-
Compteur de contenus
22 341 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
20
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Solatges
-
Cette affirmation est archifausse. C'est la seule explication et elle est suffisante. Vous allez trouver le moyen de démontrer vos allégations mensongères. Je vous propose de calculer le nombre de mois d'espérance de vie perdus dans les Boûches du Rhone et dans la région parisienne (qu'il faudrait réduire au 93 pour rester dans une comparaison valable) et d'amener vos travaux avant d'aller plus loin. Il faudrait corriger cette évaluation par la quantité d'HCQ utilisée dans ces deux territoires. (Car même en région parisienne, malgré l'ostracisme, des gens comme Perronne ont traité mais à Marseille aussi, les sirènes du scientisme et des menaces ont limité l'emploi des traitements). Mais ces données ne sont pas disponibles et aucun journamliste d'investigation ne fera l'effort de les collecter. Les positions d'autorité qui vous font juger Raoult comme un looser et autres fariboles plus ou moins émétiques qui ne reposent que sur votre supériorité naturelle ne peuvent pas suffire à éviter toute démonstration.
-
Et c'es totalement surréaliste. Jamais depuis Paracelse un médicament a été interdit dans une moitié du monde, et pour autant très largement utilisé. Sauf si une somme importante d'effets secondaires graves n'ait fait l'objet de déclaration de pharmacovigilance. Cette interdiction (voire persécution comme pour le Dr Théron et tant d'autres) est profondément anormale. Les pseudosachants parlent de "daube", de "vomir", de "melon" et de "preuves d'inefficacité" et tout ça n'a aucun sens. Si un médecin il y a 20 ans avait eu besoin de l'opinion d'un statisticien pour soigner un malade, nous serions bien moins nombreux sur terre, voilà tout l'affaire. Environ 5% des médicaments disponibles ont fait la preuve d'une efficacité à la sauce "moderne". Les statisticiens n'hésitent pas à imposer comme absolue leur règle intangible du double aveugle randomisé, en parfaite ignorance des vraies règles des essais cliniques. La corruption est générale dans cette affaire. Elle n'est pas visible pour ceux qui débarquent avec leurs certitudes scientistes après avoir fait une formation accélérée par "Monsieur Sam" ou "Conspiracy watch". De la poudre aux yeux. Si l'HCQ ou l'Ivermectine avaient fait autant de dégâts que, par exemple, la "vaccination" il serait normal de l'interdire. Engager une somme ridicule pour traiter une maladie potentiellement mortelle ne nécessite pas de preuve préalable si les médicaments sont sûrs, et rien n'est plus sûr que l'HCQ, l'Azithromycine et l'Ivermectine qui sont utilisés depuis des années avec un nombre de déclaration de pharmacovigilance très inférieurs à ceux du Doliprane. Le besoin de preuve est une nécessité commerciale qui n'a pas lieu d'être dans une crise majeure.
-
C’est faux Mais puisqu’on nous poste des cartes des pays qui n’interdisent pas l’hydroxychloroquine, j’aimerai connaître le nombre précis de patients qui sont traités dans le monde avec ce protocole et précisément avec ce protocole Raoult T Tu n'est pas de taille à dire "c'est faux". Tu n'as aucun argument. Tu dis "j'aimerais savoir..." personne ne sait grand chose dans cette histoire, et c'est suspect. Les service socieux allemands ont retrouvé l'an dernier une consommation très supérieure à l'habituelle en HCQ. Je crois que je l'avais signlé ici, mais je ne crois pas que cette info soit disponible. Pourquoi ? Les médecins allemands n'ont pas été mis sur la touche et on ne leur a rien interdit, du moins jusqu'au drame du Lancet. Ta haine contre Raoult et le secret et la censure peuvent te faire imaginer n'importe quoi. Regarde si youtube autorise à parler des traitemetnts covid. C'est pareil pour tous les media. Objectivement, si un docteur voit un patient qui commence à être symptomatique, ne pas le traiter suivant un des protocoles disponibles par pure idéologie n'a pas de sens, et si le patient finit par mourir, ça doit peser sur la conscience. On n'a jamais demandé la certitude absolue de guérir avant de soigner.
-
C’est faux Mais puisqu’on nous poste des cartes des pays qui n’interdisent pas l’hydroxychloroquine, j’aimerai connaître le nombre précis de patients qui sont traités dans le monde avec ce protocole et précisément avec ce protocole Raoult Tu n'est pas de taille à dire "c'est faux". Tui n'as aucun argument. Tu dis "j'aimerais savoir..." personne ne s
-
Le journal de Mickey soutient la même thèse, mais ce ne sont que des conneries. Bien sûr qu'ils ont surdosé, ils ont même répondu que c'était la dose usuelle pour la gale ? (que personne n'avait jamais traité avec ça). Jamais on n'a utilisé l'HCQ à de pareilles doses, le reste c'est du blabla. C'est simplement pour obtenir un mauvais résultat, et tant pis pour les malades.
-
Oui. Réserver les essais thérapeutiques à l'hôpital dans cette maladie est une aberration. Les patients sont hospitalisés pour une ou plusieurs complications de la covid, et ce qui marche le mieux à ce stade c'est les traitement des complications qui sont englobés sans distinction dans les "standards of care" (non protocolisés) dont on peut éventuellement isoler les corticoïdes. Les modalités de l'anticoagulation peuvent faire la différence.
-
Vous avez tout à fait raison. Mais les conclusions des 2 études sont voisines.
-
https://lactudissidente.com/le-pr-henri-joyeux-chez-andre-bercoff-didier-raoult-devrait-avoir-le-prix-nobel-de-l-humilite-face-a-d-autres-medecins-et-leurs-chiffres-magouilles/ Le procureur le voit coupable, mais le juge n'a pas fait le procès. Le fait de rompre le secret de l'instruction pour un procureur ne plaide pas pour sa propre probité.
