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Tout ce qui a été posté par Savonarol
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Enfile tes bottes et ton casque à pointe, et viens marcher au pas avec nous autres
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Je ne vais pas vite en besogne, je tente de décortiquer les rouages de l'assentiment populaire et je crois comprendre que ce n'est pas plus la proposition que la couleur de celui qui la propose qui conditionne les réactions à son égard. Les mêmes idées formulées dans une mauvaise bouche, et ça serait le scandale assuré. Ainsi, je mets le doigt sur quelque chose de fondamental : qu'est-ce qui, de nos jours et au sein d'une société où le sentimentalisme règne à la place de la Raison, fait la différence entre le bien et le mal sinon la couleur politique présentée comme telle de celui de qui émane la proposition ?
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Je fais remarquer, tout comme ping, que ce genre de politique flirte étrangement avec l'aktion T4 des nazis, et que ça ne sont pas les socialistes qu'on renvoie au nazisme systématiquement dès qu'ils ouvrent la bouche. Alors pourquoi les gens qui se réclament du camp progressiste (camp qui regroupe absolument tout ce qui n'est pas désigné comme étant "l'extrême droite") semble trouver ça si "bon" ? Exactement comme tous les autres partis politiques. Intéresse-toi au PS en 1980 et au PS en 2015, c'est la nuit et le jour.
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Question à la cantonade : Si c'était le FN qui proposait et défendait l'euthanasie jusqu'à sa pratique sur des malades mentaux comme dans le cas qui nous occupe sur ce sujet; combien parmi vous crieraient à l'eugénisme et invoquerait le Dr Mengele et le régime nazi ? Ne suffit-il juste pas que l'assassin ait le tampon "démocrate" pour perpétrer ses crimes en toute impunité, et avec l'assentiment du peuple par dessus le marché ?
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C'est la société qui légifère et intervient pour tuer un être humain, quelque soit la manière dont tu retournes la chose. Comme je l'ai dit plus tôt, il n y a aucun pays qui pénalise le suicide, chacun dispose de sa vie comme il l'entend mais il n'a pas à mêler la société (c'est à dire l'ensemble des citoyens qui la compose) à ses envies de mort.
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Ca n'est pas le rôle d'une société de décider qui doit vivre ou mourir en son sein. On n'a pas aboli la peine de mort pour exécuter des dépressifs.
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La société s'effondre en ce moment même, mais les aveugles ne le voient pas parce qu'ils ne savent pas et n'ont jamais su ce que c'étaient : une civilisation. Ils procèdent à des incantations apprises par coeur et se référent au passé (forcément moyen-âgeux et malsain) pour juger du présent (où tuer devient hype, cool, "moi-je") Tout cela, toute cette merde individualiste qui déstructure à vitesse grand V toute notion de collectivité, d'éthique, de vision à long terme et de spiritualité au profit du désir immédiat et des caprices des uns et des autres, procédant ainsi à l'abêtissement de la conscience collective, c'est ce que Clouscard appelait le triomphe de "la bête sauvage".
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N'importe quoi. Une civilisation comme vous la décrivez n'est pas une civilisation, c'est un monde individualiste dirigé par le "moi-je", et donc par l'argent et le désir égoiste. Une civilisation, ça implique un rattachement à une culture et à une manière de penser, de voir le monde, manière de penser dans laquelle la mort est une chose à éviter quand bien même elle serait désirée par l'individu. Le culte de la mort, ça ne profite qu'à ceux qui le vendent. Oui elles le sont. Toutes les civilisations mettent la vie au premier plan. Dans toutes les civilisations, c'est mieux de faire un enfant que de mourir, c'est mieux d'être jeune que vieux, c'est mieux de vivre que de mourir. Elle en a déjà le droit : il n'existe aucune loi qui enferme les personnes ayant raté leur suicide pour "tentative de meurtre". En revanche, la société ne donne pas de sésame, et encore moins d'aide physique pour éliminer ses citoyens. On a pas aboli la peine de mort pour se mettre à piquer des dépressifs.
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Non c'est une réalité transcendantale, toutes nos existences sont bâties autour de la vie, la mort c'est le néant, on ne construit rien autour du néant.
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Il y a un constat général : la vie c'est mieux que la mort. A ce titre, on ne condamne pas les gens à mort et on ne les "aide" pas non plus à mourir.
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Je suis complice si je suis au courant et que je ne fais rien. Si untel est dépressif et qu'il se suicide, je ne vais pas mettre son cadavre en prison; mais il n'est pas question non plus que la civilisation dont je fais partie l'aide à mettre fin à ses jours. On oriente une civilisation dans le sens de la vie, pas dans celui de la mort.
