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paparoines

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Tout ce qui a été posté par paparoines

  1. Et si on disait aux gens la vérité ? "La médecine fait plus de malades qu’elle n’en guérit" http://alternativesante.com/gazette/sections/section.asp?NoSection=89&NoArticle=1015 "... DEPUIS une dizaine d’années, la médecine rend malades plus de gens qu’elle n’en guérit. Elle est devenue, de toutes les industries, la plus gaspilleuse, polluante et pathogène. Prétendant rafistoler cas par cas, individu par individu, des populations de plus en plus maladives, elle masque les causes profondes de leurs maladies, qui sont sociales, économiques et culturelles. Prétendant soulager toutes les souffrances et angoisses, elle oublie que, en dernière analyse, les individus sont ravagés dans leur corps et leur psychisme par le mode de vie. La médecine, en les aidant à supporter ce qui les détruit, contribue finalement à cette destruction. Telles sont, brièvement résumées, les thèses centrales du nouveau livre d’Ivan Illich, « Némésis médicale » (1). Plus encore que les précédents il choquera. Car, plus encore que la vitesse, que l’école, que les méga-outils de la méga-industrie, cibles des précédents ouvrages d’Illich, la médecine est une vache sacrée. De tous les instruments de notre normalisation sociale et de notre dépossession de nous- mêmes, la médecine – qui s’attaque aux sources les plus profondes de notre autonomie possible : à notre rapport au corps, à la vie, à la mort – est celui que nous revêtons des plus grands prestiges. Professionnels ou profanes, n’attribuons- nous pas couramment à la médecine l’élévation rapide de l’espérance de vie : vingt ans à l’époque du Christ, vingt- neuf ans en 1750, quarante-cinq ans en 1900, soixante-dix ans aujourd’hui ? N’attribuons-nous pas couramment à Pasteur et à Koch, aux vaccins, à la chimiothérapie et aux antibiotiques la régression des maladies infectieuses et la progression de la longévité ? Ne tenons-nous pas pour évident que l’état de santé d’un peuple dépend du nombre de médecins et de lits d’hôpital dont il dispose, de la quantité de soins et de médicaments qu’il consomme ? Eh bien, tout cela est faux : l’efficacité curative de la médecine est et a toujours été réduite. Il est temps de la remettre à sa place. ...." Je pense qu'il y aurait moins de monde chez le médecin. Non ?
  2. Effectivement, mais c'est vrai quelque soient les personnes qui nous dirigent, tout parties confondus ! Alors c'est ou la solution ?
  3. Il y a en effet un gros problème : "Le vrai problème, c’est que les laboratoires pharmaceutiques se servent de l’assurance maladie comme d’une vache à lait, alors qu’ils sont la branche industrielle la plus profitable au monde, devant les banques et bien devant le pétrole" http://www.amessi.org/Les-laboratoires-pharmaceutiques-se-servent-de-l-assurance-maladie-comme-d-une-vache-a-lait sécurité sociale : "système complexe de racket, de blanchiment et de recyclage de devises entre un producteur (le laboratoire pharmaceutique), un grossiste (le pharmacien), un dealer (le médecin) et un consommateur de drogues (l'assuré), sous la surveillance de deux organisations criminelles nationales (l’Etat et l'Industrie du médicament)." http://remue.net/cont/winckler02.html C'est effectivement une vaste escroquerie :
  4. C'est vrai que tout le monde ne meurt pas du premier coup :smile2:
  5. Si les gens connaissaient le danger de ces endroits ! Je pense qu'il y aurait beaucoup, beaucoup moins de monde ! : http://dangerhopital.sosblog.fr C'est une catastrophe ! Il y a bien longtemps que déjà un médecin écrivait : «Temples du malheur» C'est ainsi que le docteur Mendelsohn décrit les hôpitaux après y avoir passé les dernières vingt-cinq années de sa vie: «Un hôpital, c'est comme la guerre; vous devriez rester en dehors d'elle. Et si vous y entrez, tâchez d'avoir le maximum d'alliés et d'en sortir le plus rapidement possible.» Pour la somme d'argent que coûte en moyenne un séjour à l'hôpital, vous pouvez passer la même période de temps dans n'importe quel lieu de séjour dans le monde, y compris les frais de transport. C'est parce que l'hôpital est le temple de l'Église de la médecine moderne qu'il est l'un des endroits les plus dangereux au monde.» Un autre