Aller au contenu

Don Juan

Membre
  • Compteur de contenus

    2 461
  • Inscription

  • Points

    8,403 [ Donate ]

Messages posté(e)s par Don Juan

  1. Il y a 2 heures, Lowy a dit :

    Ressentir sa non naissance, c'est exister , non? 

    Et si on inversait? 

    Si le sens des choses se trouvait dans notre capacité à les changer

    Alors là tu m'intéresses au plus haut point,  mais je ne vois pas le rapport avec un retour quelconque, changer le monde est probablement une des possibilités dont potentiellement le surhumain disposera, mais absolument pas en comptant sur un retour.

    • Like 1
  2. il y a une heure, Lowy a dit :

    C'est quoi pour vous? 

    Là d'où aucune marche arrière n'est possible? 

    Là où tout est dit? 

    Là où toute communication est fermée? 

    Là où le retour est interdit?

    ( serais ce là où on tue l'espoir et la continuité...)

    La simple réalité des choses de la vie, rien ne peut être retourner et c'est la grande erreur de Nietzsche...

  3. il y a 25 minutes, chekhina a dit :

    C’est une vision qu’Edgar Morin reprend dans son dernier livre (encore un peu de temps). Mais c’est une vision que je trouve très intimiste, je veux dire qu’elle prend sens dans une intimité. Ce n’est pas une vision qui peut conduire à l’édification d’un collectif justement parce qu’elle est trop intimiste. Mais elle peut permettre de fonder une vision du monde solide dans une solitude. 

    Je ne sais pas comment traduire le mot intimiste, faut-il entendre qu'il y a des expérience qui ne se peuvent rapprocher de l'expérience d'autrui ?

    J'ai tendance à penser que nous avons tous la même expérience du monde même si le plus souvent il s'avère difficile de le vérifier pour des raisons qui touchent aux questions du "conscient" et de "l'inconscient".

    Je pense que l'expérience du phénomène de la conscience comme "noeud qui noue les choses" est possible d'une manière pragmatique ou pratique, donc d'une certaine manière, vérifiable.

  4. Il y a 1 heure, Blaquière a dit :

    Je crains que tu sois totalement dans l'erreur !

    Je ne relève qu'une phrase :

    "Et en conclusion, l'entité première sans cause préalable ne peut être qu'une conscience pure, avec tous les attributs qui vont avec : omnipotence, omniscience, personnelle."

    Te rends-tu compte de l'absurdité de cela ?

     "Une conscience pure' ? Mais cela ne veut rien dire ! Une conscience qui n'est consciente de rien ?

    Une conscience doit nécessairement être conscience de quelque chose, elle ne peut apparaître que dans le monde. Que si le monde, un monde l'a précédée.

    Encore une fois les monothéismes sont une forme de névrose, mise en place le plus souvent par les ambitions des politiques et des prêtres.

    Un seul Dieu, un seul chef, MOI !

    Jésus Christ venait de perdre son père, Joseph. Et il n'a pas su surmonter ce problème. Pas su faire son deuil (pour être à la mode).

    Il a donc remplacé ce père absent par un Père Eternel. Ca mangeait pas de pain !

    Mahomet était un conquérant et pour lui, le principe "un seul dieu un seul chef, MOI" a fonctionné à fond !

    Quand aux Elites juives déportées à Babylone (600 Av. J-C), Elles savaient que le peuple Hébreu resté en Palestine avait un peu trop tendance à suivre son penchant naturel vers le polythéisme, alors elle ont remis les choses en place avant de rentrer au pays : "Un seul dieu, un seul chef, NOUS, les seuls vrais prêtres" !

    Voila l'origine de nos beaux monothéismes !

    Quand notre père meurt, il nous revient d'affronter la réalité et comprendre que c'est nous désormais qui devenons le père. Et pas un père factice d'opérette et invisible dans le ciel appelé à la rescousse. Désormais c'est nous qui détenons le phallus créateur. C'est à nous de le maintenir ce phallus de la Loi...

    Courage !

     

    Veux-tu dire que la conscience a imanquablement besoin d'un support physique, organique, une existence ?

