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Tout ce qui a été posté par zorba
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lol tous les emplois sont précaires!! c est plutot la france qui est pauvre à coté;d ailleurs quand l Aquitaine était anglaise ,le sud ouest était hyper prospère
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c est les memes ringards qui critiquent les cheveux longs ;l ultragauche a autant à voir avec lui,qu un indien cheyenne a à voir avec le pape;il caricature les anarchistes car il sait meme par réflexe de classe inconscient,qu ils sont la gauche qui fait la révolution,qui change le monde
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Que pensez vous des filles qui veulent finir seules ?
zorba a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
tu dis çà parce que tu ne vis pas en couple;Evidement,vu de l extérieur ,on ne peut pas à voir un couple,imaginer la fréquence des rapports mais c est tous les jours et de plus en plus;il arrive meme que certains quitte leur travail car ils ne peuvent plus sortir de leur lit tant la passion est intense par l effet des phéromones -
Que pensez vous des filles qui veulent finir seules ?
zorba a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
tu émets pour concept " la mégère,non apprivoisée",ok,right,mais après tu reves et tu veux que la terre entière s oblige à trouver çà vrai ou possible -
Que pensez vous des filles qui veulent finir seules ?
zorba a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
çà ,c est un scoop,tu peux te joindre au concert de lamentations féministes médiaticodélirantes, mais tu resteras ignorante des secrets d alcove -
Que pensez vous des filles qui veulent finir seules ?
zorba a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
je vais etre prosaique;si la femme est seule comment a t elle une sexualité équilibrée? Elle ne couche pas tous les jours? -
A chaque manif altermondialiste , les BB y sont politisés ,ne cachent pas leur slogans,ont leur défilé et ont des actions ciblées intelligem ent plus symboliques que ce qui est vu en france,d ou un doute légitime quand l article résume ce mouvement politique à une "manière de manifester"
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LES DOMESTIQUES OU LES EMPLOIS PRECAIRES
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Que pensez vous des filles qui veulent finir seules ?
zorba a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
c est une invention cette solitude,la vie est partout sur terre ,comme disait coluche,ceux qui sont à la fois malades,pauvres et moches vont avoir plus de mal à s en sortir;c est vrai que pour jauger ses atours et ses atouts,il faut comparer.Souvent celle qui finit seule c est soit elle n avait pas la bonne stratégie,soit à force d en vouloir trop ,elle a plus rien,juste retour du destin -
10/01/2021 L'article à lire pour comprendre ce qu'est vraiment un black bloc https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/gilets-jaunes/l-article-a-lire-pour-comprendre-ce-qu-est-vraiment-un-black-bloc_3254075.html 2/7 Il n'y a pas un seul black bloc, mais des black blocs, qui se forment à un instant T dans des manifestations puis qui se dissolvent avec elles. Francis Dupuis-Déri, politologue, à franceinfo Les participants défilent alors derrière des banderoles aux slogans anticapitalistes ou anti-Etat. "Certains renforcent leurs banderoles avec des plaques de bois, ce qui nous permet de nous protéger des tirs de LBD et des coups de matraque", explique à franceinfo Isidore*, un militant anarcho-communiste de l'ouest de la France. Cette configuration permet aussi "d'éviter la fragmentation du bloc", indique une note du Centre de recherche de l'école des officiers de la gendarmerie nationale (CREOGN), ajoutant que, dans ce contexte, "l'interpellation d'un individu est rendue difficile voire impossible". D'où vient ce type de manifestation ? Sortons les livres d'histoire. Ce type de manifestation est né en Allemagne, au tout début des années 1980. Le Mur est toujours debout et, à Berlin-Ouest, des militants autonomes ont investi des squats. Quand les autorités tentent d'évacuer ces lieux, certains occupants creusent des tranchées, volent des bulldozers pour dresser des barricades et n'hésitent pas à en découdre avec la police. Pour ne pas être identifiés, les squatteurs manifestent en groupe, vêtus de noir et le visage dissimulé par un masque. Lors des procès, les juges parlent de "Schwarzer Block", "black bloc" en allemand. Cette "tactique" se diffuse au sein du milieu anarcho-punk, via la musique et les fanzines. De petits black blocs apparaissent alors ponctuellement aux Etats-Unis et au Canada, jusqu'à un sommet de l'OMC à Seattle, en 1999. Les militants altermondialistes, qui tentent de bloquer le centre des congrès où se tient l'évènement, sont aspergés