Francis-Charles

Les schémas proposés sont explicites, certes, mais lequel reflète le mieux la réalité universelle ?

C'était juste une réponse à "la vie est un cadeau".

Est-ce vraiment une question par rapport à l'univers ?

La vie (sur le plan physique) peut être un cadeau ou un véritable fléau...

Le sujet me paraît suffisamment intéressant pour continuer à être développé de différentes manières : commentaires, opinions personnelles (le plus souvent divergentes), citations, vidéos etc... Sauver les phénomènes, ou se sauver ? 22 Le mythe platonicien du cosmos renversé présente donc une figure spéciale de la participation du monde sensible au monde des Idées, à savoir une alternance de la loi sensible et de la loi idéale. Il permet de comprendre que si la science imagine un monde où les lois idéales sont effectivement réalisées, ce monde n’est plus automatiquement celui où la vie naturelle fait encore sens. Platon pose ainsi explicitement la question qui est toujours restée centrale en cosmologie : qu’est-ce qui définit la grandeur (spatio-)temporelle de l’univers, ou au moins d’une région cosmique suffisamment représentative du tout ? Qu’est-ce qui permet de parler d’une manière rationnelle d’une telle région ? Dans le sillage de la théorie de la relativité restreinte, la réponse à cette question est la suivante : la période typique de temps nécessaire pour que des observateurs puissent échanger des informations doit pouvoir être comparée à la durée de vie typique d’un observateur (ou tout au plus d’un nombre limité de générations). Cette comparaison donne une signification pratique à la grandeur de l’univers, en suivant la contrainte des quantités mesurables pertinentes pour comprendre l’univers. À partir de cette signification pratique, le choix entre différents modèles plausibles de l’univers deviendrait lui aussi pertinent. https://journals.openedition.org/etudesplatoniciennes/269

Dans quelle galaxie ? Mon opinion personnelle, je l'ai suffisamment expliquée, raison pour laquelle je propose d'autres points de vue que le mien.

J'offre la réflexion de certains grands penseurs de l'humanité... Est-ce condamnable ? J'ai bien sûr une opinion personnelle, mais j'imagine que chacun a une opinion sur l'univers qui diffère peu ou prou de toutes les autres opinions.

@ vintage, merci pour la lumière des hologrammes, intéressant, et on en arrive progressivement au dédoublement de la personne de façon scientifique. Aussi l'univers est-il également déjà constitué d'hologrammes...

Sauver les phénomènes, ou se sauver ? 21 Dans le mythe du cosmos renversé, Platon discute le cas intéressant d’une « pathologie » de l’univers où le mouvement de ses processus physiques fondamentaux est brutalement inversé. Il faut souligner tout de suite que l’inversion des processus imaginée par Platon n’affecte sans doute pas la flèche du temps, qui peut continuer son cours normal (même si cela n’est pas évident). Au monde selon le cours normal des choses succède, suivant la loi invariable de l’écoulement du temps, un monde inversé. Platon se demande ce que serait une existence humaine dans un monde où les principes de cette existence seraient effectivement inversés, c’est-à-dire entièrement dominés par la genèse cosmologique. Comme ce sont les mêmes êtres qui vivent dans un monde et puis dans l’autre, rien ne leur paraît jamais « anormal », même si les deux mondes sont essentiellement différents l’un de l’autre en vertu des lois « naturelles » qui sont inversées. Considérons d’abord un univers guidé par ses propres lois, comme le mouvement parfaitement circulaire des astres. Dans ce cas, toutes les choses ne peuvent qu’imiter le comportement de tout l’univers. Aucun contrôle des choses par les consciences vivantes n’est nécessaire, donc aucune motivation pour une science de l’univers n’existe : les êtres du monde de cette époque non seulement n’ont pas de mémoire, mais en plus ils n’ont aucune raison de changer leur destinée et d’entreprendre quoi que ce soit, puisque tout leur est procuré sans effort. Cet univers correspond à un mode irreprésentable de conception et de génération (comme l’alimentation spontanée). Chaque être est pris dans un processus où il perd la nature qui était la sienne à l’époque normale. Autrement dit, chaque être perd son apparence, ou eidos, tout comme les animaux cessent de donner l’apparence qu’ils vieillissent. Le changement se produit aussi bien au niveau du corps que de l’âme : tout se passe comme si les hommes n’avaient pas d’âme, donc pas d’intelligence. Les Idées n’existent pas, ou perdent en tout cas de leur efficacité. Dans l’époque suivante, l’univers se dégrade et perd la perfection qu’il avait tant qu’il était conforme à ses propres lois : dès que la divinité qui le guidait le laisse aller, il se renverse, et se tient dans l’attente d’un nouveau renversement contraire qui va le ranimer. Ce monde « normal » évoque le monde de Newton où la quantité de mouvement diminue inexorablement, alors que le monde renversé se comporte exactement comme le prévoient les lois idéales de la nature. L’effet du renversement, avertit Platon, est de produire une disjonction entre le mouvement cosmique naturel des choses et la possibilité d’un sens ou d’une valeur pour les hommes. C’est précisément cette disjonction qui libère un espace pour l’autonomie humaine, en particulier l’exercice d’une science de l’univers. Toute science de ce genre est un rappel d’un monde où il n’y a pas de filiation, pas de descendance : tout s’y conserve ou s’y régénère spontanément. https://journals.openedition.org/etudesplatoniciennes/269

Non, seulement :" cette histoire religieuse tant nombre de crétins s 'y engouffrent sans en comprendre l 'essence même". Et tant nombre, ça fait quand même beaucoup...

