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Maroudiji

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Tout ce qui a été posté par Maroudiji

  1. Surtout ne le lis pas, des fois que tu te cultiverais et apprendrais des choses sur le végétarisme, les hommes et les animaux. Mais tu es impressionnant par ta capacité à reconnaître la nullité. Chapeau ! .
  2. C'était prévisible, fallait pas demander plus. À ras les pâquerettes...
  3. De toute manière même si on vous l'expliquait, pensez-vous vraiment que cela changera quelque chose ? Non. Je suis végétarien depuis 1973, c'est seulement ces dernières années que des personnes réalisent que les animaux souffrent. Très rares sont ceux qui furent sensibles à mes arguments quant à ne pas tuer les animaux :gurp: Bref, si vous aviez lu Tolstoï, qui était végétarien et adorait les chevaux, vous auriez la réponse à votre question: l'égorgement est moins violent que les autres formes de tuerie. Faut croire que personne n'a lu ce grand auteur ici... Le mensonge est la plus grande force qui mène ce monde.
  4. Il va en faire qu'une bouillie de cette intervention. Faut croire que le numéro 1800 n'a lu que la dernière page...
  5. Le Pauvre ! C'est pour cela que les polythéistes ont inventé des associés, pour l'aider. Mais les juifs, malins comme ils étaient, se sont passés de cette complication et avaient imaginé le septième jour, pour qu'il puisse se reposer et reprendre son souffle. Il pouvait continuer à loisir sa poterie et ses œuvres à partir de l'argile.
  6. Ça a le mérite d'être franc et transparent. Le nom et l'âge sont des indicateurs quant à la culture moyenne d'un Français. "Pfiou!", comme il dit.
  7. C'est une réplique qui en dit beaucoup sur la nature humaine. Elle vaut son pesant d'or.
  8. Votre âge n'est pas mentionné mais j'aurais voulu vous dire que vous manquez d'expérience, à moins que ce soit pour faire du style que vous écrivez cela. Mais dans les sciences humaines, c'est plutôt la norme. Que vous en soyez conscient ou non, c'est le sujet même de ce fil de discussion -dont tant de gens ont du mal à comprendre. En tout cas, votre débat montre bien que la connaissance et l'intelligence ne sont pas suffisantes par eux-mêmes pour que les faits soient évidents pour tous...
  9. Voici ce que j’ai écrit hier, dans le train, alors que je traversais la France pour me rendre en Allemagne en passant par la Lorraine. Je rajouterai certainement d'autres informations à ce texte... Je rappelle que j’écris mes textes du mieux que je peux et que je choisis un site et un forum particulier pour le publier. Ensuite je le relis et l’édite pour mon blog et ma page Facebook. Ces explications pour ceux qui n’ont rien d’autre à faire que d’aboyer pendant que la caravane passe. Dieu, en chair et en os « Dès que l’on veut s’instruire sur la vie humaine, ce qu’on dit, absurde ou non, doit être premièrement laissé dans son état naïf, qui vaut cent fois mieux qu’un arrangement vraisemblable, dont vous ne tirerez que des lieus communs. Alain, Les Dieux Je suis arrivé vers la fin du livre de Dominique Wohlschlag, au chapitre 12 : « La ruse dans le Mahabharata, marque de l’âge de Kali ». Avant de lire ma réaction à ce propos, je voudrais signaler que j’ai bien aimé ce livre, malgré que, paradoxalement, ce ne soit pas de mon goût. Je vous en donne la raison par cet extrait tiré de la page 137. « Dans de nombreuses occasions, surtout lors de la bataille décisive, Krsna, (sic) c’est-à-dire l’avatar, la divinité suprême incarnée, exhorte ses compagnons à employer des moyens que la morale, et notamment le code de conduite des ksatriyas, réprouve. » Vous avez là une des pierres d’achoppement qui nuit à la compréhension du Mahabharata et, bien sûr, à celle de Krishna en tant que Dieu, la personne suprême. (Je ne tiens pas compte de l’aspect