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Promethee_Hades

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Tout ce qui a été posté par Promethee_Hades

  1. Bonjour Sirielle, bisous Je le vois comme une chose de dépendant pas de moi, que je ne peux qu'accepter, ou le vouloir j'ai une approche stoïcienne.
  2. Bonjour Léna Postrof, poigne de mains. Participatif et collaboratif.
  3. Oui oui c'est ça bien profond, très profond
  4. Bien là tu vas pas faire plaisir à ma femme, qui rédige depuis des années des article dans cette encyclopédie, ou en corrige, en général elle obtiens l'excellence. Mais tu as raison aussi, tout n'est pas si fiable que ça. Les liens que je t'ai mis , ne viennent pas de Wikipédia. Pour une fois que je le fais pas. De plus on peut connaître les auteurs et les références de ceux qui ont conçus les articles, suffit de faire une recherche pour voir leur légitimité ou leur autorité dans le sujet. Si je tombe sur des agréger par ce que avec le net, c'est facile. Ce sont pas en général, des branques.
  5. Pas si simple, c'est même assez complexe. Le genre humain n'est pas du tout simple, il répond à des règles élémentaires, mais il y en a un certain nombres qui fait que ça fait une explosion de combinaison en fait n! . Pour 5 ça t'en fait 120 cas, pour 6 ça fait 720 pour 7 ça fait 5040 comme il y en a un peut plus d'une centaines , ça te fait plus que l'humanité actuelle. Donc pas si simple, tu sais les math ça aide beaucoup en amour, surtout pour comprendre.
  6. Après dans le jeu de la séduction, il y a l'allumeuse et l'allumeur, et les vraiment bon ça allume très fort.
  7. La différence entre Don Juan et Casanova, c'est donc cela: l'un fait mal, l'autre non? Don Juan imprime sur le corps et l'âme de la femme le sceau d'une blessure inguérissable. Casanova, lui, fait en sorte que le manque soit colmaté. Par exemple, il trouve un époux à la femme qu'il quitte ou bien il donne rendez-vous à celle-ci dans une autre ville, sous un autre nom... Surtout, il y a chez lui une vraie réflexion sur les stratégies du désir sexuel. Il ne penche jamais du côté du raffinement dans l'abstraction: Casanova ne s'éloigne jamais de ce que sait son corps. Il est seul de son espèce à réellement vouer son existence à une expérience du plaisir. C'est une grande différence avec Montaigne de ce point de vue, qui reste très discret sur ce sujet. Où est l'érotisme chez lui? Source: https://www.lexpress.fr/informations/ne-remettons-pas-le-plaisir-a-plus-tard_629803.html 1]-Le célèbre Don Juan: a) Le mythe de Don Juan: Don Juan est avant tout un mythe, il a été crée par Tirso deMolina en 1630 en Espagne, puis fut repris par Molière, Mozart et Da Ponte ainsi que Lenau. Don Juan recherche et vit dans la jouissance de l'instant présent et le plaisir, en s'opposant aux contraintes et aux règles sociales, morales et religieuses, ainsi qu'en ignorant volontairement autrui. Il est donc à la fois jouisseur et cynique, également égoïste et destructeur. b) Don Juan un libertinde pensées: Nous avons étudié en classe différentes versions de Don Juan qui reprennent les mêmes thèmes, comme celui du défi morale, religieux, par rapport à l'autorité et à la société, mais il y a aussi le fait que Don Juan est considéré comme un antisocial puisqu'il s'oppose à la vie social, au respect de l'autre, à la charité chrétienne ou encore la place des personnes dans la société.L'évolution du mythe permet d'intégrer des valeurs disparut comme chez Molière avec les valeurs chevaleresques. Mais cette évolution a permis à certains auteur d'accentuer la révolte de Don Juan comme chez Lenau ou il devient blasphémateur et hérétique. c) La débauche libertine des moeurs de Don Juan: Don Juan est un être complexe qui lie libertinage de pensées et de moeurs, en effet dans lesdifférentes pièces Don Juan se livre à un combat contre la religion; maussi à un concours de luxure, il manipule les femmes afin de les déshonnorer, il vit Carpe Diem pour le plaisir sensuel, il met les principes religieux en doute de par ses actes et il refuse de se repentir. Il manipule aussi bien les hommes puisqu'il courtise les femmes sous leurs yeux, ou bien il les pousse à se libérer comme chezlenau lorsqu'il vient avec les prostituées au monastère. Il instaure dans la société la violence verbale et parfois physique, avec les menaces. Il remt en question l'opposition et la séparation entre féminin et masculin pour pronner l'égalité des deux sexes ou encore utiliser l'acte sexuel contre le mariage, contre la contrainte. Les abus de séduction ou l'utilisation du pouvoir de par sa position social montre bien que Don Juan s'oppose à la société grâce à ses actes. Source : http://www.etudier.com/dissertations/Dom-Juan-Et-Giacomo-Casanova/545811.html Sans compter toute les études démontrant l'impuissance sexuel de Don Juan. Mais bon si ça fait plaisir à certain de s'identifier à lui à le prendre pour modèle, nul ne va interdire à une personne de se faire du bien. Mais les autres peuvent aussi rigoler.
