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osia

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  1. osia

    La transmission des pensées

    Bonjour, je reviens sur ce sujet qui "m'agace" ! Je crois le contraire. Et seule mon expérience personnelle me permet d'être affirmative ici. Un exemple: je suis en colère contre quelqu'un et je dois me rendre chez une amie. Cette amie a un enfant de trois ans. Et ce gamin vient me demander s'il a fait une bêtise. Je lui réponds que je ne sais pas et lui demande comment il en est venu à cette question. Il me répond que c'est parce que je suis fachée. Ha ? Le môme me connait depuis dix minutes et il en arrive à cette observation, alors que mon amie et moi, tranquillement installées sur la terrasse, rions de sujet qui n'ont pas de lien avec ceux qui me fâchent. Est-ce qu'il y a une autre explication pour comprendre que le gamin a ressenti ma colère et donc que les émotions peuvent se transmettre ? Bref... ce n'est qu'une croyance pour moi en fait... Après tout, pourquoi en serions-nous incapable ? Qu'est-ce qui prouve que c'est impossible ? Est-ce que les échecs des expériences menées en laboratoire montre l’inexistence d'un phénomène ? Ben non ! Bon, pour ceux qui aiment la lecture, je viens de terminer un "petit bouquin" bien sympa, sans grande prétentions, plein d'humour: Incognito, de David Eagleman (http://www.laffont.fr/site/incognito_&100&9782221125731.html). Ça se lit tout seul... et avec le sourire !
  2. osia

    La transmission des pensées

    Je suis d'accord avec ce qui est écrit ici. Il me semble que nous transmettons déjà nos émotions. L'autre peut donc, s'il y fait attention, réussir à les interpréter et à les associer non pas avec une pensée verbale "brute" mais avec une idée qu'il se fait de ce que nous éprouvons. Mais c'est un avis très perso de ce que nous pouvons transmettre sans en être conscient...
  3. osia

    La transmission des pensées

    "penser hors de la boite". Est-ce que ça vous parle ? Avez-vous déjà entendu cette phrase: "il y a ce que je crois, ce que je sais, et j'ai le droit de me tromper" ?
  4. osia

    La transmission des pensées

    J'ajoute juste ce lien: https://www.sciencesetavenir.fr/fondamental/biologie-cellulaire/en-fusionnant-les-blobs-se-transmettent-leur-savoir_109229 Moi je me demande dans quelles mesures la transmission de pensées est-elles possible (avec pensées= idées, intellectualisations, ondes...........). Si des blobs y arrivent, je n'ose pas penser à ce que je peux imaginer des possibilités du cerveaux humains ! Bon, je vais me mettre en mode [7 Hz]maintenant ! Bonne journée à ceux pour qui c'est le cas ! (et pourquoi en noir et bleu uniquement ? Je n'en sais rien, j'vais demander à mon neurone (ouiii, je vous avez pas dit: je n'en ai qu'un !) ;-) )
  5. osia

    La transmission des pensées

    Re ! Qu'elle dit ! Θεία ... Entièrement d'accord ! Le cerveau est selon certain (beaucoup plus légitimes que moi pour en parler) une machine à penser. Si je lui enlève cette fonction, qu'en reste-t-il ? L'idée que toutes nos perceptions et toutes nos pensées ne parviennent pas à la conscience me semble logique. Nos système de défense sont tels que nous ne pouvons admettre certaines "choses" (je déteste ce mot !). L'idée de "sortie de corps" m'intéresse. Pouvez vous développer ? Est-ce que vous faites le lien entre être dans l'"ici et maintenant" et la sensation de ne plus exister dans une enveloppe corporelle ?
  6. osia