    Si c'est ce que tu veux dire, je ne serais pas d'accord, la conscience pure peut être un "simple" phénomène.

     

    • Like 1
  5. il y a 5 minutes, zenalpha a dit :

    Alexandre Kojève a énoncé un principe simple

    La sanction commence précisement la où l'autorité à échoué 

    l’autorité est la possibilité qu’a un agent d’agir sur les autres (ou sur un autre), sans que ces autres réagissent sur lui tout en étant capables de le faire […]. En agissant avec autorité, l’agent peut changer le donné humain sans subir de contrecoup, c’est-à-dire sans changer lui-même en fonction de son action” [1

    Où donc en d'autres termes

    : “Si, pour faire sortir quelqu’un de ma chambre, je dois user de la force, je dois changer mon propre comportement pour réaliser l’acte en question et je montre par là que je n’ai pas d’autorité” [2]

    En conséquence de quoi, il faut un sain rapport à l'autorité quelque part dans la sanction

    Car le but...n'est jamais la remise en cause de l'autorité 

    Mais bien dans sa force à faire valoir sa légitimité 

    C'est la contre productivité de sanctions mal motivées de détruire son autorité par des sanctions rendues d'évidence.

    Le sanctionneur doit être un être ... sain.

    En théorie si le sanctionné est sain l'idée est de matcher les 2

    Sinon, l'un ou l'autre est ... malsain ..

     

    Il n'y aura pas de sanctionneur sain, seul le pardon est sain...

  6. il y a 5 minutes, zenalpha a dit :

    OK, ne pas rendre la justice par soi-même, je suis entièrement d'accord

    Mais qu'est ce qui rend une justice légitime et quel devrait être son objectif dans la décision de sanction ?

    Ma réponse sera difficile à entendre, on ne peut juger que les actes (tu ne jugeras point...)

    Juger ne consiste pas à rechercher quelle doit être la plus adaptée des répressions, juger c'est chercher à comprendre le pourquoi et le comment.

    Pour moi donc la justice n'est pas la justice, elle est un système de compensation, elle ne cherche pas réellement à comprendre, et donc, elle ne permet au système de comprendre ses failles ni à chaque humain de se comprendre lui-même.

  7. Il y a 16 heures, zenalpha a dit :

    Selon vous, la sanction est elle bénéfique ou ne l'est telle que dans certaines circonstances ?

    Que recherche t'on par la sanction ?

    Pour qui ?

    Pourquoi ?

    De la philosophie de la sanction.

    Je ne crois pas qu'elle soit bénéfique, je ne crois pas à ses vertus pédagogiques ou dissuasives.

    La vision d'une justice de compensation ne peut admettre que les fautes ne soient pas punies.

    Dans une société, si l'on ne pratique aucune répression, c'est le besoin de rendre justice par soi-même qui s'installe et c'est le chaos qui suit. Par conséquent, notre conception de la justice veut servir les équilibres d'un idéal de société,  alors que c'est probablement cet équilibre ou idéal qui sert de base à la plus grande part des crimes.

    C'est un cercle vicieux parce qu'il ne peut y avoir de société idéale, ce sont les hommes qui font la société et tant qu'il n'y aura pas une révolution en chaque homme, nous devrons vivre avec les incohérences de nos sytèmes.

     