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Merci pour cet avis éclairé, je désespérais d'en lire un. Si une personne est dépressive, elle se suicide par ses propres moyens. La société n'a pas à interférer dans sa décision ni à s'en rendre complice. Le signe envoyé est "la civilisation préfère la mort à la vie, c'est égal". Qu'un pays (dont je lis ça et là qu'il est "civilisé" parce qu'il accepte de tuer ses dépressifs) cède et s'investisse dans la destruction de la vie d'une de ses citoyenne, c'est extrêmement grave.
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Non, ce n'est pas le titre d'un topic troll, c'est la réalité de ce qu'il se passe en Belgique en 2015, où une jeune fille de 24 ans en parfaite santé physique, mais "mal dans sa peau et dépressive" a obtenu le droit de se faire euthanasier. http://m.france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2015/06/23/belgique-laura-24-ans-mal-dans-sa-peau-depressive-mourra-cet-ete-par-euthanasie-754585.html Alors qu'en France, nous devisons sur l'éthique concernant l'arrêt des soins de Vincent Lambert, en Belgique on procède à l'euthanasie de jeunes filles à leur simple demande.
- 286 réponses
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- suicide
- euthanasie
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Comment penserions-nous sans le nazisme ?
Savonarol a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Philosophie
Quoi, qu'est ce que tu voudrais que je prouve ? Que j'aille tailler la bavette sur le révisionnisme avec un déporté ? C'est ça que t'appelles "du courage" ? Et pourquoi pas m'envoyer discuter gang bang avec une victime de viol ? C'est complétement idiot ce genre de propositions, ça n'a pas le moindre sens. C'est pas un dialogue que tu me proposes, c'est un pèlerinage, et les pèlerinages n'ont pas du tout vocation à faire naître des débats contradictoires. -
Comment penserions-nous sans le nazisme ?
Savonarol a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Philosophie
Ca n'est pas mon propos, ne faites pas semblant de ne pas comprendre de quoi je parle lorsque je parle de l'usage que l'on fait de la mémoire, alors même que je le précise à chaque fois. Puisque vous êtes pour le débat, vous êtes contre la loi Gayssot j'imagine. Je n'ai pas besoin du témoignage d'un ancien déporté pour savoir ce qu'il s'est passé pendant la 2nd guerre mondiale, je l'ai appris à l'école. Le pathos n'a aucun espèce d'effet sur moi parce que j'en mange depuis la 3eme. Si vous voulez vraiment vous montrer convaincant, arrangez une rencontre entre un révisionniste et un affirmationiste, le tout filmé, et diffusez le sur internet. Là, je serai intéressé, parce que c'est le genre de choses que je n'ai jamais vu; un débat contradictoire de ce type, et que je ne suis pas près de voir puisque la loi n'autorise que l'un des deux camps à exprimer ses opinions sur la question. -
Comment penserions-nous sans le nazisme ?
Savonarol a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Philosophie
Ca se voit. -
Comment penserions-nous sans le nazisme ?
Savonarol a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Philosophie
C'est bien là où tu fais erreur, je ne suis soumis à aucune idéologie ni à aucun dogme. Je suis agnostique, ni juif ni catholique ni musulman, je n'ai pas de déportés dans ma famille ni de collabos, et quand bien même je ne me sentirais pas pour autant responsable de ce que des gens morts avant ma naissance ont pu faire de leur vie ni ce qui les a motivé à le faire. Je me contrefous de ce qui se passe en Palestine, je n'ai jamais mis les pieds en Israël, je me fiche du sort de ce pays, qu'il dure ou meurt, ça m'est complétement égal, et pour moi un génocide en vaut un autre. Quant aux juifs, puisque je ne le suis pas, je les considères tous comme des goyim. Je n'ai pas de parti pris. En revanche, j'ai un bon esprit critique et je pense maîtriser pas trop mal l'outil dialectique, du coup il ne suffit pas qu'on me dise "il est interdit de se poser des questions sur ça ça ou ça" pour que je ne le fasse pas, ça aurait même tendance à me pousser à le faire. Mais toujours "sans armes ni violence et sans haine", à la Spaggiari, juste de la curiosité. -
Comment penserions-nous sans le nazisme ?
Savonarol a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Philosophie
Qu'as-tu lu de Garaudy et de Faurisson ? Le reste de ton post ne m'impressionne pas. J'hallucine. Quatre pages d'enculage de mouche pour finalement revenir par vous-même au thème de ce topic. Comment vois-tu le monde sans cet héritage ? A quoi penses-tu qu'il ressemblerait ? -
Comment penserions-nous sans le nazisme ?
Savonarol a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Philosophie
Tu m'intéresses, tu as lu quoi de Garaudy, toi qui le cites à chaque fois que tu postes ? Et as-tu Finkelstein ou là encore tu délègues ton esprit critique à un tiers? Quand je commence une phrase par "je dis que", c'est que je sais bien ce que je dis, puisque ça sort de ma bouche. Ce que je dis ci-dessus paraphrase ce que tu cites et à quoi tu réponds. Pourtant tu dis "non, vous dites que". -
Comment penserions-nous sans le nazisme ?
