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aliochaverkiev

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  1. Mach aborde le temps de la même manière qu'il aborde l'espace. Le temps présuppose la présence d'objets. Il correspond à un changement de position d'un objet par rapport à un autre (la position de l'aiguille d'une horloge par exemple). C'est le changement qui induit en nous le sentiment du temps. "Ce n'est pas le temps qui nous fait vieillir c'est notre vieillissement qui nous permet de parler du temps". Nous créons le concept de temps pour traduire l'observation du changement. Ainsi pour Mach le temps et l'espace sont impensables sans la matière. Il n' y a pas d'irréversibilité du temps comme on l'entend trop souvent sous l'écriture des pseudo-scientifiques.Il y a irréversibilité des phénomènes. Les pseudo-scientifiques, animé par une pensée archaïque rapportent bêtement (mais inconsciemment donc ils sont pardonnés) les phénomènes au temps alors qu'en vérité il faut rapporter le temps aux phénomènes. Camille Flammarion, Lumen, écrit en 1869 : "O hommes ! vous ne connaissez ni l'espace ni le temps ; vous ne savez pas qu'en dehors du mouvement des astres le temps n'existe plus et que l'éternité n'est plus mesurée ; vous ne savez pas que, dans l'infini de l'étendue sidérale universelle, l'espace n'est qu'un vain mot et n'est plus mesurable ; vous ignorez tout : principe, causes, tout vous échappe".
  2. aliochaverkiev