moral posé ici, à tort ou à raison.) Ce passage met en évidence l’erreur de l’auteur qui ne perçoit pas l’ampleur et la profondeur de l’œuvre qu’il a étudiée. Les raisons de cette difficulté, je les imagine : il doit ou être athée ou, à l’instar de Georges Dumézil, amoureux éperdu de la Grèce, il n’éprouve pas d’attraction pour l’Inde et sa culture millénaire. Ou il est chrétien, ce qui le limite dans ses recherches vu la distance, pour user d’un euphémisme, que les trois monothéismes ont entretenue avec assiduité envers les idolâtres et les païens, termes avilissant et rejetable qu’emploient ces traditions religieuses avec aplomb pour désigner les croyants hindous. Ou serait-ce dû à la grille de lecture à partir de laquelle il interprète symboliquement les faits ? Ce faisant, il a recours à des spéculations réductrices au lieu de se restreindre avant tout à une lecture littérale, telle que présentée par Vyasa. Ce dernier a donné au Mahabharata une dimension littéraire exceptionnelle qui lui a permis de traverser les âges jusqu’à nous (5000 ans, n’en déplaise aux spécialistes). Krishna, Dieu, ne s’incarne pas. Dieu l’explique lui-même dans la Bhagavad-gita : seuls les envieux, les athées ou ceux dont l’intelligence est altérée par les désirs matériels pensent ainsi. La Bhagavad-gita constitue la clé principale du Mahabharata. Pourquoi Dominique Wohlschlag n’a-t-il pas pris en compte cette révélation essentielle ? Comment un sanskritiste et indianiste de sa trempe -et il n’est pas le seul à se fourvoyer de la sorte-2 ne sait-il pas que la naissance de Krishna, telle que décrite abondement dans les Puranas et autres textes notoires3, est extraordinaire, spirituelle, que sa descente en ce monde n’est pas prosaïque ? Qu’il n’est pas dépendant d’un père et d’une mère pour se manifester ici-bas ? Que ses divertissements sont des lilas ?4 Le sanscritiste qu’il est, sait-il faire la différence entre des avatars tels que Vyasa, Gautama Bouddha ou, disons, Jésus-Christ et Krishna ? Que faut-il donc penser de ce qu’il écrit : « Krsna, c’est-à-dire l’avatar, la divinité suprême » ? Que signifie pour lui, Dieu ou le vocable suprême ? Un pur symbole transcendantal qui tombe sous les influences de la nature matérielle dès qu’il arrive sur Terre sous les traits d’un être humain ? Pense-t-il vraiment, après s’être imprégné des enseignements du Mahabharata que Dieu est contraint de s’incarner dans un corps de chair et d’os, de sang et de pus, s’il désire agir personnellement parmi les hommes ? C’est exactement le contraire que le Mahabharata s’efforce de nous transmettre comme réalité ! Cette dernière n’a rien à voir avec nos conceptions matérielles et grossières. Mais il est si difficile pour les spécialistes de se fier avant tout aux explications des écritures védiques –de leur laisser le dernier mot, alors même que Wohlschlag s’engageait à le faire comme annoncé dans en introduction. Ils préfèrent les interpréter et faire concorder leurs données avec leur propre savoir. Les écritures védiques ont beau expliquer en long et en large que Krishna est le Rusé suprême, ils n’y voient que du feu et s’imaginent qu’il est un homme ordinaire. En réalité, ils n’ont qu’une piètre qualification pour commenter le Mahabharata. Que dire d’en fournir les clés ! « Mais ici, j’exagère un peu. Toute la clef des religions, c’est ce vide effrayant qui se trouve derrière les métaphores ; et la crainte de ce vide s’explique premièrement par les vues naturelles à l’enfance, qui toute notre vie, nous poussent à animer la nature. L’invisible, considéré physiologiquement, est le Dieu des Dieux. » Alain PS. La photo provient d'un dictionnaire Larousse des années 80
  10. Mon dieu, je ne peux m'empêcher de vous demander si c'est vrai et dans quelle mesure cela s'est produit ? Vous nous donnez une référence, svp ...