article n'est pas mal sur le sujet : L’hôpital aussi dangereux que l’Afghanistan ! "Des chercheurs anglais ont constaté que le risque pour un patient hospitalisé en Grande-Bretagne de mourir d’un accident lié aux soins (intoxication aux médicaments, incident chirurgical, maladie nosocomiale) est aussi élevé que le risque pour un soldat de mourir en mission en Afghanistan ou en Irak. (1) Les médicaments sont aussi une cause majeure d’accidents : deux fois plus de personnes en Grande-Bretagne meurent des effets secondaires de leurs médicaments sur ordonnance que d’accident de moto. Il est probable que les mêmes chiffres pourraient être observés dans les autres pays industrialisés...." Mais c'est pire en France....hélas...
  6. Est ce que celle ci te convient ? http://www1.rfi.fr/actufr/articles/077/article_43646.asp "... Aucun pays n’est épargné par la gangrène qui vérole le secteur de la santé. Et cela, à des niveaux divers, selon le degré de contrôle des réseaux de soins, de distribution des produits pharmaceutiques ou d’assurances maladie, mais toujours au mépris des patients et des contribuables qui financent les services publics ... la croissance de la consommation de médicaments n’est nullement corrélée avec une quelconque augmentation de la longévité..."
  7. Tu te trompes ! C'est expliqué ici : "longévité : Elle n’est pas due aux médicaments." "Non seulement nous ne vivons pas plus vieux qu’autrefois, mais nous sommes de plus en plus malades" http://www.sylviesimonrevelations.com/article-longevite-elle-n-est-pas-due-aux-medicaments-84701568.html
  8. Attention au délai de prescription, il a changé depuis 2008 : http://justicevictime.sosblog.fr
  9. Tu fais absolument ce que tu veux, mais laisse les gens qui s'informent se faire leurs avis seuls. Moi, j'ai visité : http://medecincritique.sosblog.fr J'y ai appris beaucoup de choses et je me suis fais mon opinion. Tout n'est heureusement pas noir, noir, grace a des médecins comme philippe Even, Irène Franchon, quelques autres et beaucoup d'anglophones
  10. Gwen Olsen explique très bien le but des médicaments et des labos :
  11. Pourtant certains médecins l'affirment et le démontrent clairement : Médicaments meurtriers et crime organisé. Comment Big Pharma a corrompu la Santé http://www.initiativecitoyenne.be/article-peut-on-comparer-l-industrie-pharmaceutique-a-la-mafia-120046748.html Peut-on comparer l’industrie pharmaceutique à la mafia ? Extrait de la préface du livre du Dr. Peter Gøtzsche, MD., Directeur du Centre Cochrane Nordique: Deadly Medicines and Organised Crime : How Big Pharma has Corrupted Healthcare » ( “Médicaments meurtriers et crime organisé. Comment Big Pharma a corrompu la Santé. ») par Richard Smith, paru dans le BMJ Group (Groupe du British Medical Journal Blog) Corruption systématique L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia. Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée. Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie. Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. Peter raconte plusieurs histoires de dénonciateurs pourchassés, tout comme le roman de John Le Carré mettant en scène une société pharmaceutique impitoyable et qui est devenu un bestseller, ainsi qu’un film à grand succès d’Hollywood. Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia, et le public, en dépit de son enthousiasme pour les médicaments, reste sceptique par rapport à l’industrie pharmaceutique. Dans un sondage réalisé au Danemark, le public a classé l’industrie du médicament en second rang par rapport aux firmes en lesquelles il avait le moins confiance et un sondage réalisé aux Etats-Unis a classé cette industrie tout en bas avec l’industrie du tabac et les industries pétrolières… Source: blogs.bmj.com Free chapter from Deadly Medicines and Organised Crime: How big pharma has corrupted healthcare (Chapitre (18) gratuit en anglais sur le thème « Pousser les enfants au suicide avec les pilules du bonheur. ») Big pharma "Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels." ... On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel. Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine , comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons connue n’existe plus. Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe AVANT l’intérêt des patients.