    La conscience

    Quelques notes. Nietzsche, le Gai savoir : "La conscience n'est en somme qu'un réseau de communications d'homme à homme, ce n'est que comme telle qu'elle a été forcée de se développer : l'homme solitaire et bête de proie aurait pu s'en passer". La notion de but. L'attention est un mode de sélection inconscient, ce qui parait normal s'il est avéré que l'activité inconsciente fournit des potentiels de pensées innombrables. Il faut un mode de sélection inconscient, beaucoup plus rapide qu'un mode de sélection conscient. L'attention est pilotée par nos buts selon Dehaene. Mais avons-nous conscience de nos buts ? Ou encore, nos buts déclarés conscients, sont-ils nos buts réels ? Il apparait que nos buts sont souvent peu clairs. Pourtant il faut bien que la réalisation de ces buts implique le conscient, l'activité consciente. C'est assez curieux, il faudrait analyser notre action consciente pour trouver nos buts ! Quand ici des personnes tentent de se forger une représentation du monde qui embrasse tout l'univers, un observateur voit bien que le but conscient (construire une connaissance totale du monde) n'est pas le vrai but. Le but reste inconscient. Mais quel est ce but ? Est-ce qu'une connaissance totale de l'univers parviendrait à satisfaire ces gens ? A mon avis ils tentent de figer lemonde et eux-mêmes dans une connaissance absolue; ils poursuivent ce but apollinien de se tranformer en statut parfaite; ils visent l'immobilité, croyant trouver dans l'immobilité, l'éternité. Je suis sûr que l'écrasante majorité des individus qui viennent écrire ici n'importe quoi se foutent de dire n'importe quoi. Ils tentent de trouver l'immobilité parfaite dans une représentation totale de l'univers, cette représentation fut-elle absurde. Pourquoi pas finalement ? L'essentiel n'est-il pas qu'une représentation soit telle qu'elle satisfasse les désirs d'éternité des individus ? (désir d'éternité qui est encore une représentation !). S'ils peuvent bâtir des monuments baroques et que ces monuments soient le tombeau de leurs rêves pourquoi pas. Pour ma part je pense qu'il n'est absolument pas possible d'avoir une représentation correcte du monde dans la mesure où nous n'avons même pas accès au réel ! donc je ne risque pas de m'égarer comme eux. En plus je pense que je vais disparaitre absolument à ma mort. En plus je ne désire pas l'immortalité (je suis tel les Sadducéens). Et si l'immortalité était donnée un jour aux hommes (le transhumanisme) je ferai partie de cette caste élitiste qui, bien qu'immortelle, choisirait un jour de mourir.
  3. Correspondance 5 7 octobre 2018 Samuel, Quelques précisions sur Jésus. Tout d'abord Jésus n' a pas été assassiné, il a été jugé par la cour de justice de l'époque, le Sanhédrin. Même s' il est possible de contester ce jugement Jésus a tout de même été jugé selon les règles de justice de l'époque. Ensuite même si les Pharisiens ont souhaité sa mort le châtiment a été décidé par les Romains. En effet la crucifixion était un châtiment romain pas un châtiment juif. C'est donc bien Ponce Pilate qui a décidé la crucifixion. Ensuite les Pharisiens ont jugé un homme pas un Dieu. Les catholiques ont décidé de faire de Jésus le fils de Dieu ou Dieu lui-même mais une telle décision les regarde et les Juifs ne peuvent en être tenus pour responsables. Même si le Nouveau Testament atteste le caractère divin de Jésus cet écrit est de nature religieuse et n'a donc aucune authenticité historique. Le Nouveau Testament de plus fut écrit près de 50 ans après la mort de Jésus et eut pour objectif de séduire les fidèles de l'époque. Il faut savoir prendre de la distance avec les écrits religieux. Les Juifs eux-mêmes savent prendre de la distance avec leurs propres écrits religieux et les plus intelligents d'entre eux sont capables de douter de l'existence même de Moïse sans que cela les gêne pour le moins du monde. Une religion doit être comprise dans son esprit pas dans sa lettre. Enfin il existe une petite minorité de catholiques qui éprouvera toujours de l'hostilité pour les Juifs. Cela provient du fait que leur religion est totalement issue du judaïsme. Même Jésus qu'ils vénèrent était juif et ce dernier n'a en outre jamais rejeté sa religion. Cela induit chez certains catholiques un sentiment de dépendance spirituelle : pour avoir tout pris au judaïsme ils se sentent en quelque sorte amputés de leur propre puissance créatrice, parfois même amputés de la culture qui était la leur avant d'avoir été convertis au catholicisme. Ils se sentent en quelque sorte colonisés sans parvenir pour autant à renoncer à leur religion. Ce rapport de subordination crée chez eux une haine comparable à celle que certains colonisés ressentent pour le colon. Ce sentiment d'infériorité ou de dépendance n'est heureusement partagé que par une minorité de catholiques. Je t'embrasse très fort, Je pense à toi, Je t'aime,
