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Qui vous a dit que je me sentais inférieur ?? Il peut très bien rouler en 4x4 Mercedes et moi en vélo mais au moins moi je ne pollue pas l'environnement avec mon vélo. De plus il peut par exemple rouler en Mercedes mais battre sa femme tous les soirs alors que je respecte parfaitement mon conjoins... Pour revenir au sujet de ce topic (que je n'aime pas au fond), vous voyez bien que dans mon exemple matériellement je suis "inférieur" à mon voisin mais sur le plan des sentiments/spirituel je suis "supérieur". etc. etc.
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Belle analyse. J'avoue que perso je ne connais pas du tout "Miguel de Unamuno" et sa philosophie. Dans son oeuvre, comme vous l'avez expliqué, il est sûrement question d'implacabilité, le fait que nous sommes "gênés" qu'il y est quelque chose (si j'ai bien compris). Cependant, dans un tout autre registre, la question "Pourquoi doit-il y avoir quelque chose ?" ne peut-elle pas être abordée d'une manière purement ontologique ? C'est-à-dire en fin de compte traduire cette question en le pourquoi de l'existence ? [Et cela sans recourir à une approche religieuse...??]
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Ah bah, ils sont comme ça chez wiki ?! je ne le savais pas... Plus sérieusement, peut-être que le big bang n'est pas le début de l'univers mais je pense que ma question garde son sens : pourquoi ce déclenchement de l'évolution de l'univers alors ? Philosophiquement parlant on pourrait étendre cette question à toute chose, par exemple : Pourquoi je réponds à votre message pour qu'il y ai un échange entre vous et moi ? Rien ne m'oblige à taper ces mots sur mon clavier et vous les envoyer ? En somme, pourquoi doit-il avoir quelque chose... ?
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Attention, Nietzsche n'aime pas non plus le nihilisme mais c'est un autre nihilisme ! Je pense que c'est une vision Kantienne du monde que vous décrivez là. Un monde perçu à partir de notre esprit. C'est nous en tant qu'êtres raisonnables qui donnons sens à l'univers.
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"Le Big Bang pourrait marquer le début de l'Univers, issu possiblement d'une singularité." https://fr.wikipedia.org/wiki/Big_Bang
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Personnellement, la formule : "Pourquoi doit-il y avoir quelque chose ?" me fait penser à la philosophie du big-bang. Pourquoi l'univers a dû apparaître ? le néant, le vide n'était-il pas suffisant ? Par ailleurs, je pense aussi à la formule "Dieu créa l'homme à son image" : Pourquoi cela ? Pourquoi Dieu s'est senti obligé de créer quelque chose et plus spécifiquement quelque chose qui est à son image ?? [Il faut que j'arrête moi, je suis bien inspiré ce matin.... ]
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Effectivement, il me suffit simplement d'observer que mon voisin de palier roule en Mercedes alors que je roule en vélo et je me rends compte alors de cette hiérarchisation dont vous parlez. Mais si je peux me permettre ce n'est pas tant le sujet de ce topic qui m'interpelle mais votre manière de rédiger vos interventions que je trouve originale voir même stylistiquement atypique !
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Bonsoir, je trouve que vous êtes quelqu'un de bien mystérieux... salutations homme de plein vent !
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@Annalevine Et puis merde à la fin ! Et aussi : FREE CRIMEE !!! (désolé très chère mais en tant qu'auteur de ce topic je me devais d'intervenir......!)
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Oui mais est-ce qu'avec les avancées de la génétique en étudiant les gènes d'un humain contemporain ne pourrait-on pas un jour retracer l'histoire de l'humanité depuis son origine ?! Perso j'ai bon espoir...