de gaz lacrymogène par la police. En réponse, un black bloc constitué de plusieurs centaines de manifestants affronte les forces de l'ordre et fracasse les vitrines des banques et des multinationales de la ville. Les images, spectaculaires, font le tour du monde. Les chaînes de télévision baptisent l'évènement "la bataille de Seattle" et évoquent des "saccages anarchistes". "Paradoxalement, c'est cette couverture médiatique inédite qui a participé à l'exportation du phénomène, explique Francis DupuisDéri. A chaque fois qu'il y a un sommet international, les militants anticapitalistes locaux décident d'imiter cette tactique." Réunions du FMI à Prague ou à Washington en 2000, sommet du G8 à Gênes en 2001… On retrouve des black blocs lors de tous ces événements. Et en France, c'est arrivé quand ? Un black bloc se forme à l'occasion d'un sommet de l'Union européenne à Nice, en 2000, mais la première mobilisation d'ampleur a lieu en 2009 à Strasbourg, en marge d'un sommet de l'Otan. D'après les chiffres de la préfecture, 2 000 manifestants attaquent un ancien poste de douane, l'office du tourisme et des distributeurs de billets. Four Days in Seattle The 1999 WTO Riots plus news stories one week later 10/01/2021 L'article à lire pour comprendre ce qu'est vraiment un black bloc https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/gilets-jaunes/l-article-a-lire-pour-comprendre-ce-qu-est-vraiment-un-black-bloc_3254075.html 3/7 Un manifestant contre le sommet de l'Otan, devant une barricade en ammes à Strasbourg, le 4 avril 2009. (AXEL SCHMIDT / AFP) Logiquement, on retrouve ces formations dans les ZAD, notamment à Notre-Dame-des-Landes ou lors de la mobilisation contre le barrage de Sivens, au cours de laquelle Rémi Fraisse a été tué par une grenade lancée par les gendarmes. Les black blocs prennent une ampleur inédite en 2016, pendant les manifestations contre la loi Travail. "C'est lors de ce mouvement qu'est apparu ce qu'on appelle maintenant le 'cortège de tête'", explique Francis Dupuis-Déri. Contrairement aux autres mobilisations, où les black blocs se constituaient habituellement au milieu des manifestations derrière les cortèges plus traditionnels de syndicats, ils ont réussi à s'imposer au premier rang. C'est une vraie particularité française qui donne au black bloc une grande visibilité. Francis Dupuis-Déri, politologue, à franceinfo Depuis, des black blocs se forment régulièrement lors de manifestations. Cela a été le cas le 1er mai 2018 ou le 16 mars dernier, quand "gilets jaunes" et black blocs ont attaqué de nombreuses enseignes des Champs-Elysées, dont le célèbre restaurant Fouquet's. Des événements qui ont causé le limogeage du préfet de police de Paris, Michel Delpuech. Mais pourquoi ils cassent tout ? Manifestations des "gilets jaunes", mobilisations d'agriculteurs, blocages de lycées… En France, il n'est pas rare que les mouvements sociaux occasionnent de la "casse". Mais les participants aux black blocs ont la particularité de revendiquer la violence et de la placer au centre de leur action. "Ils se mettent en scène et essaient d'adopter l'image que les médias et les autorités donnent d'eux : celle de l'ennemi public numéro 1, analyse Francis Dupuis-Déri. Avec le black bloc, la cible est le message." "On s'en prend à ce que l'on considère comme des outils de l'oppression capitaliste : les banques, les assurances, les panneaux de publicité, les enseignes de multinationales", nous énumère Isidore*. "Nous attaquons des emblèmes, des entités matérielles et non des individus (…) Ces actions replacent l'humain comme valeur fondamentale face aux objets tant adulés par le capitalisme", peuton lire sur un texte de revendication retrouvé sur le McDonald's saccagé lors du 1er-Mai. "La tradition, chez les participants au black bloc, c'est 'on attaque le matériel, on ne fait pas de victimes'", explique Sylvain Boulouque, historien spécialiste de l'anarchisme. Pourtant, deux épisodes récents semblent déroger à cette règle : les vitres brisées de l'hôpital Necker pour enfants pendant les manifestations contre la loi Travail à Paris et l'incendie d'une banque située dans un immeuble d'habitation, le 16 mars dernier, toujours à Paris. "C'est quelque chose que l'on ne voyait pas avant, remarque l'historien. Peut-être le fait de jeunes manifestants encore peu aguerris aux pratiques du black bloc. Cela montre en tout cas que le mouvement n'est pas uniforme." 