azed1967
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vous êtes venus chez nous faut âs s'étonner de ce qui use passe. bon courage !
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l'algérie FRANCAISE ça vous dit quelque chose ??? Nationalité française pour algériens nés avant 1963 Le statut civil des algériens avant 1962 Avant l’indépendance de l’Algérie, tous les algériens possédaient la nationalité française. Toutefois, les statuts juridiques n’étaient pas les mêmes pour tout le monde. La grande majorité de la population bénéficiait du statut civil de droit local et étaient considérés comme des sujets français. Cela signifie qu’ils étaient régis par la loi musulmane tandis que les autres bénéficiaient du statut civil de droit commun. Ce dernier conférait la qualité de citoyen français ce qui avait pour conséquence de rendre applicable, non pas la loi musulmane, mais le code civil. Pour bénéficier du statut de droit commun, il fallait une décision par décret ou par le tribunal de première instance sur base d’une requête formulée par l’intéressé. https://www.pourlesetrangers.fr/nationalite-francaise-pour-algeriens-nes-avant-1963/ bien essayé mais ça ne marche pas avec moi
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et l'alsace et la lorraine aussi ! 1905 : quand l’islam était (déjà) la seconde religion de France Achi Raberh// Partagez —> / L’islam est souvent présenté comme une religion sédentarisée en France à partir des vagues d’immigration issues principalement du Maghreb. Elle aurait été absente du paysage religieux français en 1905 et, de ce fait, des débats entourant l’adoption de la loi de séparation des Églises et de l’État. D’ailleurs, au nom de cette absence, d’aucuns considèrent même comme légitime un aménagement de la loi pour réparer cette injustice[1]. Là où les anciens cultes concordataires bénéficièrent de la propriété des lieux de culte à la suite des inventaires, l’islam doit au contraire acquérir un patrimoine religieux à partir de ses propres fonds. Un examen de la situation coloniale et le déplacement de la focale à la France impériale viennent battre en brèche ce récit et, ce faisant, remettre en cause cette idée d’une loi qui n’aurait que très peu varié depuis sa promulgation et se serait appliquée uniformément, quels que soient les territoires et les cultes concernés. En effet, la France de 1905 comptait non seulement plus de 4,5 millions de musulmans dans ses départements algériens, sans compter bien sûr ceux des colonies de l’Afrique Occidentale Française ou de l’Afrique Équatoriale Française, mais l’islam fut bel et bien évoqué au moment de l’adoption de la loi. De ce point de vue, c’est bien l’Algérie qui présente une triple singularité : elle fut le premier territoire de l’Empire à se voir appliquer la loi ; le seul majoritairement peuplé de musulmans visé par ce dispositif législatif ; et, par conséquent, celui où l’écart entre les principes laïcs et le droit des cultes mis en œuvre fut le plus grand. Les artisans du régime impérial des cultes furent tiraillés entre l’exigence symbolique d’une exportation de la laïcité à l’Empire, la préservation de l’égalité des cultes devant la loi et le maintien de l’assujettissement du culte musulman. Selon les cas, ils oscillèrent entre l’inapplication de la loi là où l’islam était fortement représenté et la contrainte juridique la plus faible et, dans le cas de l’Algérie et de ses trois départements, sa soumission à un régime d’exception en vertu du poids historique de l’administration de l’islam et de la préservation de la domination coloniale. http://www.multitudes.net/1905 -quand-lislam-etait-deja-la-seconde-religion-de-france/
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ça de nouveau c'est votre simple petit avis. la réalité est autre pour les DH Article 18 Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.
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disait il, ... tout en nous racontant qu'il FAUT absolument respecter les valeurs européennes, .. qui sont, ... les droits de l'Homme. et que ces droits stipulent qu'on peut afficher sa croyance dans l'espace publique.
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la loi de compétence universelle existe et elle est bel et bien là à la portée de tout citoyen belge. donc, je ne vois pas où est la bêtise. on a un moyen pacifique de mettre la pression sur le gouvernement israelien sans armes. alors ton avis tu te le garde bien profond
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on pourrait faire quelque chose à notre niveau. saisir la loi de compétence universelle contre israel. nous sommes belges ou français, en belgique seuls les belges peuvent saisir cette loi, car avant tout le monde pouvait le faire, il y a eu des pressions des usa/israel et depuis seuls ceux qui ont belges peuvent saisir cette loi. ça empêchera netanyahu de venir en belgique ou en france. mais sans volonté rien du tout ! et des moyens financiers bien sûr
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il y a bel et bien colonisation de terres palestiniennes c'est le libellé même que les israéliens donnent aux colonies. sinon il y a toujours eu des amer indiens en amérique à quand le retour des européens sur leurs terres ??? pour l'australie idem et la nouvelle zélande
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je sais pour anatole mais je ne perd plus mon temps avec lui ! il hait les musulmans car il vit parmi eux à bruxelles alors que lui même est étranger en belgique (français). toujours la même chanson, ...