  8. Oh tu peux garder pour toi ce que tu pense qu'elle est merveilleuse, qu'elle te fait rêver, que toute sa féminité t’émeut, quand tu le garde pour toi chacun sait ici qu'il en est ainsi.
  9. Bonjour Querida, bisous C'est pas si simple quand même, il y a toujours eu des hommes inconscients égoïste, odieux, je ne le conteste pas. Mais si il y a des hommes comme ça, tu as autant de femmes dans le même style. De plus on ne peut juger, comme comparer une époque avec la vue de la notre. Les sociétés sont différentes,les modes de vies, comme les survie tout autant. Tu parles du XVIIIe siécle, oui oui, c'est vrai ça le XVIIIe mais tu oublie aussi toutes les filles de la paysannerie, qui se faisaient mettre volontairement enceinte par le premier venu, pour pouvoir faire la nourrice auprès des bourgeois des grandes villes, ça gagnait alors très bien sa vie, logé, nourri. Et l'argent qu'elle gagnaient c'était pour refaire la maison des parents qu'elle allaient avoir en héritage. Huit enfant sur dix étaient à l'abandon devant les églises, libertinage, oui oui surtout dans la noblesse, pas dans le reste de la population sauf à la révolution, et juste après la terreur. Je te signale aussi qu'il était fréquent dans ses époques ancienne de racheter la faute. J'ai été éduqué ainsi et c'est pas si vieux. Tu engrosses une fille tu l'aime tant mieux tu l'aime pas tant pis fallait réfléchir avant mais tu l'épouse. J'ai eu combien d'amis à qui s'est arrivé, il trouve une fille sympa, et la fille est enceinte donc l'épouse, manque de pot pour eux se sont fait piéger. Dans les années 50 et 70 combien de filles pour fuir leur milieu familial étouffant se livraient à pareille pratique. D'autres c'était pour avoir un bon parti, ne serais ce qu'un petit fonctionnaire, un fils de commerçant ou un qui pouvait promettre un avenir. J'ai eu à subir, des perfidie féminine, je connais j'ai donné, tu as la fille qui te dis je prends la pilule, oui c'est ça, mon œil, celle qui te trou les capotes avec une aiguille, manque de pot pour elle tu en prends une histoire de déconner tu la gonfle et on se rends compte qu'il y a une fuite, curieux ça. Du coup bien avant tu les prends systématiquement une dans la salle de bain sans qu'elle soit là. Bien se soir j'ai la migraine et je me branle devant elle avec ma speudo migraine. Comme je suis galant je lui fait quelque cunnilingus. Mais mon sperme hors de question qu'elle le récupère, et pour avoir enfin la paix, pour pas être inquiet avec quel tour de con elle va me faire, la stérilisation c'est ce que j'ai fait. Alors la fautes aux mecs, c'est ça tu as raison mais c'est très bien partagé entre nous.
