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Tout ce qui a été posté par 'moiselle jeanne
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Heu... comment dire... Est-ce possible de lire entier le post de qq avant d'en citer qu'un bout ?
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Tout le monde le sait depuis longtemps, qu'on peut être contagieux sans avoir de symptômes. Donc, la seule solution, incontournable, est de faire 67 millions de tests ? Puis recommencer la semaine suivante, car on peut tout à fait être contaminé depuis ? Et encore la semaine d'après, etc..., jusqu'à la découverte d'un vaccin , qui viendra, peut-être, en 2022 ?
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Bon je ne vous répondrais pas. Je ne vois pas l'intérêt de rentrer encore sur la X millième polémique en répétant encore et encore les mêmes arguments qui sont répétés et répétés ici depuis des centaines de pages. Désolée de vous décevoir, mais vous ne m'y entrainerez pas.
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D'après ce que j'ai compris, les tests s'effectueront dès qq symptômes. On ne peut pas tester 67 millions de personnes, surtout que être négatif lundi ne veut pas dire être négatif toujours, mais juste être négatif lundi ; on peut être contaminé jeudi.. Le test ne confère pas l'immunité.. Il en faudrait donc bien plus - 150 à 200 M ? L'Allemagne, qui est exemplaire dans le genre, a fait 1,7 M de tests, pas 80. Au mieux doublera (triplera ?) son score. Même l'Islande, la championne mondiale en %, a testé 10% de sa population (pas très nombreuse donc plus simple- 362000 ha) et pas 100%, ni 50. Ce qui serait bien tout de même est de pouvoir tester les proches des positifs . Et si on le fait pas, isoler le positif loin d'eux, + confiner la famille au moins 10 jours.
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A l'époque où en France le confinement a été déclaré, il était beaucoup trop tard pour ne confiner que les personnes âgées et fragiles. ça ça ne peut marcher que au tout début de l'épidémie, dès les1° cas . Sinon ce n'est pas suffisant. l’Allemagne est la Suède n'ont confiné personne, seulement les positifs testés - Sinon ils ont simplement recommandé aux anciens et fragiles de ne sortir que pour le strict essentiel ; ce que d'ailleurs a fait la France, avant le confinement.
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Et bien vas-y, et au lieu de te confiner sur forum.f, sors : vas aider un peu les soignants,des hôpitaux les personnels des Hepad, leurs femmes de ménage, livreurs, cuisiniers. Et n'oublie pas de leur dire que le confinement ça sert à rien parceque que les cas baissent tous seuls partout dans le monde. he ben c'est ça, vas-y, prends toute ta liberté et soignes-toi tout seul chez toi, et viens pas pleureret réclamer quoi que ce soit si tu as le covid un cancer un infarctus ou quoi que ce soit d'autre, démerdes-toi toi-même ! ta santé t'appartiens !
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Non, plus on confine moins il y en a. On en est aujourd'hui à 1500/2000 nouveaux cas/ jour, alors qu'on fait 5 fois plus de tests qu'au début du confinement. Une semaine après le début du confinement et pendant 15 jours, soit la durée d'incubation, on avait 3000/4000 nouveaux cas /jour. 2000 hospitalisations/jour ; aujourd'hui,on commence à avoir qq centaines en moins/jour. Ben oui il y a des moments comme les épidémies où le bon gré individuel n'est pas compatible avec la santé publique de tous - qui est bien la santé de chacun.. C'est pas drôle mais il existe que ça plaise ou pas des situations de force majeure .
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Peut-être parce que les personnes âgées et fragiles sont elles aussi la population, tout autant que les autres ? Si on accepte comme tu dis la mort inévitable massive de ces personnes, ça veut dire accepter celle de proches, voire celle de soi-même - (rappellons au passage que ce ne sont pas que les archi-vieux et/ou porteurs de pathologie lourdes qui y passent) Sans parler qu'outre la mort, la maladie en inflige des vertes et des pas mûres aux malades comme souffrances, pas seulement les plus graves ; je ne suis pas sûre que la population accepte là aussi d'avoir à s'y coller - car là beaucoup plus de gens que ceux qui mourront peuvent s'y trouver confrontés.