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La troisième plus grande ville d’Espagne vote en faveur du boycott d’Israël
azed1967 a répondu à un sujet dans International
pas depuis la nuit des temps, le calendrier juif se termine à l'an 6000. 6000 ans c'est pas la nuit des temps sinon on est juif pas sa mère. donc croyants ou pas, circoncision et mère juive. c'est comme ça chez eux. et c'est bien sur un écrit religieux qu'ils sont venus et rien d'autre -
La troisième plus grande ville d’Espagne vote en faveur du boycott d’Israël
azed1967 a répondu à un sujet dans International
l'irak vient d'avoir des élections démocratique donc change de disque stp sinon, bush, reagan et trump se base sur la bible ! prient lors de réunion. la guerre d'irak, a été comme le dit l"article basé sur un passage de la bible, gog et magog. les israéliens se basent sur la bible pour affirmer que c'est leur pays. et toi tu joue un double jeu, tu soutien israel et en même tu dis que tu es contre les religions. bref, ne t'en déplaise c'est bel et bien le religieux qui mène le monde, ne pas en tenir compte c'est ne rien n'y comprendre -
La troisième plus grande ville d’Espagne vote en faveur du boycott d’Israël
azed1967 a répondu à un sujet dans International
ah bon , ... quand ben jamin netanyahu brandit la thora pour prouver qu'israel est bien juif ça te choque pas. sinon encore un article que je t'ai posté mais qui te passe au dessus de la tête Si l’Université de Lausanne révèle aujourd’hui les explications fournies par Thomas Römer à Jacques Chirac, c’est que ce dernier a quitté l’Elysée. Pour Jocelyn Rochat, ce petit secret d’alcôve de la politique internationale soulève une vaste question : notre inculture religieuse, la méconnaissance des Ecritures, à l’heure où les soubassements religieux sont beaucoup plus déterminants que l’on voudrait bien le croire dans les décisions politiques et militaires. Le religieux n’est pas confiné à la sphère privée, conclut Jocelyn Rochat. Un paramètre à prendre en compte, » sous peine de ne plus rien comprendre à la marche actuelle du monde » . https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-chirac/20070917.RUE1698/un-petit-scoop-sur-bush-chirac-dieu-gog-et-magog.html 21 ième siècle ou pas el religieux détermine le monde que ça te plaise ou non ! -
La troisième plus grande ville d’Espagne vote en faveur du boycott d’Israël
azed1967 a répondu à un sujet dans International
c'est un copier/coller. sinon dans la bible israel était la terre de canan. les hébreux n'en étaient pas originaires. hébreux, veut dire deux choses , heb raï, ceux qui viennent d'au dela de l'euphrate. ou herber qui était un ancêtre d'abraham -
La troisième plus grande ville d’Espagne vote en faveur du boycott d’Israël
azed1967 a répondu à un sujet dans International
non ! ils sont sortis d'égypte puis on été crée israel ! avant cela ce n'était pas leur terre mais la terre de cannan Israël : les discriminations historiques à l’égard des juifs marocains mises à nue Israël s’apprête à ouvrir ses archives sur le traitement réservé aux juifs d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient dans les premières années qui ont suivi la création de l’État en 1948. Une histoire qui pousse la société israélienne à regarder en face le racisme qui la traverse et dont les juifs marocains sont largement victimes. Les archives concernant le traitement réservé par Israël aux juifs d’Afrique du Nord lors de leur installation en Israël dans les années 1950 vont être rendues publiques. La ministre israélienne de la Justice Ayelet Shaked, qui est également à la tête du comité sur les archives de la Knesset, l’a affirmé au journal israélien Haaretz, le 11 mars, quelques jours après la diffusion du documentaire « The Ancestral Sin » (« Le pêché ancestral ») sur la chaîne Reshet 13, qui a fait grand bruit dans le pays. Un mouvement d’ouverture des archives Dans ce film, le réalisateur David Deri – lui-même un Israélien d’origine marocaine – livre une série de témoignages et de documents jusque-là inédits qui « révèlent une méthode, une idéologie et une pratique cruelle » dans la mise en place des politiques de « dispersion de la population » dans les années qui ont suivi la création d’Israël. Différentes institutions, notamment l’Agence Juive, organisme semi-public chargé de l’immigration, auraient eu des comportements discriminants à l’égard des Nord-Africains, et des Marocains en particulier, qui ont longtemps vécu dans des camps de transit où sévissaient malnutrition, insécurité et maladies. Dans la foulée des déclarations de sa ministre de la Justice, le Premier ministre Benyamin Netanyahou a annoncé qu’il comptait numériser et mettre en ligne les archives concernant l’arrivée des juifs d’Afrique du