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Saturne06

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Tout ce qui a été posté par Saturne06

  1. Oui, enfin, ne jouons pas sur les mots que l'académie de médecine emploie ! Tu sais certainement qu'on utilise un vocabulaire (à TOUS les niveaux politique, scientifique, médiatique, médical etc) volontairement langue de bois, on ne dit plus sour mais malentendant, plus aveugle mais malvoyant, plus romanichelle ou gitan mais gens du voyage, plus pays sous-développé mais pays en voie de développement etc, je pourrais multiplier les exemples de vocabulaire 'adapté' à notre époque. Alors, si l'académie de médecine dit que la transidentité n'est pas une maladie mentale "proprement dite" (sous-entendu dans l'esprit des gens une folie), il ne faut pas lui faire dire ce qu'elle ne dit pas, quand ils disent que les gens atteints de transidentité (donc d'une dysphorie de genre) ont un ressenti et une souffrance pouvant les conduire au suicide et qu'ils relève d'une offre de soins croissante avec prises en charges dans des cliniques spécialisées, ils ne disent absolument que ces enfants et adolescents sont des jeunes comme les autres et que leur seul trouble serait d'avoir un sexe qu'ils ne veulent pas. Sinon, l'académie de médecine n'aurait pas spécifié que c'était à un psychiatre de faire le diagnostic de 'ressenti d'identification à un genre différent' ... Il ne faut pas jouer sur les mots. Être transgenre est un drame humain qu'on essaie d'atténuer comme on peut, jamais complètement car même si le corps peut être modifié (avec des résultats plus ou moins convaincants ...), le système limbique lui ne peut pas l'être et les quelques séries médicales d'études et de suivi de transgenres dans les pays où il y en pas mal (USA et Canada essentiellement) montrent que malheureusement, après leur transition, les transgenres restent avec leur problème en eux devant la vie, la vie éventuellement familiale, sociale, le travail et tout simplement leur santé générale car ces traitements sont tout sauf anodins.
  2. Mais plouf, je ne traite personne de 'malade', je suis médecin, je serais complètement débile de 'traiter' un patient de malade comme si c'était une insulte. Ces personnes atteintes de dysphories de genre sont bien à plaindre et c'est pourquoi j'ai dit plus haut que je ne souhaitais à aucun parents (même ceux situés dans ma poubelle des ignorés ) d'avoir un enfant disant vouloir faire une transition. Car ces personnes ont en fait une double pathologie: ils sont mal dans leur tête et mal dans leur corps. Mais je voulais dire qu'ils sont mal dans leurs corps parce qu'ils sont, d'abord, mal dans leur tête ... Et qu'on ne peut les aider (je parle des vrais dysphoriques, pas de tous ces jeunes qui expriment leur angoisse existentielle, familiale ou sociale par un pseudo conflit avec le sexe que la société a eu l'audace de leur assigner ... Plus sérieusement, c'est le but et la ceinture de sécurité pour ces jeunes de devoir tous passer devant un psychiatre avant de lancer cette lourde procédure d'ALD110 car heureusement dans plus de 60% des cas, le psychiatre ne retient pas le diagnostic de dysphorie de genre. <Ils ne faut surtout pas croire que j'ai un mépris ou une hargne envers les transgenres ... Je refuse par contre de faire partie des gens qui les considèrent comme étant porteur d'une sexualité particulière car ce n'est pas un problème de sexualité ce qu'ils ont.