Opinions contradictoires....

Mieux vaut ne pas perdre de paris, et donc de s'abstenir !

Well, je doute qu'une intelligence supérieure se soucie de nos meubles ! Lol

Je suppose donc que d'après vous, les +ou- 200 milliards de galaxies dans l'univers ont une perception affective et sensible du monde extérieur.

La lune aurait donc une vie affective sensible à son observation ?

Observer la lune. Une opinion divergente... Post de Thierry Legault « Ca m'étonnerait qu'un médecin ait reçu, pendant ses études, une information sur les risques de l'observation de la Lune ! Il n'y a aucun danger à observer la Lune, avec quelque instrument que ce soit, même un télescope de 1m de diamètre. Depuis le temps qu'on le fait, s'il y avait le moindre danger ça se saurait !!! Quand vous voyez la Lune en plein jour dans un ciel bien bleu, vous pouvez constater qu'elle n'est pas beaucoup plus lumineuse que le ciel lui-même, et personne n'a jamais été blessé en regardant le ciel de jour, avec ou sans instrument astronomique » https://www.webastro.net/forums/topic/100336-peut-on-regarder-la-lune-sans-danger/?tab=comments

Yes, I know, no problem C'est l'ancien Testament qui conseille ou dicte ça ?

Jésus reste le Messie pour tous les chrétiens, mais vous restez sur vos positions judaïques et l'attendez toujours. Nevertheless, G.od bless you...

Pas regarder la lune trop longtemps, ça signifie combien de temps exactement ?

Extrait : " Un peu plus d’un siècle après qu’Einstein a débarrassé la physique de l’hypothèse qu’une substance inconnue, l’éther, remplissait ­l’Espace, l’astro­physique et la cosmologie sont à nouveau confrontées à une curieuse énigme : notre Univers serait rempli à 95 % d’une matière noire et d’une énergie noire dont nul n’a su jusqu’ici expliquer ni l’origine ni la nature." Il n'empêche que cette hypothèse est largement partagée par les astrophysiciens à l'heure actuelle.

1 Je reconnais que mes conceptions peuvent parfois sembler religieuses, alors que je suis agnostique, mais respectueux des croyances religieuses pour autant qu'elles soient positives et pacifiques. 2 Je ne pense pas que tous les religieux soient des crétins, bien au contraire, certains sont très intelligents, mais il faut bien sûr distinguer la foi religieuse des sciences actuelles, même si parfois les deux se rejoignent et s'unissent. 3 Vous êtes un athée pur et dur, c'est votre choix et/ou la conséquence d'influences proches ou lointaines. 4 D'accord, pour vous l'univers n'est pas intelligent, même si vous lui accordez une sorte de savoir.

Je ne prends personne pour des billes, et je m'efforce toujours de ne pas faire d'attaque ad hominem ou ad personam !

Et le soleil ou les étoiles ? On peut les fixer ?

1 L'univers reste en effet un mystère "universel"... Mais s'il ne sait pas, qui ou qu'est-ce qui peut savoir à sa place quand on voit l'ordre strict des éléments chimiques légers et lourds qui ont conduit à notre monde matériel ? 2 Je pense que nous sommes plutôt interprète de l'univers, selon nos idées, nos convictions, nos analyses. L'homme aurait-il créé l'univers ? Non, je ne puis admettre cette hypothèse, pas plus que je ne peux imaginer qu'un singe, une larve ou un insecte l'aurait créé. 3 Le savoir est toujours tributaire de restrictions ou d'idées préconçues. Et tout savoir est limité dans son essence. 4 Si l'univers a appris des choses comme nous pouvons en apprendre, ne peut-on dès lors lui accorder une certaine forme d'intelligence ? 5 Le savoir peut très bien juxtaposer maux, souffrance et désolation. 6 Encore une fois, si l'univers peut se permettre de "savoir", une forme d'intelligence doit lui être accordée.

Le mystère de l'univers est exactement une sorte de quête depuis toujours ! Les questions à son propos sont innombrables, autant que les réponses proposées. Le savoir... sur quel genre de savoir peut-on s'accrocher ? Les réponses scientifiques ou philosophiques étant assez souvent contradictoires.