Nord en Israël. Le 21 mars, Haaretz assurait que le cabinet de la Primature commençait à plancher sur une éventuelle levée de fonds pour cette mission. Les Archives de l’État ont de leur côté assuré, le 20 mars, qu’elles commençaient à localiser les documents en question. Et pour faire bonne mesure, elles ont rendu public un premier document, daté de 1957. Le ministre du Travail d’alors remarquait que les logements sociaux bâtis pour permettre aux Nord-Africains et Moyen-Orientaux de quitter les camps de transit avaient été donnés aux « immigrants blancs ». « Du bateau à la zone de développement » Dans un rapport pour l’Association marocaine d’études et de recherches sur les migrations, l’historienne marocaine Hanane Sekkat a documenté la politique gouvernementale israélienne à l’égard de ceux qu’on appelait alors les « Mizrahi », les juifs orientaux, ou Sépharades. Le leitmotiv des autorités est alors clairement édicté : « Du bateau à la zone de développement ». Pendant les années 1950 et 1960, environ 250 000 juifs ont quitté le Maroc pour rejoindre Israël, avec des pics par période – ils seront 80 000 entre 1961 et 1964. Pour le gouvernement israélien d’alors, le but était de « procéder au peuplement de toutes les régions », « d’accélérer la colonisation des zones acquises » en 1948, « d’assurer la sécurité le long des frontières avec les pays arabes » et « d’éviter une concentration sur les zones côtières riches », liste l’historienne. Les populations sont envoyées là où elles seront, selon les critères des autorités israéliennes, les plus utiles à atteindre ces objectifs. « Afin d’exploiter au mieux les régions montagneuses, il est préférable d’y implanter de simples paysans », expose, par exemple, un responsable de l’Agence Juive de l’époque. Émergence du débat L’irruption, aujourd’hui, du débat sur les conditions d’arrivée des juifs Nord-Africains, n’est pas un hasard, selon Perla Cohen, sociologue et historienne chargée de mission auprès du président des communautés juives du Maroc, qui y voit le signe de « l’arrivée de Marocains de deuxième et troisième génération à des postes clés dans l’appareil d’État, l’armée, le Parlement, la recherche et la classe politique ». La récente élection à la tête du Parti travailliste de Avi Gabbay, d’origine marocaine ou encore l’accroissement du nombre de députés issus de familles originaires du Maroc sont autant de signes de cette montée en puissance de cette population. Celle du Shass, parti ultra-orthodoxe et traditionnellement sépharade fondé dans les années 1980, en est un autre. Son président, Aryé Dery, actuel ministre de l’Intérieur, est un natif de Meknès. Selon l’historienne, Benyamin Netanyahou, en difficulté, a aujourd’hui besoin de s’adresser à l’importante communauté juive arabe. « Il ne faut pas oublier que les citoyens d’origine marocaine en Israël sont un peu plus de 800 000. C’est la deuxième communauté, derrière les juifs russes », précise Kamal Hachkar, réalisateur du documentaire Tinghir-Jerusalem, Les échos du Mellah (sorti en 2011), qui retrace le parcours de juifs ayant quitté le village amazigh de Tinghir pour l’État hébreu dans les années 1950. Un racisme tenace « Si ces gens ne se taisent plus, c’est que le racisme à leur égard est ancien, profond et assez massif. Il faut s’imaginer qu’en Israël, « chleuh », le mot qui désigne au Maroc les Amazighs du sud, est utilisé en argot pour dire ‘primitif' ». Le racisme à l’égard des juifs issus d’Afrique du Nord ou du Moyen-Orient n’est pas un fait nouveau en Israël. Dans un article d’Haaretz de 2016, l’historien Shay Hazkani, enseignant à New York, a enquêté sur les différentes formes de discrimination que les soldats sépharades ont subies dans les années 1950 au sein de l’armée. Il assurait ainsi que le Premier ministre d’alors, David Ben Gourion, participait lui-même à diffuser des préjugés sur les juifs du Maroc auprès de la hiérarchie militaire. L’historienne Hanane Sekkat cite elle-aussi de nombreux discours politiques – ou à prétention scientifiques – qui dépeignent les immigrants marocains, massivement relégués aux emplois les plus pénibles, avec un racisme décomplexé. Anciens, les préjugés ont la vie dure : le 13 mars 2018, le maire de la ville de Sderot, Eli Moyal, répondait à l’annonce de la ministre de la Justice par des déclarations racistes visant les Sépharades et les juifs marocains, incapables, selon lui, de bâtir un État moderne et qui auraient fait d’Israël un « royaume merdique » s’ils n’avaient pas été accueillis par des juifs européens. Entre temps, dans les années 1970, de jeunes Israéliens ont donné de la voix contre ce genre de propos. Le cinéaste marocain Kamal Hachkar rappelle l’exemple de Reuven Abergel, natif de Rabat, fondateur des Black Panthers