  3. Enfin, ce topic de 'wokisme et école' nous aura bien fait converser ...
  4. Oui, comme dans de nombreuses maladies psychiatriques, la détresse, le 'ressenti', le vécu etc sont les principaux symptômes qui décrivent les troubles de la personnalité qui restent non dissociatifs donc conscients avec les troubles dissociatifs comportant des délires (ce qu'on appelle;aient avant les psychoses). Ce n'est pas parce qu'on parle détresse, qu'il n'y a pas de maladie. Les malade bipolaire en période dépressive sont parfois dans de telles détresses morales qu'ils se suicident. 'Détresse sentiments' peuvent faire partie d'un ensemble sémiologique de maladie psychiatrique, oui. Une maladie peut être soignée voire guérie heureusement. Et c'est bien pourquoi les traitements médico-chirurgicaux qui leur sont proposés sont pris en charge à 100% ce qui est normal pour toutes les affections dites de longue durée. Ici, pour les transgenres, ce qui est compliqué, c'est que le traitement de s'attaque pas aux désordres cérébraux du système limbique (comme les neuroleptiques traitent les agitations, les bouffées délirantes, les antipsychotiques les troubles psychiatriques dissociatifs, dans un autre registre en neurologie les anti-comitiaux traitent les épilepsies etc) mais aux désordres corporels perçus par le malade comme étant en inadéquation avec leur sexe 'assigné' ... Rien que ce terme est affligeant ! 'Assigné' pour imposé, subi etc ... Naîre avec un pénis et deux testicules, se voir assigner le sexe masculin, mais quelle horreur ! Dans quel monde cruel et inhumain vivons-nous ? Plus sérieusement, on ne guérit pas de cette maladie psychiatrique (comme de la plupart des maladies psychiatriques !), on est amélioré dans son vécu et ressenti quotidien. Et voilà, belote et rebelote ! les homos ou les trans ... pourquoi associer une sexualité avec une affection de longue durée (puisque le mot maladie, il ne faut pas l'employer) ?
  5. Tu perds ton temps ! C'est nous qui sommes des ignorants 'moyenâgeux' et eux qui sont dans les Lumières de la vérité ...
  6. Tu ne perds rien ! en dehors des 3 premières lettres qui évoquent de simples sexualités, toutes les autres relèvent de l'instabilité mentale, les T I et &Co (pour être politiquement correct), ou de la philosophie (Q) ...
  7. De dysphorie de genre, une affection attestée par les psychiatres au titre de l' ALD 110 (Affection de Longe Durée numéro 110) prise en charge par notre sécurité sociale 100%. C'est le mot malade qui te choque ? C'est infamant ou déshonorant d'avoir une maladie psychiatrique ? Les bipolaire, schizophrène et autres dépressifs chroniques ou maniaques apprécieront ... Évite de parler pour moi, stp, je suis assez grand pour le faire: Où ai-je dit qu'ils n'avaient pas leur place parmi les gens normaux ? C'est moi qui les pousse au suicide ou tout simplement eux qui décident d'en finir avec une vie qu'ils ne peuvent supporter dans un corps qu'il n'aime pas même après 'transformation' et dans un cerveau instable et fragile ? Ne renversons pas les rôles ...
  8. Et voilà, on mélange encore tout ! Le déchet qui est dans ma poubelle des ignorés parle de thérapie de conversion (pour les homos ! Or on parle des gens atteints de dysphorie de genre pas des homosexuels qui n'ont rien à voir ici) et toi, tu embrayes, trop contente, sur les certitudes moyenâgeuse de notre société actuelle ... Parce que toi, tu es informée par ton site bidon de propagande 'liensocial' que tu présente comme la 'preuve' que les transgenres ne sont pas des malades ... On tourne en rond. Chacun garde ses certitudes et puis voilà.
  9. Mais arrête de mélanger des sexualités normales (qui ne regardent que les gens qui les pratiquent: l'hétérosexualité, l'homosexualité, la bisexualité) avec des troubles de la personnalité (les transgenres) qui regardent la société puisque c'est nous, contribuables, qui devons financer ces malades en les traitant médicalement et chirurgicalement encore une fois avec des résultats peu convaincants car on n'y parle jamais de guérison et, comme par hasard, on y trouve une forte proportion de suicides parmi ces gens 'transformés' ...
