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azed1967

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  1. on peut critiquer une religion islam compris, ... le problème est l'islam politique et jihadiste . les têtes pensantes de ces deux mouvements veulent mettre sur le même antisémitisme et islamophobie. ils vont mêmes prendre comme bouclier humain les communautés musulmanes d'occident afin d'aboutir à un génocide du type shoah pour les mettre sur le même pied que les juifs, tout un programme. dans le début des années deux mille c'était plus flagrant
  2. azed1967

    Science et religion

    on est dans un hologramme ou du moins au départ. de plus il y aurait 10 expaosant 500 univers et cela à cette heure azctuelle. pour ma part on se situe dans un jeu et plusieurs jeux. avec des étapes, la mort en est une. si c'est vrai alors il y a un ou des créateurs. je n'ai rien contre les athés loin de là, leurs point de vue est intéressant. mais j'ai l emien qu'il faut tout autant respecter. bonne soirée
  3. azed1967

    Science et religion

    moi j'ao son bouquin sur les trous blancs.
  4. azed1967

    Science et religion

    les plus éminents spécialistes sur terre sont d'accords. les multivers et autres trou de vers ou encore cet hologramme sont bien réels. nous sommes bel et bien dans un hologramme. et c'est bien artyificiel. qu'en penser ? ça chacun pour sa gueule.
  5. azed1967

    Science et religion

    désolé ça te dépasse.. noux ne serons JAMAIS d'accord
  6. azed1967

    Science et religion

    en fait, nous somme dans un jeu, ... un hologrammre avec des stades lcomme le dit l'adage du musée de la musique de Bruxelles "les esprits du jeu sont les maitres ! " bon week end ! " yes we can't "
  7. azed1967

    Science et religion

    En fait, ils vont jusqu’à même dire que les preuves d’un univers comme un hologramme sont aussi nombreuses que l’explication traditionnelle sur l’inflation cosmique. https://actualite.housseniawriting.com/science/2017/01/31/soyons-prudent-une-preuve-que-lunivers-est-un-hologramme/20400/
  8. azed1967