    «««Dans leur solide Stupidité, mes généraux se réunirent :
    « Il faut comprendre, se disaient-ils, pourquoi nos
    hommes se divisent et se haïssent. » Et ils les faisaient
    comparaître. Et les écoutaient les uns les autres cherchant
    à concilier leurs thèses et à étabhr la justice et à rendre à
    celui-là son dû et à reprendre à l’autre ce qu’il détenait
    indûment. Et s’ils se haïssaient pour des mobiles de
    jalousie, les généraux cherchaient à déterminer qui avait
    raison et qui avait tort. Et bientôt ils ne comprirent plus
    rien à rien tant les problèmes s’embrouillaient les uns les
    autres, tant le même acte montrait de visages divers,
    noble sous telle lumière, bas sous telle autre, cruel à la
    fois et généreux. Et leurs conseils se poursuivaient la
    nuit. Et comme ils ne prenaient plus de sommeil, leur
    Stupidité allait s’accroissant. Alors ils me vinrent trouver :
    « Il n’est plus qu’une solution, me dirent-ils, à ce fatras.
    Et c’est le déluge des Hébreux ! »
    Mais je me souvenais de mon père : « Quand la
    moisissure prend dans le blé, cherche-la en dehors du blé,
    change-le de grenier. Lorsque les hommes se haïssent,
    n’écoute point l’exposé imbécile des raisons qu’ils ont
    de haïr. Car ils en ont bien d’autres, encore, que celles
    qu’ils disent, et auxquelles ils n’ont point songé. Ils en
    ont tout autant de s’aimer. Et tout autant de vivre dans
    l’indifférence. Et moi qui ne m’intéresse jamais aux
    paroles, sachant que ce qu’elles charrient n’e§l que signe
    difficile à lire, de même que les pierres de l’édifice ne
    montrent ni l’ombre ni le silence, de même que les maté¬
    riaux de l’arbre n’expliquent point l’arbre, pourquoi me
    serais-je intéressé aux matériaux de leur haine ? Ils la
    bâtissaient comme un temple avec les mêmes pierres qui
    leur eussent servi pour bâtir l’amour. »»»

    Citadelle, St EX

  8. il y a 14 minutes, CAL26 a dit :

    Bon ça peut durer longtemps ce petit jeu, on est totalement hors sujet.

    A part venir me dire que j'avais tort, qu'as-tu à dire sur le mécanisme de projection. J'ai certes commencé ma participation par une critique de la présentation du sujet, mais je l'ai abordé par la suite. Alors je te propose de revenir au sujet du Topic.

    Je n'avais rien à dire de particulier sur ce sujet, j'ai réagi à un de tes propos, mais il y a peut-être eu un malentendu sur le sens de tes mots.

  9. il y a une heure, CAL26 a dit :

    Il manque la présentation d'une problématique ou une vraie présentation qu'aurait faite la créatrice du sujet, un début d'analyse pas simplement des points d'interrogation, ne fait pas le malin.

    Si j'ai dit que le sujet avait été créé sans raison, c'est en partant de la réponse de @Lowyà mes premières remarques.

    Si tu lisais un peu, tu verrais que j'ai en fait répondu au préalable à la "mauvaise foi" dont tu fais preuve ici.

    Cela doit être ça une projection.

  10. il y a 7 minutes, Pheldwyn a dit :

    Ah en effet, je crois au libre arbitre. Je ne renie pas une forme de conditionnement, mais je ne crois absolument pas que tout est écrit.

     

    Et tu as totalement tort : le libre arbitre existe. Tu dis de la merde si tu le contestes.

    Ah désolé pour ces propos péremptoires. Mais ce n'est pas de ma faute, je n'avais pas le choix de ne pas les écrire. Ce n'est pas moi qui décide, c'est ainsi.

    Je te pardonne, tu ne sais pas ce que tu dis et tu n'y es pour rien.

  11. Le 07/04/2024 à 22:07, CAL26 a dit :

    C'est bien le problème: tu crées un sujet sans raison. C'est donc aux participants de lui donner un sens.

     

    Certes le sujet aurait pu être mieux présenté, il manque des ???

    Mais il es absurde d'affirmer que le sujet n'a pas de raison parce que tu ne peux pas la voir, tout est cause et effet dans le même temps.

  12. Il y a 13 heures, Pheldwyn a dit :

    J'ai juste contredit Don Juan lorsqu'il disait que si une chose s'est produite, alors c'est qu'elle était inéluctable. Bah non.

    Sans doute notre divergence vient-elle du fait que tu crois au libre arbitre, à la possibilité de choisir ou tout simplement à quelque chose qui ressemble à la liberté et moi non, ce sont deux regards diamètralement opposés, il ne peuvent finir par s'entendre et nous ne sommes pas là pour convertir.

  13. il y a 11 minutes, Pheldwyn a dit :

    Pas forcément, non.

    Tiens, la réponse que tu viens de poster, elle a eu lieu.