  10. Je m'en souviens et en plus ça avait mené à un certain crash entre nous, Swam contre les autres. De ne pas partager l'avis de Swam sur ces personnage il l'avait pas du tout apprécié. C'était l'année dernière au mois de mai je crois, mais ma mémoire n'est plus trop fiable. Sinon je serai pas là, mais à étudier.
  11. Bonjour Swam, poigne de mains Nous en avons tous parlé avant dans un autre forum que tu avais initié de Casanova, et de Don Juan, Léna Postrof n'était pas là, nous t'avons fourni alors des éléments te démontrant que tu n'avais pas raison sur Don Juan, que tu te trompait lourdement sur lui. Yokkie ne vise rien pour te discréditer elle ne partage pas ton avis, tu as le tient les autres peuvent avoir le leur aussi surtout quand il repose sur des études psychologique, comme littéraire, sérieuses. En ce qui concerne Rocco , c'est pas un Casanova moderne très loin de là, c'est un tout autre cas. Quand à ce qu'il dit des femmes, oui oui, enfin il en a dit, beaucoup, et ce qu'il a dit est des plus limité, comme contradictoire. La carrière cinématographique de cet homme fut par ce qu'il avait fréquenté une boite libertine, le 51 au 51 rue Quinquempois à Paris, a l'époque c'était un personnage très falot, mais il s'était fait remarqué par sa morphologie dans cet établissement, la patronne Denise, lui a proposé alors de le présenter à des producteur de films porno, par ce qu'il était bien monté, qu'il n'avait alors pas besoin d'injection de testostérone comme beaucoup trop de ces acteurs qui sont bien jeune pour la plupart.
  12. Bisous Morfou Ouai surtout que la zonzon entre femme pour ce genre d'histoire c'est very hard, entre femme c'est pire que pour un pointeur entre hommes. Et comme on dit si bien les femmes sont meilleures ou pire que les hommes, elle va être à la fête, enfin si elle est chopé, ça va être sa fête. Je vais te dire, que je la plains pas, je sais pas pourquoi, mais j'y arrive pas.
  13. Entre ta réponse à ce que dit Swam, le regard, le café, ça m'a rappeler un souvenir , enfin un souvenir quand j'y repense il m'est arrivé pas mal de rencontre du même style. Déjà j'ai invité personne, ensuite c'est toujours pour me détendre, et mes idées sont tout ailleurs que pour la rencontre, mais alors vraiment ailleurs, dans mon imaginaire créatif, et Dieu seul sait à quel point il fut inépuisable. C'est un peu avant 70, je suis dans Paris place de l'Odéon, il fait chaud j'ai soif, je m'assoie à la terrasse d'un café, le Procop si j'ai encore bonne mémoire, le garçon vient je lui commande un café serré pour la gourmandise, et un sweps par ce que j'ai soif. A coté de moi il y a des gens mais je m'en cogne et j'ai mon esprit occuper à un montage électronique. Je suis servi mon café, mon sweps, et je vois de l'autre coté du boulevard Saint Germain une scène idiote, je m'en rappelle plus, et là je suis pris par le rire, et je part dans mon imaginaire à inventer toute sorte de gags découlant de ce que je venais de voir, là le fou rire me prends, le rire qui fait mal au ventre, celui qui vous colle une barre d'acier, et ou l'envie de pisser vous gagne, je me lève cours aux toilettes en rigolant revient des toilettes toujours en rigolant, l'imagination est fertile. Prend mon verre, ou en rigolant je m'étouffe. La dessus une fille s'adresse à moi, mais je l'ai pas remarqué au début, et me demande ce qui me fait rire, alors je lui explique tout les délires qui me sont passé dans le crane, et là bien les deux filles qui étaient à coté de moi ce mettent à rigoler, de tout ce que j'ai pu inventer. Elles me trouve très imaginatif, me disent qu'avec moi on ne doit pas s'ennuyer, la conversation s'entame c'était sympas, nous avons parler psycho, médecine, d'histoire, de littérature, enfin de plein de sujets, je les ai fait se marrer, nous avons été se ballader jusqu'à Saint Germain l'Auxerois, là une petite faim, je les ai invité au restau ou on s'en ai mis plein la panse. Je les raccompagne elle m'ont demandé mon phone. Je rentre chez moi coup de fil, deux jours après j'étais devenu le petit ami de l'une d'elle , j'y ai rien compris. De toute façon j'y comprends jamais rien. L'amour me tombe dessus comme la vérole sur le pauvre monde. La dernière fois que j'ai connu un truc peu ordinaire dans un restau, c'est avec ma femme. Je suis très amoureux, et autant démonstratif. Donc je l'embrasse,encore et encore et puis encore, là dessus une fille s'adresse à nous en nous demandant de nous prendre en photo, par ce que pour elle nous sommes un idéal. Je vois pas en quoi, les gens ont de drôles d'idées parfois, et la dessus nous prends en photos mais elle est avec des copains, et l'un deux est journaliste de presse qui lui veut nous faire une série de photos en quelque minutes nous avons sympathiser, j'ai fait le guignol on s'est tous super marré. Tof de la dernière histoire.
