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paparoines

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Tout ce qui a été posté par paparoines

  1. Je voulais écrire une AMM (autorisation de mise sur le marché) A raison de 1 ou 2 suicides sur 20 cobayes, ce poison va faire un malheur !!!
  2. Je te conseille de lire : http://www.medicinekillsmillions.com/&prev=/search%3Fq%3Dmedicinekillsmilllions%26client%3Dfirefox-a%26hs%3DPQY%26rls%3Dorg.mozilla:fr:official%26channel%3Dsb'>http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.medicinekillsmillions.com/&prev=/search%3Fq%3Dmedicinekillsmilllions%26client%3Dfirefox-a%26hs%3DPQY%26rls%3Dorg.mozilla:fr:official%26channel%3Dsb http://www.medicinekillsmillions.com/ " La France détient le record du monde pour les décès dus aux médicaments, " Le taux de mortalité lié aux prescriptions de médicaments est 10 fois plus élevé que dans les pays voisins et un étonnant 20 à-50 fois plus élevé chez les personnes âgées de plus de 75 ans. Je pense que tu trouveras toutes les infos ici : http://iatrogenie.sosblog.fr (sauvegarde : http://iatrogenie.20minutes-blogs.fr )
  3. Une bonne nouvelle pour les empoisonneurs et les assassins : Il semble que l'antidépresseur en question dans le sujet vient d'avoir un AMM en France.
  4. Si les 11 millions de victimes sont en France, pas les 500.000 Américains morts des benzodiazépines / an : Les somnifères tuent 500 000 personnes par an http://www.fernlifecenter.com/sleeping-pills-kill-500000-people-a-year-treating-insomnia-the-right-way/ http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.fernlifecenter.com/sleeping-pills-kill-500000-people-a-year-treating-insomnia-the-right-way/&prev=/search%3Fq%3Dsleeping%2Bpills%2Bkills%26start%3D10%26client%3Dfirefox-a%26hs%3Dbrm%26sa%3DN%26rls%3Dorg.mozilla:en-US:official%26biw%3D1024%26bih%3D675 J'ai déjà cité cette source, il me semble.
  5. Benzodiazépine, somnifères : "une drogue qui détruit le cerveau" (rts télévision) http://www.rts.ch/video/emissions/mise-au-point/4686234-un-somnifere-addictif-detourne.html http://www.rts.ch/g/Jf6Q
  6. avec 11 millions de victimes (d'après l'article) en France et 500 000 morts par an. dont : 3.5 millions de personnes agées Je doute que tout le monde soit au courant...
  7. Non, il est très loin de fonctionner, c'est même une catastrophe ! Si il fonctionnait, il n'y aurait plus beaucoup de médecin prescripteur de psychotrope qui ne serait pas en prison :)
  8. On peur vraiment se demander pourquoi il n'y a pas de reportage tel que celui-ci en France ?????? Xanax, la pilule miracle qui mène en enfer
  9. :smile2: J'ai déjà répondu a cette question, mais pour les antidépresseurs en particulier, tu devrais vrament t'informer ! : Antidépresseurs, mensonges sur ordonnance : http://www.lanutrition.fr/la-boutique/livres/sante/antidepresseurs-mensonges-sur-ordonnance-de-guy-hugnet.html "...Au terme dune enquête minutieuse, le journaliste Guy Hugnet livre ici toutes les preuves que la mise sur le marché des antidépresseurs (Prozac, Zoloft, Déroxat, Séropram, Effexor, Cymbalta...) est fondée sur des données biaisées, tronquées, voire manipulées. Lorsque les véritables données scientifiques sont analysées, il ne reste pas grand-chose!..." antidépresseurs : http://blogue.passeportsante.net/actualite/2008/01/la_depression_est_un_des.html "...89 % des études ayant révélé des résultats négatifs ou discutables n'ont pas été publiées dans la littérature scientifique Ce sont les conclusions d'une étude publiée dans le Journal of American Medical Association..." Le grand mensonge des antidépresseurs : http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2009-12-17/le-grand-mensonge-des-antidepresseurs/920/0/405811 "...En fouillant dans les dossiers d'autorisation de mise sur le marché aux Etats-Unis, ils sont tombés sur des études jamais rendues publiques qui montraient l'absence d'efficacité du médicament, excepté pour les malades atteints des dépressions les plus sévères..."