    Était-elle inéluctable ? Était-il sûr à 100% que tu répondrais à ce sujet, est-ce que tous les éléments t'y forçaient ?

    Non, tu pouvais au final autant y répondre que ne pas y répondre. Même ton propos n'était pas inéluctable, tu as peut-être hésité à dire autre chose, ou autrement.

    Et peut-être que si Wave1 avait posté son sujet la semaine dernière, tu ne l'aurais même pas lu.

    Tu emploies le mot inéluctable comme si c'était le mot calculable, c'est pourquoi tu es passé à côté du sens de mes mots, si j'ai répondu, c'est qu'il ne pouvait pas en être autrement, voila le sens que je donne au mot "inéluctable", malgré qu'on soit incapable de prévoir ce qui fatalement doit arriver, ce qui arrive est inmanquablement ce qui pouvait se produire davantage que toute autre "proposition".

  14. Il y a 3 heures, sirielle a dit :

    Il peut être aussi question de valeur philosophique, ou de valeur morale, ou encore sentimentale, ou bien sociale... (Bien que la valeur marchande de la vie, et de ce dont dépend la vie, existe, qu'on le cautionne ou non, en bien des circonstances.)

    Et du point de vue de la médecine actuelle par exemple, la vie humaine, sa préservation, son bien-être, est l'une de ses causes premières, même si la médecine va parfois volontairement à son encontre dans des cas particuliers... (Et il est vrai cependant aussi dans ce domaine qu'il peut alors être question de spécisme, de valeur de vie différente en fonction de l'espèce et l'utilité qu'on lui trouve.)

    Du point de vue de la sensibilité, le bien-être dépend souvent de la santé, et de la santé de "la communauté", or la santé représente l'état correctement fonctionnel du vivant.

    Du point de vue des lois de la nature, si la vie est souvent sacrifiée, par la loi du plus fort par exemple, c'est donc encore au service de la vie, d'une vie (concurrenciellement) adaptée au milieu en quelque sorte.

    L'instinct de survie guide beaucoup de nos actions et des actions des êtres vivants, il est peut-être même le guide fondamental du vivant, même s'il est abandonnable lorsque, par exemple, le bien-être (donc la santé y compris psychologique) est, ou paraît, trop altéré, ses conditions trop inaccessibles.

    Oui, peut-être... (merci de ta réponse), je préfère prendre un autre angle de vue et adopter un autre langage s'il faut parler de la vie. Je pense que nous ne savons pas ce qu'est la vie et ce n'est certainement pas en disséquant les corps que nous l'apprendrons, pas plus qu'en disséquant les mots et les idées.

     

  15. Pour moi, le virtuel n'existe qu'en dehors de ma conscience.

    Tout ce qui pèse sur la balance est réel, et tout ce que je peux imagniner peut peser sur toute balance.

    Ce qui pèse sur moi seul est une réalité qui m'appartient totalement.

  16. La vie n'étant pas une marchandise, elle ne peut avoir de valeur.

    Ce que nous voulons penser à son propos appartient au monde des idées et ne représente aucune valeur.

    La vie se passe bien des valeurs que nous voulons lui accorder.

    La vie ne vaut donc rien.

    Mais rien n'est-il pas ce qu'il y a de plus facile à trouver dans l'univers ? Celui-ci est surtout fait de rien, le reste n'est que quelques poussières.

    Vaut-il la peine de se demander si ces poussières ont une valeur ?

    Sont-ce ces quelques poussières qui sont à l'origne de l'univers ou est-ce cet incommensurable rien qui en est la source?

    Toute matière est faite de beaucoup de rien et de quelques poussières, tout est-il quantifiable par ces quelques poussières ou est-il quantifiable par ce gigantesque rien ?

    Rien serait-il en fait le tout et que sont alors ces quelques poussières ?

    La vie serait-elle le produit de la rencontre entre un gigantesque rien et quelques poussières ?

    Si la vie avait une valeur elle pourrait se vendre... à moins que le terme "valeur" ici ne signifie qu'un échantillon de ce que l'homme peut imaginer dans son vide cérébral.

