Persil-Fleur

Voilà, j'ai semé une graine. On va voir si elle la fait germer...

Ça reste un peu flou pour moi. Concrètement qu'est-ce que tu recherchais chez elle, que tu espérais trouver, et qui n'y était pas ?

Elle le sait, non ?

A heart speaks louder Than a color can...

A vous... et votre centaine de vies. Attachants, touchants, agressifs, possessifs, violents... doux. Multiples facettes d'Elle. Je vous aime quand même.

A chaque sein saint, sa chandelle.

Personnellement, il me semble que le visage des bad boys trahit souvent l'extrême violence qui les travaille à l'intérieur. Ce qui est assez utile pour les éviter au plan amoureux. D'une manière générale, la morphopsychologie peut aider à percevoir une part du caractère des gens, même si ce n'est pas une science exacte. La fermeté, la violence, l'agressivité sont des traits de caractère souvent identifiables sur les visages. Bien sûr, il y a des cas évidents comme celui de Joey Starr. C'est presque une caricature de bad boy. On lit en lui comme en un livre ouvert. Même s'il tente aujourd'hui de se racheter une conduite, après avoir été condamné à 3 mois de prison ferme pour coups et blessures sur sa femme Leïla Dixmiers. Ça n'a pas découragé les femmes de se précipiter sur Joey Starr. Je suis toujours effaré de voir le nombre de femmes qui sont aimantées comme des lucioles par ces bad boys. A croire que cette violence virile évidente exerce sur elles une forme d'attraction intense qui efface tout bon sens. Ou alors, leur forme d'esprit n'est pas configurée pour détecter l'agressivité manifeste chez certaines personnes. Tandis que d'autres, décodent plus aisément les expressions qui façonnent le visage, voire les gestes et attitudes du corps. Le cas de Johnny Depp est assez caractéristique. La plupart des femmes, à travers le monde entier, le trouvent très beau. Elles ne rêvent que de tomber dans ses bras. Dans plusieurs sondages, il est le tout premier homme choisi pour partager "un dîner aux chandelles". On croit rêver... un dîner romantique avec l'homme qui traite de "pute" Vanessa Paradis, mère de ses enfants, quand il en parle avec ses copains. Ou qui échangeait des textos d'une rare violence en 2013 avec son ami Paul Bettany, avant même son mariage avec Amber Heard : " Brûlons Amber !!!... Noyons-la avant de la brûler !!!... Je baiserai son cadavre brûlé après pour m'assurer qu'elle est bien morte". Pourtant, il porte cette violence sur son visage de façon manifeste... de mon point vue

Pour moi, c'est l'inverse Un "bad boy", c'est plus un vrai vilain qu'un style. Il peut être utile de rappeler d'où vient le mot. Bad Boy vient de l'anglais, où il décrit un « mauvais garçon ». Pour l'anthropologue Mélanie Gourarier, l'usage du concept de « bad boy » permet de taire des pratiques de violence en ne disant pas « l'homme violent », « l'homme qui a tapé des hommes ou des femmes ». Un "bad boy", c'est donc avant tout un homme violent.

On ne peut pas être bon dans tous les domaines, c'est vrai. Ça n'enlève rien à ses qualités de réflexion sur certains sujets. L'autre a été ta compagne ? Qu'est-ce qui a fait que cette appartenance au type 3 a été une expérience "très désagréable" pour toi ?

Ta remarque sur le sens du mot "ainsi" est tout à fait justifiée. C'est amusant parce que je me la suis faite aussi... mais trop tard Un mot plus juste pour traduire ma pensée m'est venu dans le train. Je me suis dit que @Mórrígan allait probablement se tromper, comme tu le fais, sur le sens de ce dernier mot. Comme quoi, c'est important d'être suffisamment précis avec les mots, sinon ça peut prêter à confusion. Le mot "ainsi" a plusieurs sens. Celui que tu soulignes est loin de l'idée que je voulais exprimer. Je voulais conclure "C'est malheureux, mais c'est la réalité ". Car le débat qui nous opposait portait sur la réalité de l'incidence des vêtements sur le viol. Le mot "ainsi" peut laisser entendre qu'il faut se résigner à ça. Bien entendu, ce n'est pas le cas. Mon post condamnait d'ailleurs sans ambiguïté les hommes qui pensent ainsi. C'est un des challenges de nos sociétés de faire disparaître ce type d'attitude de nombreux hommes, et d'éradiquer les attaques contre les femmes. Mais, en attendant que ce soit le cas, il est assez inconséquent (voire irresponsable) d'affirmer qu'une femme peut mettre des vêtements "sexy et provocants" sans danger dans certains endroits, et à certaines heures, en France comme à l'étranger. Car, cella fera le malheur de nombreuses femmes, confiantes hélas, dans cette fausse idée... et négligeant ce risque réel.