10/01/2021 L'article à lire pour comprendre ce qu'est vraiment un black bloc https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/gilets-jaunes/l-article-a-lire-pour-comprendre-ce-qu-est-vraiment-un-black-bloc_3254075.html 4/7 Ce ne sont pas tous des anarchistes ? Ce n'est pas aussi simple, d'après les spécialistes. "On retrouve dans le black bloc toutes les composantes de la gauche révolutionnaire anticapitaliste", décrypte Sylvain Boulouque, citant pêle-mêle "des anarchistes, des marxistes révolutionnaires, des écologistes radicaux ou des autonomes". Ce dernier terme renvoie à un courant d'ultragauche prônant la lutte, parfois violente, pour vivre en autonomie vis-à-vis de l'Etat et de l'économie capitaliste. Par extension, l'expression "mouvance anarcho-autonome" est utilisée par les autorités – de façon souvent imprécise, comme le souligne L'Humanité – pour qualifier toute cette galaxie d'ultragauche, des zadistes de NotreDame-des-Landes au "groupe de Tarnac" en passant par les participants aux black blocs. "On retrouve aussi des féministes et des militants queer radicaux dans le black bloc, ajoute Francis Dupuis-Déri. On pense souvent le black bloc en termes masculins, mais il regroupe de plus en plus de femmes, ce qu'on ne remarque pas forcément à cause des vêtements noirs." Quel est le prol des manifestants du black bloc ? C'est la grande question. Interrogé sur ce point, Isidore répond du tac au tac : "Les médias sont obsédés par l'idée de dresser un profil sociologique type des participants aux black blocs. La réalité, c'est qu'on retrouve sous les cagoules tous ceux qui subissent ou constatent la violence étatique : des prolétaires, des étudiants, des intellectuels, des personnes racisées des quartiers populaires, des femmes…" Une mystique de la révolte anonyme et populaire que l'on retrouve régulièrement dans les publications liées aux black blocs. Ainsi, un communiqué de militants italiens affirmait : "Voulez-vous voir les visages sous les foulards, les casques, les cagoules ? Ce sont les mêmes qui vous versent un loyer pour des logements décrépits." Ce sont les visages qui préparent votre cappuccino, ce sont les visages de celles et ceux dont le sang est drainé par la précarité, dont la vie est de la merde, et qui n'en peuvent plus. Un communiqué de militants italiens, Cette description tranche avec les profils que l'on retrouve à la barre, lorsque des procès de black blocs sont médiatisés. Comme le note le chercheur Olivier Cahn, ces personnes sont souvent très éduquées et exercent des professions intellectuelles supérieures. C'était notamment le cas après le 1er-Mai où un homme de 29 ans, diplômé de la prestigieuse Ecole centrale et occupant un emploi de consultant rémunéré 4 200 euros par mois, figurait sur le banc des prévenus. Faut-il, pour autant, faire de ces cas une généralité ? "Quand ils parviennent à interroger des black blocs, les journalistes ont logiquement tendance à tendre le micro à des personnes qui leur ressemblent sociologiquement. C'est la même chose pour moi qui suis chercheur. C'est une loupe déformante à laquelle il faut être attentif", alerte Francis Dupuis-Déri. Même mise en garde du côté de Sylvain Boulouque : "Il est faux de dire que le black bloc est uniquement constitué de fils de profs. Quand on observe les cortèges à Paris, on se rend compte que les profils sont assez bigarrés." Qu'est-ce qu'ils font dans les manifestations de "gilets jaunes" ? Historiquement, on retrouve régulièrement des black blocs dans les mouvements sociaux dont les revendications correspondent aux combats de la gauche radicale. "Les black blocs ont investi les contre-sommets internationaux orchestrés par les organisations Incendie banque Tarneaud 10/01/2021 L'article à lire pour comprendre ce qu'est vraiment un black bloc https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/gilets-jaunes/l-article-a-lire-pour-comprendre-ce-qu-est-vraiment-un-black-bloc_3254075.html 5/7 altermondialistes, auxquelles ils ne s'identifient pourtant pas. Mais ils venaient parce qu'ils partageaient avec elles une colère et des intérêts. C'est sans doute la même chose avec les 'gilets jaunes'", analyse Francis Dupuis-Déri. "C'est assez logique qu'ils participent à un mouvement populaire comme celui des 'gilets jaunes'", estime de son côté Sylvain Boulouque, rappelant que le même processus a été observé lors des manifestations contre la loi Travail. Le discours du black bloc, c'est de dire que les manifestations traditionnelles n'apportent rien puisqu'elles ne font pas échir le pouvoir. On est exactement dans cette conguration avec les "gilets jaunes". Sylvain Boulouque, historien, à franceinfo Mais je croyais que les "gilets jaunes" rejetaient toutes les organisations politiques… C'est en effet le mot d'ordre depuis le début du mouvement, le 17 novembre dernier. "Mais le black bloc n'est pas une organisation politique, rappelle Sylvain Boulouque. Ses participants rejettent d'ailleurs toutes les structures partisanes, c'est un point commun qu'ils ont avec les 'gilets jaunes'." Les rapports entre les "gilets jaunes" et les militants du black bloc ont d'abord été compliqués, les premiers accusant les deuxièmes d'être responsables des violences survenues lors des premiers samedis