  10. Pourquoi dis-tu que je n'ai pas lu l'article ? Comme si le site 'Liensocial' faisait autorité ou représentait une réelle compétence scientifique ou médicale pour oser dire que ce n'est pas une maladie ... D'ailleurs, soisig, si tu es honnête avec toi-même et ne lis pas que les sites qui t'enferment dans tes certitudes (je te retourne le compliment), tu observeras les 3 titres de chapitre de ton site susceptible de me convaincre: - Être transgenre n'est pas une maladie - Faciliter l'accès aux traitements - Un objectif: lutter contre les discriminations ... Tu considères cet article comme étant scientifique ? digne d'être pris en considération ? Parce que si ce n'est pas une maladie, pourquoi 'faciliter l'accès aux traitements' ? et pourquoi, cerise sur le gâteau, comme par hasard faire une allusions aux discriminations LGBTQi+ etc ? En mélangeant TOUT ! C'est pour cela que je suis absolument opposé au mouvement LGBTQi+ qui mélange des sexualités toutes respectables: l'homosexualité masculine et féminine, la bisexualité avec une mentalité et mode de vie (Q pour Queer) et avec la maladie de dysphorie de genre (T) plus les autres sexualités marginales et loufoques les a, p, n etc ... Autant je respecte le gay, la lesbienne, le ou la bisexuelle et (ne les oublions quand même pas) le ou la hétérosexuelle (et je respecterais li sigle LGB s'il ne comportait que ces 3 lettres) qui sont de simples sexualités, autant je refuse le lobbying des LGBTQi+ qui mélange des gens normaux avec des malades ou des gens qui veulent vivre dans une société un peu différente en mentalité que la nôtre (les Q).
  11. Bonjour Greenouille, je suis globalement d'accord avec toi sur l'enseignement de l'Histoire de France qui doit évoluer non pas pour modifier ou 'effacer' certaines périodes de notre histoire que certains voudraient oublier car l'Histoire est du passé et doit perte connue, cela fait partie de la culture générale au même titre que la géographies, les 'sciences nat', l'orthographe etc ... Cet enseignement peut évoluer car les élèves ont évolué au niveau de la démographies des ethnies etc. et sans modifier l'histoire passée on peut expliquer certains évènements pour les comprendre en les remettant dans le contexte de l'époque. Notre maladie actuelle, je trouve est qu'on veut juger les faits historiques avec nos yeux de petits privilégiés de 2022. Comment juger le code noir de Colbert avec notre mentalité actuelle ? Tu écris "Comment des enfants d'origine maghrébine ou antillaise pourraient s'insérer dans le roman national si leur histoire n'était même pas évoquée ? Parfois de manière grinçante, comme lorsque l'on aborde la guerre d'Algérie, la colonisation-décolonisation, les relations entre Musulmans et Chrétiens (croisades du Moyen-Age).", je suis totalement d'accord avec toi sur ce point. L'histoire actuelle de notre pays avec ce besoin d'assimilation d'une nouvelles population maghrébine rend nécessaire une explication, une connaissance des faits réels, c'est la même chose pour le colonialisme tant décrié aujourd'hui si on regarde le colonialisme avec nos yeux actuels et pas avec ceux de l'époque où le colonialisme a existé. Quant à la place de l'Islam en France, c'est un problème évident ... J'aurais aimé qu'on limite au maximum cette immigration massive qui a débuté vers les années 70 avec le regroupement familial etc, mais maintenant que c'est fait, il faut assumer nos erreurs et faire avec. Par exemple, je ne vois pas pourquoi on se crispe devant une femme musulmane voilée (il parait que l'immense majorité d'entre elles se voilent volontairement, je ne sais pas si c'est vrai et je m'en fiche) et on trouve normal le port de la kippa le samedi ou la vue d'une moniale bénédictine dans sa robe noire portant le voile ... deux poids, deux mesures ... Mais pour en revenir au wokisme, tu écris que ces minorités ne souhaitent nullement imposer leurs conceptions de la société aux autres ... As-tu vu ce qu'il se passe dans certains campus américains, dans les universités américaines où le wokisme est né ? Même chez nous le CNRS est infiltré par cette idéologie avec le choix des sujets de thèses (favorisés toujours dans le même sens). Tu dois savoir que certains intellectuels ne peuvent pas parler sans être interrompus par les 'gardiens' de la bienpensance quand ils ne sont ps purement et simplement privés de parler etc ... Je vois que le wokisme ne te fait pas peur, moi il m'inquiète car il s'infiltre insidieusement un peu comme un cancer envoie une puis plusieurs métastases non pas dans le corps d'un malade mais d'une société malade ... J'espère me tromper et être pessimiste pour rien.