  4. Cher Azad, Un type qui écrit que log (en base2) de 2 à la puissance 1/2 est égal à -1, puis qui, lorsque je le signale, va vite corriger son incompétence, un type qui souille un enfant sur le topique lettres à Samuel, un type qui vient en MP solliciter mon amitié, est pour moi un homme qui n'est plus dans le monde réel. Je n'ai pas le temps de m'occuper de la folie ordinaire.
  5. Ernst Mach s'appuie sur le seul phénomène, tel que l'expose Kant dans sa critique de la raison pure. Le phénomène est d'abord saisi par la sensibilité, les sens. N'existe donc, pour Mach, que ce qui tombe sous les sens. Pour lui l'espace n'existe pas, qu'il soit absolu ou pas, l'espace n'est ni observable ni mesurable en tant que phénomène, ce n'est pas une notion valable en physique. Il est impossible de saisir l'espace en tant qu'objet. Quand on pense espace en fait on pense toujours lieu clos (une pièce par exemple) à l'intérieur duquel il est possible de se déplacer; c'est la possibilité de se déplacer par rapport à quelque chose d'observable qui engendre le sentiment d'espace; mais ne n'est qu'un sentiment, pas un objet physique observable. "Le mot espace n'est ainsi qu'un raccourci de vocabulaire et ce raccourci a fini par nous faire oublier qu'il implique l'existence réelle d'objets et qu'il n' y aurait pas d'espace s'il n' y avait pas d'objets" [Vigoureux, la Quête d'Einstein] L'espace ne préexiste donc pas aux objets, à la matière, c'est la matière qui engendre l'espace (dans nos esprits bien sûr). Einstein et les mathématiciens s'inspireront de cette vision pour créer des modèles dans lesquelles les objets agissent sur quelque chose qui s'appelle l'espace, simple représentation mentale, que l'on suppose donc engendrée par la représentation de la matière dans nos esprits. "Pour Mach l'espace est un ensemble d'objets et non un vide rempli de lieux" [Vigoureux]
  6. Lorsque Leticia me demande de lui expliquer le cours de sa prof de physique sur le mouvement d'un corps lâché dans un champ de pesanteur dans un espace (mathématique) à trois dimensions, je suis surpris. Au lieu de partir de l'égalité rapidement donnée g = a (passons sur les signes) dans tous les manuels (même ceux de prépa), sa prof tente d'aller plus loin. C'est louable mais c'est périlleux. Elle écrit d'abord P = - mg (je mets en gras les vecteurs), puis considérant que l'objet en question, de masse m, est soumis à une force F, elle écrit F = m a, ou plutôt F = d(p)/dt. Là première difficulté pour Leticia, elle confond P et p. Si bien que plus rien n'a de sens. La prof adopte des lettres assez proches, minuscules, le p de la quantité de mouvement ne différant du p du poids que par une petite boucle imperceptible au bas du petit p. Bon je dis à la petite d'écrire le p du poids avec une majuscule, et le p de la quantité de mouvement avec une minuscule. Puis la prof égalise. P est identique à F. Problème : comment peut-on égaliser les deux forces ? Cela parait évident, pourtant c'est loin de l'être. Car la première force, le poids, est une conséquence, dans son expression, de l'équation de la gravitation universelle, tandis que l'expression de la deuxième force est une conséquence de la deuxième loi de Newton. Dans le premier cas nous avons affaire avec la masse pesante (ou gravitationnelle) et dans le deuxième cas à la masse inerte (ou inertielle). Or qui nous dit que les deux masses sont égales ? Einstein nous le dit certes, mais ce postulat est loin d'être anodin, car ce postulat, égalité de la masse inertielle et de la masse gravitationnelle va ouvrir la voie à la relativité générale. Me voici obligé d'expliquer tout cela à Leticia. Mais il y a autre chose, les deux forces ne sont pas du tout de même nature. Dans l'égalité F = ma ou = dp/dt, la force est motrice; elle s'applique à la masse, et il faut une force d'autant plus puissante pour faire bouger la masse et lui donner une accélération donnée. Autrement dit : si les masses (inertes) sont différentes et que je vise une accélération identique pour les deux corps, je devrais appliquer une force plus intense sur le corps dont la masse est la plus importante. Alors que dans le cas de la force gravitationnelle des objets de masse différente, dès lors qu'ils tombent d'une même hauteur, auront la même accélération et le même mouvement (ils arriveront sur terre au même moment quelle que soit leur masse, abstraction faite bien sûr de la résistance de l'air). La force gravitationnelle ne dépend pas de la masse inerte. En définitive quand on égalise les deux forces, P et F, on part d'hypothèses non dites qui sont loin d'être anodines. Il est vrai que la différence de nature entre les deux forces a conduit Eisntein à adopter un formalisme original pour exprimer l'action de la force gravitationnelle (la déformation de l'espace...mathématique). Donc la prof égalise en passant outre toutes les hypothèses que cette égalité induit dès lors que nous la pensons vraie. Cela nous donne m g = d(p)/dt et on arrive enfin à ce qu'on veut mg = m dv/dt et g = dv/dt.