportements amènes, souriant, calme, etc. ? Vous voyez vraiment le monde à travers une utopie virtuelle aussi lointaine ? Et SINON ! Quels moyens ? 5 ? 15 ? 30 milliards de budget ? Allons-y, discutons dans le détail. Quel budget ? Et pour faire quoi ? Payer les policiers 2000 ? 3000 ? 7000 € par mois ? Personnellement même à 12.000 € par mois je ne ferais pas ce métier. Et d'ailleurs l'argent suffit-il ? Etes-vous ce libéral convaincu qui pense que les hommes ont simplement un prix ? Y-a-t-il des êtres humains qui ont envie de mettre leur vie en jeu pour aider leurs concitoyens face à une violence qui peut entrainer leur mort ? Et s'il existe de tels êtres humains alors il existe aussi leur symétrie non ? Donc des criminels, la boucle se boucle. De bonnes conditions de travail ? Lesquelles ? Ou une police racialisée ? des noirs en face de noirs, des blancs mats en face de blancs mats, des roux en face de roux ? Expliquez-moi, le fond de votre vision des rapports sociaux à l'illégalité...
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Ce n'est en rien l'inverse, et en fait tu le démontres assez justement en simplifiant le patriarcat, c'est à dire des milliers d'histoires dans des milliers de cultures en une phrase... Si ça, ce n'est pas une description idéologique au dernier degré... D'autre où ais-je défendu ici le patriarcat ? c'est simplement hallucinant de te lire. Tu vis vraiment dans un autre monde. Aucune référence, aucune lecture, aucun faits, rien de rien... Tu n'es pas seulement enfermé dans ton idéologie, tu vis, tu es ailleurs.
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Mais le problème n'est pas de voter pour ou contre un mouvement anthropologique ! Plutôt de savoir ce qu'il veut changer, et d'où cela part-il, et avec quels objectifs, au pluriel car s'il est vrai qu'il y a des généralités, au sens de catégories, classes, minorités, communautés etc. il existe donc des intérêts qui, pour n'être pas purement individualisés, sont cependant multiples et non unique, promettant une "révolution" idéalisée et monolithique. Et puis, dans une société capitalistes, les gens sont formatés à positiver l'innovation, de fait TOUT changement en devient 'bon' par nature sans même se poser de questions. C'est contre ce réflexe pavlovien que l'éthique et la réflexion sont important. Arrivé à ce point de la discussion, et puisqu'Elisa y tenait, mais que je voulais d'abord voir ce qui venait spontanément, je propose un texte court parmi bien d'autres, que je viens de trouver, et qui expose très bien la problématique. https://www.philomag.com/articles/succession-quy-t-il-apres-le-patriarcat
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Merci !!! Intéressant. Mais lorsque tu dis un rôle "aussi" prépondérant, n'y-a-t-il pas antinomie dans les termes ? L'égalité est une aspiration, légitime, de tout-e un-e chacun-e idéalement, mais aussi la liberté. Or l'égalité implique des contraintes aux libertés, et inversement. Pourquoi et comment un équilibre se mettrait-il en place qui n'avait pas pu naître avant ? Et dans le patriarcat tous les hommes dominaient-ils / dominent-ils toutes les femmes ? Quelles sont les raisons qui ont fait que les sociétés humaines, souvent sans rapport entre elles, ont produit une organisation patriarcale quasiment partout ?
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Sans compter qu'il peut y avoir, pour beaucoup de femmes, mais aussi d'hommes (et de plus en plus d'ailleurs) un enjeu autour de la cuisine, du lieu, comme de la préparation du repas, en tant que technicité, que domaine de reconnaissance, de pouvoir aussi sur les besoins des autres membres du foyer qui doivent en passer par la 'maîtresse' de maison. Le "foyer" reste depuis Hestia un haut lieu d'une domination féminine cachée sur l'intérieur. La rupture actuellement désirée de répartition entre Hermes et Hestia (l'extérieur et l'intérieur) se produit dans un monde ou l'extérieur n'est plus aussi risqué qu'avant et semble alors bien plus avantageux en terme de coûts / satisfactions personnelles. Ou en tout cas en terme d'idéalisation de ce rapport coût / bénéfice. Quand bien même, certaines veulent bien prendre plus de part au pouvoir extérieur, sans pour autant lâcher parfois certaines des fonctions de l'intérieur, telle la cuisine (personne en revanche n'a jamais voulu des responsabilités du nettoyage qui fait que les jeunes, filles comme garçons, ont tendance à privilégier actuellement la porcherie comme expression intérieure de soi).