Ce s'rait pas la mort si j'avais ton sourire... encore, Mano

Si touchant... craquant... mon pti sucre favori

Tu sautes allègrement un certain nombre d'étapes dans ton raisonnement. Effectivement, la majorité des cas semble lié à des gens qui se connaissent depuis longtemps. C'est ce que je soulignais à propos des étudiants de l'Université du Kansas. La tenue vestimentaire portée le jour du viol ne peut donc rien expliquer... ce qui invalide le raisonnement simpliste (stupide ?) de l'exposition qui montre les tenues banales "similaires" portées par les victimes le jour de leur viol. Ça n'a aucun sens. Comme aucune étude n'analyse les motivations des violeurs (voisins, voisins voyeurs, famille, amis,...), il est impossible de connaître les raisons pour lesquelles ces hommes ont commis ces viols. Il est donc fort possible que des attitudes sexy ou provocantes, des vêtements portés par la victime dans les mois précédents, puissent avoir une incidence sur le sentiment d'excitation exacerbée, de violence sexuelle, de déculpabilisation, de dévalorisation ou de haine, de ces hommes. Dans le cas des voisins "voyeurs", ça paraît même assez probable. C'est ce qui ressort d'ailleurs de l'étude d'Amnesty International que tu cites : 85% des répondants (donc 99% des hommes, vu que les femmes doivent faire baisser la moyenne en répondant négativement) estiment que les femmes "sexy et provocantes" sont les plus exposées au viol. Par ailleurs, tu évacues un peu trop vite le sort des 10% de femmes qui se font violer par des hommes inconnus. Pour toi, 90% des cas veut dire que le reste est négligeable. Pour elles (à savoir 9 300 femmes par an en France, tout de même!) leur cas n'a rien d'une exception. Si des conseils avisés portant sur les tenues vestimentaires dans la rue, dans le métro, en stop, dans des endroits à risque ou isolés... permettent d'éviter ne serait-ce que 20% de ces viols, ça représente 1 860 femmes sauvées, vois-tu. Alors, ton combat "féministe" est louable. Mais, il ne tient pas compte des risques courus par les victimes. Mener un combat "politique" contre les préjugés ou contre les hommes, c'est bien. S'intéresser à savoir si on aurait pu sauver un certain nombre de victimes, c'est mieux. Personne ne dit que les victimes sont "responsables" de ce qui leur arrive. Elles ne peuvent pas être responsables des folies qui passent dans le cerveau des hommes. En revanche, si la tenue vestimentaire a une incidence sur les viols, ce qui semble être le cas dans l'esprit de la majorité des hommes, alors il vaut mieux le savoir et s'en prémunir... pour les moments où l'on sort dans des endroits peu sécurisés. Le témoignage le plus manifeste qu'on puisse donner, pour inciter à la prudence, est celui-ci. Les hommes se permettent beaucoup plus de gestes déplacés quand les femmes ont des vêtements sexy. Ils sifflent les femmes, ils ont des mots et des gestes déplacés, alors que c'est beaucoup moins le cas pour les femmes en jogging moche, T-shirt ample et couleurs ternes. Dans certaines régions d'Espagne et d'Italie, les femmes savent même qu'il est impossible de sortir en short en plein été. Sous peine de se faire siffler et importuner toute la journée. C'est malheureux, mais c'est ainsi.