  11. Et vous ne savez pas ce que signifie bluffer ? Vous avez dans sa réponse le portrait du parfait bluffeur qui, mine de rien, se pousse le col, comme dirait ma belle-mère, c'est-à-dire quelqu’un qui trompe les autres et qui raconte n’importe quoi pour se donner de l’importance. Qu’il nous indique ne serait-ce qu’un seul lien où il aurait pu lire, ailleurs qu’ici, cette discussion sur Michel Onfray à propos de Cosmos. Qu’il abatte ses cartes pour montrer qu’il ne bluffe pas ! Ou qu’il donne un exemple, à part celui de ce matin où je fais, ici, la ‘promo de mon blog extérieur’. Si quelqu’un veut l’aider qu’il le fasse. Mais il n’y a qu’un bluffeur pour désigner cela ainsi sans me citer à l’aide des outils qu’offre ce forum. Voici ce que j’avais écrit exactement : -je vous réserve l’anecdote concernant le caractère de ce lascar, que j’ai déjà croisé sur d’autres forums, pour mon blog, comme il le suggère.- (Je souligne pour vous.) Et je ne parle pas de sa notion de tolérance et de son ouverture à la libre expression si chères aux Français ! En tout cas, je suis vraiment étonné qu’il ne m’ait pas traité d’enculé… Pour une fois, je trouve qu’il a fait du progrès, parce que la dernière fois que je lui ai fait une remarque au sujet de ce qu’il écrivait sur l’âme, il a pété les plombs je vous dis pas comment… Un classique C’est ce que beaucoup appellent Échange d’idées ou discuter ! Ensuite, après vous avoir insulté à l’envie et qu’ils se rendent compte qu’ils ne tiennent pas la queue de la poêle, ils essayent de trouver trois ou quatre personnes pour s’indigner contre mon attitude et faire appel à l’administration pour que l’on me vide. La seule fois que j’ai travaillé en France, dans les années 70, on s’est arrangé après six mois pour me jeter de la boîte parce que je n’étais pas comme eux -je ne buvais pas d’alcool mais de la limonade et cela ne leur plaisait pas. C’est con à raconter, mais c’est la vérité. (J’étais Algérien, j’avais 19 ans et je travaillais en toute l’égalité). L’échange avec jean ghislain est terminé en ce qui me concerne. Qu’il aille pleurer dans les jupons de l’administration ! C’est d’une bassesse… Quand je vous aperçois, je change de trottoir.
  12. Hurler avec les loups Lui, c’est le meilleur ! On a là un spécimen de haine et de sectarisme à épingler sur un mur pour que les passants et les générations futures sachent à quoi ressemblaient les forums sur le Web il n’y a pas longtemps encore, forums soi-disant démocratiques comme l’entendent les Occidentaux et qui fondent ce concept d’échange des idées sur ce qu’était la soi-disant démocratie grecque, avec esclaves en chair et en os pour la classe inférieure. Cependant, les forums de discussions sont de moins en moins nombreux; bons ou mauvais, les administrateurs mettent la clé sous le tapis. Ils fonctionnaient sur le modèle des assemblées communistes à l’époque où le Parti était dirigé par le collabo en la personne de Georges Marchais avant qu’on découvre sa véritable personnalité, c’est-à-dire travailleur volontaire engagé durant la guerre dans les usines nazies en Allemagne. Je sais de quoi je parle, le côté de ma belle-mère était communiste jusque dans l’âme et Jean-François Revel était un des mes auteurs favoris, lui qui a fait éclater ce scandale. Mais ici cela peut devenir un hors-sujet, alors je vous réserve l’anecdote concernant le caractère de ce lascar, que j’ai déjà croisé sur d’autres forums, pour mon blog, comme il le suggère. Avez-vous déjà lu quelque part sur ce site que cet ours mal léché ait tenté une discussion avec moi ?
