Javiera
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Tout ce qui a été posté par Javiera
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Exact, un comportement violent vient toujours d'une profonde frustration...
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Désolée de te contredire mais je connais un max d'humains qui ont le cerveau bien plus atrophié qu'une cervelle de chat... :D Tout ça ne sont que considérations humaines basées sur des observations humaines. Qui peut savoir ce qu'il se passe réellement dans le cerveau d' un éléphant ou dans celui d'un chat? Quand tu affirmes qu'un chat c'est stupide, qui est le plus stupide des deux, toi ou le chat? A l'instar de sa cruauté, la prétention humaine n'a vraiment aucune limite...
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Pline mentionnait déjà que les éléphants s’attardent longtemps auprès de la dépouille d’un des leurs. Dans une lettre de 12 pages écrites au Premier Ministre Lord Palmerston en novembre 1861, David Livingstone, toujours lui, raconte comment durant l’exploration du Zambèze il fut amené à tuer un éléphant pour se nourrir. Il vit alors le reste du troupeau portant apparemment le deuil de l’individu trépassé : « Après que nous en eûmes tué un pour nous nourrir, le reste du troupeau se tint à un mile de nous durant deux jours. En temps normal, ils seraient restés à 30 ou 40 miles de distance. » De façon plus scientifique, Cynthia Moss, experte mondiale ès éléphants depuis plus de 40 ans (elle s’occupe des éléphants du parc national d’Amboseli, au Kenya) a rapporté plusieurs observations surprenantes d’éléphants s’affolant devant le cadavre d’un congénère. Des proches d’une femelle blessée ont ainsi tenté désespérément de la relever (jusqu’à se casser une défense dans la manœuvre) et essayé d’enfourner des brassées d’herbe dans sa bouche avant de recouvrir le corps de branchages une fois que toutes ces tentatives eurent échoué.
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L'empathie animale:
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Exactement! Il fallait s'attendre à ce genre de réaction, l'évolution des mentalités est toujours très lente mais il viendra un jour où la souffrance animale causée par l'homme "supérieur" ne sera plus acceptable, les actes de cruauté gratuite seront réellement condamnés et on se souviendra de ces temps obscurs et glauques où les barbares des abattoirs, défoulaient leur frustration sur des bébés sans défense...
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Donc en suivant ton raisonnement, si tu vois un adulte frapper son bébé à mort ( comme les bouchers des abattoirs frappent les bébés des brebis), tu n'interviens pas, tu laisses faire la nature humaine.
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Lire ça et gerber...
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Merci pour vos réponses et bonsoir Prométhée! Je n'ai pas encore lu le bouquin de Caron mais je respecte ce mec qui s'est toujours insurgé contre la souffrance animale. Pour que le message passe, il faudrait avant tout que le clampin de base admette que l'homme est un animal et que tous les animaux sont dotés de sensibilité. A partir de là , avec un minimum d'empathie, on peut comprendre le reste parce qu'aujourd'hui tout le monde est informé de l'horreur que vivent les animaux dans les abattoirs (par exemple), des conditions déplorables d'élevage intensif et autres monstruosités purement humaines. L'humain ne pense qu'au profit, il considère l'animal comme un produit et n'a aucun respect ni pour ses cousins ni pour la Terre qu'ils partagent...
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"Loin d être anecdotique, l animalisme incarne le mouvement idéologique le plus révolutionnaire ; pour la première fois depuis deux mille ans, il entend sortir nos systèmes de pensée occidentaux de leur logique anthropocentriste et reconnaître que nous, qui sommes des animaux, avons des obligations morales à l égard de nos cousins." Un vision un peu trop avant-garde pour les vieux esprits limités mais l'humain évolue doucement et sûrement...
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Présentation de l'éditeur Un jour, les animaux auront tous des droits. L animalisme figure le prochain projet idéologique révolutionnaire, qui réconcilie les hommes avec eux-mêmes et avec leur avenir. Certains en possèdent déjà : les animaux de compagnie, les espèces protégées et les animaux d élevage. Mais les droits que nous leur avons consentis sont minimaux et incohérents. Nous traitons différemment les chiens, que nous considérons comme des membres de la famille, des cochons, réduits au rang d objets produits en masse et abattus dans d indignes conditions. Pourtant cochons et chiens possèdent une sensibilité et une intelligence similaires. Comment en sommes-nous venus à les classer dans des catégories si différentes ? C est que nous sommes spécistes. Le terme, peu connu en France, fera bientôt partie de notre vocabulaire. À l instar du racisme et du sexisme, dont il poursuit la logique. Le spécisme consiste à traiter différemment, et sans la moindre raison valable, deux espèces qui présentent les mêmes caractéristiques. Tout comme nous avons longtemps dénié aux femmes les mêmes droits que les hommes. L affirmation de l antispécisme sera celle de l animalisme, un mouvement philosophique qui promeut la nécessité d accorder des droits à tous les animaux, en raison de leur capacité à souffrir. Loin d être anecdotique, l animalisme incarne le mouvement idéologique le plus révolutionnaire ; pour la première fois depuis deux mille ans, il entend sortir nos systèmes de pensée occidentaux de leur logique anthropocentriste et reconnaître que nous, qui sommes des animaux, avons des obligations morales à l égard de nos cousins. Surtout, l animalisme s inscrit dans une logique d écologie politique éloignée de celle incarnée par les élections. Non plus une écologie superficielle, qui se soucie seulement de préserver les écosystèmes, les ressources et quelques espèces en péril, mais une écologie profonde, qui repense complètement la place de l homme dans le monde. Pour que ce dernier ne vive plus en parasite mais en symbiose avec toutes les formes du vivant. Cela oblige à une refonte de nos institutions et à briser la vision à court terme du temps politique. Cela nous oblige aussi à une réforme intellectuelle qui remette en question la notion de « profit ». Le capitalisme, le socialisme, le communisme, le néolibéralisme sont aujourd hui discrédités, si ce n est dépassés. Biographie de l'auteur Journaliste, Aymeric Caron a travaillé pour la radio et la télévision (TF1, France 2, Canal +, l'agence CAPA, Europe 1...). Fervent défenseur des droits des animaux, il milite notamment pour des menus végétariens dans les cantines scolaires et publie No Steack (2013), enquête-manifeste qui interroge notre rapport à la viande, et aux animaux. Que pensez-vous de cette évolution?
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Tu sais qu'à cause de ces conneries de superstitions, encore actuellement, les refuges regorgent de chats noirs, les gens hésitent toujours à les adopter. Malheureusement véridique.
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De même que les curés pensent que les femmes sont diaboliques, ils préfèrent les enfants de chœur...
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Pourtant le mois de january a été plutôt doux cette année... :smile2:
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Toujours l'âme poète la Querida!
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On n'est pas tous contorsionniste... :D Casser du verre blanc ça porte bonheur et en plus ça défoule!
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Il parait que le pain retourné cuit en un éclair, si si, sans déconner!
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Un bon n'a rien mais il sait partager! C'est tellement plus facile de partager quand on n'a rien... :D
