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Bonjour, Au moins un exemple serait le bienvenu ! De plus, toute affirmation gagne à être justifiée par un raisonnement.
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Réponse très limitée ! Il faudrait répondre à ça aussi ! "Nous avons tous sous les yeux l'exemple récurrent d'un génie qui, sans aucune connaissance ni de la physique classique ni de la relativité restreinte ou générale ni de la mécanique quantique, les déclare déficientes et les corrige "à petits pas" afin d'unifier tout ce petit monde ! Le tout, sans aucun support mathématique, évidemment. Tout simplement ahurissant ! Je crois même que le génie a prétendu avoir intégré l'X et ce, sans être passé par hypotaupe et taupe ! " Alors ?
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Bonjour, Hélas, tout cela est fort juste. Nous avons tous sous les yeux l'exemple récurrent d'un génie qui, sans aucune connaissance ni de la physique classique ni de la relativité restreinte ou générale ni de la mécanique quantique, les déclare déficientes et les corrige "à petits pas" afin d'unifier tout ce petit monde ! Le tout, sans aucun support mathématique, évidemment. Tout simplement ahurissant ! Je crois même que le génie a prétendu avoir intégré l'X et ce, sans être passé par hypotaupe et taupe ! Il devrait quand même y avoir des limites à l'inconscience ! Cordialement.
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Bonjour, La question n'est pas là. En théorie de la dynamique, on suppose un corps se mouvant en ligne droite à vitesse constante. Si ce corps n'est soumis à aucune force extérieure, il poursuivra son mouvement sans changement. Tel est le principe d'inertie. Si des forces viennent à perturber son mouvement, alors il y a tout ce qu'il faut en mécanique rationnelle pour en déduire les conséquences. Je crois quand même, qu'étant donnés les résultats indéniables obtenus en mécanique classique, on peut accorder toute confiance à une discipline qui n'a jamais été prise en défaut dans son domaine d'application. Et puis, il paraît évident que pour juger tout ou partie d'une discipline quelle qu'elle soit, il semble au moins utile de l'étudier préalablement, ça peut aider ...
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Bonjour, Je crois qu'il ya un peu de confusion dans votre propos. Pourriez-vous l'illustrer par des exemples ?
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"Les plus désespérés sont les chants les plus beaux" (Alfred de Musset, l'allégorie du pélican) Les chants, oui, mais pas les cas !
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Bonjour, En d'autres termes, si je vous ai compris, toute la physique est fausse.
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Bonjour, C'est exact et vous avez bien fait de le préciser. Mais vous conviendrez que tout cela est hors du sujet ! C'est sur le PRINCIPE de relativité que j'ai orienté mon texte. Ce principe qui a précédé la Relativité d'Einstein en établissant pour la première fois la relativité de tout mouvement rectiligne uniforme lequel ne peut être défini qu'en rapport avec un autre ! Là est toute l'importance des travaux de Galilée, précurseurs de ceux d'Einstein. L'observation des satellites de Jupiter n'a rien à voir avec son principe de relativité traitant des corps en mouvement rectiligne uniforme et non ceux accélérés comme pour les satellites (*). Il n'est évidemment pas question de minimiser cette observation qui n'a fait que renforcer sa confiance en la théorie de Copernic ! Mais ceci est une autre histoire comme disait mon ami Rudyard ! (*) Si on me dit que les satellites se déplacent à vitesse constante, je dirai non conformément à la deuxième loi de Kepler (loi des aires) et au fait qu'un mouvement rectiligne uniforme est un mouvement dont le vecteur vitesse est constant (en direction et en grandeur)
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Bonjour, Excusez l'erreur de frappe dans le titre. Relativité et non realtivité ! Peut-être cela pourrait-il présenté de l’intérêt que rappeler cette réflexion de Galilée et d’en tirer la notion importante de « référentiel galiléen » . Voici ce qu’a écrit Galilée : «Enfermez-vous avec un ami dans la cabine principale à l'intérieur d'un grand bateau et prenez avec vous des mouches, des papillons, et d'autres petits animaux volants. Prenez une grande cuve d'eau avec un poisson dedans, suspendez une bouteille qui se vide goutte à goutte dans un grand récipient en dessous d'elle. Avec le bateau à l'arrêt, observez soigneusement comment les petits animaux volent à des vitesses égales vers tous les côtés de la cabine. Le poisson nage indifféremment dans toutes les directions, les gouttes tombent dans le récipient en dessous, et si vous lancez