    Science et religion

    si l'univers est un hologramme c'est que c'est artificiel.
  9. ismael est descendant de mathusalem. j'en suis un et il est né avant issac. ne faites pas semblant de ne pas comprendre
  10. mathu salem est aussi l'ancêtre des ismaeilite. dont fait parti mohamed par exemple.
  11. des immigrés comme la majorité des américains
  12. je suis sur vista et safari comme navigateur. c'est obsolète pour ce genre d'image au nord ud congo il y a des musulmans qui y étaient bien avant les belges combie d'occidentaux dans la péninsule arabique ?
  13. je ne sais pas visionner les messages cahés. dséolé pas vu que c'était de l'humour de toute façon je ne pense pas qu'en 54 il y avait un astronaute dans l'espace bonne journée !
  14. non ! c'est une oeuvre d'art belge qui a été sur la lune en 54 Il y a 25 ans, Dirk Frimout devenait le premier Belge à voyager dans l'espace https://www.rtbf.be/info/societe/detail_il-y-a-25-ans-dirk-frimout-devenait-le-premier-belge-a-voyager-dans-l-espace?id=9562986
  15. ils pourraient facilement le faire ! ils en ont plus que les moyens. l'arabie a été dans l'espace bien avant les belges
  16. tu crois qu'il n'y a que des assistés dans le monde musulman ?? pas d'ingénieurs, architecte ,...
  17. l'arabie a 60% de son pétrole et les usa 40%, l'amarco(américan arabian company). et ils ont tout ce que tu dis qu'ils n'ont pas. Installations de transport et de traitement[modifier le code] La manipulation, le transport et le traitement des matières pétrolières requiert un réseau complexe d'installations réparties dans tout l'Est arabique et reliées entre elles par plus de 21 000 km d'oléoducs. Chacune des 60 usines de séparation gaz-pétrole (Gas-oil separator plants ou GOSPs) dessert plusieurs puits dans un rayon d'action considérable, par l'intermédiaire d'une maille dense d'oléoducs de jonction, et embrase le ciel nu de ses cheminées de gaz incandescent. Les complexes stabilisateurs de Abqaiq et Juaymah adoucissent des flux de brut acide tandis qu'ailleurs les usines de traitement des gaz naturels produisent propane, butane et gaz de ville (méthane). À Ras Tanura, une raffinerie géante d'une capacité de 530 000 barils par jour, ouverte en 1941 et agrandie constamment depuis, traite une partie du brut avant son expédition. Ici opèrent des usines spécialisées dans les produits dérivés du pétrole - comme dans la ville nouvelle de Jubayl - alors que là, le long des côtes, de Ras Tanura à Juaymah en passant par Yanbu, s'étendent de vastes terminaux d'exportation. De grandes raffineries ont également été construites à Jubayl (280 000 barils par jour), à Yanbu (250 000 barils par jour pour l'export et 170 000 barils par jour réservés à la consommation domestique). Les raffineries de Riyad (134 000 barils par jour), de Jiddah (95 000 barils par jour), Rabigh (332 000 barils par jour) et de Khafji (30 000 barils par jour) portent à 8 le nombre total de raffineries en Arabie saoudite avec une capacité totale de 1,82 million de barils par jour. Le long oléoduc trans-arabe (Tapline) ouvert en1951, nécessitant des réparations constantes, perdit toute rentabilité durant les années 1970 et devint peu à peu inexploitable ; il fut définitivement fermé en1990. Néanmoins, les Saoudiens n'abandonnèrent jamais l'idée d'une issue à l'Ouest, cette fois non pas pour les exportations normales, mais à des fins stratégiques, le détroit d'Ormuz partagé entre Omanet l'Iran étant un lieu de passage dangereux en cas de conflit entre États du Golfe et la navigation dans le Golfe présentant de réels dangers depuis laguerre Iran-Irak. Ces considérations stratégiques ont conduit durant les années 1980 à la construction, au prix de plusieurs milliards de dollars d'investissement, de trois vastes oléoducs joignant le port de Yanbuaux champs pétrolifères de l'Est : l'oléoduc des gaz naturels liquéfiés (NGL), de 1170 km de long et de 66 à 76 cm de diamètre, reliant l'Est à l'Ouest, fut mis en service en mars 1981 et transporte aujourd'hui 270000 barils par jour (équivalent pétrole) ; quant à l'oléoduc de brut d'un diamètre de 122 cm ouvert en juin 1981, ainsi que la voie d'évitement de 142 cm de diamètre qui lui fut adjointe en 1987, ils s'étendent tous deux sur 1 200 km de long. L'adjonction de pompes hydrauliques et l'expansion des capacités de stockage à chaque extrémité de ce système de transport du brut lui confèrent aujourd'hui une capacité de l'ordre de 5 millions de barils par jour - dix fois le débit de la Tapline et une capacité d'absorption de la moitié de la production de l'Aramco. Ces audacieux systèmes d'acheminement qui traversent la péninsule, nouveaux transsibériens de l'énergie, dotent l'Arabie saoudite d'une route domestique totalement sure ; ils l'affranchissent en grande partie des menaces de blocus. Les Saoudites restent néanmoins sujets à une interdiction de leurs exportations depuis Yanbu si les deux détroits (Canal de Suez et Chatt-el-Arab) de la mer Rouge leur sont interdits. https://fr.wikipedia.org/wiki/Industrie_pétrolière_de_l'Arabie_saoudite