    10 ans d'écart

    Je suis d'accord avec vous. Même majeur, même vaccinée, c'est une question de respect, d'éducation, d'expérience,et (malheureusement) d'amour pour ceux qui nous ont aider à devenir ceux que nous sommes. Et envers les parents, un enfant se donnera toujours du mal pour apparaître juste et "propre". Quelque soit l'âge ou le "niveau" dont est issu celui vers qui "on" (l'enfant) penche, nos parents servent de boussole à nos vies. Si l'un de mes parents n'est pas d'accord avec mes choix, je vais m'en sentir gênée. Aussi je vous comprends sur l'idée d’appréhender la rencontre avec l'un d'eux alors même que vous connaissez votre désaccord. C'est une situation difficile à admettre que de devoir faire un choix entre "ce qu'on pense être bon pour soit" et ce "que les autres attendent de nous"... Il y a une phrase sur laquelle ma mère et moi sommes en accord: "j'ai le droit de me tromper". Je la glisse ici des fois qu'elle puisse vous être utile. Elle ne me sert pas souvent, mais lorsque j'ai vraiment cru à quelque chose, que je m'y suis rattaché, elle me permet de relativiser. Bon, pour ce qui est du sujet: dix ans d'écart, je suis d'accord avec ceux qui disent que cela ne se voit que parce que vous êtes "jeune". A 50, 60, 70, 80 ans et plus, il n'y a plus autant d’intérêt pour l'âge qu'ont les partenaires ! Au plaisir des lectures.
  7. osia

    La transmission des pensées

    Ha zut, je lis depuis des mois et déjà je suis conviée à me retirer ? (Pfffiou, avec une phrase pareil, heureusement que je ne suis pas un homme ! )
  8. osia

    La transmission des pensées

    Re ! Une amie psy m'a dit qu'il était inutile de cherche à ne penser à rien puisque la machine est prévue pour penser. Tant qu'elle fonctionne, elle remplie un de ses rôles. Je suis d'accord. Même si "une" octave me semble une version édulcorée. Il me semble que nos pensées peuvent être de tant de façons qu'effectivement, "sons et images" sont réducteurs. Je n'ai rien à ajouter que "intéressant" (vraiment). L'idée de visualiser des lumières de différentes couleurs m'est difficile. Je ne dis pas "inconcevable", mais j'avoue que même en me concentrant, j'ai souvent une idée parasite qui va venir en "mots écrits" s'interférer dans le champ de pensée et rendre la couleur difficile à percevoir. J'aimerai vraiment réussir à ne me focaliser qu'à une pensée détachée des mots (que j'aime) pour réussir à m'imprégner de la couleur perçue. D'ailleurs, c'est une couleur que je n'arrive pas à choisir. Elle est uniforme, le plus souvent oscillant entre le noir et le bleu. Je vois rarement "rouge" ! Ha ? j'ai fait ça ? C'est un peu ce que j'entends lorsque je dis que je cherche un cheminement qui permette à ma logique d'être en accord avec l'diée que la transmission d'information via la pensée est possible. Je suis convaincue que les idées qui nous "arrivent" en tête ne viennent pas de "nul part". C'est un sujet que j'ai vraiment envie d'approfondir. Les explications données par la science, la philosophie, la neurobiologie... me donnent une base solide, mais je n'ai pas la prétention dans un seul de ces domaines pour "savoir". Je "rame" un peu à chercher à comprendre. Et seule l'expérience, qui m'est personnelle, me permet d'avancer dans ces recherches. En tout cas, c'est un plaisir de lires les quelques lignes que vous posez ici ! Merci.
  9. osia

    Qu'écoutez-vous en ce moment ?

    J'aime... sans intensité. Juste "j'aime".
  10. Dans le domaine musical, je suis très "à large sperctre"... ici je vous propose un lien qui n'a rien à voir avec de nombreuses grandes oeuvres déjà évoquées... Low on air.
  11. osia