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Mais c'est ce qui s'est passé en France au début - les 1° clusters ont réagi exactement ainsi. (en Haute-Savoie, en Bretagne, dans l’Oise). Mais ça devient beaucoup plus compliqué quand 2000 personnes réunis dans un rassemblement, comme celui évangéliste de Mulhouse, se contaminent à 80% sans le savoir car pas de symptômes et se disséminent ensuite sur tout le territoire en contaminant des milliers de gens avant que tous ceux-là s'en aperçoivent aussi, toujours car incubation asymptomatique de 5 à X indéfinis jours, et contaminant pareil à leur tour autant chacun. A partir de là, isoler juste les malades n'était plus possible car on n'en connaissait qu'une infime partie, et était devenu de toutes façons totalement insuffisant car la contagion se propageait exponentiellement absolument partout. "confiner 100% de la population ne peut être une quelconque solution à une quelconque épidémie".. donc la moitié des Etats de la planète est à la masse ? La Corée est hyper rodée aux épidémies car par 2 fois dans la décennie précédente en a morflé, et la population est hyper-réactive - pas que leur gvt. Elle s'auto-applique instantanément les gestes et attitudes barrière, plus auto-confinement perso dès le moindre doute sur leur propre santé - En France combien ont seulement appliqué les simples gestes (pas faire la bise, pas se serrer la main, distance de 1 m, se laver les mains) avant la date pile du confinement ? alors que ces gestes étaient recommandés depuis déjà 15 jours.
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ben, pourquoi m'interpellez vous, alors que c'était le sens de mon intervention ? Avec "je n'ose imaginer" je répondais à Bombus sur le confinement en France qu'il estimait ne pas servir à grand-chose. Et oui, en effet, j'imagine absolument que la situation aurait été bien pire si on ne l'avait pas fait. Alors certes, comme le non-confinement ne s'est pas produit, on ne peut toujours dire qu'on sait pas si ça aurait changé qq chose. Mais désolée, je crois fermement que ça aurait été pire - et je l'assume ... "gb" .. et bien, qu'y a t-il là encore ? c'est un exemple d'un pays qui a fini par s'y mettre après l'avoir refusé.
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Ben non, on n'en sait rien. Aurais-je dit que je savais qq cose ? Il me semblait justement m'être simplement posé la question, et non avoir "imaginer" qq chose... Je n'ai fait qu'un simple constat : très peu d'hospitalisations pour beaucoup de cas déclarés, dans une proportion qu'aucun autre pays n'a réalisé, y compris en asie. Pourquoi me parlez-vous de la Suède ? ça vient faire quoi dans mon propos ? Je rappelle encore que mon intervention a été simplement de me demander pourquoi certains pays, en citant des exemples caractéristiques, étaient bien moins gravement touchés que d'autres sans que les mesures qu'ils ont prises puissent expliquer une telle différence.
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Pourquoi ? Faire baisser la charge virage plus vite et se rétablir plus vite plutôt que de souffrir comme un dingue pendant 10 à 15 jours de plus, éviter d'engorger un lit d'hôpital une semaine ou deux de plus et par-dessus le marché de contaminer les autres moins longtemps... Alors bon, si tu trouves que ça n'a aucun intérêt... Moi, je pense qu'il n'y a pas que les traitements qui évitent la mort qui sont intéressants.. potentiellement à risque, pas plus que le virus lui-même je crois bien - suffit de faire les examens cardio nécessaires pour savoir s'il n'est pas contre-_indiqué au patient . Tout le monde souhaite un medoc qui guérira les cas graves - mais jusqu'à présent, personne ne l'a encore découvert - En attendant cette panacée, ce qui peut durer longtemps, qq chose qui permet déjà de soulager les autres cas (on dit "légers", mais même là c'est extrêmement douloureux le Covid, éprouvant à l'extrême, avec longue convalescence épuisante, on sort séché) et les rétablir rapidement, ben désolée, c'est déjà un bienfait. Et si un protocole, celui-là ou un autre le permet, qu'on s'en serve .
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Mais si en France on n'hospitalise que les cas très graves et en Allemagne dès les plus légers, il y aurait beaucoup plus d'hospitalisations en Allemagne. Alors que c'est exactement l'inverse. Quant au confinement, je n'ai entendu personne annoncer une "baisse nette au bout de 2 à 3 semaines". Les Chinois sont restés confiné 3 mois à Wuhan , Quand on a commencé le nôtre ils étaient loin d'être stirés d'affaire et avec un confinement bien plus sévère que nous ; tout le monde avait bien vu que ça prendrait du temps pour nous aussi - qu'avant fin avril minimum c'était impossible. Et personne non plus ne l'a vendu comme un traitement miracle. mais un passage obligé car on n'avait pas d'autre choix pour ne pas saturer les hôpitaux et faire exploser la contagion. J'imagine ce que ça aurait donné, si on n'avait rien fait... La GB qui avait voulu s'en passer s'en est mordu les doigts et a rétropédalé -un peu tard.
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ce n'est manifestement pas efficace à eux tous seuls, isolement suivant compris ; vu que ces milliers de tests n'ont pas empêché les Bouches du Rhône d'avoir 6 fois plus de décès que la Haute-Garonne et 4 fois plus d'hospitalisations, , pour un peu moins du double d'habitants. Ce n'est certainement pas l'unique ou principale explication pour qu'un pays ou une ville ait moins de cas grave et décès qu'un autre.