  12. Je ne suis pas médecin. Mais j'ai déjà entendu parlé des victimes de l'énantone : Victimes Enantone, Décapeptyl Blog de l'association de victimes de tous les analogues agonistes GnRH. Informations sur les effets secondaires. http://enantone-effets-secondaires.hautetfort.com/ Ils en parlent aussi dans cette conférence :
  13. En ce qui concerne le négationnisme médical, je ne pense pas que quelqu'un en doute en France, les exemples sont très très nombreux et les médias en ont un peu parlé : vaccin hépatie B, vaccin, vioxx, médiator,anti-cholesterol, benzodiazépines / somnifères, antidépresseurs et tous les autres psychychotropes, agréal, distilbène, antibiotiques quinolones,... La revue prescrie en a parlé récemment : http://www.prescrire.org/Fr/109/538/49135/3109/ReportDetails.aspx "En 2014, en Europe, les victimes d'effets indésirables graves de médicaments continuent à éprouver les pires difficultés pour être reconnues comme telles. Il est temps de prendre conscience du caractère inacceptable de cette situation, et d'agir. Le 30 janvier 2014, lors de la "Pilule d'Or 2014", Prescrire a organisé une conférence-débat sur les victimes d'effets indésirables. Millie Kieve, fondatrice d'April, association britannique de victimes d'effets indésirables médicamenteux psychiatriques, a donné la voix aux victimes, notamment au travers de témoignages personnels. Sophie Le Pallec, présidente d'Amalyste, association française de conseils et d'aide aux patients victimes des syndromes de Lyell et de Stevens-Johnson (des effets indésirables très graves de médicaments) a montré comment il était en pratique presque impossible aux victimes de médicaments d'être reconnues comme telles, notamment en raison d'une législation inadaptée. Bruno Toussaint, directeur éditorial de Prescrire, a souligné qu'il était important d'écouter les victimes, pour mieux soigner : « Beaucoup de drames sont évitables en choisissant mieux les traitements. (...) Chacun a intérêt à écouter les victimes des médicaments. Chacun a intérêt à les connaître, à les reconnaître, à les écouter. Leur histoire, leur parcours, leurs témoignages, et ceux de leur entourage, sont une riche source de progrès pour mieux soigner, pour mieux choisir les traitements, pour mieux s'informer et se former, pour mieux réguler le marché des médicaments, pour mieux gérer les ressources de l'assurance maladie, et aussi pour repenser en profondeur la prise en charge des victimes des médicaments, y compris en matière juridique (…) ». Les textes des interventions sont en accès libre ICI" Mais le professeur Breggin l'a écrit, il y a bien longtemps et dans le cas des psychotropes c'est même une règle médicale établie : http://survivantdespsy.sosblog.fr/survivants-psy-b1/Principes-des-addictions-psychiatriques-Toxic-psychiatry-b1-p89.htm Principes des addictions psychiatriques ... 11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement. Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. « Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient. » La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]]. Traitement biopsychiatrique = création d’un dommage cérébral plus ou moins permanent et irréversible..." Mais ils ne sont pas seuls : http://www.initiativecitoyenne.be/article-effets-secondaires-medicamenteux-l-habituel-deni-des-medecins-106117235.html Effets secondaires médicamenteux: l'habituel déni des médecins MEDICAMENTS: RAPPORTS FAUSSES EFFETS SECONDAIRES : LES PREUVES QU'ON NOUS CACHE Le 28 août 2007, nous apprenions par l’agence Reuters que, très souvent, les médecins éliminent les déclarations de leurs patients sur les effets