Je n'essaie rien du tout. Mais, j'aime bien lire d'autres types de philosophes... corrosifs et anti-conformistes comme Michel Onfray, vois-tu. Il a eu le courage de lancer un vrai pavé dans la mare contre ces prétendues "institutions" des psychanalystes, et leur façon de nous imposer que "leur" pensée couvre tous les cas de figure. Il a montré les immenses lacunes humaines de Freud et ses manipulations de la vérité... qui sont identiques aux immenses lacunes humaines de Jung ou de Lacan. Prétendre connaître tous les humains est une imposture. Les psychanalystes de renom franchissent aisément ce pas. Il est bon qu'on les remette à leur place par moments. Jung n'est qu'un homme comme un autre. Avec ses défauts et ses erreurs. Sa classification a le mérite d'exister. Néanmoins, aucune femme ne peut être entièrement dans une case sans lien avec les autres cases. L'humain est multi-forme et contradictoire. En plus, il est capable d'évoluer. Et Jung n'a vu qu'un millier de personnes par rapport aux quelques milliards d'individus sur Terre. La psychanalyse n'étant aucunement une science exacte, il convient de rester humble sur le sujet. D'ailleurs, peut-être lis-tu Jung de travers ? Il dit que la femme peut incarner quatre formes : Mère-Epouse, Hétaïre, Amazone et Médiale. Mais il dit aussi, bien entendu, qu'une deuxième forme peut s'ajouter parfois à la principale. Et que les 2 dernières formes sont inconscientes. On est donc loin des cases sans aucune porosité entre elles

Demande à Jung ce qu'il penserait d'une telle phrase. La communication, ça va dans les deux sens. Si je te comprends "presque à chaque fois" de travers, c'est en partie seulement dû à moi... il est possible que tu t'exprimes de travers, aussi Relis attentivement tes mots. Il en ressort clairement une admiration sans bornes pour la femme "de type 3" (par exemple, je te cite : " L'expérience la plus grande et la plus profonde qu'un homme puisse faire avec une femme cest avec le type 3")

Voilà ce que j'entendais par une femme" fantasmée". A mon sens, tu te focalises trop sur la femme de type 3, en lui attribuant des vertus de passivité qu'elle n'a pas. Tu cherches une sorte de "vierge de la vie" que tu pourrais modeler comme un pygmalion. Or, aucune femme de nos jours n'est totalement vierge de la vie. Dans aucune relation amoureuse, l'homme ne peut "être ce qu'il veut vraiment être", sans que la femme s'y oppose. Parce que, elle aussi a envie d'être quelque chose par elle-même. En dehors de toi... même si elle t'admire et t'aime. La relation à deux implique des compromis incontournables pour tenir compte de la psychologie de l'autre. L'amour implique certains renoncements personnels, certaines concessions à l'autre. Pour être vraiment "ce que tu veux être", sans aucune limite d'aucune sorte, il faut vivre seul... et encore, l'intensité du contact à l'autre te manquera. Construire une vie de couple, c'est trouver le juste compromis entre les envies infinies de l'un et de l'autre. Naturellement, les concessions que tu abandonnes à l'autre ne doivent pas nuire à ton bonheur. Sinon, tu es avec la mauvaise personne.

Euh... comment dire... sans trop casser tes illusions... bien trô jeune ? Dans à peine 1 ou 2 ans, tu passes le Rubicon ! Fais gaffe, c'est bien le temps qu'il faut pour s'y préparer. Un peu comme la retraite. Si tu n'as pas prévu de plan alternatif à la sexualité, acheter le journal, regarder Derrick en VHS, lire la rubrique nécrologie, discuter avec ton chien, changer tes pots de fleurs de place 10 fois par jour, accumuler les coupons de réduc pour les boîtes de thon ... ça va te faire tout drôle !

Oui, elle est pleine de retenue. Tout en délicatesse. Elle réveille des sentiments très tendres. Elle me fait penser à plusieurs chansons tendres, sans que ma mémoire les retrouve. Richard Cocciante a un peu de cette tendresse ici... et Jehan aussi, dans un tout autre style... tourné vers l'amitié.

Une rencontre, c'est une surprise. Un saut dans l'inconnu. Il faut se laisser porter. Pas casser la poésie avec des grilles de lecture inapplicables. Tes points de repères, ça peut être tes questions. Les questions importantes que tu ne veux surtout pas oublier de poser. Pour cerner ses valeurs. Si tu cherches obligatoirement "l'Exception", ça foirera. Parce que tu ne la trouveras pas. Tu te fixes un niveau d'exigence inatteignable par un simple mortel. Il est trop théorique. Une telle femme n'existe pas, ailleurs que dans les livres. C'est une femme fantasmée. Et même si tu trouvais un jour une femme exceptionnelle et hors du commun, il est probable qu'elle te trouverait trop banal... car ton propre parcours de vie n'est pas nécessairement exceptionnel et hors du commun. Cherche plutôt simplement une femme qui puisse te convenir au quotidien. Une femme capable d'encaisser tes interrogations théoriques et de les aimer. Une femme ouverte avec qui tu puisses passer ta vie en partageant des plaisirs communs sans vous ennuyer... et sans vous prendre trop la tête (prenez-vous plutôt autre chose... pour ça, pas besoin de grille de lecture ^^)

