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Comment l'École peut-elle jouer un rôle pour sensibiliser aux inégalités entre les femmes et les hommes ?
Anonymous304 a répondu à un(e) sujet de goods dans Société
En traitant les filles et les garçons de façon égalitaire. Par exemple supprimer les douches communes pour garçons dans les gymnases et les remplacer par des douches privées afin de donner aux garçons les même droits qu'aux filles. Supprimer l'évaluation séparée des garçons et filles en séances de sport forcé. Les filles bénéficient d'une notation plus clémente du simple fait qu'elles sont des filles, c'est un sexisme inadmissible. Un garçon qui naît avec un code génétique qui lui confère des performance sportives de fille n'aura pas droit à une notation plus clémente du seul fait qu'il est un garçon. Les filles sont automatiquement mise dans le groupe des mauvais en sport, et les garçons dans le groupe des bons. L'évaluation est plus clémente pour le groupe des mauvais. C'est de la discrimination. Les garçons aussi devraient avoir le droit de faire partie du groupe des mauvais et ainsi bénéficier d'une notation/évaluation plus clémente. De même, les filles bonnes en sport devraient avoir le droit de faire partie du groupe des bons, et ainsi subir une notation/évaluation plus sévère. Le mieux serait de supprimer les deux groupes et d'évaluer garçons et filles de la même façon. Je pense également que l'oppression scolaire qui pèse sur les élèves avec des activités scolaires forcées influence de façon néfaste les relations sociales entre jeunes et qui se perpétue même une fois adultes. Il faut en finir avec les activités scolaires forcées et laisser les jeunes prendre des cours à la carte. Les filles semblent en général plus attirées par les matières non-scientifiques, et les garçons l'inverse. Forcer les jeunes à subir des activités qu'ils n'aiment pas peu faire naître chez certains une rancune contre le groupe qui aime ces activités. Donc une fille qui déteste les mathématiques pourra avoir de la rancune envers le groupe qui les apprécie: les garçons, à l'inverse un garçon qui déteste la littérature pourra développer de la rancune contre le groupe qui l'apprécie: les filles. D'où l'importance de laisser les jeunes prendre les cours à la carte, et ainsi supprimer l'oppression des activités scolaires forcées. -
Ce n'est pas hors sujet, c'est une comparaison avec les examens génitaux forcés qu'il y a eut en France, et qui semblent avoir toujours lieu en Belgique, et dont aucuns médias ne parle. Certains crient au scandale quand ça se passe au Qatar, mais quand ça se passe en Europe, certains en viennent même à défendre ces examens génitaux forcés en refusant que les qualifier de viols ou agressions sexuelles. J'ai donc mis en évidence cette incohérence dans le comportement des médias et de certaines personnes.
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Certains experts sont opposé au décallotage, l'observatoire de la santé du pénis le considère même comme inutile et dangereux, l'article suivant en parle: https://www.journaldesfemmes.fr/maman/guide-bebe/2055206-decalotter-bebe-pour-ou-contre-age/
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Que ce soit au Qatar ou France, un viol est un viol. Quand la personne n'est pas consentante, il s'agit bien d'un viol, peu importe le diplôme de l'agresseur ou agresseuse. Tu voudrais nous dire que les passagères de l'avion n'ont pas été victime de viol car c'est un médecin qui a pratiqué l'examen gynécologique forcé ? Les médecins/infirmiers sont des êtres humains comme les autres, pourquoi ce ne serait pas un viol quand l'auteur de l'acte non-consentit est médecin ou infirmière ?
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C'était ironique, évidemment que si on peut comparer deux infirmerie et deux médecins.
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C'est sûr, on ne peut comparer un médecin Qatari avec un médecin français, et on ne peut comparer l'infirmerie de l'aéroport avec l'infirmerie scolaire d'un collège français.