de manifestation et de donner une mauvaise image du mouvement. Aujourd'hui, la situation semble s'être inversée : en observant les débats sur les groupes Facebook des "gilets jaunes", on constate une sympathie grandissante des manifestants à l'adresse du black bloc. "Au début, j'étais contre, mais au bout d'un moment, à force de voir des 'jaunes' pacifistes mutilés par les forces de l'ordre, j'ai compris que c'était eux qui avaient raison", estime Nicolas, un "gilet jaune" originaire de l'Oise. Ce rapprochement a atteint un sommet le 16 mars, quand des "gilets jaunes" et des militants du black bloc se sont retrouvés côte à côte sur les Champs-Elysées dans une brutale démonstration de force commune. Christophe Castaner a d'ailleurs dénoncé une "immense complaisance" des "gilets jaunes" vis-à-vis des "1 500 black blocs" présents dans le cortège. J'ai eu la emme de tout lire, vous me faites un résumé ? Le black bloc n'est pas un courant politique mais une manière de manifester. En France, on a pu observer des black blocs pendant des manifestations de "gilets jaunes" à Paris, Bordeaux, Toulouse ou Nantes, donnant lieu à des scènes de guérilla urbaine. Chaque fois, une multitude de militants issus de la gauche radicale et insurrectionnelle, vêtus de noir pour rester anonymes, se réunissent derrière des banderoles aux slogans anticapitalistes et anti-Etat. Une tactique née en Allemagne dans les années 1980 et utilisée pour affronter la police, considérée comme le bras armé d'un Etat autoritaire, et détruire les vitrines des banques et les panneaux publicitaires, symboles à leurs yeux de l'oppression capitaliste. Ces violences ont atteint un niveau inédit lors du 18e samedi de mobilisation des "gilets jaunes", le 16 mars, avec l'incendie d'une banque et du Fouquet's. Sur les réseaux sociaux, certains appellent à de nouveaux épisodes insurrectionnels, notamment le 1erMai. De quoi inquiéter le gouvernement, qui a fustigé "l'immense complaisance" des "gilets jaunes" vis-à-vis des black blocs. Voir les commentaires Partager : sur le même thème "Gilets jaunes" : à Paris, les manifestations interdites samedi autour de Notre-Dame et sur les Champs-Elysées : renseignements pris,il y a bien des vrais et des faux BB
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c est loin d etre prouvé et çà le serait déjà si c était vrai!!dans tous les cas ,ce n est pas le mouv BB de berlin ou d europe du nord,altermondialiste et anarchiste
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quel rapport avec les vrais BB?toute l histoire est inventée et tout le monde reprend le refrain comme la vérité révélée
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on aura tout entendu,un lycée catho qui est pas catho??orthodoxe peut etre,il y a eu un shisme en cours de route
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les domestiques;aujourd hui aussi,si tu ne veux pas qu on te pique ta place,tonjob ,tu fais gaffe de pas etre suivi ou te faire remarquer quand tu vas au taf.C est pas de la honte,c est de la prudence mac do va avoir du mal de faire du pain qui a ta couleur
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10/01/2021 Punitions et sanctions : jusqu'où peut-aller l'école ? - Quelles sont les règles à l'école en matière de discipline ? Alors qu'un ancien directeur de centre de loisirs vient d'être condamné dans l'Oise pour avoir attaché les mains d'un enfant de 4 ans avec du ruban adhésif, Valérie Piau, avocate spécialiste en droit de l’éducation, nous éclaire. - Virginie FAUROUX Un directeur de centre de loisirs peut-il perdre ses nerfs et attacher les mains d'un enfant de quatre ans avec du ruban adhésif ? Clairement non... L'ancien directeur d'un centre aéré de l'Oise vient d'être condamné pour ces faits par le tribunal correctionnel de Beauvais à trois mois de prison "Une décision logique" pour l'avocate Valérie Piau, spécialiste en droit de l'éducation, et auteure du "Guide Piau, les droits des élèves et des parents d’élèves" (L’Etudiant Editions). "C'est clairement une violation du droit de l'enfant" , nous dit-elle, ajoutant qu'au niveau de la loi, il existe un principe de base, quel que soit l'âge de l'enfant : "toute punition donnée à l'école doit respecter sa dignité, son intégrité, ne doit pas être contraire à son intérêt, et ne pas présenter une forme de violence, qu'elle soit physique ou morale, comme le stipule la Convention des droits de l'enfant que la France a ratifiée. D'ailleurs, on peut rappeler que la France avait été épinglée en 2015 par le Conseil de l'Europe, sur la base de cette Convention, pour les châtiments corporels" , comme la fessée qu'elle n'interdisait alors pas, précise-telle. Une fois ce cadre posé, il y a ensuite un code de l'éducation, comme il existe un code du travail, qui réglemente les sanctions et les punitions que l'école a le