    La transmission des pensées

    Cette dernière phrase est très mignonne ! Merci, je ris ! Effectivement, même les plus grands scientifiques et penseurs cherchent encore à définir l'origine et la nature de nos pensées. Mais sincèrement, vous arrivez à "penser à rien" ??? J'adore l'idée là en fait !
  12. Re ! Bon, le fil de se post s'est éloigné du point de départ mais j'aimerai y poser encore une petite intervention sans prétention. Loin de moi l'idée de prétendre croire quoi que ce soit vous concernant. Et puisque cet article parle de la liberté, vous êtes libre de prendre une place pour aller assister à un match au vélodrome si c'est là votre envie ! Je suis totalement d'accord avec vous, et c'est un peu ce qui me gène dans ce type d'article. Entre "la solitude est un fléau", "la méditation est l'apanage des femmes", "ces hommes qui passent l'aspirateur et font à manger pour leurs enfants" et "attention, si vous croisez un homme dans une librairie c'est sûrement que...", il reste encore de nombreux moyens pour les producteurs de magasines de combler des pages ! +1. Lire "les hommes et les femmes ne sont pas câblés de la même manière" me donnent juste envie de dire "les humains sont tous câblés d'une manière différente", il n'y a pour moi pas deux femmes ni deux hommes identiques. Rapporter ce genre de débat à une condition d'identité sexuelle me parait sans intérêt du coup. Je vous rejoins sur ce point: le partage des émotions que quelqu'un peut ressentir à échanger son expérience est difficile, l'autre n'y entend pas toujours ce que l'"on" souhaite y faire passer, mais croire qu'il existe une méthode pour y parvenir me semble totalement utopique. Etre suffisamment dégagé de son propre "soi", accepter et chercher l'empathie avec l'interlocuteur peut être une voie pour parvenir à s'approcher de cet état... une parmi d'autres, et chaque "psy" a la sienne, en fonction de ses études, de ses croyances... (je ne sais pas si je suis claire là en fait !) Sur ce, "j'va aller me chercher un peu de dopamine" ! Et bien sur, bonnes solitudes, bonnes retrouvailles et bons moments à tous !
  13. osia

    La transmission des pensées

    Bonjour, C'est tout à fait vrai ! Pas de soucis pour moi, merci pour votre précisions. Je pense que nous connaissons les difficultés de la compréhension et d'interprétation des mots lors une discussion: Je n'ai absolument pas pensé au scanner radio pour ma part ! Je crois que parler "idée", "pensée" et y associer "énergie" n'est pas hors sujet... (et pour ce qui est de ce que "on" entend de façon courante, je n'ose pas imaginer ce que "on" peut entendre en prenant le temps !!!) ;-) J'aimerai poser une question: pensez-vous en image ou en mot ?
  14. Bonjour ! Je reprends les phrases données par Hope à l'ouverture de ce post en les détournant un peu... pour les offrir aux hommes. Les hommes sont toujours plus actifs, compétitifs et attentifs, certes... Mais désormais, ils revendiquent l'échappée en solitaire pour vivre une l'expérience du retour à soi. Quelque chose est en train de tourner. À une époque où la norme est de demander aux hommes actifs, souvent pères de famille, d’être attractifs, attentifs, compétitifs, tout en trouvant le temps de lire, de liker et de se raser, un goût nouveau de la solitude perce. Le besoin de sortir la tête de l’eau. De plus en plus d'hommes de tous âges lèvent ainsi les voiles pour un week-end, une semaine, une échappée en solitaire. But affiché ? Ne dépendre de rien ni de personne. Je me fais un peu l'avocat des hommes sur ce coup. Le seul avantage que nous avons sur eux ? Nous n'en avons pas. Nous sommes consommatrices de ces magasines où il est écrit que les femmes doivent être "tout ça". Je bosse, je suis mère célib, je gère mes affaires... Mais mes potes masculins aussi ! Ils ont quarante ans ou plus, ils ont des gamins, ils bossent, ils doivent remplir leur frigo, faire le ménage... mais ils n'ont pas plein de pub et de magasine pour leur dire "hé, oublies pas d'être "joli et chouchou" et de dire que tu es débordée toi". Alors la chose que je reproche à ce type d'article, c'est de faire croire des trucs aux femmes. En particulier que les mecs n'ont pas à avoir les mêmes droits... (bon moi j'dis ça hein, mais ce n'est que mon avis ! )
  15. Bonjour. J’ai hésité quant à savoir s’il fallait que je place ce post dans le domaine des sciences ou dans le domaine de la musique, aussi je laisse le soin à l’équipe de modérateurs de le déplacer si besoin. J’ai eu l’occasion de discuter il y a quelques temps avec quelqu’un qui a fait des études de musicologie. Cette personne m'écrit: “Pendant mes études de musicologie, j'avais appris qu'une bonne part du fait qu'une musique nous plaise ou pas se passe en sous-cortical, et donc sans les paroles, et même sans les hauteurs des sons.” De ce que je crois en avoir compris, en résumé: lorsqu’un morceau de musique est entendu, il influence non seulement le cortex préfrontal mais aussi l’amygdale. Il peut se produire à son écoute une sécrétion de dopamine qui fait que le morceau plait. Ma question s’adresse donc à ceux qui ont quelques notions à ce sujet: dans quelles mesures un compositeur moderne peut-il “jouer” de ces faits pour être certain du plaisir induit à son auditoire ? Comme je suis béotienne dans ce domaine, n’ayant moi-même jamais fait d’étude en musicologie, quelqu’un pourrait-il m’en dire plus et m’en apprendre plus sur ce sujet ? Avez-vous des lectures à me conseiller à ce sujet ? Merci ! [offtopic]J'avoue ne pas avoir lu l'ensemble de ce fil, aussi je m'excuse si cette question a déjà été traitée.[/offtopic]
  16. osia