  18. tout est détaillé dans cet article Comment et pourquoi les États-Unis ont créé l’État islamique… par Résistance (son site) mardi 23 septembre 2014 La progression spectaculaire et jusque-là incoercible de l’État islamique a de nouveau placé l’Irak sous le feu des projecteurs. Si les médias sont prolixes pour décrire les atrocités du prétendu califat, ils le sont beaucoup moins lorsqu’il s’agit de dire quelle est son origine et qui sont exactement ceux qui s’en réclament. L’État islamique ne surgit pourtant pas de nulle part. Il est le fruit de la politique impérialiste étasunienne au Moyen-Orient dont les racines remontent au chaos irakien post-Saddam Hussein et au récent conflit syrien. Pour bien comprendre son rôle exact, il convient d’analyser brièvement la politique américaine dans le monde arabe dans les trente dernières années. L’islamisme a été au cours de cette période l’allié objectif de l’Oncle Sam au Moyen-Orient. Il est aujourd’hui le prétexte qui permet aux États-Unis d’intervenir dans les pays arabes, soit pour défendre les « bons musulmans » dans leur quête de liberté, soit pour combattre les « mauvais » qui menacent la sécurité de la planète. Pendant la Guerre froide, l’islam conservateur était l’allié des États-Unis. Il permettait à ces derniers de contenir l’expansion du communisme et l’influence soviétique dans le monde arabe. Une révolution éclata le 27 avril 1978 en Afghanistan, avec pour résultat l’arrivée au pouvoir du Parti populaire démocratique d’Afghanistan. La proclamation de la République démocratique d’Afghanistan lui fut concomitante. Les tentatives faites par les dirigeants du pays de mettre en œuvre de nouvelles réformes qui auraient permis de surmonter le retard structurel du pays se heurtèrent rapidement à une résistance acharnée de la part de l’opposition islamique. Une guerre civile éclata. Fin 1979, l’armée soviétique intervint pour soutenir le régime progressiste en place. La CIA s’appuya alors sur les groupes islamistes, utilisant l’islam radical pour unir les musulmans contre les Soviétiques. On estime que 3,5 milliards de dollars ont été investis sous l’administration Reagan pendant la guerre d’Afghanistan. Après le retrait russe en 1989, les États-Unis ont cessé de fournir des armes sans toutefois rompre les liens avec les moudjahidines afghans. Ils ont ainsi maintenu entre 1994 et 1996 des relations avec les talibans, leur fournissant cette fois-ci un soutien politique par le biais de l’Arabie saoudite et du Pakistan. L’administration Clinton espérait secrètement pouvoir créer un front anti-iranien et anti-chiite pour restreindre l’influence de l’Iran dans la région. Al-Qaïda est né dans ce contexte. En 1993, le quotidien britannique The Independent publiait un entretien avec Oussama Ben Laden, lequel était censé mettre son armée sur la route de la paix (sic). Cette stratégie a d’ailleurs été également utilisée sous la présidence Clinton dans les années quatre-vingt-dix, lorsque la KFOR, cette force multinationale mise en œuvre par l’OTAN, intervint aux côtés des narcotrafiquants de l’UCK pour instaurer la domination de l’alliance atlantique sur les Balkans et installer une base militaire étasunienne au Kosovo. Mais un changement radical s’opère sous l’ère Bush : complices dans les attentats du World Trade Center, les amis d’hier deviennent les ennemis d’aujourd’hui. La menace d’un ennemi extérieur, forcément musulman, est alors savamment entretenue par de nombreux médias et par la propagande étasunienne. La menace terroriste constitue concomitamment la pierre angulaire de la doctrine militaire des États-Unis et de l’OTAN. Bien qu’il n’y ait aucune preuve que l’Irak soit de quelque manière que ce soit derrière les attentats du 11 Septembre, les soi-disant « armes de destruction massive » censées être présentes dans le pays tiendront lieu de prétexte pour obtenir une résolution au conseil de sécurité de l’ONU en faveur d’une intervention militaire. Ironie de l’histoire, l’Irak baathiste et laïc allait ainsi être balayé au nom de la lutte contre l’islamisme. http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/comment-et-pourquoi-les-etats-unis-157108
  19. non c'est une création made in usa et tu le sais très bien. ben laden n'est pas tombé du ciel. lis l'article que j'ai mis au dessus