droit d'infliger. LIRE AUSSI Oise : un ex-directeur de centre aéré condamné à du sursis pour avoir scotché les mains d'un enfant L'Assemblée se prononce contre les châtiments corporels envers les enfants . Punition, sanction... Ce n'est pas tout à fait la même chose "Pour les collégiens et les lycéens, les punitions sont des réponses immédiates aux faits d'indiscipline et sont prononcées directement par le professeur, le personnel de direction, d'éducation ou de surveillance. Elles doivent impérativement figurer dans le règlement intérieur, que les parents sont censés signer au début de l'année, et concernent des manquements mineurs ou des perturbations ponctuelles de la vie de la classe ou de l'établissement" , explique Valérie Piau. Il peut par exemple s'agir d'heures de colle. Les sanctions (un avertissement, un blâme, voire une exclusion définitive avec un conseil de discipline), elles, ne peuvent être données que par le chef d'établissement car elles se rapportent à "des manquements graves ou répétés et à des atteintes aux personnes ou aux biens" , comme le précise notre spécialiste, qui indique que les enfants d'école élémentaire ou maternelle en sont exclus. "Ils sont en effet beaucoup trop jeunes. Aucune exclusion n'est donc possible. On peut juste les priver éventuellement d'une partie de la récréation" , souligne-t-elle. Dans tous les cas, la sanction ou la punition doivent s inscrire dans une perspective éducative et tenir compte de l'intérêt supérieur de l'enfant. Et les parents doivent systématiquement être informés par écrit de chaque punition donnée à leur enfant. LIRE AUSSI Institutrice suspendue pour avoir scotché ses élèves à leur chaise : jusqu'où la punition peut-elle aller à l'école ? Des punitions autorisées... "La loi n'a pas dressé une liste exhaustive des punitions autorisées, contrairement aux sanctions qui sont énumérées par l'article R. 511-13 du Code de l'éducation. L'Éducation nationale donne donc une liste indicative des punitions dans la circulaire n° 2014-059 du 27 mai 2014" , avance Valérie Piau. Cette liste indicative, qui sert de base à l'élaboration des règlements intérieurs des établissements, mentionne : • Le mot porté sur le carnet de correspondance ou sur un document qui doit être signé par les parents • L'excuse publique orale ou écrite. "Mais attention, dans ce cas-là, il faut que la dignité de l'enfant soit respectée, intervient l'avocate. J'avais ainsi entendu un cas où on avait fait mettre à un enfant un gilet jaune et on lui avait demandé de balayer la cour, là clairement il y a un côté humiliant qui est inadmissible" , prévient-elle. • Le devoir supplémentaire (assorti ou non d'une retenue) qui devra être corrigé par celui qui l'a prescrit. Les devoirs supplémentaires effectués dans l'établissement doivent être rédigés sous surveillance • La retenue pour faire un devoir ou un exercice non fait. D'autres punitions peuvent éventuellement être prononcées. ... Et des punitions interdites • Mettre un zéro à un élève pour des motifs exclusivement disciplinaires, comme le bavardage, par exemple. Ou baisser la note de l'élève pour sanctionner son comportement. • Les punitions collectives : "Si les faits sont commis en groupe, il convient d'établir les degrés de responsabilité de chacun afin d'individualiser la sanction, ce qui n'exclut pas qu'elle soit identique pour plusieurs élèves" , précise la juriste. • L'exclusion de cours d'un élève laissé seul dans le couloir sans surveillance ni prise en charge par le service de la vie scolaire (surveillants, conseillers d'éducation...) : si, dans des cas très exceptionnels, l'enseignant décide d'exclure un élève de cours, cette punition doit obligatoirement s'accompagner d'une prise en charge de l'élève par le service de la vie scolaire. En cas d'exclusion, “l'enseignant [doit demander] notamment à l'élève de lui remettre un travail en lien avec la matière enseignée” comme le rappelle la circulaire du 27 mai 2014. • Les punitions contraires à la dignité des élèves : la France, en adoptant la Convention des droits de l'enfant, a souhaité que "la discipline scolaire soit appliquée d'une manière compatible avec la dignité de l'enfant en tant qu'être humain". La Cour européenne des droits de l'homme, en condamnant le Royaume-Uni dont les collèges recouraient à des méthodes brutales et dégradantes, a contribué à faire disparaître de telles pratiques. Sont proscrites en conséquence toutes les formes de violence physique ou verbale, toute attitude humiliante, vexatoire ou dégradante à l'égard des élèves". • Demander à un élève de faire des lignes à copier, du type "Vous me copierez cent fois : 'Je ne dois pas porter de casquette en classe'". "La circulaire de l'Education nationale 2000-105 du 11 juillet 2000, indique en effet que la punition est censée avoir UN Caractère Pédagogique, ce qui n'est pas le cas ici", conclut Valérie