  13. Michel Onfray doit changer de tactiques Notes sarcastiques de Maroudiji. Ses amis essayent de le convaincre d’accepter la perche qu’ils lui tendent. C’est un plan qui a beaucoup de succès et qui consiste à imiter les spiritualistes hindous dans leur rapport avec les masses ignorantes. Celles-ci ont un besoin indubitable de rites et de dévotion pour affronter la vie et l’au-delà. Le bouddhisme en est un exemple parmi d’autres. Mathieu Ricard, le fils de Jean-François Revel, démontre que c’est parfaitement possible. Spiritualiste avéré, doublé d’un esprit scientifique à la fine pointe des recherches en neurologie, il marie les deux traditions. Le grand Sankara a également adopté cette façon de faire. Ayant réalisé que les castes inférieures ne peuvent pas s’élever par l’intellect, la philosophie (jnana) étant trop difficile pour eux, il a compris qu’il fallait utiliser la religion à son profit et non pas l’attaquer de front. En tout cas, tant que ces masses n’auront pas disparu par inadaptation aux nouvelles lois de l’humanité, l’élite devra composer pacifiquement avec elles. Il faut se rendre à l’évidence : nous avons tué Dieu ; dans certains pays les athées ont tué des millions de personnes pour leur foi ; nous avons inculqué à nos enfants un enseignement laïque, matérialiste, pour ne pas dire athée, mais nous devons reconnaître notre impuissance : les masses continuent à croire à des entités abstraites et spirituelles, à Dieu. La Volonté de puissance doit être mise en veilleuse et faire plus de place à la compassion. Cette idée est vieille comme le monde et a porté ses fruits. Les adeptes du monothéiste -je parle du peuple bien sûr- qui forme la majorité silencieuse de nos sociétés, entreront plus facilement dans notre jeu si nous cessons de les ridiculiser et de les marginaliser. C’est d’ailleurs ce qu’a très bien compris et a fait Darwin qui était aussi un croyant, du moins en façade, pour mieux imprégner ses semblables de ses idées révolutionnaires et matérialistes. (Je rappelle que je suis en train d’imaginer les amis d’Onfray l’encourageant à rejoindre leur tribu païenne.) Voilà la tactique qu’essayent de lui inculquer ses nombreux amis. Il s’agit de créer deux systèmes, utiles et respectables, en faisant de la science et de Dieu les faces d’une même pièce et d’avoir comme crédo : tous les chemins mènent à Rome. Il faut débarrasser la religion de ses erreurs les plus flagrantes, grâce aux réformes que l’Église est tout à fait disposé à entreprendre du moment qu’on ne lui dicte pas sa conduite et qu’elle ne se sente pas manipuler, tout comme le fait la science qui, régulièrement, met à jour ses connaissances et élimine ses erreurs. Il faut se rendre à l’évidence, le peuple ne peut pas assimiler la complexité de la science mais il l’apprécie beaucoup, fasciné par ses prouesses et ses promesses, telle l’éradication des maladies. La découverte toute récente d’un vaccin pour endiguer l’Ébola ou les greffes, comme on vient de le voir aux infos pour un enfant à qui on a cousu deux mains qu’il n’avait plus, sont des exemples criants et sources d’espérance pour. Cette tactique est de loin plus positive que le bras de fer qu’engagent les athées avec les religieux tout en proclamant haut et fort leur nihilisme. Alors qu’au fond, athées, bouddhistes et monothéistes partagent le même but ontologique : le monisme, qu’ils le sachent ou pas. La suite pour bientôt. Plaisir et grincements de dents assurés.
  14. Croyance athée : de la cellule au robot ou le génie de Darwin Grâce à Darwin nous savons maintenant qu’après probablement des milliers d’essais infructueux, durant des milliards d’années et par le pouvoir quasi divin du soleil, les premières molécules accumulent de la chlorophylle et deviennent des plantes à part entière. Cette photosynthèse, que je vous résume ici en deux mots, permet la création essentielle de l’oxygène et par la suite la couche d’ozone. C’est simple comme bonjour. La cellule s’étant formée, son noyau ayant ramassé le matériel génétique disponible autour d’elle par intelligence spontanée, à ne pas confondre avec la conscience, celle-ci doit alors trouver de l’eau pour se nourrir. Eh oui ! elle n’a pas pu contourner cette difficulté qui fera loi : pour vivre, tous, de la cellule au mammouth, devront se nourrir d’un plus faible que soi pour exister. C’est ce qu’a mis en lumière Darwin, l’idole des athées. Il a réussi là où les juifs ont échoué ; ainsi qu’ils le pensaient, le paradis est bel et bien sur terre et le corps une fin en soi. Le matérialisme représente la seule religion adéquate à l’homme. Darwin, maître parmi les maîtres, a eu le génie de réaliser qu’arrivé au point de notre évolution, l’homme n’avait plus besoin d’aller à l’église tous les dimanches. Darwin, lui-même, s’y rendait hebdomadairement, en bon croyant qu’il était. Puis il décida d’interrompre cette pratique, conscient que le peuple suit toujours sur les talons d’un grand homme. Les humains pouvaient dorénavant penser par eux-mêmes et se passer d’un Être absolu et transcendantal qui dicte leurs faits et gestes : Dieu pouvait être remplacé par la Science ; l’homme était prêt à accepter une vérité supérieure, adaptée à son époque et débarrassée des superstitions.