secondaires des médicaments. Anne Harding, journaliste de l’agence, a mené une enquête et a découvert que lorsque les consommateurs de médicaments pensent qu’ils sont victimes d’effets secondaires, la plupart du temps, les médecins rejettent leurs plaintes. Au cours d’une enquête concernant 650 patients, qui prenaient des statines pour faire baisser leur niveau de cholestérol, la majorité des patients ont déclaré que leurs médecins ont nié qu’il pouvait y avoir un rapport entre ces médicaments et les symptômes qu’ils leur rapportaient. Le Dr Béatrice A. Golomb, de l’université de Californie à San Diego, a déclaré : «Cela semble se produire même lorsque les effets sont officiellement connus au sujet des médicaments très largement utilisés. Nous avons besoin d’une meilleure éducation des médecins au sujet des effets contraires, et d’un plus important engagement des patients pour signaler ces effets » Les conséquences les plus graves des statines sont des atteintes du foie, et des problèmes musculaires, sans compter que les statines sont impliquées, parmi d’autres dommages, dans les pertes de mémoire, de concentration, et les sautes d’humeur. La réaction des médecins est primordiale car les problèmes musculaires risquent de s’aggraver jusqu’à une condition rare mais fatale appelée « rhabdomyolyse » si la prise du médicament n’est pas immédiatement arrêtée. Les chercheurs ont constaté, au cours de leur investigation, que c’est presque toujours le malade et non le médecin qui soulève ce problème. Parmi les patients avec des pathologies musculaires ou cognitives, 47 % d’entre eux signalent que leurs médecins ont vigoureusement nié que les symptômes rapportés pouvaient avoir un lien avec les statines, alors que 51 % des patients ayant des neuropathies périphériques – un type de douleurs musculaires affectant les extrémités – ont constaté les mêmes dénégations. Dans l’ensemble, 32 % des patients ont rapporté que leurs médecins ont affirmé qu’il « ne pouvait y avoir de lien » , 39 % ont estimé que « cela pouvait être possible » et que 29 % n’ont ni admis ni rejeté cette possibilité ». Les enquêteurs ont été surpris d’apprendre qu’autant de médecins avaient refusé cette possibilité. Bien que cela n’ait pas été le but de l’enquête, le Dr Golomb a noté qu’il n’existe de la part de l’industrie pharmaceutique « aucun intérêt parallèle d’être certaine que les médecins sont avertis des effets secondaires » alors qu’elle est certaine d’avoir le dernier mot au sujet des bénéfices engendrés par les médicaments qu’elle vend. Le Dr Golomb a ajouté : « les patients devraient être prévenus des risques engendrés par les médicaments qu’ils absorbent et ceux qui constatent que leurs médecins ne remplissent pas leurs devoirs devraient s’adresser ailleurs pour être soignés. Ils devraient toujours choisir un médecin qui semble les écouter ». (cf.Drug Safety, août 2007) Malheureusement c’est loin d’être le cas, car la parole du médecin est souvent considérée comme celle de Dieu lui-même, et l’on ne met jamais en doute la parole de Dieu. Quoi qu’il en soit, si les médicaments étaient testés sérieusement et non sur des animaux, différents de l’homme comme nous le répétons sans cesse, ces médicaments n’auraient jamais été acceptés sur le marché. C’est bien là le problème, le « marché » et la « croissance » étant bien plus importants que la santé humaine. Sylvie Simon C'est : La double peine des victimes http://avocats.fr/space/antoine.beguin/content/la-double-peine-des-victimes_9672F4D3-A730-4994-B2AA-AFE2F0ED6BAF ...etc...etc... Nous avons affaire a une mafia, au crime organisé, ne l'oublions pas !