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!!se faire allumer veut dire :etre vivement critiqué ,voire recevoir une correction;vos leçons de morale s inscrivent ds une pédagogie douteuse
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A l école privée catholique ,elle donne l exempe sur l amour du prochain et le don désintéressé Dans le christianisme, une vertu théologale Le mot « charité » est la francisation du latin caritas, -atis, signifiant d'abord « cherté », puis « amour » (et dont le mot anglais care, qui signifie le « soin » au sens le plus large, est l'un des dérivés). Cicéron, par exemple, prônait la « caritas generis humani », ce qu'on peut traduire par « amour du genre humain » . C'est par caritas que saint Jérôme, dans sa traduction latine (dite Vulgate) de la Bible, rend le mot grec agapé du Nouveau Testament. Le terme hébreu correspondant peut être hessed (חסד (qui signifie « générosité, bonté, bienveillance, grâce, miséricorde, etc. », selon le Nouveau dictionnaire international de théologie et d’exégèse de l’Ancien Testament et que le dictionnaire Brown-Driver-Briggs traduit par « amour ». Le concept de hessed (charité, bonté, amour de Dieu et du prochain) apparaît 246 fois dans la Torah. Pour autant, le hessed s'inscrit dans le principe juif plus large de Tsedaka qui signifie « justice » et « droiture », et qui est une mitsva (c'est-à-dire un Commandement et une bonne action) que le Juif doit accomplir tout au long de sa vie . Il relève de l'ensemble des Gemilut Hassadim (de gamol « accomplir, payer » et de hessed) qui constituent les « actes de bienfaisance » dont le Juif doit s'acquitter. Dès le commencement de la prière du matin, l'homme juif dit : « Voici les devoirs (à accomplir ), qui n'ont pas de limites (fixées par la Torah) : L'abandon de l'angle du champ aux nécessiteux lors de la moisson (Lév, XIX, 9-10;22 ) ; l'offrande des Prémices et le sacrifice, lors des visites au Temple à l'occasion des fêtes de pèlerinage ; les actes de charité et l'étude de la Torah ». Et puis : « Voici les devoirs qui donnent à l'homme une jouissance dans ce monde (ici-bas), mais dont le fonds lui en reste conservé (afin d'en jouir) dans le monde futur : la piété envers père et mère, la pratique de la charité, la fréquentation de la Maison d'Étude, matin et soir, l'hospitalité, la visite des malades, l'assistance au mariage (des indigents), la conduite du mort (à sa sépulture), le recueillement dans la prière, la médiation de la paix entre un homme et son prochain (et entre les époux) mais l'étude de la Torah équivaut à tous (les autres devoirs ci-devant énoncés) » . Le principe général de charité s'inscrit dans les Gemilut Hassadim (de gamol « accomplir, payer » et de hessed « générosité, bonté, grâce... »), littéralement « bonté de cœur » qu'on pourrait traduire par « actes de bienfaisance » incrits à travers les mitzvot. Selon le philosophe et théologien Maïmonide, « il existe huit niveaux de « charité », chacun supérieur au suivant : Le niveau le plus élevé, au-dessus duquel il n'y a pas de niveau supérieur, est de soutenir un ami juif en lui offrant un cadeau ou un prêt, en formant un partenariat avec lui ou en trouvant du travail pour lui... Un niveau de charité inférieur à celui-ci qui est celui de donner aux pauvres sans savoir à qui l'on donne et sans que le destinataire sache de qui il a reçu le don ; de cette manière une Mitzvah (Commandement, bonne action) est exécutée exclusivement « pour le bien du Ciel ». C'est comme le « fonds anonyme » qui se trouvait dans le Temple sacré, où [aussi] les Tzadikim (hommes justes) ont donné en secret et les pauvres en ont profité de manière discrète. Faire un don à un fonds de bienfaisance est similaire à ce mode de bienfaisance, bien que vous ne devriez pas contribuer à un fonds de bienfaisance si vous ne savez pas si la personne qui définit le sort du fonds peut faire confiance ou non et donc sage et un administrateur « de norme », Le judaïsme a plutôt tendance à écarter le terme de « charité » avec sa connotation hiérarchique peut être condescendante car il ne s'agit pas d'un acte de générosité : le possesseur de biens n'en est en réalité que le dépositaire par la bienveillance et grâce divine, et s'il est juste et droit (et non pas charitable ou généreux), il doit faire acte de justice en les redistribuant à autrui car cette part de richesse ne lui appartient pas . Il ne s'agit pas d'un acte arbitraire mais d'un devoir naturel et d'une obligation philosophique appliquée de justice, légale, sociale, morale, un acte méritoire pour le Juif qui reconnaît son devoir en tant qu'homme et en tant que juif et l'accomplit : il rend et paie ce qui est légitimement dû à autrui. De cette façon, il aide à corriger les inégalités dues à la pauvreté et réalise une partie du