quelque chose à votre ami, vous n'avez pas besoin de le lancer plus fort dans une direction que dans une autre, les distances étant égales, et si vous sautez à pieds joints, vous franchissez des distances égales dans toutes les directions. Lorsque vous aurez observé toutes ces choses soigneusement (bien qu'il n'y ait aucun doute que lorsque le bateau est à l'arrêt, les choses doivent se passer ainsi), faites avancer le bateau à l'allure qui vous plaira, pour autant que la vitesse soit uniforme [c'est-à-dire constante] et ne fluctue pas de part et d'autre. Vous ne verrez pas le moindre changement dans aucun des effets mentionnés et même aucun d'eux ne vous permettra de dire si le bateau est en mouvement ou à l'arrêt ... » Ce texte est d’une importance capitale. En effet, il évoque pour la première fois un mouvement rectiligne uniforme. De plus, il montre bien que ce mouvement est indécelable pour un observateur entraîné par ce mouvement et privé de toute référence extérieure car parmi toutes les observations ou expériences qu’il peut effectuer aucune ne lui permet de conclure s’il se déplace ou s’il est au repos. C’est ce qui a fait déclarer à Galilée : « Le mouvement est comme rien ». Ainsi est né le concept de « repère galiléen » : Un repère entraîné selon un mouvement rectiligne uniforme. On dit aussi « repère inertiel ». Ce qu’a découvert Galiléen est riche de conséquences ! Il montre pour la première fois, traduit dans le langage d’aujourd’hui, que les lois de l’Univers sont indépendantes du référentiel inertiel dans lequel on les observe. Autrement dit, Galilée a vraiment posé le « principe de Relativité » mais restreint aux lois de la mécanique, l’électromagnétisme ne lui étant pas connu. Déjà, mais toujours en utilisant le langage moderne, on peut dire que Galilée a découvert que les équations de la physique sont covariantes par changement de repère galiléen (pour les équations de la mécanique seulement en son temps.). On pourra, pour ceux que cela pourrait intéresser, passer à la Relativité restreinte d’Einstein en soulignant au passage ce qui a conduit Einstein a étendre la relativité galiléenne à l’électromagnétisme. Il faut souligner d’emblée qu’Einstein, en partant de la seule hypothèse de l’invariance de la vitesse de la lumière, a retrouvé tous les résultats partiels obtenus par FitzGerald, Lorentz, Poincaré Ce ne fut pas évident car les équations de Maxwell n’étaient pas covariantes si on leur appliquait la transformation galiléenne. Cordialement.
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Bonjour, Je crois que ce texte est assez explicite et convaincant : https://fr.wikipedia.org/wiki/Num%C3%A9rologie De plus, j'ignorais qu'en numérologie il était question de "fréquence vibratoire d'une lettre" ! Rien que ce charabia devrait mettre la puce à l'oreille des indécis ! Egalement, par exemple, qu'est-ce qu'une lettre en chinois ? Comment analyser en numérologie un nom écrit dans une écriture consonantique (sanskrit), syllabique (japonais) ou idéogrammatique (chinois)? Cordialement.
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hé oui, il y a des cas où on ne sait plus où donner de la tête !
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Moi aussi !
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Bonjour, Et que penser de la cartomancie ? Est-ce la forme moderne des haruspices ? Et ce quidam qui un jour, ayant frappé à la porte d'une voyante extra-lucide, l'entendit répondre : "Qui est là" Le gus n'a pas insisté !
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Et ça continue ! Toujours RIEN sur le fond !
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Bonjour, C'est curieux tout ça ! Les frustrés de ne pouvoir répondre sur le fond compensent par des attaques personnelles ! Bof, quelle importance ?
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Bonjour, Tout d'abord, je ne suis JAMAIS grossier contrairement à vous ! Alors côté politesse ... Je sais quand même faire un tri entre les remarques intelligentes, mêmes éventuellement erronées, et les autres. Eh bien amusons nous : Soit le nombre 736 dont je demande à un numérologue de m'en donner la signification. L'ennui, est que ce nombre est écrit en base 8 ce qui donne le nombre EQUIVALENT en base 10 : 542. Alors, ce même nombre aurait donc DEUX significations différentes ? Et puis, quelqu'en soit l'interprétation, quelle serait la démonstration mathématique de l'interprétation du numérologue ? Où serait donc la "mathématisation" du raisonnement ? Mais peut-être que mon manque de pédagogie gêne la compréhension de cet exemple ? Bien à vous.
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Bonjour, Bien sûr, évident, mais pas pour tout le monde ! Mais répondre à une telle ineptie est perdre son temps !