  15. Les Grecs ont tout inventé C’est par l’eau, cependant, que tout débute. La vie ne peut exister sans eau, elle est l’élément primordial. Les Grecs, qui sont de grands inventeurs, ont été les premiers à concevoir ce phénomène matériel. Grâce à l’invention de la méthode scientifique, grâce à cette démarche rationnelle qui leur était propre et originale, ce peuple a par la suite inoculé au reste du monde cette manière de penser. Ils ont inventé le raisonnement. Ainsi ils ont pu dompter les émotions humaines et ritualiser les superstitions. Jusque-là celles-ci guidaient leurs actes alors si débridés et sauvages au point que les tribus se décimaient entre elles, empêchant toute organisation sociale constructive. Ils ont été les premiers philosophes, les premiers logiciens, les premiers hommes réellement civilisés. N’ont-ils pas inventé la démocratie, cet art de vivre en société ? N’ont-ils pas été les premiers à créer le concept de ville policée ? Avant eux, les peuples, même les plus avancés, vivaient comme des barbares. Le Cosmos, d’où le titre de mon livre, c’est la formation des atomes à partir du chaos (du mot grec khaos, qui signifie l’abime ou le vide). Ce monde, matériel par définition, dont lequel nous vivons est le résultat de la confusion générale des éléments tels l’eau, le feu et l’air précédent sa formation. Avant, c’était le Vide primordial ou Néant, comme disent certains. Quand on est cultivé un tant soit peu, on réalise qu’il n’y a pas de place ici pour un Dieu avec une longue barbe qui aurait bricolé ce monde et se serait reposé au septième jour sur un nuage… Lisez mon livre, vous comprendrez mieux comment s’est formé le cosmos à partir de rien et comment l’homme est né d’un ancêtre commun aux singes, nos cousins. Lisez Démocrite et les philosophes grecs, ils sont des guides certains de l’humanité, les phares du Cosmos, tout le reste n’est que littérature et bondieuseries ! Darwin a confirmé cette cosmologie dont je m’évertue à travers mes livres d’en brosser les grands traits. Il nous a expliqué que la vie vient originellement de l’eau. Ses recherches ont été confirmées par la science. C’est la seule et unique explication scientifique possible, à moins que nous prenions des vessies pour des lanternes et que nous croyons que les extra-terrestres ont créé l’homme. La suite pour bientôt. Plaisir et grincements de dents assurés.
  16. « En revanche, pullulent les manifestes et déclarations qui ne se donnent pas pour mission d’apporter des matériaux, arguments ou autres preuves, mais cherchent seulement à partager une même foi avec ceux qui sont acquis à cette cause. » Jean-Louis Brunaux Au commencement étaient les eaux et le soleil Dans ce qui suit je paraphrase Michel Onfray pour mieux mettre en évidence le ridicule de ce dogme athée enseigné par les institutions, de la maternelle, en passant par le primaire, et jusqu’aux plus grandes écoles. On constate, lui qui a passé de nombreuses années à rédiger une histoire de la contre-culture, qu’en élève ayant bien appris sa leçon, qu’il a lui-même transmise tel quelle comme enseignant dans un lycée durant un nombre non négligeable d’années, qu’il regrette cependant, on constate donc qu’il n’a fait que se révolter contre une partie d’un système seulement et qu’en aucun cas il ne s’est attaqué à son fondement, celui qui a conduit les sociétés tous azimuts dans le mur auquel nous faisons face aujourd’hui. Je commence : On ne peut mieux dire la vérité moniste de ce qui est : tout commence par l’eau et le soleil. Et c’est ce dernier qui rend la vie possible. Sans le soleil, le monde n’existerait pas. Les premiers hommes ont vite compris cette réalité par nécessité ; il fallait qu’ils s’adaptent s’ils voulaient survivre. Ils ont inventé le feu et ont fait de ce luminaire un dieu. De là le chamanisme qui est la religion des religions, la première de toute. L’énergie solaire se répand partout sous forme d’atomes dont le flux et la multitude se constatent à travers les rayons de lumière. Ainsi les descendants des premiers hommes ont en déduit que le divin était omniprésent, que chaque atome était habité par l’esprit du Soleil. La suite pour bientôt. Plaisir et grincements de dents assurés. C'est ce que je dis: les athées, tout comme les sectes religieuses, se bouffent le nez entre eux.