(abstraction fait ici de l'expression vectorielle) Ensuite il n'y a plus qu'à intégrer sur les trois axes. (Pour corser le truc on imagine que le corps a une vitesse initiale bien sûr, faut bien exercer l'esprit du lycéen). Mais à quel prix finalement la prof fournit-elle un tel raisonnement ! Tout cela pour assurer l'élève que g est bien une accélération (laquelle élève n'en a rien à faire et peste de devoir faire tout un travail de présentation que les élèves des autres classes n'ont pas à faire avec leur prof).
  7. Croire que la philosophie puisse apporter une réponse à nos interrogations et à nos angoisses est une illusion. La philosophie est une activité de l'esprit qui sans cesse élabore des représentations du monde qui permettent l'action. Elle tend à casser des représentations établies, des certitudes dès lors que celles-ci semblent figer le monde. Trouver des réponses définitives ? Il y aura toujours un conquérant qui viendra casser le "définitif", il y aura toujours l'intervention tempêtueuse et iconoclaste de la volonté. Ni la philosophie ni la science physique ne trouveront de réponses définitives à nos interrogations. Je dis bien la science physique, celle de la nature inanimée, car je ne vois pas comment une telle science qui étudie "le plus facile", à savoir des phénomènes qui se répètent identiques à eux-mêmes, chaque matin, lorsque le savant se réveille, je ne vois pas comment une telle science du seul inanimé pourrait apporter quoi que ce soit à nos interrogations existentielles. Admirer des savants qui ne font qu'étudier l'inanimé, croire en plus que ces savants sont de grands esprits en dehors de leur seule science, croire du coup que ce qu'ils ont à dire qui débordent le seul périmètre de leur science, a une validité supérieure à celle d'un quidam qui passe dans la rue, il faut vraiment avoir des problèmes d'estime de soi. Il faut être resté un immature, un homme qui vit encore dans l'état de minorité. Il y aurait un jour un savant génial qui nous donnerait une représentation parfaite du monde que cela ne nous apporterait strictement rien. Rien d'autre que de libérer notre capacité d'action. Qui décidera de l'action à mener ? Certainement pas les spectateurs.
  8. Cette idée d'un temps et d'un espace absolu fut critiquée par les philosophes de l'époque, Berkeley et Leibniz. Ils considéraient qu'il ne pouvait y avoir de mouvement que relatif. Berkeley, cité par J. Mawhi : "il ne m'apparait pas qu'il puisse y avoir d'autre mouvement que relatif, de sorte que pour concevoir le mouvement, il faut concevoir au moins deux corps, dont la distance ou la position par rapport à l'autre soit variable. En conséquence, s'il n'existait qu'un seul corps, il ne lui serait pas possible d'être en mouvement". Leibniz : "on pourrait soutenir que le mouvement lui-même en faisant abstraction de sa cause, est toujours quelque chose de relatif" (cité par J. Mawhin). Witelo, philosophe polonais du XIII siècle, cité par Vigoureux : "il n'est facile de comprendre le mouvement que par comparaison d'une chose que l'on voit se mouvoir par rapport à une autre que l'on voit se reposer immobile" Leibniz attaque également Newton en démontrant qu'un espace absolu irait à l'encontre du principe de raison suffisante. Dans un tel espace chaque configuration d'objets aurait une place indéterminée, puisque chaque place serait indifférente à tout autre. Le principe de causalité ne serait plus respecté. Mais la contestation la plus radicale d'un temps et d'un espace absolus est venue d'abord de Kant, puis ensuite de Mach. Ernst Mach a été profondément influencé par Kant, et la volonté de ce dernier de resituer l'homme et la perception (la sensibilité, les sens) au coeur de la connaissance. Puis Mach a profondément influencé Einstein. Il fallait en effet d'abord se libérer d'une vision d'un espace et d'un temps absolus pour être capable de faire des distance et des durées des mesures influencées par les conditions de l'observation. Ainsi la progression de la pensée ne dépend pas d'un seul homme mais de toute une révolution culturelle permettant à son tour d'engendrer de nouvelles visions du monde.
  9. aliochaverkiev