tikoun olam, la réparation du monde , à travers des actes récurrents de justice (dits de « générosité » ou « charité ») . Dans cette perspective, même le pauvre qui vit de la tsedakah (donc de l'aumône, de la « charité » d'autrui) doit être lui-même juste et accomplir la mitsva (Commandement) de redistribuer une partie de ce qu'il a obtenu . Ainsi, riches ou pauvres, tous les hommes ont l'opportunité de devenir « partenaires de Dieu » dans la nourriture du monde et dans la création, en constituant une chaîne qui suit le Commandement divin . En accomplissant ce devoir de justice, chacun permet donc à autrui d'y participer car ainsi, le pauvre aide le riche en cela qu'il permet également au riche d'accomplir sa mitzvah. Ainsi va la parole du Sage : « Bien plus que le riche fait pour le pauvre, le pauvre accomplit pour le riche » . La charité est la vertu reine des vertus : l'amour de Dieu et du prochain. Dans une perspective chrétienne, elle est la vertu théologale par laquelle on aime Dieu par-dessus toute chose pour lui-même, et son prochain comme soi-même pour l’amour de Dieu. Elle assure et purifie la puissance humaine d’aimer et l’élève à la perfection surnaturelle de l’amour divin. Paul de Tarse en a donné une définition dans la Première épître aux Corinthiens au chapitre 13 : « La charité prend patience, la charité rend service, elle ne jalouse pas, elle ne plastronne pas, elle ne s’enfle pas d’orgueil, elle ne fait rien de laid, elle ne cherche pas son intérêt, elle ne s’irrite pas, elle n’entretient pas de rancune, elle ne se réjouit pas de l’injustice, mais elle trouve sa joie dans la vérité. Elle excuse tout, elle croit tout, elle espère tout, elle endure tout. [...] Les trois demeurent : la foi, l’espérance et la charité. Mais la charité est la plus grande. » (I Co 13, 1-7. 13). Supérieure à ces deux vertus, elle constitue le « lien de la perfection » . Saint Thomas d'Aquin ira jusqu'à dire qu'elle est la forme suprême de toutes les vertus théologales, commentant un verset de saint Paul ; la foi et l'espérance seraient rendues caduques par le retour de Dieu parmi les hommes, ne laissant de place qu’à l'exercice de la charité : « Maintenant donc demeurent foi, espérance, charité, ces trois choses, mais la plus grande d’entre elles, c’est la charité ». Dès le e siècle, dans un monde confronté à l’urbanisation, la charité s’organise en même temps qu’émerge la réalité sociale des pauvres ; l’on distingue dès lors plusieurs catégories de pauvreté. Du point de vue théologique se généralise la notion de pauvreté volontaire (paupertas spontanea), adoptée par les moines dans un souci d’humilité et de vie apostolique. Cette pauvreté volontaire s’inscrit dans une démarche plus large d’imitation du Christ qui entraîne le développement de l’assistance pour une double raison : l’imitation des actes du Christ et la révérence des pauvres considérés comme des reflets de l’image de Jésus . Ainsi, la charité constitue l’une des questions philosophiques centrales dès le e siècle, puisque Bernard de Clairvaux, Aelred de Riévaulx, Guillaume de Saint-Thierry, Richard de Saint-Victor ou encore Pierre de Blois y consacrent d’amples réflexions. Cette réflexion théorique aboutit à une classification des œuvres de miséricorde, codifiées au e siècle comme suit : nourrir les affamés, désaltérer les assoiffés, vêtir les démunis, soigner les malades, visiter les prisonniers, enterrer les morts, selon ce que préconise l’Évangile . Ces six formes de don charitable représentent un devoir pour chaque chrétien, cependant le Moyen Âge voit les ordres religieux s’en emparer jusqu’à s’en faire une règle pour certains. Ainsi, les Antonins, les Trinitaires, les frères du Saint Esprit et bien entendu les Hospitaliers pratiquent cette charité et la transforment en une pratique d’assistance collective dès le e siècle. Le mot « charité », dans son sens religieux initial, est associé à l'idée de transcendance , alors que le sens du mot « amour » est plus général. Dans la tradition iconographique chrétienne, l'allégorie de la Charité est souvent celle d'une jeune femme allaitant des nourrissons. Les peintres italiens de la Renaissance représentent également la Charité sous les traits d'une jeune femme donnant le sein à un vieillard décharné, ce qui correspond au thème de la Charité romaine. Pour Cesare Ripa, la Charité tient à la main un cœur embrasé et des flammes, symbole de l'ardeur de son zèle, sortent de sa chevelure ; des enfants se pressent autour d'elle . Dans Le Triomphe de la chasteté de Piero della Francesca, le pélican nourrissant ses petits est également un attribut de la charité . Le mot Caritas est inscrit dans l'image du Sacré-Cœur révélée à sainte Marguerite-Marie Alacoque. Le Sacré-Cœur est par conséquent devenu dans la religion catholique le symbole de la charité chrétienne issue de Dieu.