  14. Oh j'ai comme une impression de connaître cette personne, quand je lis que la haine épuise, je partage tout a fait en plus je trouve que c'est idiot. A part ce petit détails je vois quand même en dehors des mots, que nous sommes d'accord.
  15. Ou la j'ai comme une idée, mais alors comme une idée mais vraiment une idée mine de rien, que l'on apprécie beaucoup. Quoique quand je me plante alors là je me plante bien
  16. Voilààààààààààààààààà
  17. C'est pour ça que le gibet de Montfaucon était gardé nuit et jour, tant pour la mandragore que la main de gloire.
  18. Je sais pas , pour les gorilles mais les bouc je peux t'assurer que ça marche, au début tu les vois toute qui disent oh mon dieu ce que ça pue, oui oui, mais ce qu'elles ignore entre les cornes du bouc il y a une glande et que celle ci sert dans la parfumerie, comme fixant dans les parfum, elles s'en mêttent toute sur le corps du truc qui pue, et ça leur donne envie aussi. Va comprendre l'espèce humaine parfois elle est déroutante.
  19. Bien et les pendu ? Souhaiterai tu que Swam se pende à ton cou pour constater le fait ?
  20. Bonjour Swam, pogne de mains. Dans ce cas là, qui ne m'est jamais arrivé, mais j'ai eu des désirs sexuel intense, donc je connais , je me tape plusieurs manche avant pour garder tout mon contrôle. Mais alors une chose hein une chose, faut pas m'amener au zoo voir les fauve, par ce que là c'est retenez moi, coquin de sort retenez moi, je vais faire un malheur, retenez moi je vais faire un gros malheur. J'avais une maîtresse aussi folle que moi qui avait remarqué, et question sensualité fallait surtout pas lui en promettre, que les fauves c'était un super aphrodisiaque pour moi. Alors régulièrement on allait voir les fauves.
  21. Je me souviens en 1964 je suis dans le métro parisien, Nation Etoile par Denfert, je rentre dans le tunel après le passage de la Seine, je mate par la fenêtre les pub Dubonnet ( apéritif ) quand je me prends une grande baffe dans la tronche, c'était une femme de la quarantaine bien tassée qui s'imaginait que je la matait elle a vu en moi un regard concupicent. Je vous jure il y en a qui prennent des vessies de porc pour des lanternes chinoises. Après histoire regard ça m'a toujours fait rire, chez moi si je regardait on me sortait ne me regarde pas tu me fais peur. !!!
  22. Surtout comme Don Juan te proposai le mariage, merdum c'est vrai qu'il sautai pas le mec, mais bon
  23. Bonjour Yokkie, bisous Si tu savais j'en ai connu fallait pas les amener à la chevrerie, par ce que là. Belzebuth le bouc était dans l'enclos il craignaient rien, et fallait pas tourner le dos, par ce que la première chèvre c'était bon.
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