    La conscience

    Lorsque nous sommes engagés dans une relation avec une ou un autre, avec l'autre, nous le percevons toujours comme formant une unité. Nous ne le séparons jamais en "moi", "surmoi", "ça", "conscient", "inconscient" etc., nous le prenons comme une entité une et vivante. Nous allons jusqu'à le rendre responsable de tous ses comportements même s'il est parfois évident que l'autre n'est pas conscient de ses dits comportements. Quiconque est capable d'engagement affectif sait que chacun tend à rendre l'autre responsable de ses actes sans tenir compte de son état conscient ou inconscient. Même quelqu'un de profondément déterministe, dès qu'il est engagé dans une vie affective, rend l'autre responsable de chacun de ses actes. De même l'autre tend à faire de nous une unité également responsable de tous ses actes, il tend à faire de nous une unité. Il semble en revanche que nous ayons quelques difficultés à réaliser cette unité lorsque nous réfléchissons sur nous-mêmes. Ces "êtres" que nous créons, "moi", surmoi", "ça", etc. sont des outils, des moyens d'investigation, mais ils ne sont en aucun cas des réalités, des étants. Que tous nos comportements soient en grande partie déterminés par des processus inconscients est évident. L'erreur est de croire que l'activité inconsciente est instinctuelle (mécanique) et qu'elle est incapable de modification ou d'adaptation à la réalité. Cette surévaluation de notre activité consciente dans nos prises de décision conduit à scléroser notre personnalité. Nous sommes faits de l'action conjointe de processus conscients et inconscients, chaque domaine d'activité influant l'autre. La dévalorisation dans laquelle nous tenons notre activité inconsciente me parait être la conséquence d'une vision surannée de la personnalité prétendument séparée entre corps et esprit, entre réflexion et instinct. Quand nous découvrons aujourd'hui que l'activité inconsciente est capable de calculs étonnants et puissants que notre activité consciente est bien incapable de fournir nous prenons conscience que cette dévalorisation de notre activité inconsciente est une vraie connerie. L'activité consciente apparait bien comme étant essentiellement une source d'information, information que reçoit l'inconscient et qui lui permet de construire de nouvelles visions dumonde, construction que notre conscient est bien incapble de réaliser. Sans la formidable machine cérébrale que forme notre activité consciente nous ne serions rien. Les processus inconscients nous offrent sans cesse de nouvelles propositions conceptuelles, cherchant sans cesse à acquérir des informations pointues, capables de parfaire ces dits concepts. N'importe quelle mathématicien de haut niveau sait que la fulgurance de ses raisonnements surgit toujours de l'inconscient, après un travail préparatoire conscient, avant d'être peaufinée par l'activité consciente, puis de retourner dans le monde inconscient. Le génie surgit du monde inconscient même s'il se déploie ensuite dans le monde conscient; nos capacités conscientes sont bien plus limitées que nous le croyons. La méthode de calcul du conscient est d'ailleurs particulerment lourde comparée à la vivacité des fulgurances inconscientes.
  10. aliochaverkiev

    La conscience

    Arrête ! T’arretes pas de me baiser, ça m’épuise. Occupe toi de zenalpha il n’en plus plus de ne pas baiser. Je vais finir par avoir une crise cardiaque avec toi. T’es trop.
  11. aliochaverkiev

    La conscience

    Je suis content que tu aies changé d’avatar le debile, tu progresses grâce à moi. Tu me tues, toi. Ça y est il est en train de bander. T’es aphrodisiaphe Swannie.
  12. aliochaverkiev

    La conscience

    Putain arrête swannie, tu me fais bander comme un Priape. T’es infernale.
  13. aliochaverkiev

    La conscience

    Bitté c’est exactement le mot qui te convient. Normal je suis Dieu. Swannie le sait.
  14. aliochaverkiev

    La conscience

    Et depuis que tu as cette extraordinaire formation quelle est ton œuvre ? Ah ah ah ah ah ah . Rien.
  15. aliochaverkiev

    La conscience

    T’es pire que Zenalpha toi, bébé veut exister devant le Maître que je suis ( mort de rire )
  16. aliochaverkiev

    La conscience

    Tu m’amuses, tu tiens à la perfection le rôle du bouffon.
  17. aliochaverkiev

    La conscience

    Le debile aime Lacan, qui lui même disait en privé qu’il ne comprenait rien à ce qu’il disait. Pauvre debile ! Il se fait manipuler par les maîtres qui adorent s’amuser de la crédulité des bas du plafond comme lui. Tu es notre bouffon le debile. Merci. Tu nous égayes.
  18. aliochaverkiev