  10. "...Le tribunal correctionnel, qui jugeait aussi le médecin d'Arcachon pour blanchiment de fraude fiscale et abus de confiance notamment, l'a condamné à verser des dommages et intérêts de 2.000 et 5.000 EUR à quatre personnes, dont deux patients au titre du préjudice moral qu'ils auraient subi en étant mis en danger par les essais. Au procès le 30 avril, six mois avec sursis avaient été requis contre le praticien. Son appartement abritant son cabinet a également été confisqué par le tribunal. A l'audience, le médecin avait reconnu des erreurs et manquements au protocole d'essais, mais avait rejeté la responsabilité sur le laboratoire danois Lundbeck, qui selon lui avait fait pression pour inclure davantage de patients, --21 en tout--, y compris parmi eux des patients à risque. Me Daniel Rumeau, l'avocat de la veuve, qui demandait une requalification en homicide involontaire, avait dénoncé " l'appât du gain " du praticien, lié à la rémunération, par le laboratoire, de l'ordre de 12.000 euros par patient sous essai longue durée. L'affaire avait éclaté après le suicide en 2009 d'un des patients, volontaire pour l'essai clinique. Un décès survenu, selon l'avocat de la veuve partie civile, quelques jours après l'administration d'un anxiolytique, dont l'association avec la molécule testée était contraire au protocole...."
  11. témoignage d'une victime des benzodiazépines :
  12. C'est ce qui est arrivé a la seour (il me semble) de la personne qui a créé ce site sur le stilnox : "un site web conçu pour rendre conscient le public des dangers de l’Ambien / stilnox, Ambien CR et Zolpidem. C’est aussi une base de données mondiale de certaines des victimes de l’Ambien, Ambien CR et Zolpidem." http://translate.google.fr/translate?sl=en&tl=fr&js=n&prev=_t&hl=fr&ie=UTF-8&u=http%3A%2F%2Fwww.ambienoutrage.com%2F http://www.ambienoutrage.com/ Pétition pour l'interdiction de Stilnox, Imovane et somnifères connexes http://www.ipetitions.com/petition/stilnox/
  13. Je souhaite revenir aux benzodiazépines / somnifères :
  14. Tu confonds encore une fois benzodiazépines et antidépresseurs, ce qui n'a rien a voir. Je fais juste une remarque et deux citations sur les antidépresseurs : "En fait, nos études de laboratoire montrent que ces psychotropes tuent. De plus, ils créent les troubles qu’ils devraient soigne Le Cymbalta, antidépresseur actuellement sur le marché, était testé au cours d’une étude clinique de 6 semaines sur des sujets non dépressifs. Lors de l’étude, il y a eu 11 tentatives de suicide, et 4 suicides effectifs. http://www.come4news.com/le-scandale-des-antidepresseurs-392322 Antidépresseurs, violences et suicides : Au contraire, les études menées sur certains ISRS (les premières mises en garde dans la littérature spécialisée concernant la Fluoxétine datent déjà de 1983[1]) ont montré une augmentation des passages à l’acte auto- et hétéro-agressifs et ce non seulement chez des patients avec un diagnostic de dépression mais aussi, ce qui est encore plus inquiétant, chez les volontaires sains http://www.grouperechercheactionsante.com/suicidality.htm "les laboratoires savaient que les antidépresseurs provoquaient des suicides depuis le début des années 80" :
  15. Tu as mal lu, je pense. J'ai écris, : les dépresseurs et non les antidépresseurs, ce qui est complétement a l'opposé. Les benzodiazépines sont des dépresseurs du SNC, tout comme l'alcool, l'héroïne... Les antidépresseurs, ont eux, surtout, mais pas seulement des propriétés amphétaminiques et on donc des effets totalement inverses aux dépresseurs. Les médecins sont des dangers public en matière de sevrage aux benzodiazépines !!! : "Le sevrage proposé par le corps médical en France : des méthodes inadaptées qui favorisent la rechute Que ce soit en ambulatoire ou en milieu hospitalier (y compris dans les services spécialisés), les méthodes de sevrage que les médecins français proposent à leurs patients ne sont pas du tout adaptées à la réalité de la dépendance aux benzodiazépines. Les protocoles de sevrage sont beaucoup trop courts (sevrage en six à dix semaines maximum) et les médecins ont trop souvent tendance à prescrir d'autres psychotropes (antidépresseurs, neuroleptiques, ou une autre classe d'anxiolytiques) qui, loin de compenser