    La transmission des pensées

    Bonjour. Je reviens sur ce post à nouveau. Afin de me rapprocher de votre pensée, pouvez-vous me signifier qui est “elles” dans votre phrases ? (par humour déplacé, je dirais que j'ai peur que " Θεία" et "osia" ne se confondent !) Une dépolarisation entraîne une différence de potentiel, la charge mesurée est une charge électrique. L’utilisation que vous avez des mots “voltage”, “Ampère” indique bien une mesure électrique. Le but d’un scanner n’est pas de mesurer ce type de paramètres. Il existe des outils pour enregistrer les activités électriques du corps humain: électrocardiographe, électroencéphalogramme, magnétoencéphalographe, magnétocardiographe par exemple. Le principe même de la méthode scientifique est de pouvoir reproduire une expérience selon un protocole établi. Dans le cadre de cette méthode, le lien est nécessaire entre l’observation, la théorisation, la prédiction et l’expérience. La transmission de pensée pose à l’heure actuelle deux problèmes majeurs dans cette démarche: la théorisation et la prédiction. La théorisation parce que les scientifiques entre eux ne parviennent pas encore à s’accorder sur la définition des termes “idée”, “pensée”, mais aussi parce que se pencher sur de tels sujets demande à faire le lien avec la philosophie, la psychologie et la phénoménologie de l’esprit (lui même source de conflit de définition !). La prédiction parce qu’elle est, comme vous le soulignez vous même, soumise à un nombre de paramètres très important. L’un des paramètres difficilement maîtrisable me semble être le context d’émission et de réception du message. Un exemple qui va peut-être vous faire sourire: “j’aime ce sujet, je m’étendrais des heures dessus”. Dans le context de ce post, la plupart des personnes qui lisent cette phrase vont “entendre” que j’aime l’idée de la transmission de pensée et que je pourrais en débattre un long moment. Pour d’autres, dont l’esprit est plus “joueur” (qui a dit "l'esprit mal tourné" ?), la grille de lecture (votre inconscient a-t-il fait son boulot ? lol) va permettre de faire comprendre une autre tournure de phrase et d'entrevoir un autre sens à mon message initial (donc de répondre “ho, quelle coquine !”). à 120lola120, sauriez-vous reformuler votre message ? (je ne comprends pas ce que vous écrivez) à Spontzy, j’ai bien écrit “ce “non” est fort catégorique”. Vous avez raison sur un point: j’ai mal exprimé ma pensée quand à l’idée que le cerveau puisse “capter”. Je suis d’accord avec vous (un abus de langage m’a échappé): ce sont les organes des sens qui perçoivent (captent). Vous dites: Ceci est un avis très personnel que j’ose émettre. Il ne découle d’aucun travail de recherche scientifique que j’aurai pu faire, mais simplement d’une idée née d’un ensemble de lecture: le cerveau est capable de recevoir les informations perçues par les organes des sens quelqu’elles soient. Concernant les ondes électromagnétiques, je présuppose que l’épaisseur de la boîte crânienne est la première barrière physique permettant une “protection” de l’encéphale, suffisante puisque l’on parle ici d’ondes dont l’intensité est très faible. Cependant, les cellules du corps humain sont, comme tout, composées d’atomes, et donc, à l’échelle microscopique, de particules élémentaires en mouvement perpétuel. Je me demande donc si les ondes émises par notre environnement ne peuvent pas influencer sur ce mouvement et si, en changeant de référentiel, elles n’influencent donc pas sur l’interprétation des récepteurs sensoriels et donc sur les perceptions même que notre conscient analyse (je ne sais pas si je suis claire là, n’hésitez pas à me demander de reformuler si besoin est). A mes yeux, le problème d’une démarche scientifique revient à explorer un objet dans un nombre de dimension limité. Avec l’apparition de la physique quantique et la célèbre théorie des cordes, l’association de la science “mathématique et physico-chimique” devient indissociable de la pensée philosophique, permettant la création d’un univers à n-dimensions et des phénomènes vibratoires jusque là inconsidérés. Je vous conseille la lecture de “Dernières nouvelles des trous noirs” de Stephen Hawking. Le fait que ce monsieur soit un scientifique ne me semble pas nécessaire à prouver ici, mais il est également très philosophe et grand rêveur. Je pense que ce livre pourrait vous offrir quelques nouvelles idées sur ce qui peut être la transmission des idées. à bikers man: je ne suis pas certaines d’avoir vraiment compris le sens de votre message, mais je suis d’accord pour dire qu’il est plus facile de comprendre autrui lorsque la distance me séparant de lui est faible. Il me paraît logique de penser que la perception du langage corporel et des phéromones influence la façon dont nous allons traiter le message de notre interlocuteur. Je me rends compte de la longueur de ma tapographie, je remercie ceux qui ont pu me lire jusqu’ici et espère que d’autres idées viendront alimenter ma propre réflexion sur ce sujet ! [siez=50](oui, je crois qu’un échange d’idée entre plusieurs personnes est possible sans support matériel, mais je cherche encore le cheminement rationnel, logique (et scientifique) qui me permette d’accorder du crédit à ma croyance !)[/size]
  17. osia