    La conscience

    Lacan , Freud, Laborit, le debile est un sépulcre. J’aime le romantisme du linceul.
  19. aliochaverkiev

    La conscience

    Arrête de faire du prosélytisme pour Freud. Il n'est pas Dieu. Je ne conteste pas ce qu'il a apporté je conteste ses perversions; un homme ou une femme peut être pervers(e) et apporter un plus aux connaissances; cela n'empêche pas de contester un homme pour ses errements. Prendre tous les travaux de Freud pour parole d'Evangile ça sent la naphtaline. Il faut apprendre à mettre ses idées en question; sors de ton confort bébé "débile".
  20. aliochaverkiev

    La conscience

    Je ne vois pas pourquoi tu estimes que Swannie est une hystérique. Swannie fusionne parfois (souvent) sexualité et foi, je ne vois pas en quoi il y a là une "maladie". Je trouve même intéressant cette passerelle qu'elle fait entre sexualité et foi. Je pense en effet qu'il y a un lien. Peut-être que dans les pays latins et catholiques, sexualité et foi ne font pas bon ménage, mais dans des pays où le mysticisme est très loin d'être dévalorisé, la Russie par exemple (voir le film Andréï Roublev) sexualité et foi sont souvent associées. Cela dit Swannie est dans le monde du sentiment, c'est à dire dans le monde où les sensations qu'elle éprouve viennent de l'intérieur. Elle est libre d'organiser son monde intérieur comme elle l'entend. Le seul reproche que je pourrais lui faire c'est de vouloir faire un universel de son monde intérieur. Encore que ce reproche ne peut être fondé que si elle voulait imposer par la force (dans le cas où elle aurait le pouvoir) son monde intérieur à tous. Je suis quant à moi versé dans le monde rationnel, c'est un choix de recherche; nous faisons tous des choix, impossible de suivre plusieurs voies à la fois. Donc je vais pour ma part toujours raisonner en m'appuyant sur l'observation. Et je réfute ce que je ne peux pas observer. Cette méthode de penser a fait ses preuves dans le monde des sciences.Mais les hommes ne vivent pas que dans la technique, ni dans le progrès, ils vivent aussi entre eux, et entre eux dans le sentiment. Swannie explore des voies que je n'explore pas. Ses trouvailles m'étonnent et souvent elles me séduisent. Sa tension à sublimer dans une même vision Dieu et sexualité est étonnante. Je n'y vois aucune marque d"hystérie. Je n'aime d'ailleurs pas trop ces catégories psychiques mises en valeur par le camarade Freud, dont le moins qu'on puisse dire c'est qu'il n'était pas très au clair question sexe. Il me semble que tu juges Swannie au nom d'un universel; mais Swannie est d'abord dans un monde subjectif. Pour moi le monde subjectif est le monde de toutes les libertés (comme le monde de l'art, disons que Swannie est une artiste) dès lors que le subjectif ne prétend pas devenir par la force l'objectif des autres.
  21. aliochaverkiev

    La conscience

    Swannie est dans le sentiment, le rationnel chez elle n’existe pas. Quand swannie dit : moi, âme, esprit, dieu, pour la comprendre il faut se dire que ces mots réfèrent à des perceptions intérieures, sentimentales, subjectives, dont on ne sait rien. Quand elle dit âme peut être ressent elle en fait un sentiment de félicité, quand elle dit dieu peut être est ce une sensation d’orgasme. Impossible de communiquer avec swannie avec nos schémas rationnels. Pour moi elle est « fantastique »
  22. aliochaverkiev

    La conscience

    Faut dire que tu es particulièrement chiant ! En plus bordel essaye de changer de registre avec ton côté systématiquement désabusé. Engage toi dans la discussion. Bon t’es pas mort non plus, mais tu mérites des claques de temps en temps. Swannie est un phénomène. En plus je l’aime. Je suis mal barré. Parce que, aimer Swannie c’est tout de même aimer le vertige et l’escalade de la face nord de l’Hymmalaya.
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