  14. :smile2: Je suis un très très grand spécialiste des fautes d'orthographe et de grammaire. Alors si tu commence a compter....tu n'as pas fini... Et comme je ne me relis jamais en plus, je ne pense pas qu'il existe ou existera, un seul message sans faute.
  15. Les effets secondaires de quasi tous les médicaments sont niés (négationnisme) par les médecins et les labos, en France, de toute façon. Regardes pour le médiator, c'est une catastrophe pour les victimes. Et c'est une règle quasi universelle. Remarques bien que pour les 200 000 morts, eux au moins, ne peuvent plus se plaindre...
  16. Pétition : Soutien aux Prs. Debré et Even qui dénoncent la corruption des laboratoires pharmaceutiques ! http://www.mesopinions.com/petition/sante/soutien-aux-prs-debre-denoncent-corruption/11720
  17. La mauvaise utilisation : pas seulement ! C'est par exemple : "140.000 Américains ont été blessés et autant que 50.000 Américains peuvent êtres mort après avoir pris VIOXX." http://vioxx.sosblog.fr "AVANDIA® : 83.000 accidents cardiaques aux USA," « Ex membre de la FDA Dr David Graham, qui a sonné l’alarme sur le Vioxx, a déclaré au Congrès que les neuroleptiques atypiques comme le Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans des utilisations non approuvées » ...etc... http://medicaments.wordpress.com
  18. Je n'ai ni dit ni écrit cela. J'affirme simplement que les normes de glycèmie ont été baissées, simplement pour vendre plus de médicaments et non dans le but de la santé des victimes. Et que ce n'est pas que le cas du diabète puisque cette techinque d'escroquerie est courament utilisée par les labos et les médecins pour par exemple l'escroquerie de l'ostéoporose, l'hypertension, l'escroquerie du cholestérol.... Et si tu avais, ne serait ce qu'un peu, regardé le lien proposé, tu l'aurais constaté de toi mëme. En voici la confirmation par la professeur marcia Angell et par le professeur Even : "escroquerie aux taux de glycémie (1,40 à 1,26) pour vendre des médicaments" "Anciennemenent au dessus de un gramme 20, c’est maintenent au dessus d’un gramme 10 afin de doubler le chiffre d’affaire."
  19. Comme je l'ai écris sur une autre discussiion : la iatrogènie est une catastrophe nationale et internationale ! Certains écrivent que la médecine est devenue la première cause de maladies et de morts dans les pays "développés" Surtout qu'a force de baisser les normes afin de mieux nous escroquer, nous serons bientot tous diabètiques ! http://diabetesurordonnance.sosblog.fr et je ne parle pas des diabètes induits par d'autres médicaments souvent inutiles....
  20. La iatrogènie est une catastrophe nationale et internationale ! http://iatrogenie.sosblog.fr Mais ce n'est pas la seule : corruption, escroqueries, prix exorbitants, maladies inventée de toute pièce, organisation mafieuse.... Et parmis les seules personnes qui osent le dénoncer, il n'y a que très peu de français. Ces deux médecins sont des pionners et ils devraient être protègés et non pas attaqués. Ce sont les dangereux escrocs qu'ils dénoncent qui devraient être condamner a de lourdes peine et non l'inverse. Extrait d'un article sur philippe Even : "...Mais comment l’Etat en est-il arrivé à jouer ainsi contre les intérêts des patients et la nécessité de réduire les dépenses médicales? Parce que, comme le disent officiellement et dans les mêmes termes l’ONU et les parlements américain et britannique, «l’industrie est une pieuvre infiltrant toutes les instances décisionnelles nationales et internationales, les gouvernements, les grandes administrations, les institutions, les sociétés savantes médicales et les médias». Voilà pourquoi nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs. ... Les médecins se vendent pour un plat de lentilles" http://bibliobs.nouvelobs.com/documents/20120912.OBS2058/philippe-even-l-entreprise-medicale-menace-la-sante.html
