Javiera
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Tout ce qui a été posté par Javiera
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Mes cop's et mes potes s'en tapent de ma façon de m'habiller chez moi, heureusement qu'on dépasse l'apparence entre nous!
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Sans avoir forcément l'esprit rebelle, juste connaître ses priorités: Le "paraître" ou le "bien-être"?
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Et le trou de la sécu , tu y penses? L’alcoolisme coûte très cher à la France... :D
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Donc pas de commentaire, si c'est valable pour moi, c'est valable pour tout le monde!
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Ah okay, alors uniquement des photos et surtout pas de commentaire...
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La plupart des mecs ont le cul plat et c'est très bien comme ça, un gros popotin c'est pas très sexy pour un mec...
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Le danger, c’est que derrière cette nostalgie peuvent se cacher les pensées réactionnaires et les replis identitaires personnels et collectifs qu’elle semble justifier.
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Un patient au début du 19 ème siècle
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Encore une fois il ne s'agit pas de faire des comparaisons et pourtant tu t'empresses d'en faire une... La jeunesse d'aujourd'hui s'amuse avec les jeux d'aujourd'hui. :) Autrefois la plupart des gens ne voyageaient pas, ils avaient peur de l'inconnu, ils s'éloignaient rarement de leur lieu de vie et avaient de ce fait une vision réduite du monde. Les moyens de transport n'étaient ni confortables, ni rapides...
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En 1960, l'homosexualité est perçue comme un fléau social, en 1968, elle est considérée comme une maladie mentale, Hélène Hazéra était militante au FHAR, front homosexuel d'action révolutionnaire crée en 1991, elle se souvient : « En France, on a pratiqué des lobotomies pour guérir les homosexuels ». Tu penses vraiment qu'aujourd'hui encore, on lobotomise les homosexuels?
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Autrefois, il n' y a pas si longtemps, les homosexuels étaient considérés comme des malades ou des pervers. En 1960, l'homosexualité est perçue comme un fléau social, en 1968, elle est considérée comme une maladie mentale, Hélène Hazéra était militante au FHAR, front homosexuel d'action révolutionnaire crée en 1991, elle se souvient : « En France, on a pratiqué des lobotomies pour guérir les homosexuels ».
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"Il s´agit de la vie d´autrefois Javiera pas de celle du présent, donc je n´en parle pas et je ne fais pas non plus de comparaisons. C´est toi qui en fait sans cesse Oui je sais moi aussi j´en ai subi des chatiments corporels et de mon père aussi. Mais comme je ne veux pas faire de comparaisons avec l´école de maintenant, je préfère me taire car aujourd´hui ce sont les élèves qui tiranisent les profs. J´en connais quelques un qui n´ont pas fini leur carrière et qui sont en traitement psy." Je poste un témoignage sur les châtiments corporels d'autrefois sans aucun commentaire concernant le présent et toi tu viens ensuite nous expliquer qu'aujourd'hui ce sont les élèves qui malmènent les profs... Encore une fois, qui fait des comparaisons, toi ou moi? Un peu d’honnêteté , merci!
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Je n'invente rien, il suffit de lire tes interventions pour constater que tu vois du positif dans le passé mais rien de bien dans le présent. Donc moi aussi je réponds à ton idéalisation de la vie d’autrefois pour te démontrer que tes écrits ne sont pas paroles d´évangile. Autrefois les châtiments corporels étaient couramment pratiqués dans les écoles. Témoignage d'un élève d'autrefois: "Dans les années 50 il existait encore certains châtiments corporels. J'ai vu un instituteur qui donnait régulièrement la fessée. Pire encore, j'en ai vu un autre qui, outre les coups de règle sur le bout des doigts, soulevait parfois l'écolier de son banc en lui tirant la joue ou une oreille voire même les cheveux, et comme ci cela n'était pas suffisant, aux actes venait s'ajouter des paroles humiliantes. Mais la punition la plus pénible était de se retrouver à genoux sur l'estrade avec les mains sur la tête durant la durée du cours. Élève trop sensible j'ai souffert de ces pratiques et ma scolarité à l'école primaire en a été affectée ainsi que ma santé. j'ai découvert beaucoup plus tard que J'étais stressé (cette notion n'existait pas encore à cette époque). Mes difficultés prirent fin lorsque je me suis retrouvé au collège dans un environnement plus apaisé et qui me responsabilisait davantage."
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Si c'est pour contrer systématiquement cette réalité qui te déplait, je ne vois pas l’intérêt d'ouvrir un post sur la chance ou la malchance de vivre à notre époque... Autrefois les femmes étaient privées des libertés que j'ai cité plus haut et beaucoup se sont battues pour obtenir ces droits, inutile de le nier, c'est ridicule d'affirmer qu'il n'y a pas eu d'évolution, que çà n'a pas beaucoup changé et surtout pas très respectueux pour tous ces gens qui ont lutté contre la discrimination sexiste. Aujourd'hui les femmes ont le droit de voter, d'exercer le métier qu'elle choisissent, de ne pas avoir d'enfants si elles n'en désirent pas, etc, etc...
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Autrefois en France la femme n'avait aucun droit... Elle devait obéissance à son mari et ne pouvait exercer une profession sans l'autorisation de celui-ci. La contraception et l'avortement étaient interdits, elle n'avait pas le droit de voter, elle était juste considérée comme une pondeuse, une ménagère.
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Beaucoup confondent l'humilité et la fausse modestie qui est couramment pratiquée...
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« Ne te fais pas si petit, tu n’es pas si grand ». Cet adage ancestral résume parfaitement cela: à force de s’aplatir devant les louanges, on finit par obtenir l’effet inverse en devenant un monstre d’orgueil.
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Pas de soucis Elaine, c'était juste pour te faire remarquer ta contradiction. Ici on compare le passé et le présent, n'est ce pas?
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La lessive autrefois était une corvée... La lessive est devenue, de nos jours, une opération banale, rapide et relativement bon marché. Jusqu’au milieu du 19ème siècle, la lessive était une véritable corvée et se déroulait deux à trois fois par an, sur plusieurs jours. Le linge était d’abord trempé dans de grands bacs. Puis on procédait au « coulage à froid » : déposé dans une cuve en bois, recouvert d’un drap sur lequel on répandait de la cendre, le linge était arrosé d’eau froide. Après une nuit de repos, on procédait au « coulage à chaud » : on versait de l’eau chaude qui, récupérée, était de nouveau chauffée et reversée jusqu’à ce que le linge soit bouillant. On attendait encore une nuit, puis on sortait le linge du cuvier pour le brosser. Ensuite, il fallait le transporter à la rivière pour le battre, le rincer et le tordre pour le séchage.
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Il ne s'agit pas de faire de comparaisons alors pourquoi en fais-tu? Quand tu écris: "il y a 50 ans on se baignait dans des eaux propres, on ne portait pas de masque contre la polution atmosphérique, on mangeait des fruits et légumes non traités, la viande était bio, on cotoyait les gens dans le réel et pas en virtuel etc......etc.... " tu compares le monde d'autrefois avec le monde actuel, non?