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Non, je dit que quand il n'y a pas consentement de la personne, ce n'est pas médical, et c'est donc un viol. Pourquoi la femme "médecin" n'a pas demander l'autorisation avant de décalloter le pénis par surprise ? Pourquoi elle n'a pas proposer de me décalotter moi même ? Ce sont tes propos qui sont honteux ! Tu semble souloir faire croire qu'un viol n'en est pas un, sous seul prétexte que l'acte non-consentit est fait par un "médecin" dans une "infirmerie scolaire" ? C'est ça ?
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Peu importe, j'ai perdu mes anciens identifiants, je voulais juste mettre en évidence le fait que quand il y a des examens génitaux forcés au Qatar, ça fait un scandale médiatisé, mais quand la même chose se passe en Europe, là, aucuns médias n'en parle. Combien de médias ont parlé des examens génitaux forcés qui ont eut lieu en France, et ceux qui semblent avoir encore lieu de nos jours en Belgique ? Ca me fait penser à du racisme anti-arabes. Tu n'as pas d'arguments... Je lui ai posé une question, et j'attends sa réponse.
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Parceque les filles ne peuvent pas avoir de problèmes sexuels, ni de maladies sexuelles ? Je comprends pas, est-ce que tu veux dire que les filles auraient plus le droit au respect de leur sexe que les garçons du simple fait qu'elles sont des filles ? Tu dirais ça à une fille qui s'est fait violée dans la rue par un inconnu ? Moi la femme "médecin" scolaire qui m'a violé, je ne la connaissait pas, c'était une inconnue. Quand au lieu du viol, la prétendue "infirmerie scolaire", ce n'est pas le lieu où se déroulent des faits qui détermine si un acte est ou non un viol. Le lieu où je me suis fait violé n'était pas une "infirmerie scolaire" comme le prétendait l'éducation nationale, c'était en réalité une salle de viol. Ce n'est pas non plus un bout de papier avec écrit "médecin", le diplôme de celui qui fait l'acte, qui détermine si l'acte est ou non un viol. C'est le consentement ou non-consentement de la personne qui détermine si un acte est ou non un viol ou une agression sexuelle.
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Et pour les filles, y'a rien à vérifier ? En tout cas, pas sans leur consentement... Pour les garçon, le consentement n'a aucune importance ? Un examen médical forcé sur un jeune, c'est de la pédocriminalité, le corps du jeune n'appartient pas à l'état, ni au médecin, ni aux parents. On ne va pas faire vérifier son enfant chez un pédiatre comme une voiture chez un garagiste. Un jeune, c'est un être vivant qui souffre quand on lui manque de respect. De routine ? Et est-ce que ton enfant était consentant ? Est-ce que le pédiatre à demandé l'autorisation de toucher à ton enfant ? Un examen génital c'est loin d'être banal, moi je compare pas ça une palpation des sein, mais à un toucher du clitoris. Si la pudeur existe c'est que le respect des zones sexuelles est très important non seulement pour le bon développement psychique de l'enfant, mais aussi pour sa bonne santé psychique. C'est aussi important de respecter les zones sexuelles des jeunes que celles des adultes. Je vois pourquoi seuls les adultes auraient droit au respect de leur sexe et du reste de leur corps. Quand c'est un acte imposé à la personne contre sa volonté, ce n'est pas médical. C'est l'inverse de la médecine puisque ça altère la santé psychique de la personne en la faisant souffrir, voir même en la traumatisant.
