ping

Un peu de courage et ça:

J'ai 5 poussins, j'en veux que 4, j'en poussin vers le crapaud.

Il aurait pu répondre un petit pois.

Deux types dans une voiture sont arrêtés à un feu rouge. - C'est vert, dis le passager. Le conducteur réfléchit et répond : - Une grenouille ?

Un scorpion et une grenouille se rencontre sur la rive d'une rivière. Le scorpion se tient à distance respectable et s'adresse à la grenouille. Scorpion : J'aurais un service à vous demander madame la grenouille. Grenouille : Allez y ça pourrait peut être m'intéresser. Scorpion : Voilà, je dois absolument traverser la rivière car j'ai un rendez-vous important de l'autre coté de la rive et je suis déjà en retard. Donc je me demandais si vous pourriez me prendre sur votre dos pour me faire traverser la rivière, car vous savez que nous les scorpions nous ne savons pas nager. Grenouille : Mais voyons monsieur le scorpion - tout le monde sait bien que la piqûre de votre dard est mortelle et que si je vous prends sur mon dos je risque la mort. Scorpion : Mais voyons madame la grenouille un tel raisonnement n'est pas digne de votre intelligence - si je vous pique je vais moi aussi couler avec vous au fond de la rivière et au risque de me répéter nous les scorpions nous ne savons pas nager. La grenouille se laisse convaincre et prend le scorpion sur son dos et nage vers l'autre rive de la rivière. Rendu au milieu entre les deux rives la grenouille sent le dard du scorpion s'enfoncer dans son dos. Avant de couler elle s'adresse au scorpion Grenouille : Mais pourquoi scorpion m'as tu piqué - ton incapacité à nager vas te condamner à une mort certaine. Scorpion : Tu m'excuseras grenouille mais c'est dans ma nature!

C'est l'histoire d'un papier qui croyait qu'il y avait assez d'eau, mais en fait il avait pas pied.

Mais non, n'aies pas de le pen, fillon loin de cet aeroport à tarmac rond, et volons tout comme eux...

MDR!

- Bonjour, c’est vous l’homme grenouille ? - Côa ? - C’est vous l’homme grenouille ? - Côa ? - C’est vous l’homme grenouille ? - Côa ?

Qui vit loin de la mare voit rarement de têtards. Proverbe qui sert à rien...

"Elle est bonne" ( anguille mets.)

C'te petit pois.... C'est pourtant simple. Tu vas à la mare aux grenouilles, et tu rentres dans l'eau jusqu'aux...genoux ( faut pas exagerer, et de toute façon y-a pas assez d'eau pour que ça rime). Là tu appelles les têtards. S'ils viennent ce sont des mâles. Si elles viennent, ce sont des femelles. Après crapeaux ou grenouilles ça, je dirais qu'on reconnait le crapeau à sa peau, et la grenouille...débrouille toi,

Y-avait une emission politique hier, mais elle etait tard, puis on en a ...mare.

Sinon y- a le crapaud l'Emile-victor qui cherche à rejoindre le crapaud l'nord.

C'est cui qui part le premier. On dit que ce sont les meilleurs...

N'empêche on en apprend de belles sur ce post. Par exemple un crapaud qui fait ça en une journée, ben c'est un ejaculateur précoce...

Ah ah! C'est un point, c'est tout...

Dans de l'eau à 7°c c'est chaud quand même...

C'est normal, c'est le crapaud ingé . Il met du temps à le trouver...

Sinon y-à le crapeau tamoi mais je ne pense pas que vous le connaissiez.

Le tarpet du têtard qui lui ouvre les volets de la perception. Ou alors oui, les petits malins de chercheurs qui se font fournir du cannabis soi-disant pour experience sur ces pov têtards...

Il parait que si tu fais prendre du cannabis à un têtard il y voit mieux. Ils sont forts ces chercheurs, fallait y penser à la faire cette experience... "Les scientifiques ont mené leur expérience sur des têtards, qu’ils ont soumis à des stimuli visuels alors qu’ils étaient exposés à des niveaux élevés de cannabinoïdes. Ils ont alors observé chez les larves une augmentation de l’activité des cellules ganglionnaires de leur rétine. "

Sortie d’un fagot de sarment, Dame vipère, de rouge vêtue, S’en allait, tout serpentant, Faire, de quelque rat son menu, Derrière un buisson brûlé, Fiché dans la lande, comme un plumeau, Dame vipère, fût soudain attirée, Par la voix grave, d’un crapaud … Qui vient se glisser sur mon chemin, Que je n’eûs point convié, à le faire ? C’est moi répondit tremblant, le batracien … Loin de moi, l’idée de vous déplaire Si je n’avais point émis, en me levant Le vœux de goûter, à la chair d’un rongeur, Sache vile bestiole, que d’un seul coup de dent, Je t’aurais fait passer, un bien vilain quart d’heure, N’omet aux alentours, de vanter ta fortune, De dire à tous les autres, que je t’ai épargnée, Il n’est point dans mes us, ni plus dans mes coutumes, Que de laisser en vie, ceux qui m’ont offensés, Je ferais bon usage, du conseil des serpents, Et n’encombrerai plus, les lieux de tes passages, J’irai à l’avenir, visiter d’autres étangs, Et donner de la voix, vers de lointains rivages … Plus tard dans la journée, et l’estomac fort creux, La vipère aperçut, au détour d’un sentier, Un rat, rond et dodu, lissant son poil soyeux, Et qui, pour son repas, semblait, approprié S’approchant de la bête, sans ses sens éveiller, Elle sentit tout à coup, quand elle fut à coté, La cane du rongeur, en ronce de noyer, Démontrant que le rat, était handicapé … L’animal très surpris, en voyant la vipère, Crût son dernier moment, arrivé avec elle, N’ait crainte vieil rongeur, je veux pour ma gamelle, Un mets plus raffiné… Plus jeune, et sans séquelles … Rampant depuis des heures, sous le soleil brûlant, Le serpent regrettait le crapaud, et le rat, Plus une seule proie, plus un être vivant, Pas l’ombre, d’un espoir, pour faire un bon repas … Et puis dans la pénombre, d’une nuit qui naissait, Notre Dame vipère, pensant sa fin, arrivée, Derrière une masure, sous le porche dressé, Vit un chat qui buvait, sa soucoupe de lait, Son sang ne fît qu’un tour, c’était là son salut, Elle rassembla ses forces, fonça vers le félin, Jurant pour l’avenir, qu’elle ne choisirait plus, Entre crapaud et rat, pour faire son festin … Puis se hissant enfin, pour croquer le chaton, Montrant ses deux crochets, préparant son venin, Elle vit un bonhomme, qui tenait un bâton, Et reçut sur la tête, violent coup de gourdin !!! Elle ne fut qu’étourdie, mais on l’écorcha vive, fut jetée dans un puits, pour y agoniser, puis on sécha sa peau, pour en faire une bourse … Moralité : « Qui trop réfléchit au repas qu’il va prendre, et ne se suffit point des mets les plus Modestes, finit par y laisser sa Peau … »

J'allais dire une connerie...