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2 fois d'habitants pour les villes "intra-muros, mais : Haute-Garonne : 222 hospitalisations, 31 décès. Haute-Garonne : 1 362 672 hab Bouches-du-Rhône : 1161 hospitalisations, 209 décès. Bouches du Rhône : 2 024 162 hab Dans ces deux départements, beaucoup d'habitants de petites villes sont hospitalisés dans leur "capitale". On dit que environ la moitié des hospitalisés s'y retrouve. - pour un peu moins du double de population, avec 4 à 5 fois + de tests au moins : 5 fois plus d'hospitalisés, et 6 fois plus de décès en 13 qu'en 31. Alors les tests, c'est très bien - je suis vraiment pour. Mais ce n'est pas THE explication à eux tout seuls pour un faible nbre de morts (comme par ex. on le dit pour l' Allemagne )
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Il y a certainement des éléments qui nous échappent et qu'on ne connait pas encore. Bon, les tests par exemple, bien sûr que c'est un élément de prévention qui compte en permettant d'isoler les positifs rapidement. Mais ça n'explique pas tout -un test n'est pas un médicament... Par exemple, en Bouches du-Rhône -avec Marseille-, qui est le lieu où il y a eu de très loin le plus de tests en France : pourtant, 4 fois plus d'hospitalisations et de morts qu'en Haute-Garonne -avec Toulouse- , qui n'a que très peu testé, avec peu plus d’habitants.
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tout ça ne répond pas à mes questions... qui étaient : - pourquoi les Pays-Bas, qui ne sont pas confinés, ont bien moins de morts que la Belgique qui est confinée, avec moins de tests, et sans dvantage de masques.. - pourquoi les hospitalisations en Allemagne sont 5 à 6 fois inférieures qu'en France ? le nbre de tests peut expliquer un %, mais n'explique pas pourquoi, en chiffres réels, il y a à ce point moins de malades graves (donc moins de morts) Aussi l'exemple du Portugal - Soit : comment se fait-il que des pays, très proches de surcroît, soient bien moins touchés que leurs voisins alors que leurs mesures prises ne peuvent l'expliquer à ce point ?
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Franchement, une des question à laquelle je ne trouve pas de réponse, c'est bien pourquoi certains pays sont plus touchés que d'autres sans avoir fait qq chose de plus et/ou si particulièrement flagrant qui expliquerait vraiment de pareilles différences. Par exemple OK l'Allemagne a fait plein de tests et a beaucoup plus qu'ailleurs de lits en réa . Sauf que très peu de malades y sont allés en réa, et il y a eu également très peu d'hospitalisations ( 5 ou 6 fois moins qu'en France), malgré un grand nombre de cas avérés - comment se fait-il qu'ils aient moins de malades graves que les autres ? Autre exemple : les Pays-bas qui ne confinent pas, n'ont pas portés plus de masques que les autres, ont au % d'habitants 2 fois moins de morts que la Belgique juste à côté - avec 2 fois moins de tests par nbre/hab qu'elle. Pourquoi ?
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Ceux qui meurent suite au protocole de l'IHU sont comptabilisés dans les chiffres des morts de l'IHU, qu'ils meurent en réa dans un autre hôpital ou ailleurs. Les malades nécessitant la réa ne sont pas ceux que la chloroquine guérit. Même l'étude de Raoult le prouve, ses morts et malades partis en réa ont le même profil que dans les autres hôpitaux de France. La solution, c'est que les gens à risque (âge, comorbidité) soient le plus possible éloignés d'une contamination possible : c'est-à dire de toute autre personne potentiellement contagieuse. Pour qu'elles ne tombent pas malades du tout, le risque dévolution grave ou fatale étant bien trop grand. Ce que les résultats ont tendance à indiquer : la chloroquine, ou plutôt on dirait bien l'azytromycine en complément avec hydrochloroquine, ou avec le zinc, permettrait apparemment, non pas de sauver les patients à risque, mais de soigner plus vite et peut-être mieux les autres, peut-être pas tous mais une bonne partie ; ce qui est déjà une bonne chose en soi de souffrir moins et moins longtemps et d'être contagieux moins longtemps. Ce pourrait être intelligent d'utiliser dans ce sens, plutôt que d'en faire une panacée sauvant 98% des malades quels qu'ils soient, ou d'en faire qq chose de juste bon à jeter aux orties...