    • Like 2
  17. Il y a 2 heures, sirielle a dit :

    Quelles sont, d'après vous, les limites à ne pas franchir et la part respectable, voire socialement utile, en matière de commérage, c'est à dire lorsqu'il est question par exemple de discuter de la vie privée ou secrète d'autrui, de la juger et d'en colporter des on-dit?

    Les trois passoires de Socrate, rien de plus.

  18. Le 18/03/2024 à 19:52, Athéna06 a dit :

    Bonsoir a tous,pouvez vous m'expliquer clairement ce qu'est la sagesse,et que je puisse communiquer un peu avec vous voir si je le suis?le savoir contrairement a la connaissance,est apodictique,et comme notre esprit peut-être imparfait,il ce peu que même les connaissance,ou savoir les plus apodictique,peuvent être une illusion,après avoir douter de tout,il ne reste que le doute,et donc la conscience aussi,je ne doute pas,mais ne suis pas certain,comme la somme des trois angles d'un triangle est gale a deux angle droits,qui est comme je l'est dit peut-être douteux aussi,que seul l'amour vient de Dieu,et comme je doute,qu'il y as la conscience,et que c'est soit le vide plein,ou l'infini,est comme le dit descartes,que cette pensée ne peu nous avoir etait mise dans la tête que par dieu,j'en conclue que l'infini,donc dieu existe necessairement,c'est a dire que les seul chose que je sait,c'est que Dieu existe,ainsii que le doute,et ma conscience,et que l'amour vient de dieu uniquement,je ne sait rien de plus.

     

     

    Le fait de demander à autrui  si tu es sage ou non frôle le délire,  le délire peut-il émaner de la sagesse ?

  19. Il y a 2 heures, Blaquière a dit :

    Il faudrait que tu m'expliques ce que tu entends par spiritualité, là...

    Si c'est garder un espoir insensé en croyant en une divinité (bonne et toute puissante) qui de fait n'existe pas, ne serait-ce pas vivre dans l'illusion que la spiritualité ?

    je ne peux pas envier de vivre dans le mensonge ou l'erreur... dans l'inconscience... 

    Je trouve le réel tellement plus... beau. Tellement plus fort et solide. Plus digne.  Je pense à Cyrano :

    "Ne pas monter bien haut peut-être mais tout seul."

    Dieu c'est tricher ! :)

    Ce que tu mets de toi dans ta poterie, en conscience ou non, car le phénomène est indépendant de toute volonté.

    Ce que tu mets de toi et qui s'échange avec le monde qui t'entoure.

    Le souffle de ta respiration.

    Le son de ton pas.

    La peau de l'arbre que tu caresses lorsque tu t'appuies un moment pour te reposer de tes efforts.

    La lumière qui jaillit de tes yeux et celle qui entre par ta bouche, ta peau, tes os....

    La nourriture que tu absorbes pour survivre jusqu'au jour qui viendra.

    Les déchets dont tu te débarrasses chaque jour, quelque soit le lieu où tu t'en débarrasses .

    Chaque "objet" que tu vas rencontrer, indépendamment du regard que tu peux poser sur lui et qui va te changer, indépendamment de ce que tu peux parvenir à voir de ce changement.

    Tout cela, et bien plus encore, participe à la transcendance, qui est marcher vers le royaume intérieur, c'est de la spiritualité, le phénomène qui transforme les pierres disparates en êtres vivants et en cathédrale.

    • Like 1
  20. il y a 56 minutes, eriu a dit :

    Bonjour 

    Dans la mesure où le vivant se transforme , pourrait-on dire qu'il n'y a pas de début , ni de fin ? transformation constante ?

    Bonjour eriu, pour moi, lorsqu'il il y a transformation il y a autre chose. Si je transforme un vase en assiette,  je suis bien obligé de considérer que la chose est autre et que cette autre chose commence avec le commencement de sa transformation.  Un œuf à un commencement et sa fin peut se trouver dans mon estomac, si la poule le couve il deviendra un poussin, le commencement et la fin du poussin ne sont pas les mêmes que ceux de l'œuf. 

    • Merci 1
×