  17. Ne plus lire de livres Selon sa logique propre aux bluffeurs, Onfray préconise de ne plus lire de livres pour s’éduquer et chercher les vérités (on n’est plus à une contradiction prête) car les esprits sains « recherchent moins la vérité du monde dans les livres qui disent le monde que dans le monde lui-même, directement. » Bonne chance ! Lui et ses lecteurs assidus, athées en principe, ne voient pas la puérilité d’une telle proposition. Parce que la Bible et autres livres saints, selon lui, racontent des balivernes, il jette le bébé avec l’eau du bain : ne lisons plus de livre pour apprendre comment est fait le monde ! Et pourquoi donc écrit-il des livres, en l’occurrence Cosmos ?!?
  18. Ancien topic... où cela ? Sarcasme ? Pour ce qui est de la source du sujet sur le livre d'Onfray, elle est d'ici. J'en profite pour dire que j'écris sans trop me casser la tête, puis j'édite tout ça (et c'est nécessaire...) puis je le reproduis sur mon blog. Une autre à encadrer : superstition, quand tu nous tiens ! Ce sont « les vrais dieux » auxquels veut croire Onfray. Quand les athées, incapables d’inventer leur propre langage métaphysique, incapables de se trouver une origine digne de l’être humain, incapables de se satisfaire de ce monde matériel comme fin en soi, ils s’approprient alors sans vergognes les concepts des religions pour mieux les chevaucher et s’illusionner de plus belle. La farce du mariage gay est un exemple on ne peut plus comique ; on l’a déjà vu ici avec l’âme ; voici le tour des dieux : « Épicure écrit que la connaissance scientifique dispense de souscrire aux croyances irrationnelles. [---] La science digne de ce nom sape la religion entendue comme superstition – autrement dit, comme croyance aux faux dieux. Les seuls vrais dieux sont matériels…. » Page 404, si vous voulez vérifier que cette ratatouille provient bien de sa cuisine. Et ce vice n’est pas propre aux épicuriens, les bouddhistes ne s’y sont pas pris autrement ; ils ont tenté sans succès d’abolir la croyance aux dieux du panthéon védique mais ont par la suite imaginé une multitude de divinités dans la plus grande hypocrisie. Divinités est un bien grand mot, il ne s’agit en fait que de superstitions et de créations mentales. Grandeur et décadence du bouddhisme. Il y a quelques jours de cela, j’ai entendu une information au télé-journal de 20 heures à propos des Japonais en vénération zen devant un volcan. Ils célébraient avec faste et piété sa Divine puissance. On nous apprenait dans le plus grand respect qu’il était un Dieu pour eux et qu’ils lui rendaient régulièrement un culte à la grandeur de la civilisation que représente ce pays moderne. C’est Onfray qui doit être ravi ; il a consacré tout un chapitre de son livre à ce pays de l’Asie, alors qu’il n’a pas réussi à pondre une seule ligne sur l’Inde. Peut-être que nous ne lisons pas même livre ?
  19. Le bluff des athées N’est-il pas hypocrite d’entendre des intervenants s’exclamer comme des vierges effarouchées, qu’il leur est insupportable qu’on les compare à des bluffeurs alors même que, cette année, le chef de l’État, François Hollande, et les médias sont descendus dans la rue pour manifester leur soutien à la libre expression du blasphème et que le nombre de participation à cette mascarade médiatique (on y a vu toutes sortes de personnalités douteuses à ses côtés) a été impressionnant ! Ce qui ressort de ce drame causé par les fous de Dieu, c’est que le blasphème, c’est-à-dire l’acte de se moquer des religieux, est un droit républicain. Pourtant, les athées, qui à la base n’ont aucune morale, puisque les atomes n’en ont pas et qu’il n’y a ni bien ni mal ontologique ( quoique, curieusement, avec Onfray par exemple, ces atomes sont capables de prouesses intellectuelles extraordinaires, voire miraculeuses, comme nous l’avons constatés ou nous le constaterons encore dans cette critique à laquelle je me livre, d’ailleurs Dostoïevski a écrit un chef-d’œuvre sur cette question, Crimes et châtiments ), ces athées, disais-je, sont comparables à des poules qui seraient tombées sur un couteau : ils se sentent atteints dans leur amour propre. Les pauvres, on aurait presque envie de les plaindre ! L’expression est pourtant anodine comparée à ce que l’on peut