  12. Ha, pas une maladie ... ? Donc, les législateurs et le corps médical qui classent cette maladie dans les dysphories de genre au titre de l'Affection de Longue Durée 110 devraient venir vous voir pour que vous leur enseigniez la médecine, la psychiatrie et la législation. Refuser de voir la réalité, faire l'autruche comme on dit, ce n'est pas leur rendre service car c'est en tant que malade, ils sont pris en charge par notre société comme tous les autres malades. Ce n'est pas une honte que d'être malade, quelle que soit la maladie.
  13. Oui ... Mais ceux qui parlent de déconstruction de la société, c'est plutôt en allusion de la cancel culture, je pense, la volonté d'une minorité qui, sous prétexte qu'elle a souffert de sévices, brimades ou autres méfaits, voudrait 'effacer' tout ce qui représente notre Histoire commune. Les exemples sont nombreux: statues démontées, monuments rebaptisés, noms d'écoles changés etc. Même chez nous, il y a eux des partisans de ce mouvement woke pour demander qu'on enlèves statues de Colbert, Voltaire, Napoléeon et même, var ces gens-là sont peu cultivés les statues de Victor Scotcher et Toussaint Louverture ! La déconstruction d'une société peut se faire au niveau sociétal (c'est la cancel culture) mais aussi au niveau familial (modification des patronymes, modification des formulaires de parentalité avec le parent 1 et parent 2 pour remplacer père et mère etc etc), remise en cause du genre sur lequel je ne reviens pas puisqu'on a déja parlé. Nous vivons une époque où une minorité se croit en droit d'imposer son point de vue à une majorité et vu notre faiblesse structurelle à défendre nos valeurs historiques d'une part et ce besoin de 'tolérance' absolue ('quoi qu'il en coûte' diraient certains ...) d'autre part, nous en sommes arrivés à cette situation absurde (heureusement uniquement dans les pays occidentaux particulièrement déconstruits (pour moi particulièrement décadents) que sont les USA et le Canada à des aberrations culturelles du genre 'comité de relecture des livres' pour effacer les termes, mots ou expressions pouvant être 'offensant' ( !! on croit rêver ...), contester le droit de porter des habits dits coutumiers, modifier la fin de certains opéras, je pense à Carmen qui n'est plus tuée par Don José mais qui le tue pour éviter un 'féminicide' ou aux '10 petits nègres' qui devient 'ils étaient dix' ... etc etc pour ne prendre que quelques exemples connus et particulièrement affligeants. Notre société est bien fragile devant ces attaques pour moi injustifiées. Pour en revenir au sujet dont nous parlions, en France, les techniques de 'réassignation sexuelle' sont encore bien contrôlées par la loi et les réglementations/recommandations du corps médical.
  14. Tu blagues ! C'es difficile car nous sommes encore dans une société qui résiste aux effets délétères à la mode, pas comme aux USA ou au Canada ... Raison de plus pour être vigilant ...
  15. Tout à fait d'accord avec toi. Ton sexe biologique de naissance définit ton genre. Tu es garçon ou fille (enfin, il existe des ambiguïtés sexuelles, syndrome de Klinfelter etc, mais c'est rare) et tu as dans ton caryotype deux gonosomes: les chromosomes XX pour les femmes et XY pour les hommes. C'est ainsi. Et si une femme prend de la testostérone, se fait pratiquer une mastectomie bilatérale, une hystérique-vaginectomie pour ensuite se faire une pénioplastie (bonjour pour les érections ...), le cayotype de cet 'homme' sera toujours XX. On en triche pas avec la biologie. Mais on peut tricher avec soi-même surtout si on y est aidé par un effet de mode comme le disait très justement un peu plus haut Maurice Clampin.