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Mais quelle serait la raison de lui en donner, puisque même Raoult n'en donne pas et la recommande surtout pas avant examens caridaques ?! Personne et et lui pas davantage, n'a dit que la chloroquine sous la même forme qu'on donne pour le palu servirait à qq chose ! Quand on la préconise, c'est administré dans une structure hospitalière, après électrocardiogramme minimum et autres examens, car ce n'est pas du tout le me dosage qu'un cacheton de Plaquenil ! Et oui, avec l'hydrochloroquine il y a bien des risques cardiaques ! C'est quand même fou de confondre les choses ainsi....
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Je répète : 1- Il est clair que ça ne sera pas possible de faire une rentrée comme si rien n'était avec des classes entères de 25 à 35 élèves et centaines ou milliers d'enfants par établissements. 2- Il est clair aussi que la reprise du travail se fera aussi progressivement - en continuant à privilégier le télétravail pour tous ceux pour qui c'est possible. 3- La rentrée ne pourra se faire que progressivement, par petits groupes - On peut très bien envisager de commencer à re-scolariser d'abord les enfants dont les parents travaillent dans des secteurs dont on peut le moins se passer , en tous cas au début. On accueille aujourd'hui les enfants des soignants, dont on ne peut absolument pas se passer - ni réduire le nombre. A partir de la mi-mai, on pourra ouvrir ce service à d'autres secteurs en commençant par les plus importants.
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C'est pourtant ce qu'il avait bel et bien fait avec ses études précédentes.... 1 fois avec chloroquine, et 1 fois avec hydroxychloroquine, les 2 sans azithromycine pour personne. Présentés à chaque fois comme extraordinaire de résultats. C'est son 3° test, la 1° fois qu'il associe cette substance à la chloroquine qu'il présente depuis le début et toujours encore comme LA substance quasi-miraculeuse - dans le dernier, il présente l'azithromycine comme un composant qui aide, mais ne dit pas du tout à quel point elle change le résultat -combien elle est essentielle.
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C'est dommage quand même que Raoult n'ai jamais dit que ce qui fait manifestement toute la différence dans son protocole, c'est l'azithromycine - sans laquelle l' hydroxychloroquine seule n'a des résultats qu'assez légers. En revanche, avec cette autre molécule, la différence est flagrante. Graphique charge virale à 6 jours : https://www.mediterranee-infection.com/hydroxychloroquine-and-azithromycin-as-a-treatment-of-covid-19/ Des médecins se sont penchés sur cette piste, en utilisant l'azithromycine + du zinc + de l'héparine. "Au total, le Dr Denis Gastaldi affirme avoir prescrit ce traitement à "plus de 200 patients". Résultat, seuls deux cas graves nécessitant une prise en charge en établissement de santé ont été constatés. "On aurait dû avoir au moins deux décès et une quarantaine d'hospitalisations", justifie le médecin généraliste. Son confrère originaire du Grand Est ne constate également plus de décès ni d'hospitalisation depuis qu'il prescrit le cocktail, soit environ quinze jours." "Le protocole présente toutefois des limites. Les patients traités n'ont pas été au préalable testés positifs au Covid-19, étant donné que les tests ne sont pas destinés à la médecine de ville. Il est donc possible que nombre d'entre eux n'aient en fait jamais contracté la maladie malgré leurs symptômes." Cependant, leurs patients avec aussi les mêmes symptômes et pas testés non plus, avaient développé, sans ce traitement, bien plus de formes graves (celles décrites ci-dessus). https://www.maxisciences.com/sante/covid-19-un-possible-remede-trouve-par-trois-medecins-generalistes-francais_art44405.html
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si les classes reprennent, il sera plus que certain que le personnel ne leur tournera pas le dos.. et que sur l'hygiène il le sera, irréprochable - Il faut pour cela que les consignes de sécurité soit certaines d'être assurées - donc forcément peu d'enfants en même temps. Actuellement, les enfants des soignants sont accueillis dans les écoles, depuis le début du confinement ( précisément par petits groupes, 5/7 enfants par classe). Les règles sont très strictes, croyez-moi que le personnel fait attention... Pour votre ado, vous ferez comme vous voudrez ; je ne crois pas que l'on pourra obliger quiconque à envoyer son enfant dans un établissement - moins il y en aura, mieux ce sera, surtout ceux qui arrivent à travailler tout seuls correctement à la maison pour qui ce ne sera pas bien grave de ne pas y aller.. Mais ce dont je suis sûre, c'est que les personnels ne réintègreront pas les écoles sans que des normes maximales de sécurité pour tous soient assurées à 100%.
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ça peut aussi être par secteurs de métiers à privilégier ; je rappelle qu'aujourd'hui les enfants de soignants sont reçus dans les écoles pour permettre à leurs parents de travailler ; ils sont reçus par petits groupes 5/6 par classes.. Tout le monde le sait, ça.