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Bonjour, Je crois qu'il est préférable de dresser la liste des sciences exactes, celles dont ont peut aisément considérer comme sérieuses étant données leurs indéniables réussites, car la liste des fausses sciences est bien trop longue ! Aussi, voici la liste des sciences exactes telle que pourrait la dresser n'importe quel autre scientifique: Mathématiques, Logique mathématique, Physique classique (électricité, magnétisme, optique, thermodynamique, mécanique rationnelle, relativité restreinte et générale, astrophysique, etc.), Physique quantique (électrodynamique quantique, chromodynamique quantique, théorie de l'intégrale de chemins ), Cosmologie. Je sais bien que certaines théories en cosmologie sont discutées, mais elles respectent la démarche scientifique. A ces théories, j'ajoute aussi certaines non encore confirmées mais qui, elles aussi, respectent cette démarche scientifique : Théorie des cordes, des supercordes, de supersymétrie, de gravitation quantique à boucles, technicolor, holographique (de t' Hooft), M-theory, théorie MOND, des mondes multiples etc. On remarquera en passant que toutes ces théories sont "mathématisées" alors que PAS UNE SEULE des pseudo-sciences ne l'est ce qui explique leur inaptitude à prédire quoique ce soit. Bien sûr, il existe des sciences sérieuses non mathématisables, telles que la médecine, la vulcanologie, la botanique, l'ornithologie, l'océanographie etc. Alors qu'une pseudo-science est l'oeuvre de charlatans sans scrupules et que RIEN ne vient justifier. Par exemple, j'y reviens, la numérologie !
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Bonjour, Je crois qu'il serait utile de recadrer le débat. Il s'agit de séparer les sciences exactes des pseudo-sciences. Les sciences exactes ont cette qualité fondamentale d'être VERIFIABLES ! Les pseudo-sciences ne sont rien d'autre que des foutaises invérifiables. Les familiers des VRAIES sciences ne gobent pas n'importe quoi et EXIGE toujours des preuves à toute nouvelle affirmation. Les adeptes des fausses sciences GOBENT sans se poser la moindre question tout ce que leur disent les charlatans, bien souvent pour la raison principale qu'ils ont ENVIE de croire au mystérieux. Les charlatans connaissent bien les goûts des naïfs ! Par exemple, il se trouverait des crédules pour croire à la numérologie que je n'en serais pas autrement étonné !
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Excellente mise au point. Merci.
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Bonjour Répy, Pour ce qui me concerne et parfaitement conscient d'être complètement ignorant de la médecine, je me garderai bien d'émettre le moindre jugement.
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Mais dont TOUTE l'Humanité profite ! Il devrait quand même y avoir des limites à l'obscurantisme d'un autre âge ou d'une autre "culture" !
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Bonjour, Il est bon d'avoir présenté cette mise au point, apparemment sans succès, hélas ! Comme quoi il est des cas désespérés ! Tout d'abord j'ai lu cette affirmation : "Les épicycles sont faux !" Là, je crois rêver ! Qu'est-ce qu'un épicycle ? UN CERCLE !!! En quoi un cercle peut-il être faux ??? En quoi la théorie de Ptolémée peut-elle être considérée provisoirement (comme toutes les théories !) comme une théorie acquise ? Tout d'abord, on remarquera que pour la première fois est née une théorie prédictive. En effet, Ptolémée pouvait, avec sa théorie, prédire la position des astres, connus à cette époque, à une date et un lieu donné. Or, que demande-t-on à une théorie ? Eh bien de permettre des prédictions vérifiées ! De plus, ma dernière phrase était assez explicite et toute personne à l'intellect normal y aura vu une condamnation sans appel, mais une condamnation s'expliquant par les découvertes ultérieures : Copernic, Galilée, Newton, Einstein etc. Une autre de mes expressions semble bien être passée par-dessus une certaine tête, à savoir : Qu'on appelle "théorie acquise" une théorie vérifiée dans son domaine d'application. La théorie des épicycles était vérifiée dans le sien ! Enfin, ces précisions que je donne ne sont là que pour renforcer les termes de votre intervention et non pour tenter de convaincre ce qui ne peut l'être. Enfin, il faut quand même rendre à César ce qui appartient Jules ! En effet, l'idée des épicycles remonte à Hipparque mais c'est Ptolémée qui a vraiment su les exploiter Cordialement.