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Forcer un jeune à se déhabiller en public, c'est de la pédocriminalité ou pas ? Forcer un jeune à se faire "ausculter", c'est de la pédocriminalité ou pas ? Moi tous les médecin/infirmier scolaire à qui j'ai eut affaire m'ont forcé au moins à me déshabiller, et certains sont aller beaucoup plus loin, jusqu'au viol de mon pénis. Tu parles d'abus qui seraient des actes isolés, comme par hasard je suis tombé sur deux femmes pédocriminelles dans la même infirmerie: l'infirmière était aussi présente pendant l'examen génital forcé que j'ai subit. Comment elles ont fait pour se reconnaître entre pédocriminelles ? Et je suis pas le seul à avoir subit ça, mes camarades de classe aussi, et il y a d'autres témoignages sur internet. Il y a plein de gens qui trouvent ça normal, regarde le sujet "un examen génital forcé est'il une agression sexuelle", certains pensent que "non". Lien:
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Ben si, il y a écrit "examen clinique". Voici ce que j'ai trouvé: Examen clinique : abdomen, appareil génital externe et rectum: https://www.pratique-infirmiere.com/pratique-soin/706/examen-clinique-abdomen-appareil-genital-externe-et-rectum L'examen génital peut donc faire partie d'un examen clinique. Et comme l'arrêté ministériel ne précise pas si il doit être complet ou non, c'est au choix du médecin/infirmier scolaire, mais certainement pas au choix du jeune, sinon ce serait facultatif, alors que la loi dit "dépistages obligatoires". Lors des visites médicales scolaires, ce n'est pas au jeune de décider, car les dépistages sont obligatoires de par la loi. C'est donc le médecin et l'infirmière scolaire qui décident du contenu de l'examen clinique. La loi et l'arrêté ministériel ne font aucune exception au dépistages des problèmes de santé sexuels. Le jeune n'a pas son mot à dire, il doit se soumettre à l'examen clinique décidé par le médecin/infirmier. De plus, même sans parler de l'examen clinique et des examens génitaux forcés pratiqués en france par le passé, choper un jeune dans la rue et le forcer à se déshabiller c'est de la pédocriminalité. Mais si on fait ça dans un collège, là, ça n'est serait pas ? Ce n'est pas le lieu où l'on force le jeune à se déshabiller qui détermine si un acte est pédocriminel. Même dans un collège, même dans une prétendue infirmerie scolaire, c'est quand-même de la pédocriminalité.
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Si, il y a un lien avec mes affirmations, tu dois probablement troller ou avoir un déficit intellectuel qui t’empêche de voir le lien. Tu affirmes que me propos seraient des mensonges, prouves le, apporte les textes de lois disant que les visites médicales scolaires et examens/dépistages qu'elles comportent seraient "facultatives" ? Tu te ridiculises, tout le monde sait que les visites médicales scolaires sont obligatoires.
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Ah, parcequ'un "examen" forcé du pénis des garçons, ce n'est pas scandaleux, ce n'est pas un viol selon toi ? Ni même une agression sexuelle ? Le sexe des filles n'appartient qu'à elles même, quand au sexe des garçon, il appartient à l'état, et aux médecins/infirmiers scolaires ? C'est ça ta vision des choses ? Il est question d'examen clinique, or un examen clinique complet comprend un examen des organes génitaux externes. Concernant les poursuites judiciaires, voici les texte que font jouer les services sociaux en cas de refus du jeune de se soumettre aux examens médicaux obligatoires: Article 227-17 du code pénal: Le fait, par le père ou la mère, de se soustraire, sans motif légitime, à ses obligations légales au point de compromettre la santé, la sécurité, la moralité ou l'éducation de son enfant mineur est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. L'infraction prévue par le présent article est assimilée à un abandon de famille pour l'application du 3° de l'article 373 du code civil. https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006418055/ Les parents sont sensé avoir autorité sur leur enfants. Et il va de soit que lorsqu'un jeune ne se soumet pas à la volonté de l'état, le gouvernement ne restera pas les bras croisé sans rien faire. Les visite médicales, et examens/dépistages qu'elles comportent sont obligatoires, et pas facultatives, ça veut dire qu'en ca de refus de s'y soumettre il y aura des représailles contre le jeune et sa famille, c'est logique. Il va de soit que le jeune insoumis sera également punit, puisque si ses parents vont en prison il sera placé en foyer prétendument "éducatif" ou dans une famille d'accueil, ainsi il sera coupé de sa famille. Tu vas donc pouvoir sans difficulté apporter la "preuve" qu'ils sont, selon toi, "mensongers" ? Tes lecteurs attendent probablement ta réponse et tes prétendues "preuves" avec impatience.
