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Don Juan Matus

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Tout ce qui a été posté par Don Juan Matus

  1. Oui, c'est vrai que ce ne sont pas des lois du passé celles-ci, elles nous renvoient juste au moyen âge.
  2. C"est un peu comme mettre son nez devant la sortie d'un pot d'échappement, mais parfois, on y découvre une fleur qui pousse discrètement entre deux chardons.
  3. A moins que ce monde gouverné par la raison ne soit qu'un reflet des autres mondes dans lesquels la raison n'intervient pas.
  4. Le misanthrope est d'abord une personne qui ne s'aime pas lui-même, et cela peut certainement être vu comme une "pathologie", de la racine étymologique.
  5. Mais la modestie est-elle synonyme de l'humilité ? La personne se décrit comme étant modeste, si c'est une "vérité", la personne dit donc la vérité à son propos, je suis partant pour lui accorder le caractère prétendu, puisque moi, le fait de dire une vérité est un trait de modestie. Par contre je ne lui refuse celui d'humilité.
  6. Sommes-nous libre au regard de ce qui nous possède ou de ce que nous possédons ? Je crois que nous ne pouvons l'être ni par l'une ni par l'autre des options. Ainsi, s'il est évident pour moi que le "propriétaire" de l'esclave ne peut être libre (rappelons que le concept de liberté est certainement encore très vague à ce point de l'échange), l'esclave peut se montrer plus libre, sinon de ces mouvements, au-moins de ses pensées et sentiments. Cependant, si cet esclave est plus libre que son maître du point de vue des critères énoncés, il ne peut plus se considérer lui-même comme un esclave, et ce sont les "autres", ceux qui sont incapables de voir le ou les champs de sa liberté qui lui donne encore ce terme. Ceci dit et en aparté, je ne n'ai jamais connu la liberté pour un être vivant, quel qu'il soit, même si l'on peut lui reconnaître des relatives petites libertés. :)
  7. Je comprends à quelle utopie vous rêvez, mais j'ai des raisons de penser qu'au contraire il est urgent que l'homme vive avec une haute conscience permanente que tout se paie. Et ne-voyez pas là une affaire de morale mais de mécanique.
  8. C'était de l'ironie sociopathique sur la forme de la question. C'est pourquoi je finissais par dire plus sérieusement : Tout se paie. Le concept de gratuité est impossible pour moi. Cela signifie qu'il sonne creux, que je suis incapable de le ramener à un quelconque repère supposé exister dans mon espace mental.
  9. Quelle partie de mon propos souhaitez-vous me voir développer ?
  10. Le sexe, une prison ? La question elle-même est une prison, elle n'a pas de sens pour moi hélas.... Bien que ces quatre lettres me procurent d'agréables sensations, mais elles ne peuvent être tenue pour responsable du manque de sens, peut-être l'auteur de la question a t-il développé ce qu'il entend par "le sexe" (le sens est bien trop large), je ne peux me convaincre de l'utilité de lire toutes ces pages. Il serait heureux que la formule "le sexe est-il une prison" devienne la clé de la geôle.
  11. Si l'on réduit le monde réel à ce que font les hommes, à ce qu'ils pensent, ou à ce qui leur fait peur, ou qui les fait rêver, ou encore, à ce que les hommes croient, Alors la sottise est la "marchandise" la moins rare et pourtant celle qui coûte le plus cher. Tout se paie.
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