    La transmission des pensées

    Bon, je note: ne pas utiliser les balises [ url ] sur ce forum. Ok ! ;-) (et en plus, écrire cette balise sans coller d'espace entre les [] et url renvoie à une autre page... sourire géant tiens !)
  18. osia

    La transmission des pensées

    Bonjour ! Je trouve cette question assez pertinente en fait. Ce "non" est fort catégorique ! Est-ce que le cerveau ne capte pas plus que ce dont l'individu est conscient ? Si je m'accorde à dire que mon cerveau est capable de percevoir des ondes dont je suis réellement consciente (la lumière et les sons par exemple), je peux également admettre que l'ensemble des stimuli qui m'entourent ne peuvent pas être tous interprétés dans l'instant et que je n'ai donc conscience que d'une partie infirme de ces stimuli. Pour ne prendre qu'un exemple, je peux dire que je ne me "rends pas compte" de l'ensemble des stimuli perçus physiquement par mon cerveau lorsque je porte un vêtement. Pourtant les capteurs sensoriels de mon organisme transmettent l'ensemble des informations à l'encéphale concernant ce contact (ils n'arrêtent pas de transmettre l'influx nerveux juste parce que je ne pense pas à eux !). De même, je ne me "rends pas compte" des modifications de ma position à chaque instant ou même des battements de mon coeur, ou encore de chaque cycle respiratoire qui sont produits par mon corps. Ce n'est pas parce que je ne les "pense" pas consciemment que mon cerveau ne les perçoit pas. Son travail est aussi de faire le tri entre ce qui est nécessaire ou pas (au même titre que je n'ai pas constamment l'ensemble de mes souvenirs en pensée). à Théia:Je ne reprends que l'ensemble de votre questionnement j'ai pu lire vos différentes interventions. Avez-vous chercher du côté des sujets comme la proxémie, l'empathie, l'emphase et la synchronicité ? Vous pouvez également chercher du côté de la psychologie, en partant par exemple des sujets sur la défense par la cognition. Il existe de nombreux domaines où il est question de modifier les fréquences des ondes cérébrales (anésthésiologie, hypnothérapie). Un site pour comprendre un peu mieux le fonctionnement de notre "boite à idée": [url=http://lecerveau.mcgill.ca/index.php]clic ![/url] [EDIT] pour décoquillage.
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