Enlève une couche de vêtements, allonge-toi délicatement sur un canapé, et ferme les yeux. Ça va aller mieux Bon, il est temps de quitter le sujet de la sexualité après 50 ans, pour passer une nuit tranquille... en rêvant de petits écureuils qui gambadent

Le "paraître" dont je parlais est justement tout ce que "semble" être la personne... si on l'observe mal. Quand on se trompe sur l'être, ce n'est pas de sa faute mais de la nôtre. Parce que notre grille de lecture est mauvaise La grille de lecture de Jung me semble faire partie des mauvaises grilles de lecture. Même si, personnellement, le 1+2 me va très bien . En réalité, les femmes sont plus complexes que ça. Elles ont un pied dans chacune des 4 cases. Tenter de les cantonner à une seule case pousse à avoir des préjugés, et une mauvaise relation avec elles. Lire Freud, Jung ou Lacan est intéressant au plan global des idées. Ça n'aide pas à cerner le caractère de la femme singulière qui est assise en face de toi, dans ce bar Ce qui importe davantage, comme pour les hommes, c'est comment elles ont résolu tous leurs complexes d'enfance, d'adolescence, d'adulte. Certaines ont des blocages liés à leur passé, des crispations, des barrières, des interdits, des frustrations... d'autres ont digéré ces complexes et sont plus ouvertes envers l'autre. L'important, c'est ce qu'est devenue cette femme aujourd'hui. On a tous plein de cicatrices émotionnelles sur le cœur, à fleur de peau. Est-ce qu'elles adoucissent notre personnalité et nous poussent à la caresse envers les autres ? Ou bien est-ce qu'elles durcissent notre personnalité et nous poussent à maintenir les autres à distance ? C'est ce qui m'importe de découvrir dans un rdv amoureux. Si tu veux réussir ton rdv amoureux, abandonne toutes les grilles de lecture théoriques des psychologues et sociologues. Abandonne tous tes préjugés sur les femmes en général. Fais abstraction de son physique, plus ou moins flatteur. Fais le vide dans ton cerveau et montre-toi ouvert, chaleureux, pour qu'elle puisse s'ouvrir aussi. Observe attentivement la personne en face de toi. Pose-lui tes questions clés. Sur ce qui est fondamental pour toi, pour tes valeurs, pour ton mode de vie. Observe ses réponses, ses yeux, ses gestes, ses mimiques, ses mots, ses prises de position... et tu sauras vite si elle est faite pour toi.

Quand on a un caractère attachant, certaines de ces qualités ne déparent pas... si elles viennent en plus A part, le tempérament trop explosif ou emporté, qui peut vraiment s'avérer un lourd handicap. Très franchement, ton visage d'ange est à tomber par terre. C'est une esquisse du Paradis. Bien sûr, il est beau. Mais, il est surtout beau parce qu'il en ressort une douceur infinie, une joie espiègle communicative, beaucoup de bienveillance. Tu n'as donc pas l'air d'être une peste... à première vue Cela dit, avant de se marier, ce ne sera pas plus mal de se découvrir un tantinet plus. Par exemple, de partager un subtil nectar des îles pour percer plus avant tes secrets Tu n'as qu'un seul défaut. Mais, il est de taille