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Mais je vois que avez quand même une théorie là-dessus... ! En tout cas, je pense que dans le "faux semblant" il est question d'insinuation, seulement il y a une chose en plus c'est qu'il faut bien voir s'il s'agit d'insinuer tout bonnement ou bien s'il s'agit d'insinuer insidieusement !!! Enfin, vous parliez de mythomanie mais ô combien de philosophes et de savants qui n'ont pas arrêté de dire qu'il vaut mieux parfois mentir que de ne jamais le faire : "Il y a une innocence dans le mensonge qui est signe de bonne foi" (Nietzsche).
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Que veut dire exactement pour vous le faux semblant ? S'agit-il simplement d'un simulacre ou bien de quelque chose d'une toute autre nature...??!
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Je ne vais pas me balader sur des terrains que ne connais pas et je n'ai aucune prétention d'avoir la science infuse. Par contre ce que vous dites là, moi je l'appelle "L'art de vivre" !
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"La folie est quelque chose de rare chez l'individu ; elle est la règle pour les groupes, les partis, les peuples, les époques" (Nietzsche)
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OK. Mais si dans la réalité je ne respecte pas les impératifs de la vie sociale comment je vais faire pour me nourrir/loger/blanchir ?! La maturité c'est aussi se rendre compte de cet aspect là il me semble.
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...plus sérieusement : être endoctriné, ne jamais se poser des questions sur ses actions et sur soi-même, ne pas pouvoir se mettre à la place de l'autre, c'est de cette folie là qu'il est question, une folie ravageuse ! Tenez : Je me rends compte que je fais encore mon camusien ! (il faut réellement que je me mette à lire Albert Camus...)
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Mince alors ! Que fait-on alors de la formule : "Ce n'est pas le doute qui rend fou mais la certitude !"
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Personnellement je vois deux aspects à la question "qui suis-je?" : - Un premier aspect en rapport avec la question de la "maturité" ou de devenir (enfin) adulte. On n'est pas adulte si on a pas au moins un début de réponse à la question de "qui suis-je?", "quelles sont mes limites ?", "quels sont mes points forts ?" etc. - Un deuxième aspect avec le fait qu'effectivement chaque personne en tant qu'être ayant une "histoire" est éternellement en devenir, en constante évolution, on arrête jamais d'apprendre et de progresser. Donc je dirais qu'au niveau de notre vie sociale, en tant qu'individu, il nous est nécessaire de trouver une réponse même approximative à la question "qui suis-je?" et cela le plus tôt possible dans notre vie, et au niveau "spirituel", en tant que personne, il est important de toujours se chercher et ne jamais se figer sur une image qu'on s'est soi-même donnée. Je pense que c'est difficile de jongler avec les deux aspects et il s'agit là d'un art de comment vivre !
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Eh oui ! La politique aujourd'hui c'est synonyme de "comment foutre la merde" chez le voisin ou encore comment "zigouiller" ses rivaux. On est en effet bien loin du temps de la politique philosophique. Ne vous penchez pas trop sur l'homme quand même ! Il n'est pas dur le surhomme Nietzschéen, il est juste dur à voir, ça gratte effectivement les yeux... !
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Les interventions précédentes me font penser qu'effectivement on n'a jamais eu (à ma connaissance) une définition de ce qu'est l'homme et pourtant on n'en a eu des tonnes de définitions sur ce qu'est ou doit être le "surhomme" (l'homme saint, l'homme noble/seigneur, le surhomme nietzschéen, ...) !
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"C'est ce qu'ils disent tous..."
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Bonsoir Fraction, Je vous trouve fatalement cynique. Vous êtes sur un forum de philo et non sur un plateau de Cnews avec E. Zemmour ! Fraternellement (!)
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Voilà ce que j'appelle obscurantisme.........!
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Je n'aurai pas mieux dit !
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Bravo ! Effectivement on peut ne jamais avoir penser le ski lorsqu'on vit dans un désert, par contre rien ne dit qu'une fois qu'un homme de désert y a goûté (au ski) qu'il ne l'aimera pas ou qu'il ne peut pas en devenir un champion...