  20. therèsa may le dit elle même. Attentats au Royaume-Uni : "Londres a abrité des théoriciens du jihad et de la radicalité de l'islam" Dernière modification : 05/06/2017 Alors que le Royaume-Uni a subi trois attentats en trois mois, Theresa May a admis que le gouvernement avait sans doute un peu trop laissé prospérer le radicalisme islamiste au nom de la liberté d'expression. "Enough is enough" ("Trop, c'est trop"). Cette petite phrase, prononcée par Theresa May au lendemain de l’attentat du London Bridge qui a fait sept morts et 48 blessés, est loin d’être un simple aveu d’échec face à un terrorisme qui a endeuillé trois fois la Grande-Bretagne ces trois derniers mois. Car au-delà de ce constat implacable, la chef du gouvernement britannique a fait un véritable mea culpa. Dans sa quête de construction d’une société multiculturaliste idéale, le Royaume-Uni est devenu le terrain de prédilection du radicalisme islamiste. "Il n’y a pas de fumée sans feu. La Grande-Bretagne est quand même le pays, la ville de Londres en particulier, où l’islamisme moderne, la radicalité de l’islam s’est développée dans les années 1970-1980, analyse pour France 24 Alexandre Vautravers, professeur de relations internationales à l’université de Genève. À trop jouer avec le feu, on se rend compte que l’on peut se brûler. Malheureusement aujourd’hui, le gouvernement britannique, qui s’est beaucoup intéressé à ces questions et a abrité des théoriciens du jihad et de la radicalité de l’islam, se rend compte qu’il est très difficile de remettre le couvercle sur la boîte." Dans les années 1990 et jusqu'au début des années 2000, le Royaume-Uni s’est dressé comme héraut de la liberté d’expression en accueillant sur son sol de nombreux militants islamistes qui fuyaient les dictatures du monde arabe. Cet afflux a même valu à Londres d’être rebaptisée le "Londonistan". Les extrémistes prêchaient en toute liberté leurs discours sans aucune forme de censure. Le 7 juillet 2005, les attentats de Londres qui firent 52 morts, marquent un premier point de rupture avec la politique du respect de la "liberté d’expression". Abou Hamza et Omar Bakri, deux prêcheurs radicaux qui avaient pignon sur rue, sont alors bannis du territoire britannique pour incitation au jihad. Mais d’autres, comme Anjem Choudary, ont rapidement pris la suite. Cet homme d’origine pakistanaise, ainsi devenu le prédicateur le plus connu du Royaume-Uni, a été condamné à dix ans de prison en 2016 pour avoir soutenu l’organisation État islamique et appelé sur Youtube les musulmans britanniques à partir en Syrie. Du communautarisme au séparatisme Avec environ 3,5 millions de musulmans, le Royaume-Uni compte certes moins de pratiquants que la France, mais leur présence se traduit par un communautarisme extrêmement fort. Si les exemples d'intégration réussie sont nombreux, comme en atteste la brillante élection à la mairie de Londres de Sadiq Khan, devenu ainsi le premier maire musulman d'une capitale européenne, d'autres sont plus inquiétants. Certains musulmans, principalement originaires du Pakistan ou du Bangladesh, vivent en vase clos et pratiquent un islam d’un autre âge. Port de la burqa, application de la charia au civil, écoles coraniques, finances islamiques…. En trente ans, le séparatisme identitaire s’est épanoui dans des villes comme Manchester ou Birmingham, mais aussi des quartiers comme Tower Hamlets à Londres. En 2010, la BBC a révélé qu’une quarantaine d’écoles appartenant au réseau Saudi Students Clubs and Schools in the UK and Ireland, utilisaient des manuels saoudiens qui versaient parfois dans l'antisémitisme ou l'homophobie. Dans cet épisode du magazine Panorama, les journalistes avaient trouvé des livres expliquant schéma à l’appui comment amputer un voleur ou exécuter un homosexuel. L’Arabie saoudite avait refusé de reconnaître tout lien avec l’établissement en question, alors même que le bâtiment qui l’abritait appartenait à l’ambassade. Quant au ministre de l’Éducation, il avait botté en touche. "Je ne souhaite pas intervenir dans les décisions du gouvernement saoudien, qui organise son propre système d'éducation, mais je reste persuadé que du matériel pédagogique antisémite, quel qu'il soit, ne peut être utilisé dans les écoles anglaises", avait confié Michael Gove à la BBC. Pour la chercheuse Laetitia Strauch-Bonart, de nombreux Britanniques ne voyaient pas jusqu’à présent ce séparatisme d’un mauvais œil. "Pour eux, il s'agit simplement de l'expression de la volonté de certains musulmans attachés à leurs traditions, expliquait l’essayiste dans une interview accordée au Figaro lors de l’élection de Sadiq Khan à la mairie de Londres en 2016. Tant qu'ils respectent la loi, pourquoi leur en vouloir ? Pendant longtemps, la mise en garde vis-à-vis d'une supposée trop faible intégration des musulmans est restée l'apanage des conservateurs britanniques les plus traditionalistes." Selon elle, c’est en 2014 que la donne change. Deux séries d’affaires éclaboussent alors la communauté musulmane. "D'abord celle du 'Trojan Horse' en 2014 et 2015, où furent découvertes des tentatives concertées de mettre en œuvre, dans plusieurs écoles de Birmingham, une philosophie et des pratiques islamistes ou salafistes. Pire, on a mis à jour dans les dernières années de nombreux cas d'abus sexuels sur mineurs, perpétrés par des "gangs" dont les membres étaient d'origine musulmane." Laetitia Strauch-Bonart évoque les cas de Rotherham entre 