-
Discovery n'a pas démontré l'inefficacité de l'HCQ. Elle n'a pas montré son efficacité dans les conditions de l'étude qui ne sont pas du tout le protocole de l'IHU. Le bras HCQ étauit en surdosage majeur, je l'ai déjà expliqué ici, à la limite de la dose toxique. Sur des patients en mauvais état, c'est de l'empoisonnement. Malgré tout, l'arrèt précoce des essais, loin des effectifs prévus au départ, a interdit de voir son efficacité ce qui n'autorisait pas dans les conditions de l'étude, une significacité des résultats. Si on utilise l'HCQ correctement, c'est à dire en phase pré-hospitalière , (ce qui exclut les comparatifs double aveugle qui ne sont pas la condition sine qua non de l'étude valide), et selon le protocole de l'IHU, elle fonctionne très bien.
-
Toujours aussi grotesque : Ce sont nos impôts qui alimentent les fonds de l'union européenne. C'est bien nous qui paireons la note. Plus les Allemands, mais nous tout de suite après.
-
Tu le dénoncerait plus fort, pour son melon et tout ça. Il ne va pas revétir l'habit de Rambo pour faire justice. Il se contente de nous exposer la vérité. A nous d'en faire bon usage.
-
Toujours pas acepté tes conneries sur ce sujet, non plus. Tu ne vas pas apprendre à Raoult à faire des études, c'est risible. T'es qu'un gros nul.
-
Je vais aller tout seul renverser ce gouvernement criminel en étant coupable désigné avant d'agir ? Pour en faire venir une copie ? Mon boulot, c'est de faire comprendre aux gens la situation. Après, ça peut très bien se passer. Je suis bien certain que quand tu auras toutes les preuves, tu continuera à nier pour sauver ton cul.
-
Le problène n'est pas la gravité de ce qu'on pense, mais que la gravité de la situation qu'on vit. Je n'ai rien çà faire de tes larmes, mais arrète de nous gonfler avec ta morale pourrie.
-
Vu qu'il ne peut être employé qu'à l'hôpital, du fait de sa toxixcité, son remboursement ne servait à rien. Peut-être que c'est toi le coupable. On verra. Enfin, si on a encore le droit de voir quelque chose quand le cirque sera fini.
-
Le journaliste y était, ou bien c'est un menteur. Le médecin nie avoir blessé l'huissier, le conditionnel était indispensable. Ouah, ouah.
-
S'il n'avait pas pris de parts de marché aux ricains, il continurait à le faire, avec la complicité l'ANSM qui a été condamnée avec Servier.
-
Il est toujours référencé par l'HAS (Haute autorité de santé !) et toujours dispo dans les hôpitaux.
-
Explique moi comment j'aurais persuadé cette soignante de l'Idaho. Tu m'amuses. Ton argument de culpabilité marchera avec moi quand tu m'auras démontré que vacciner les jeunes leur évite des formes graves dans une plus grande proportion qu'elle leutr procure des blessures. Ta morale à 10 balles ne marche qu'auprès de convaincus aveugles et fanatiques. L'huissier était venu lui donner son bonjour, et tu as le témoignage oculaire qe qu'elqu'un qui a vu l'aggression. C'est pas ça ? Alors, c'est toi qui ment.
-
On est d'accord. Un pharmacien peut vérifier que l'ordonnance qu'il délivre est conforme en terme de doses et les éventuelles intéractions médicamenteuses. Il n'a pas le pouvoir de savoir ce qui est mauvais ou bon pour le malade (il n'est pas le médecin de ce malade) et encore bien moins de dénoncer un prescripteur d'ordonnance "décriée". Il peut, en cas de doute, vérifier auprès du prescripteur s'il maintient son ordonnance. Je suppose que c'était un stagiaire métropolitain plus enclin à faire plaisir à la moindre autorité qui passe.
-
Du concentré d'idiotie : Elle n'a pas fait son avis sur ce que je dis.
-
La preuve est faite que non. Pour le Remdesivir nous a fait acheter pour un milliard d'#€, dès qu'on a su qu'il était toxique et sans acune action positive après toute un tripotée d'études ad hoc qui ne montraient que ça. Du reste, on en dispose gratuitement dans les hôpitaux. Personne n'a fait de pub pour des produits incapables de générer du profit.
-
Le fait d'arréter un médecin pour qu'il cesse son travail, c'est un argument de quoi ? N'hésite pas à accuser les autorités sanitaires, qui font n'importe quoi pour piétiner le peuple, en toute illégalité.
-
Tes belles certitudes sont illogiques et incohérentes. Reprends toi. Tout est chamanique dans cette affaire, et tu fais bien la prêtresse. L'Ivermectine n'a pas d'eefet secondaire aux posologies recommandées, c 'est pas comme le Doliprane, qui lui n'a aucun avantage, mais qui est un des médicaments qui causent le plus d'intioxications en France. Ce n'est pas aux "autorités" à examiner le rapport risque/bénéfice, mais au médein qui prescrit à un malade.
-
Pour promener les invendus de Remdesivir°, par exemple. C'est marrant comme personne n'a jamais pensé à persécuter les prescipteurs de tonnes de médicaments dont l'efficacité n'avait pas été démontrée (par des études qui plaisent aux labos). Rien qui pour la grippe, on a fait grande pub pour le Tamiflu°, sans une étude... Si les vaccins avaient été aussi bien étudiés que l'Ivermectine ou l'HCQ, par exemple ça se saurait. Mais le problème est très différent : On le rend inévitable.