  16. Je comprends un peu ton point de vue ... Mais les souffrances subies, les 'blessures' relèvent en général de deux grands thèmes: le racisme et l'intolérance aux orientations sexuelles. J'en oublie forcément. Je préfère lutter contre le racisme et ces intolérances que de nier ma culture, mon Histoire et battre ma coulpe parce que mes ancêtres auraient faits ceci ou cela ... Personnellement, je pense avoir identifié ces personnes wokes mais, si je leur reconnais le droit à leurs différences et le droit à être respectées, je leur dénie de vouloir déconstruire une société surtout que dans l'ensemble, il s'agit de minorités qui voudraient s'imposer à la majorité. Respections mieux ces minorités sans aller dans l'excès qu'elles veulent: la négation de notre société et la remise en question de notre façon de vivre. Tu blagues ou j'ai mal lu ? Dire à deux gamines ou gamins de 4 ans de se tenir par la main, c'est encourager l'homosexualité ?
  17. soisig, personne ne dit que la transexualité (d'ailleurs ça ne veut rien dire médicalement, on parle de dysphorie de genre) est une maladie honteuse ! Ou alors celui qui dit ça n'est pas médecin et pas gentil ... Mais tu assimiles deux choses bien différentes: L'homosexualité n'est pas une maladie, voyons ! La dysphorie de genre, oui. Et si, comme tu le dis très justement, il y a pas mal de mariage d'homos, c'est évident parce que c'est légal et que notre société est plus tolérante à ces mariages. mais il ne faut pas dire qu'on ne choisit pas d'être hétéro, homo ou dysphorique dans la mesure où les deux premiers états sont des orientations sexuelles naturelles et le troisième une maladie dont je ne souhaite à aucun parent d'avoir un enfant atteint ...
  18. Je n'ai pas les chiffres officiels car ma spécialité n'est pas dans ce domaine (heureusement ...) mais tu as raison, les conditions sont très restrictives puisque, pour être pris en charge à 100% au titre de l'ALD 110, il faut un certificat d'un psychiatre attestant que le sujet est atteint de ce trouble de la personnalité (dysphorie de genre) + un certificat d'un endocrinologue attestant que le patient relève ou peut relever d'un traitement hormone-dépendant + un certificat d'un urologue ou gynécologue attestant que le patient peut subir une chirurgie de réassignation sexuelle. Ensuite, si le patient ou la patiente persiste, on se lance dans un premier temps sur une transition médicale par un traitement hormonal, ensuite vient le temps chirurgical si le patient veut vraiment continuer ... Dans l'ensemble, Tu as 100% de traitements médicaux et 25% à 30% de traitements chirurgicaux. On est surtout restrictif pour l'étape chirurgicale car on met le doigt dans un engrenage quasi-définitif qui coûte très cher à la collectivité (prise en charge à 100%) et dont les résultats ne sont pas toujours à la hauteur des attentes des patients ...
  19. Pourquoi 'insulter' ? On peut contredire sans insulter, donner son avis son opinion. Après, il faut évidemment savoir de quoi on parle et comme souvent dans les sujets 'à la mode': wokisme, cancel culture, transgenres etc (attention, je ne dis pas que ces sujets sont des thèmes similaires ou relevant du même sujet), on a des tas d'intervenants qui sous prétexte de modernité, d'humanité, de tolérance ne voient pas qu'ils déconstruisent ou participent à la décomposition (en une vingtaine d'années !) de notre société qui s'est construite en 3000 ans ...