le sevrage aux benzodiazépines, peuvent en aggraver à la fois les manifestations et la durée. En outre, le soutien moral, indispensable pendant cette phase difficile, est bien souvent inexistant, voire contre-productif, dans la mesure où il consiste en une psychologisation à outrance du syndrome de sevrage, dont l'origine est pourtant essentiellement physique. Les souffrances physiques du patient sont niées, ou minimisées, et ses souffrances mentales attribuées à un trouble psychique préexistant - qui, bien souvent, dans les cas où celui-ci est effectivement présent avant le sevrage, s'avère être une constellation d'effets secondaires du traitement aux benzodiazépines. En effet, lorsque le patient en arrive à vouloir se sevrer, il est souvent dans un état de souffrance psychique qu'il confond avec un état qui lui serait propre, et qui n'est en fait que la conséquence de la prise chronique de benzodiazépines, que ce soit en raison d'effets secondaires ou paradoxaux, de l'émergence de la tolérance et donc de symptômes de sevrage avant toute tentative de sevrage, ou encore de symptômes de manque entre les doses dans le cas de traitement par benzodiazépines à demi-vie courte. -voir la section "les méfaits des benzodiazépines". Il est donc enclin à prendre au pied de la lettre l'interprétation que le médecin fait de son état, et à en tirer des conséquences inadaptées pour le traitement de sa dépendance (sevrage trop rapide, consultations chez le psychiatre, prise de psychotropes additionnels, puisque les symptômes seraient d'origine psychosomatique). Les implications de l'interprétation psychologisante du syndrome de sevrage par les professionnels de santé en France sont très importantes, dans la mesure où elles affectent négativement la prise en charge de la dépendance aux benzodiazépines. Le rythme trop rapide du sevrage, l'adjonction de psychotropes inutiles et dangereux en période de sevrage, la méconnaissance absolue de la réalité physique du syndrome de sevrage concourent à rendre ces méthodes impraticables. Il n'est pas étonnant, dans ces conditions, que les taux de rechute après un sevrage "à la française" soient extrêmement importants. Pourtant, il existe une méthode de sevrage simple, qui permet de minimiser les symptômes de sevrage et maximiser les chances de réussite. Il semble très surprenant que nos médecins ne soient pas formés à ces méthodes pourtant basées sur le simple bon sens. Ceci découle du fait que ni les autorités de santé, ni les médecins ne sont enclins à reconnaître la sévérité et la durabilité potentielle du syndrome de sevrage, dans la mesure où ceci les amènerait inévitablement à remettre en question des pratiques de prescription dangereuses, et pourtant inchangées depuis des décennies...." http://benzodiazepines.onlc.fr/7-Methodes-de-sevrage.html
  16. Il y avait déjà eu un article sur le sujet en octobre 2012 : benzodiazépines et somnifères : ces médicaments qui favorisent Alzheimer http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20110928.OBS1248/exclusif-ces-medicaments-qui-favorisent-alzheimer.html "... Sciences et Avenir : Quel enseignement tirer des résultats de votre étude ? Bernard Bégaud : En termes de santé publique, c’est un signal d’alerte très fort. Avec la nôtre, cela porte à neuf le nombre d’études qui ont été menées et dont la majorité va dans le sens d’une association entre la consommation au long cours de tranquillisants et somnifères et la maladie d’Alzheimer Les politiques se doivent-ils de réagir ? Les responsables sanitaires devraient sérieusement s’inquiéter. D’un côté, notre pays fait une consommation délirante de benzodiazépines, de l’autre, nous savons que prendre ces traitements favorise l’entrée dans l’une des pires maladies qui soit. Cette affaire est une vraie bombe, mais les décideurs n’ont pas l’air de le réaliser… A-t-on une idée de l’étendue des dégâts ? Dans l’affaire du Mediator, on parle de 500 à 2000 morts en trente ans. Avec les benzodiazépines, du fait de la consommation forcenée dans la population âgée, c’est beaucoup plus. La maladie d’Alzheimer est devenue la grande cause nationale. […] Pourtant on continue à prescrire en masse des traitements qui favorisent l’apparition de cette maladie.On marche sur la tête. ..."