lire constamment de leur part sur ce forum et ailleurs. C’est hallucinant ce soudain sentiment de persécution. Ils le perçoivent comme une attaque personnelle, alors que des athées il y en a de toutes sortes, même des chrétiens, telle que se revendiquait Oriana Fallaci, et qu’entre eux ils se déchirent comme chiens et chats. La raison est simple : l’intolérance est fondamentale à leurs conceptions philosophique et sociale ; elle est inscrite dans leur psychologie. Leur métaphysique est similaire à celles des bouddhistes et des monothéistes qui pensent qu’eux seuls détiennent la vérité et que tous les autres systèmes sont incompatibles et mauvais au bon fonctionnement de l’humanité. À vrai dire, bien que j’assume entièrement le titre, L’athéisme n’est que du bluff, je ne lui ai guère accordé d’importance lorsque je l’ai choisi, à la dernière minute. Je n’y pense jamais quand j’écris un texte, je le fais par nécessité. J’aurai pu écrire indifféremment L’incohérence des athées, Les athées sont des plagiats ou Les athées sont des ventriloques, etc. J’ai produit ici de nombreuses pages sur ce que je pense de la posture des athées, avec des arguments soutenus et variés mais rarement quelqu’un m’a interpelé pour le contenu, sauf un ou deux intervenants qui ont daigné retrousser leurs manches en usant de leur intelligence. Jamais, cependant, mes interlocuteurs ne tentent de comprendre d’où je parle et quel est le contenu de ma culture. C’est trop pour eux. En cela, ils limitent le dynamisme de la dialectique et la curiosité s’estompe dès qu’elle quitte les rails de la pensée limitée, si mâchée et remâchée, occidentale.
  20. Quand il ne fait pas bon d’être un ancêtre Ils n’ont de cesse de nous bourrer le crâne avec ces âneries sur notre filiation simiesque ! À peine sortis du berceau, ils conditionnent les enfants à leur enseigner que leurs ancêtres étaient des singes et par conséquent nos cousins. Selon eux, les singes que vous observez dans les zoos sont nos cousins. Mais tout le monde sait, qu’en dehors de l’idéologie il y a cousin et cousin. Il y a les animaux-cousins que l’on chéri et il y a les animaux-cousins que l’on massacre. N’est-ce pas ainsi que nous nous conduisons et nous nous sommes toujours conduits ? Nous sommes tous égaux mais on tue les plus faibles. Allez comprendre ce qu’ils ont dans la tête ! Au lieu de respecter les anciens, on les torture. Ils disent que nos premiers ancêtres provenaient de l’eau, mais ils pêchent le homard et le jette vivant dans l’eau bouillante pour le manger par la suite. Comment qualifie-t-on ce genre de conduite et de culture ? Dans mon livre à moi, ces horreurs sont issues du démonisme. (Ah, quel vilain mot ! Comment ne l’a-t-on pas encore supprimé du dictionnaire ?) Voici une vidéo sarcastique que j’avais concoctée pour illustrer ce lavage de cerveau.
  21. Il suffit simplement de prendre le titre, Cosmos, et l’intention de l’auteur de nous parler du temps, ainsi que je l’ai décrit sur toutes ces pages, pour se rendre compte qu’il ne veut pas sortir des limites de son pré carré. Si, en partant, vous ne comprenez pas que ce procédé est tordu, je ne peux rien pour vous. Je suis sincèrement désolé. Il faut juste accepter que nous ne sommes pas sur la même longueur d’onde et éviter alors de se crêper le chignon. Si, la question est justement là! Mais vous préférez l’ignorer et continuer à raisonner comme si de rien n’était. Je rencontre toutes sortes de gens -et je parle de personnes cultivées et d’intellectuels- et presque à 100% ils ne connaissent pas le Mahabharata, le-plus-long-livre-jamais-écrit-dans-l’histoire-de-l’humanité… bla, bla, bla; ils n’ont en jamais entendu parler… Et vous venez me dire que la question n’est pas là… Or on a un type comme Onfray, supposé être un philosophe distingué, qui écrit un livre intitulé Cosmos dans lequel il parle des religions, de Dieu, des livres saints, de la Bible, du Coran, du Déluge, etc; etc; sans mentionner le Mahabharata, afin que les intellectuels ignorants, pour ne mentionner qu’eux, sachent que parmi ses chapitres se trouve un joyau spirituel, les paroles de Dieu, Krishna, (Le chant du Bienheureux), c-à-d la Bhagavad-gita, et vous venez me dire que le problème n’est pas là ?!? Vous êtes bien