  21. Pour ce qui est de l'interferon, je te conseille de t'informer ici : Les événements indésirables graves DU TRAITEMENT INTERFÉRON : Morts, suicides, meurtres, maladies psychiatriques, dépression.... http://www.interferon.ws C'est en anglais, mais la vraie information sur les médicaments n'existe quasiment pas en France (encore la mafia médicale, je suppose)
  22. As tu regardé plus que le titre ? Les vidéos par exemple ? Sais tu que l'on peut, contrairement a ce qu'affirment bon nombre d'oncologues français, vivre sans pancréas ? http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-cancer-du-pancreas-peut-on-vivre-sans-pancreas--4137.asp?1=1 Un nouvel article est encore sortie en décembre sur la chimiothérapie : http://www.principes-de-sante.com/article/coups-de-gueule-effets-secondaires-chimiotherapie.html Massacre à la chimio En cherchant pourquoi les cellules cancéreuses sont si difficiles à éradiquer par les méthodes conventionnelles de traitement, des chercheurs de l’État de Washington en sont récemment tombés de leur chaise quand ils ont découvert par hasard la mortelle réalité concernant la chimiothérapie. Selon les constatations de l’étude, en fait, la chimiothérapie ne traite ni ne guérit le cancer, mais active plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses, les rendant beaucoup plus difficiles à éliminer après une chimiothérapie. Cela présente une fois pour toutes la preuve irréfutable de la tromperie de l’industrie conventionnelle du cancer. Non seulement la chimiothérapie, qui est le menu unique de traitement du cancer aujourd’hui, apparaît selon l’étude un fiasco total, mais elle agit au détriment du malade cancéreux. Cette choquante découverte publiée dans le journal Nature Medicine, et qui a été soigneusement ignorée par la communauté scientifique dominante, éclaire en détail la manière dont la chimiothérapie oblige les cellules saines à libérer une protéine qui alimente les cellules cancéreuses, les faisant prospérer. Peter Nelson, du Centre de recherche Fred Hutchinson sur le cancer, à Seattle, coauteur de l’étude, a expliqué : « Quand la WNT16B est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et, plus important, résister à toute thérapie ultérieure ». Concernant cette découverte fortuite, il a ajouté : « Les résultats de notre équipe indiquent que les cellules saines environnantes peuvent même contribuer à une dynamique de développement de la tumeur en place. » Le Dr Raghu Kalluri, auteur d’une étude similaire publiée l’année dernière dans le journal Cellule cancéreuse, a déclaré de son côté : « Toute manipulation dirigée contre les tumeurs peut par inadvertance augmenter le nombre de tumeurs métastatiques, c’est ce qui tue les patients au bout du compte. » Doit-on s’étonner alors que trois médecins sur quatre étant atteints d’un cancer refusent les traitements chimio ? Sais tu que (on le sait partout sauf en France) ? : http://www.lesmotsontunsens.com/cancer-etudes-bidons-scientifiques-douteux-medocs-dangereux-12834 Cancer : études bidons, scientifiques douteux, médocs dangereux... En quelques mois, trois informations majeures sont venues jeter le discrédit sur toute la filière pharmaceutique - et cancérologique en particulier : 1/ La plupart des études scientifiques portant sur le cancer... sont bidons ! 2/ L'Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique 3/ Des médicaments contre le cancer... qui favorisent le cancer !
  23. Je pense que c'est une honte de condamner les très rares médecins qui osent dire la vérité en France ! Il me semblait pourtant que les lanceurs d'alerte étaient protégés en France maintenant ? On devrait au contraire leurs remettre une médaille !! Il en faudrait beaucoup, beaucoup plus !! Quand on pense que les membres de la "mafia médicale" dénoncés, n'ont, eux, aucune condamnation a ce jour. Cela démontre un vrai problème de justice en France. C'est le monde a l'envers, on marche sur la tête !
  24. Tu devrais regarder les vidéos que j'ai mis sur ce sujet en début de discussion (page 2).
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