  20. Il est évident que pour parler des transgenres (la transexualité est un peu différente), la forte augmentation de jeunes qui se disent transgenres se voit surtout aux USA, Canada et en Europe. Comme par hasard ... Ensuite, je lis des commentaires disant 'que faire quand des enfants souffrent ?', sous-entendu 'nous ne pouvons pas ignorer leurs souffrances', c'est légitimer cette pathologie psychiatrique relevant de l'ALD 110, la dysphorie de genre, qui est rare heureusement mais qui est artificiellement en augmentation de fréquence car les jeunes sont influençables, c'est une évidence et quasiment tous les jeunes passent vers les 12/14 ans par une phase de doute de questionnement, presque de malaise. Donc tous les jeunes adolescents (filles comme garçons, c'est le pluriel regroupant les deux genres) peuvent se revendiquer 'trans' sous prétexte qu'ils se sentent un peu hésitant sur leur corps ? (pas sur leur orientation car l'homo ou l'hétérosexualité n'ont rien à voir avec la question du genre). Quand on voit des adultes qui défendent ces jeunes un peu paumés en disant 'on leur a assigné un sexe à la naissance mais ils sont prisonniers de ce corps et de ce genre qu'ils n'ont pas demandé, pas choisi, libérons-les !' et hop, mtf ou ftm à coups d'hormonothérapie dans le meilleur des cas et de chirurgies de déconstruction (mastectomies, orchido-péniectomie etc) puis dites de reconstruction (vaginoplastie, pénioplastie etc) dans le pire des cas, on est dans le délire le plus complet. On commence en médecine à voir les dégâts générés par cette tricherie biologique: des mtf qui demande à de prendre leur genre initial, masculin donc et des ftm qui parlent de redevenir féminin car leur 'transition' a été vécu comme un échec. Les transgenres (je vois ici que certains parlent de transexualité) sont des pathologies difficiles et qui devraient rester rares car il n'existe pas de traitement miracle mais dans nos sociétés occidentales déboussolées, les médias insistent lourdement sur les transgenres 'heureux', on les fait mêmes jouer dans des films, des séries, sous-entendu 'voyez que c'est possible, ils ne semblent normaux comme nous ?'. On ne triche pas avec la biologie. Et les dysphories de genres ont toujours existé mais c'était des cas bien isolés et malheureux comme la plupart des pathologies psychiatriques. Je trouve dangereux d'en faire la promotion auprès des jeunes comme si c'était une solution à un mal-être. C'est en tous les cas pas un sujet 'à la mode' qui pourrait être traité à la légère comme si c'était un progrès sociétal ...
  21. Le wokisme, des idées nouvelles ? Ce courant de pensée à la mode nous venant des USA ne cherche qu'à remettre en question l'histoire et la culture de l'occident, Europe et USA, surtout, enfin, c'est mon avis sur le wokisme. Il est surprenant que seul en occident ce courant est vivace. En Asie, en Afrique, Chine, Russie, Inde et dans la plupart des pays d'Amérique latine, point de wokisme ...
  22. Sonc, tu perds ton temps à vouloir convaincre les contradicteurs qui sont persuadés que Poutine est un dictateur qui opprime son peuple, que les Ukrainiens sont tous pour Zelensky et tous contre les Russes, que les Américains n'ont jamais fait d'ingérence en politique intérieure ukrainienne en 2014, que les USA sont les représentants du monde libre, qu'ils nous ont sauvés en 44 et continuent à sauver l'Europe de l'impérialisme russe en 2022 etc etc ... Ce sont les mêmes qui écoutent BFM, TF1, A2, lisent le Monde ou Libé et qui votent Macron (en disant qu'ils votent pour le moindre mal afin de se donner bonne conscience ...)
  23. Laisse s'agiter le foutriquet dans son coin ... Il pense avoir une influence au niveau international ... Les Africains savent où sont leurs intérêts et qui ils doivent écouter: les Russes et les Chinois. Ils savent que Macron est un ancien colonisateur et qu'il passe son temps à battre sa coulpe devant ces gens-là ... C'est évident, ils font peur aux caniches yankees pour demander aux Russes de se retirer de cette centrale ... Comme s'ils allaient faire ça ...
  24. Je suis d'accord sur le fait qu'il existe une censure forte en Russie, et que le choix des médias libres est plus que restreint. Il n'empêche que nos médias, VA, Le Figaro jusqu'à l'Humanité etc sont systématiquement pro-Ukraine dans leurs commentaires et leurs analyses. Nos médias aussi sont 'sous contrôle', de façon plus discrète et hypocrite mais les groupes qui les financent (et le gouvernement qui les subventionne) sont contrôlés par l'occident (USA et Europe). Je n'ai jamais lu dans nos médias d'articles pro-Poutine et anti-Zelenski ... Et je ne pense pas que TOUS les Français soient pour Zelenski ... Dans notre monde de communication, tous les médias (enfin ceux qui sont importants et qui comptent par leur pouvoir d'influence) sont contrôlés; dans le monde entier.
  25. Blague à part, sa façon de voir les évènements survenus en Europe depuis l'URSS et sa chute n'est pas stupide ... Il parle évidemment pour la Russie ...
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