Joli sujet, dans lequel je débarque un peu tard. Je souscris aux choix des uns et des autres, avec une dilection prononcée pour Puccini.
Cependant, j'avoue une faiblesse pour les lieder plus encore que pour l'Opéra. En particulier ceux d'Hugo Wolf sur un cycle d'Eichendorff, et plus spécifiquement "Verschwiegene Liebe".