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se faire allumer: tu veux dire quoi,des punitions et des brimades:martinet, au coin,bonnet d ane
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c est un peu dictatorial comme choix de proposition;je préfère la collégialité..après si c est une école privée,c est sur que marx est tabou
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pourquoi alors des aliments sont interdits ,une boisson l absinthe,le lait non pasteurisé etc.. les filles mères,les prostituées
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10/01/2021 Municipales : les maires doivent-ils rendre la cantine gratuite à l'école Plusieurs candidats aux municipales proposent de rendre la cantine gratuite pour les enfants issus de familles défavorisées. Coûteuse et égalitariste, cette mesure est loin de faire l'unanimité. LE BRIEF Savez-vous combien d’écoliers mangent à la cantine en France ? Sur les 6.700.000 élèves du primaire, seulement 63% des enfants de primaire se rendent au réfectoire au moins une fois par semaine, selon les chiffres de l'Agence nationale de sécurité sanitaire. Si on regarde les chiffres de plus près, on voit que 40% des enfants de familles défavorisées ne mangent pas à la cantine tous les midis contre 17% seulement pour ceux issus des catégories supérieures. Les élections municipales ont lieu les 15 et 22 mars et plusieurs candidats proposent la gratuité des cantines dans leur programme. Rendre la cantine gratuite est-il vraiment la solution miracle dans ce domaine ? Le Brief d'Europe 1 a mené sa petite enquête à l'occasion du scrutin. Le tarif unique majoritaire Un maire a trois options pour xer le prix des repas de la cantine : le tarif unique pour tous, la gratuité totale ou la tarication progressive. Selon une étude du Centre national des études des systèmes scolaires (Cnesco) en 2017, le tarif unique concerne 55% des établissements. Le principe est simple : tout le monde paye pareil, riches ou pauvres. "D'un point de vue des inégalités d'accès à la cantine, le tarif unique n'est pas favorable car il est assez moyen. Il n'y a pas une demande très forte adressée aux plus favorisées, et il est évidemment discriminant pour les moins favorisées", explique Nathalie Mons, directrice du Cnesco. Autrement dit, on pourrait demander plus aux parents les plus riches, alors que c’est déjà trop pour les plus pauvres. "Le fait que les jeunes défavorisés fréquentent beaucoup moins la cantine s'explique par des raisons économiques. Le coût du repas s'établit en moyenne autour de 3,30 euros, ce qui est beaucoup moins que le coût réel. Pouvoir dépenser une telle somme par jour et par enfant représente un sacré budget à la n du mois." L'enjeu de la gratuité totale La deuxième option dont dispose le maire revient à aller vers la gratuité totale et inconditionnelle, une manière d'assurer l'égalité de tous les enfants devant leur plateau. "Comme l'école est gratuite, on peut décider que la nourriture que l'on fournit à l'école est gratuite", avance Louis Maurin, directeur de l'Observatoire des inégalités. C'est d'ailleurs ce qui existe en Suède et en Finlande. Les députés de La France insoumise ont déposé une proposition de loi bientôt débattue pour faire de la restauration scolaire un service public gratuit. "Il faut remettre au cœur cet enjeu de la gratuité?un temps très important pour la santé de nos enfants, pour la mise en collectivité et pour que les parents puissent travailler tranquillement", défend Clémentine Autain, députée LFI de Seine-Saint Denis. Mais là aussi, il y a des bémols : "La gratuité totale veut dire qu'il y aurait des familles très favorisées qui en proteraient", souligne Nathalie Mons. "Aller vers une gratuité totale de la cantine ne se justie pas car ça ferait exploser les coûts." Deux logiques s'opposent : la première selon laquelle la charge de bien nourrir les enfants revient aux parents, et la seconde pour qui cette tâche revient à la société tout entière. 10 tarifs à Paris La troisième solution est une sorte de voie intermédiaire entre le tarif unique et la gratuité totale pour tout le monde : la progressivité du prix du repas, avec un tarif qui croit en fonction du revenu des parents. Souvent, cette progressivité est établie selon le quotient familial de la famille de l'enfant scolarisé. Par exemple, à Paris, il y a 10 tranches tarifaires, de 13 centimes pour le quotient familial le plus faible à 6 euros pour les familles les plus aisées Seulement 45% des établissements scolaires français pratiquent des tarifs modulés en fonction des revenus. "L'idéal est de pouvoir avoir une progressivité de façon à ce qu'il y ait des prix élevés payés par les familles les plus favorisées pour aider à réduire les coûts des familles défavorisées", défend Nathalie Mons. Une solution proche de celle-ci revient à pratiquer des tarifs progressifs, avec un échelon gratuit pour les familles les plus modestes. " On ne peut pas du tout laisser le choix aux communes parce qu'elles n'ont pas les reins solides " Il reste un dernier débat : et si nalement, toute cette histoire ne devait plus être du ressort des maires ? C'est précisément ce que proposent les Insoumis : "On ne peut pas du tout laisser le choix aux communes parce qu'elles n'ont pas les reins solides. Soit c'est l'État qui le décide, soit c'est très compliqué pour les collectivités", affirme Clémentine Autain. Une vision à laquelle s'oppose assez logiquement l'Association des maires de France. Quoi qu'il en soit, c'est une décision importante et un instrument majeur de la politique sociale des communes, dont les futurs maires seront élus dans quelques jours. C'est un véritable débat de société qu'il faudrait avoir sur cette question : "La France est un pays riche et a les moyens de faire manger gratuitement ses enfants dans les cantines. C'est un problème de choix politique", observe Louis Maurin. L ECOLE EST GRATUITE PARCE QUE OBLIGATOIRE DONC TOUT EST GRATUIT CAR OBLIGATOIRE
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comme on est le satellite des usa,çà va venir direct chez nous;chez eux,à la plage, c est pas alerte à malibu,c est plutot gras double et saindou et je trouve çà bien :gentil ,apaisant les gros nous rassurent et nous protègent
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la cantine ,c est un self,tu choisis avant de venir comme à l hopital sur un formulaire case à cocher
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j imagine la grimace qui tord votre tronche quand vous dites çà