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Bonjour, Dans tout ce qui suit, je me borne aux théories physiques. Je crois opportun de revenir sur un sujet déjà abordé, à savoir la différence entre les théories spéculatives et les théories acquises. Il s’agit évidemment des théories acquises à une époque donnée, c’est-à-dire des théories qui ont été vérifiées dans leur domaine d’application. La théorie de Newton est, en ce sens, une théorie acquise car elle s’applique avec une grande précision dans ses prédictions qui ne sortent pas de son domaine d’application. Les théories spéculatives, pour être prises au sérieux, doivent impérativement s’appuyer sur un outil mathématique irréprochable. De plus, elles doivent bien entendu proposer, ou être susceptible de proposer, des expériences et/ou des observations les confirmant ou les invalidant. Pourquoi cette exigence d’une mathématique irréprochable ? Mais tout simplement parce qu’une telle théorie doit nécessairement être vérifiée dans ses prédictions. Et que vérifie-t-on ? On vérifie si les nombres obtenus in fine à partir des équations sont conformes aux résultats des mesures expérimentales ou observées ! Sans mathématiques, pas de mesures possibles, donc ni confirmation ni infirmation ! Une théorie acquise se déduit facilement de ce qui précède. C’est une théorie qui d’abord fut spéculative et qui a été confirmée par l’expérience et/ou l’observation. On peut donc se fier à une telle théorie pour prévoir l’évolution d’un système et quelques autres petites choses aussi. La théorie de la Relativité, restreinte ou générale, remplit totalement les conditions d’une théorie acquise car elle a été vérifiée des centaines de fois en un siècle et JAMAIS prise en défaut. Bien sûr, elle subira le sort de la mécanique newtonienne en étant absorbée dans une théorie plus générale laquelle … La mécanique quantique est aussi une théorie acquise dans son état actuel de développement. On notera cependant que jamais une théorie atteint une aussi extraordinaire précision dans ses prédictions ! Juste un exemple : Il a été mesuré expérimentalement la masse du proton et celle du neutron avec une dizaine de chiffres significatifs. Il y a environ une dizaine d’années, et s’appuyant sur la mathématique de la chromodynamique quantique, un calcul de ces masses a été effectué sur un ordinateur effectuant 10 milliards d’opérations arithmétiques par seconde et qui a « tourné » pendant un an sans interruption. Le résultat obtenu a coïncidé parfaitement avec ces masses mesurées expérimentalement ! Un vrai triomphe ! Je n’ai pas parlé des « théories » de farfelus et qui ne sont rien d’autres que d’inutiles élucubrations imaginées par des rêveurs dépourvus des connaissances nécessaires à la recherche en physique, c’est-à-dire, des connaissances des théories acquises en présence et de l’outil mathématique absolument indispensable ! Juste une remarque finale en passant. On peut considérer la théorie des épicycles de Ptolémée comme une théorie acquise en son temps en tenant compte des connaissances à cette époque : Terre au centre de l’Univers, faible nombre d’astres connus, ignorance de l’existence de satellites autour de certaines planètes. Eh bien, ce système ptolémaïque fonctionnait très bien ! Evidemment, si Ptolémée avait appris la présence de satellites autour de Jupiter par exemple aurait-il eu quelques difficultés à ajouter des épicycles ! Cordialement.
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Bonjour, Pour compléter : A propos de l'atome. Passons sur la conception atomique de Leucippe et Démocrite. C'est Rutherford qui, le premier, a proposé un modèle d'atome, c'est-à-dire de sa structure interne. Pour Rutherford, un atome est composé d'un noyau central chargé positivement et accompagné d'un cortège d'électrons chargés négativement et en nombre tel que la somme des charges positives et négatives s'annulent. On s'aperçut vite que ce modèle ne pouvait convenir, car les électrons gravitant autour du noyau à la manière des planètes autour du soleil auraient rapidement perdu de l'énergie et se seraient effondrés sur le noyau selon une trajectoire en spirale. Ce modèle fut donc abandonné et remplacé par celui de Niels Bohr. Le modèle de Niels Bohr conserve la structure planétaire de celui de Rutherford, mais en "quantifiant" les orbites électroniques, c'est-à-dire que les orbites ne peuvent être n'importe où. De plus, il montre qu'un électron peut changer d'orbite en absorbant ou en émettant un photon dont il a su calculer la fréquence. Mais ce modèle ne convînt pas non plus car vite on s'aperçut que ce modèle conservait la notion de trajectoire, ce qui était en contradiction avec la mécanique quantique naissante qui avait montré que la notion de trajectoire d'une particule disparaît conformément aux relations d'incertitudes. C'est alors qu'une fois de plus la structure de l'atome changea et est encore de nos jours acceptée telle que la proposée Erwin Schrödinger en particulier. Les "orbites" électroniques disparaissent et sont remplacées par des probabilités de présence de l'électron en un endroit donné dans une couche électronique. Tout cela est fort simplifié mais il est toujours possible d'en apprendre plus dans les ouvrages spécialisés. Cordialement.