israéliennes, groupe de juifs orientaux qui militait contre les discriminations économiques et culturelles qu’ils subissaient. Selon Hanane Sekkat, l’élite ashkénaze fondatrice de la nation israélienne s’est largement assignée comme mission de « reproduire le modèle occidental en Palestine » et que « l’arrivée en masse des juifs des pays arabes » dans les années 1950, pourtant jugée nécessaire, a très vite fait naître « la crainte de voir le pays perdre de son essence occidentale ». Le précédent yéménite Déjà, en 2016, le Premier ministre Benyamin Netanyahou avait inauguré l’ouverture d’un site Internet contenant des centaines de milliers de pages de documents concernant ce qui est connu en Israël sous le nom de « l’affaire des enfants yéménites ». L’ouverture des archives est venue confirmer que de très nombreux enfants de familles juives arabes, le plus souvent yéménites, avaient disparus entre 1948 et 1954, dans le nouvel état hébreu. Certains auraient été confiés ou vendus à des familles ashkénazes, européennes. En février 2018, le journal The Times of Israël publiait un article sur la décision de la Knesset d’autoriser des familles à demander des exhumations afin de mener des tests génétiques pour retrouver leurs proches. http://www.jeuneafrique.com/547156/societe/israel-les-discriminations-historiques-a-legard-des-juifs-marocains-mises-a-nue/ -
La troisième plus grande ville d’Espagne vote en faveur du boycott d’Israël
azed1967 a répondu à un sujet dans International
non ! pas depuis la nuit des temps et cette terre leur est provisoire. ils n'en sont pas originaires -
oui ! esau et jacob qui deviendra israel sinon, il y a les douze fils d'smail et les douze fils d'israel, ismail est plus ancien.
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Et tout concorde, pour nos deux chercheurs: la chronologie des pharaons, leurs vies, leurs actions, la Bible et l'histoire égyptienne. Abraham (« Ab-Rah-Am », père du dieu Râ et Amon)? C'est Akhénaton lui-même: d'un côté l'Abraham biblique à qui Dieu parle, qui rejette le polythéisme et égorge le bélier en lieu et place de son fils Isaak (le pharaon Semenkharé, en égyptien Saak- Ka-Râ?); de l'autre Akhénaton, qui converse avec Aton, rompt avec les divinités, sacrifie le bélier (Amon). Sarah, c'est la belle Nefertiti, Agar, c'est Kiya, la seconde épouse. Moïse (« Mésés »)? C'est Ramsès Ier, homme de guerre, impulsif. Aaron? C'est Horemheb, général puis pharaon. Joseph? C'est Aï: l'un et l'autre ont été enterrés en « pharaons d'Egypte » et leurs momies ont disparu... https://www.ladepeche.fr/article/2000/11/26/87133-on-a-decouvert-le-message-cache-de-la-bible.html
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oui ! mais les descendants de l'esclave sont bien plus riches que les decendants de sarah, pétrole oblige
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aah mais oui vous avez raison, comme dit le coran "à moi ma religion, à vous la votre". heureusement que c'est pas al continuité des deux premières religion, ... on serait encore avec la peste en europe sans l'apport de l'hygiène du culte musullman en europe. et tant d'autres choses que l'islam a apporté au monde !
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la bile se contredit par contre, il est dit "prend ton fils unique" , or ismael est né avant isaac. donc logiquement c'est ismael. de toute façon si dieu n'avait pas envoyé de brebis, on serait dans autre chose aujourd'hui, ... ces terres sont devenues musulmanes , comme le monastère de sainte catherine en égypte qui est toujours là. comme le mur des lamentation n'a pas été détruit par les musulmans ! ces anciens lieux de cultes sont bien en terre musulmane ne vous en déplaise c'est un fait.
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je l erépète les premiers musulmans comme khadija étaient chrétiens avant de se convertir. des juifs et des chrétiens en arabie sont là bien avant l'arrivée du judaisme ou de la chrétienté en occident. les plus vieux lieux de cultes chrétiens sont en terre musulmanes, les clés du saint sépulcre sont aux mains de musulmans. non ce sont bien deux religions diffèrentes mais avec le même dieu ! mohamed je le répète aussi est descendant d'abraham. pas clovis ou jeanne d'arc. les arabes sont cousins des juifs. brahma et sarasvati en inde
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mohamed descend d'abaraham par ismail. continuité il y a toujours eu en arabie, les premiers musulmans étaient chrétiens
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jésus étant aussi le messie en islam il me semble que votre affirmation est fausse, l'islam reconnait tout les prophète biblique. si l'islam est paien le christianisme n'en parlons même pas, genèse 6.1, "les fils de dieu,..."