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L'annexe I de l'arrêté ministériel suivant impose un "examen clinique" des jeunes scolarisé lors de la sixième année et parle "d'évaluation" de la situation clinique lors de la 12ème année. Je vois mal comment évaluer la situation clinique sans faire d'examens et sans forcer le jeune à se déshabiller. Arrêté du 3 novembre 2015 relatif à la périodicité et au contenu des visites médicales et de dépistage obligatoires prévues à l'article L. 541-1 du code de l'éducation: https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000031425153/ Concernant la belgique, je ne sais pas quels sont les textes, mais d'après ce que j'ai lut sur internet il semblerait que l'examen génital des jeunes lors des visites médicales scolaires soit systématique.
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La question est aussi de savoir si ces "examens médicaux" forcés sont légaux au qatar. Car si ils le sont, comme en france et en belgique, ça fait encore plus froid dans le dos. La france et la belgique ont des lois pédocriminelles pour forcer les jeunes à subir des actes prétendument "médicaux" obligatoires sous la menace de punition. Un jeune qui ne se soumet pas aux visites "médicales" scolaires obligatoires aura de gros problèmes avec les services sociaux et la justice, en france, et probablement aussi en belgique. Sans oublier les examens génitaux obligatoires pour femmes enceintes sous menace de retrait des allocations familliales, ce qui impacte fortement la vie des familles pauvres. Les occidentaux feraient bien de balayer devant leur porte avant de critiquer les arabes. En france il y a eut beaucoup "d'examen génitaux" forcés lors des visites "médicales" scolaires, et il semblerait que ce soit encore aujourd'hui systématique en belgique. Ces prétendus "examens" sont évidemment des viols et n'ont rien de médical, que les victimes soient des filles ou des garçons, car un décalottage du pénis, forcé et sans consentement, est un réel viol malgré que la définition légale du viol ne parle que de pénétration. Ce n'est pas parcequ'un inconnu a écrit "un viol c'est ça et rien d'autre", qu'il faut le croire et se soumettre à sa définition du viol. En france, un arrêté ministériel impose que les jeunes soient soumis à un examen clinique. Or un examen clinique complet comprend l'examen des OGE (organes génitaux externes). La loi parle de dépistages médicaux obligatoires. Obligatoire, ça veut dire que c'est pas le jeune qui choisit quels examens il souhaites subir, c'est le gouvernement qui choisit, et quand il n'est pas suffisamment explicite, c'est le prétendu "médecin" ou prétendu "infirmière" scolaire qui choisit à la place du jeune victime de ces visite médicales forcées. Si on laisse le jeune décider pour lui-même des dépistages qu'il subit, alors ces dépistages ne sont plus obligatoires mais facultatifs. En france, un jeune c'est comme un chien, ça doit obéir au doit et à l'oeil des adultes, ça doit se soumettre à leur volonté de tripotter. Vu la loi pédocriminelle qui oblige au dépistage obligatoire des jeunes, et l'arrêté pédocriminel qui impose un examen clinique, ça fait vraiment froid dans le dos de savoir qu'un tel gouvernement est chargé de l'éducation de nos enfants. En france le corps des jeunes appartient au gouvernement et aux médecins/infirmières scolaires. La convention de genève dit qu'en tant de guerre il faut respecter la pudeur des femmes et des enfants, c'est sexiste et il faudrait rajouter respecter la pudeur des hommes aussi. Mais la france, ne respecte pas cette convention, même et temps de paix et envers sont propre peuple. On peut donc bien parler de pédocriminalité d'état, et même d'état pédocriminel. La france est un état pédocriminel. Quand on respecte un jeune, on ne le force pas à se déshabiller et encore moins à se faire tripotter par qui que ce soit. Aucuns médias européen ne dénonce cette pédocriminalité d'état en france et en belgique. Aucuns médias ni associations de défense des droits de l'Homme du type Human Right Watch ne crie au scandale. Alors ce gens d'article qui fait froid dans le dos ressemble beaucoup à du racisme anti-arabes.