1997 et 2013, où 1 400 jeunes filles ont été violées et cinq hommes d'origine Pakistanaise ont été condamnés. Loin d’être isolée, cette affaire a permis de mettre à jour d’autres cas à Rochdale, Derby, Telford et Oxford, où, entre 2006 et 2012, un groupe de sept hommes a exploité sexuellement 300 mineures. À l’époque, les victimes n’avaient pas été prises au sérieux par la police car celle-ci, selon la chercheuse, craignait d’être taxée de racisme. La ministre de l’Intérieur, une certaine Theresa May, avait alors déploré que "le politiquement correct institutionnalisé et la peur d’être taxé de racisme aient contribué à couvrir ces crimes pendant de si longues années". Des affaires mises sous le tapis au nom du politiquement correct La deuxième affaire concerne le sulfureux Lutfur Rahman, ancien maire de Tower Hamlets, un quartier de l’est de Londres. Ce Britannique d'origine bangladaise a été destitué en 2015 à la suite d’une enquête ayant révélé qu'il avait acheté les voix de ses coreligionnaires et fait appel à la pègre pour intimider les électeurs. Déjà exclu du Parti travailliste en raison de ses liens avec des groupes islamistes, il avait été élu sous l’étiquette d’indépendant, notamment grâce à l’aide financière du Forum islamique de l’Europe (Islamic Forum of Europe, IFE), organisation fondamentaliste souhaitant la création d’un État islamique au Royaume-Uni. À la suite de son éviction, un rapport commandité par le gouvernement avait déploré que les autorités locales, la police en particulier, n’aient pas agi plus tôt de crainte d’être accusées d’islamophobie. Le 20 juillet 2015, le Premier ministre David Cameron avait admis être dépassé par la situation. "Nous devons faire face à une vérité tragique : il y a des gens qui sont nés, qui ont grandi dans ce pays, et qui ne se sentent pas vraiment de liens avec la Grande-Bretagne", avait admis le chef du gouvernement, en promettant des mesures contre la "ségrégation" dans les établissements scolaires et le logement. "Il n’est pas possible que des gens passent toute leur vie sans aucun contact avec des personnes d’autres religions." La prise de conscience des conservateurs britanniques n’est donc pas nouvelle. Si Theresa May a affirmé que les autorités ne pouvaient pas "prétendre que le choses peuvent continuer ainsi", la lutte contre l’idéologie islamiste a de belles années devant elle. Pour Alexandre Vautravers, la défaite, voire la disparition de l’organisation État islamique (EI), ne résoudra pas le problème. Bien au contraire. "Si ce n’est pas l’organisation État islamique, ce sera une autre organisation. On est en train de voir des jihadistes au Moyen-Orient quitter les rangs de l’EI pour retourner chez Al-Qaïda. On pourrait imaginer une autre organisation qui vienne prendre le relai. Ce n’est pas essentiel, insiste l’expert en sécurité. Il faut se rendre compte qu’il y a un lien établi, avéré, entre la situation au Moyen-Orient et la diaspora, certaines communautés en Occident, plus particulièrement en Grande-Bretagne. Theresa May a d’ailleurs fait un discours extrêmement lucide et ferme. La Grande-Bretagne est le pays européen qui a ouvertement engagé ses forces pour neutraliser les jihadistes britanniques en Syrie." Reste que cette politique a d'ores et déjà montré ses limites : elle ne protège pas le Royaume-Uni des terroristes britanniques, qui, à defaut de pouvoir aller combattre en Syrie ou en Irak, décident de commettre des attentats sur place. http://www.france24.com/fr/20170604-attentat-londres-terrorisme-tolerance-islamisme-salafisme-communautarisme-islam
  21. L’expulsion d'Abou Hamza marque la fin du "Londonistan" Abou Hamza, un imam radical basé à Londres et condamné pour terrorisme, a été extradé vers les Etats-Unis. http://www.lemonde.fr/europe/article/2012/10/06/l-expulsion-qui-marque-la-fin-du-londonistan_1771148_3214.html et des comme celui il y en a un bon paquet en europe,ils avaient les mains libres avant le 11/9
  22. la majorité écrasante des musulmans sont contre le terrorisme, et le terrorisme a aussi frappée du maroc jusqu'en indonésie. les dirigeants musulmans et occidentaux ont favorisés la montée du fanatisme musulmans pour CONTRER les démocrates laics. c'est un fait et ça n'a changé qu'après le 11/9 avant cela ils avaient les mains libres partout ici comme la bas.
  23. on parle terrorisme ! sinon d'où est venu khmeyni avant d'arriver en iran ?? de france ! l'arabie est une terre sainte comme le vatican ou jérusalem et el wahabisme/salafisme c'est ça le vrai cancer. une secte qui est née il y a un peu près deux cents ans.. de très très très bons potes des usa qui eux aussi sont comme les aouds ultra religieux et conservateurs
  24. tu devrais sortir un peu plus de ton quartier, ... toutes les armées musulmanes combattent cette merde. et cette merde a été crée par les usa, je ne vais plus remettre les liens tu les connais
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