  17. Sais tu que : "La dépression est commune pour les utilisateurs à long terme de benzodiazépine." professeur Ashton http://translate.google.com/translate?u=http://www.benzo.org.uk/pha-1.htm&langpair=en|fr&hl=fr&ie=UTF-8&oe=UTF-8&prev=/language_tools Et que les dépresseurs du système nerveux central sont évident déconseillés en cas de dépression ?
  18. Bien que la bipolarité ne soit pas le sujet de la discussion, je me permet de dire que c'est, dans une très large majorité des cas, une vaste escroquerie médicale de plus : http://bipolaireinfo.sosblog.fr J'ajouterai également que la bipolarité est très souvent iatrogène (provoquée par le médecin) ! Et que les médecins "oublient" de le dire. Cela a une relation direct dans le sens ou très souvent les symptomes de sevrage aux benzodiazépines sont interprétés par les médecins comme des troubles bipolaires. Ce qui leurs permet de nier les syndromes de sevrage, en particulier les syndrome prolongé de sevrage et de vendre de nouveaux poisons psychiatriques le plus souvent totalement inutiles. C'est un des principes essentiels de la médecine moderne : "Environ 9,6 millions d’Américains âgés subissent des effets secondaires négatifs de leurs médicaments chaque année. Des effets secondaires connus sont traitées comme si ils étaient de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir. Plus de deux millions d’Américains sont envoyés à l’hôpital ou gravement blessés par des effets secondaires de chaque année. En fait, avec plus de 100.000 décès chaque année, les réactions indésirables aux médicaments sont une des principales causes de décès aux États-Unis – et bon nombre de ces cas sont évitables !" http://translate.google.fr/translate?u=http://www.worstpills.org/includes/page.cfm%3Fop_id%3D65&sl=en&tl=fr&hl=fr&ie=UTF-8 Et de la psychiatrie : Principes des addictions psychiatriques ... 11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement. Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. « Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient. » La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]]. http://survivantdespsy.sosblog.fr/survivants-psy-b1/Principes-des-addictions-psychiatriques-Toxic-psychiatry-b1-p89.htm ...
  19. Comme quoi....avoir le vidal, ne suffit pas, il faut un cerveau en plus... :)
  20. bin...oui... Et dire que ce sont ceux sensés savoir, ou qui se ventent de savoir, qui n'y connaissent absolument rien.... :)
  21. Il ne faut, dans tout les cas, surtout pas les interdire pour les victimes en sevrage !!! Par contre, sais tu que, d'après cet article : "Les somnifères tuent 500 000 personnes par an" http://www.fernlifecenter.com/sleeping-pills-kill-500000-people-a-year-treating-insomnia-the-right-way/ http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.fernlifecenter.com/sleeping-pills-kill-500000-people-a-year-treating-insomnia-the-right-way/&prev=/search%3Fq%3Dsleeping%2Bpills%2Bkills%26start%3D10%26client%3Dfirefox-a%26hs%3Dbrm%26sa%3DN%26rls%3Dorg.mozilla:en-US:official%26biw%3D1024%26bih%3D675 Alors...quand on sait que le médiator n'a tué "que" 3 à 5000 personnes en quelques dizaines d'années... Je pense qu'il faudrait revoir le problème !
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