gentil mais vous restez superficiel. Vous évitez le nœud du problème qui est gordien. Je suis en train de démontrer une grande lacune dans notre façon de réfléchir et qu’un immense savoir demeure ignoré volontairement, en toute bonne conscience. Pour la première fois vous lisez quelqu’un qui dénonce cette conspiration et qui sonne l’alarme mais cela ne vous préoccupe pas plus que ça, tellement vous êtes en amour avec la Science, la culture grecque et le Dieu des juifs, même si vous êtes athée, comme vous l’écrivez. On a beau vous faire la démonstration que ce que j’écris est original et unique mais cela vous passe par-dessus la tête. Vous avez raison, je ne goûte pas l’humour par des inconnus qui me confrontent sans même se présenter, sans un minimum d’échanges personnelles et qui veulent le plus souvent me faire la leçon avec leurs gros sabots plutôt qu’essayer de comprendre ce que j’écris. Je ne parle à aucun moment de croyance. Mais de dire que la croyance ne peut pas être vérité, c’est tout simplement faux. Et ce n’est pas parce qu’il y a des croyances fausses qu’elles le sont toutes. Bossuet était trop bon chrétien pour comprendre que les pyramides étaient bien plus que des supposés tombeaux. En outre, vous vous trompez royalement concernant l’Inde : ses connaissances scientifiques étaient de loin supérieures à celles de l’Égypte. Mais comment voulez-vous en juger objectivement ? Il faut avoir visité deux marchés pour savoir lequel est le meilleur. Ne vous l’ai-je pas déjà dit ? Vous préférez l’angélisme et me proposer de flatter le méchant. Vous ne réalisez pas à quel point notre civilisation est démoniaque. Ou alors, pour reprendre votre jugement sur « les controverses futiles », vous voyez que les écuries brûlent mais vous vous exclamez, comme dans la chanson : ‘Tout va bien madame la Marquise’, restons positifs ! Au-delà de ces différents, je vous remercie pour vos bons mots. Une telle attitude -sur le web, et me concernant- est rare. PS. Je ne suis pas particulièrement intelligent. Si vous ne le prendriez pas pour de la fausse humilité, je vous dirais que j’ai un QI, comme on dit, plutôt basique. Il suffit, pour s’en persuader, de constater la pauvreté de mon écriture, entre autres, en dépit des efforts que je fais pour la soigner (cela m’est bien suffisant pour ce que j’ai à dire). Mais c’est là justement où le bât devrait blesser les intellectuels : c’est qu’un type comme moi soit capable de les mettre au pied du mur. Non, ce n’est pas une question d’intelligence, mais d’honnêteté et de curiosité, c’est cela qui fait ma force. Mais, encore une fois, j’apprécie beaucoup ce compliment de votre part. Le genre ! Le Gange n'est que l'aspect qu'il veut voir: la pollution. Comme si un fleuve n'avait pas une source...
  22. Décalage... Encore un autre qui est complètement à côté de la plaque. On parle du Mahabharata et de l'époque védique, de la religion des Védas, et il nous vient vient avec sa politique! C'est comme si je parlais des Grecs et qu'il me viendrait avec la situation actuelle du pays ! Le rapport avec la choucroute ? Et vous attendez une réponse de ma part?! J’ai écrit de nombreuses pages ici et j’ai fourni littéralement de nombreux cas de bluffs dans lesquels j’utilise ce mot mais vous n’en avez cure; vous ne relevez aucun de ces exemples pour nous faire la démonstration que cela n’en est pas. Vous préférez répéter simplement et inlassablement que vous ne comprenez pas où est le bluff. Je vous donne un conseil civique, détournez-vous de ce fil, cela vous évitera d’exposer en public que vous pédalez dans la choucroute. On ne réveille pas quelqu’un qui fait semblant de dormir.
  23. Même au sujet de Voltaire on colporte n'importe quoi, que dire du reste, sur l'Inde! Cela ne vaut même pas une réplique tant l'ignorance est épaisse. Pourquoi ne lisez-vous pas -et vous en êtes fier!- au lieu de raconter des sornettes! Bref, voici qqch à vous mettre sous la dent, mon pauvre! comme dirait ma belle-mère.
  24. C'est pas grave, laissez tomber. Et ne inquiétez pas, ils sont une multitude comme vous. Je me demande même parfois, si je vis sur la même planète que vous. Pas de souci, votre compréhension des choses est la norme.
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