Savonarol a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Philosophie
Je dis que la mémoire de la Shoah sert à castrer l'opinion publique de toute vélléité de critique à l'endroit d'Israël ou de la communauté juive en France, il suffit d'écouter ses représentants invoquer l'holocauste et l'antisémitisme toutes les 20 secondes pour s'en rendre compte. Pour quoi d'autre sinon ? Intéresse-toi au financement de ces associations de la mémoire. Je suis quand même bien sympa de continuer dans ton HS alors que théoriquement, tous les échanges que nous avons ici devraient faire l'objet d'un autre sujet, posté dans la partie politique celui-ci. -
Comment penserions-nous sans le nazisme ?
Savonarol a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Philosophie
Tes interminables interventions divinatoires et leurs natures inquisitrices sont la démonstration de la problématique que je développe dans ce topic, et tu me donnes raison sans le vouloir. Toute ta phraséologie et ta méthode confine à l'intégrisme religieux. Toutes tes réactions sont conditionnées par ce qu'on t'a enfoncé dans le crâne aux forceps et qui te fait aujourd'hui développer un "6eme sens" de divination à vouloir lire dans les entrailles du topic "ce que peut bien vouloir dire son auteur". Quand bien même tu ne sais strictement rien de mes convictions sur le sujet, ça changerait quoi au fond du sujet que je sois révisionniste, nazi, membre du kkk, ou encarté au parti socialiste ? "Les grands esprits discutent des idées; les esprits moyens discutent des événements; les petits esprits des personnes." Tu continues de le faire pourtant depuis le début de ce topic. Est-ce que je t'excite ? -
Comment penserions-nous sans le nazisme ?
Savonarol a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Philosophie
Ce que je veux dire c'est que les répercutions politiques sur les découvertes historiques de ces périodes sont moindres par rapport à celles de la 2nd guerre mondiale sur laquelle est érigée notre civilisation actuelle. -
Comment penserions-nous sans le nazisme ?
Savonarol a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Philosophie
Ah mais tout à fait, simplement tu vois ici la perversité de la chose : mes contradicteurs nient qu'il y a un dogme. C'est à mon sens la pire des aliénations. Au moins, du temps de l'inquisition, le mécréant sait ce qu'il risque à l'être. Là, il est nié que l'inquisition existe par les croyants. C'est comme si devant un bûcher, l'assistance disait "mais non voyons, personne ne brûle sur ce bûcher allumé où se trouve une sorcière !" Non bien sûr, par ailleurs je ne crois pas que la vérité soit une préoccupation du pouvoir. -
Comment penserions-nous sans le nazisme ?
Savonarol a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Philosophie
Ce ne sont pas des octogénaires qui sont en charge de la mémoire de cette époque, ce sont les organisations liées à Israel qui balancent du procès à qui mieux-mieux au coeur d'un contexte geo-politique qui place cet Etat en perpétuelrl tension. On a besoin d'entretenir la culpabilité et la passion vis à vis de cette période parce qu'il devient très compliqué d'éprouver naturellement de la sympathie pour l'Etat d'Israël, et à contrario, pour ceux qui n'en éprouveraient pas malgré la propagande et pis, auraient envie de creuser plus loin; il y a les lois mémorielles Ils sont le fait d'une élite, pas du peuple. Le peuple ne se pose pas de questions, c'est de là par exemple que vient la haine du gauchiste pour le prolétaire qu'il a fantasmé et par qui il a finit par être déçu. Lénine en parle bien dans son livre "la maladie infantile du communisme", le bourgeois révolutionnaire qui décide à la place du prolo qu'il doit être un révolutionnaire, alors que les préoccupations du prolo sont bien plus simples (avoir une augmentation, partir en vacances - à notre époque) , la révolution il se la met sur l'oreille. Du coup, le bourgeois, déçu, se met à mépriser ce peuple, qui , s'il ne l'avait pas mis si haut au départ , ne serait pas si bas dans son estime à l'arrivée. -
Comment penserions-nous sans le nazisme ?
Savonarol a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Philosophie
C'est plus simple : je sous-estime l'homme. Plus précisément : je sous-estime l'humanité. La masse, tu lui donnes à boire, à manger et un cinoche (une télé) , sa soif de Justice et de Vérité, elle s'assoit dessus, ou pire : elle la délègue à des gens "dont c'est le métier". Tu vois un peu le truc ? Le problème est différent : les sources sont là, les informations sont consignés, les témoignages aussi, mais il est légalement interdit d'en citer certaines si elles entrent en contradiction avec le roman national. Roman national qui n'a jamais porté aussi bien son nom. C'est également parce qu'il ne peut y 'avoir de récupération politique sur l'histoire de ces périodes. Oula, tu n'en connais pas toi ?