O% Pas encore déçu, mais ça viendra peut-être. Quand on "surestime" une personne, en réalité on a mal analysé cette personne ou on a fermé les yeux sur des défauts évidents par rapport à nos valeurs. Il me semble plutôt qu'il faut remettre en question nos propres choix. Les échecs viennent en majorité de nous, de nos choix erronés en amont. On est fascinés comme des lucioles par les personnes qui prennent la lumière, alors qu'elles sont invivables au quotidien. On ne se focalise que sur les diverses facettes sociales de la personne, sans s'interroger sur sa personnalité profonde. On privilégie le paraître à l'être. On choisit une personne qui ne nous convient pas. Contrairement aux choix de la plupart des gens, je ne suis pas attiré par les personnes qui ont "du chien", des forces de caractère hors pair, des tempéraments de feu, des beautés hors du commun, des parcours professionnels impressionnants, des intelligences fabuleuses, une aisance orale bluffante, une fortune personnelle... toute cette poudre aux yeux nuit au jugement. En général, ces personnes sont très difficiles à vivre. Ça peut faire d'excellents copains, copines, plans fesses, mais de très mauvais maris et femmes. Fiers, ombrageux, capricieux, intransigeants... rien pour construire quelque chose dans la paix. Mon seul critère intuitif : les traits de caractère d'une personne. A-t-elle bon caractère ou "mauvais" caractère ? Privilégie-t-elle la gentillesse, la douceur, la tendresse, la bienveillance, le dialogue, l'amitié dans ses contacts ? La question clé : est-ce que je pourrais vivre au quotidien avec cette personne sans dispute ? Est-ce que ses valeurs me conviennent ? Les études sur les couples en France indiquent une moyenne de l'ordre de 200 disputes par an. C'est juste une hérésie totale de passer la majeure partie de sa vie en dispute... et ça explique le nombre faramineux de séparations et de divorces. Je fuis les personnes toxiques pour lesquelles tout est sujet à confrontation, à rapport de force, à méfiance, à disputes incessantes. Celles qui veulent tout diriger, tout contrôler, qui croient que vous essayez de les rouler en permanence, les complotistes, les aigris, les envieux, les jaloux.... Pour vivre en couple, je préfère les personnes mesurées, celles qui cherchent uniquement à partager de bons moments ensemble, à vivre dans la joie plutôt que dans la lutte. Ensuite, être plutôt doux et accommodant dans les relations au quotidien désamorce les tensions. Ne pas avoir de fierté mal placée permet de trouver (et d'accepter) les compromis nécessaires en couple pour que l'autre soit heureux sur les points qui lui importent. Moyennant quoi, ça se passe bien.

Meuh non... elle parlait d'un problème de "sécheresse matinale" ...pour étendre le linge... Il était tout desséché au soleil. On comprend qu'elle soit désespérée Probablement que @Danoketian aura mal entendu Eh bien, si tu as ses coordonnées ou si tu la revois, tu pourras lui conseiller l'huile de massage intégral YesForLov. Non seulement, ça règlera son souci, mais en plus elle passera un super moment sensuel avec son mari... après quelques jeux avec cette huile, je te garantis que les chutes du Niagara vont renaître

La ménopause n'a pas nécessairement d'incidence sur la sexualité. La sexualité, c'est dans la tête et dans le cœur que ça se passe. Si on titille suffisamment l'envie de l'autre, il n'y aura pas de sécheresse. Ça suppose de ne pas être obnubilé par la pénétration avant d'autres caresses. De nombreuses femmes ont une sexualité plus épanouie après la ménopause. Détrompe-toi, Jim, les lubrifiants c'est monstrueusement glamour. Ça ouvre une palette de jeux sensuels fous ! Faut juste choisir le bon produit et la bonne manière. Par exemple, il y a une huile de massage de YESforLOV qui est une vraie tuerie. Elle fait huile de massage pour le corps ET lubrifiant intime. Elle est assez chère. Mais, si tu l'essaies un jour, tu ne pourras plus t'en passer. Tu ne trouveras pas mieux sur le marché français. Elle diffuse un subtil parfum exotique qui t'emmène dans les îles. Elle est délicate et finement soyeuse à souhait. Elle ne colle jamais, contrairement à la quasi totalité des autres gels de massage. Elle est si légère qu'elle se glisse partout de façon espiègle. Elle suit les moindres recoins du corps, un monticule, une vallée. Elle se précipite vers certains sillons et renflements naturels. Tu commences à masser tendrement une partie du corps... mains, pieds, ventre... tu progresses vers les cuisses, les fesses, les seins,... puis, tu approches la porte interdite, tu te glisses entre les lèvres... tu effleures délicatement bouton d'or, il exulte. C'est absolument dément de pouvoir passer indistinctement du creux du cou à bouton d'or dans une longue et tendre caresse soyeuse ininterrompue. Pour peu que tu précèdes par quelques techniques de massage tantrique, ça met les deux personnes dans un état d'excitation folle. Les deux amants peuvent masser, jouer, taquiner, titiller. Les corps glissent l'un contre l'autre de façon sensuelle. J'adore ! Il y a encore bien mieux à faire avec une autre huile (difficile à se procurer) une goutte de crème CBD, une effluve de vaporisateur de phéromones, un brin de gel crépitant, quelques saveurs à déguster pour titiller l'intérieur de la gorge... Pour un début dans l'apprentissage des huiles de massage intimes, tu as de quoi jouer avec ça. Je te l'offre de bon coeur. Ça peut facilement révolutionner tes ébats