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Tout ce qui a été posté par Savonarol
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J'avais acheté la mienne à 90€ chez je console (en 2007, la xbox360 était un modèle récent) Y'a toujours moyen pour un gamer de trouver sa pitance, de la méga occaz à l'emprunt à un pote ou aux parents, ou du montage de pc lui-même s'il a les compétences. C'est aussi très facile de sombrer dans l'alcool quand on est marginal, et je vous garantis que le manque d'argent n'a jamais empêché un alcoolique de trouver à boire, alors pourquoi empêcherait-il un gamer de jouer ? (sachant qu'un jeu neuf c'est le prix de 2 bouteilles de whisky et que ça se termine beaucoup moins vite) Offre lui une Bible :wub:
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Sa manière de raisonner mélangée à ses mécanismes de défense psychologique est proprement fascinante :D
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Ca m'étonne pas, c'est le même mécanisme addictif honteux : "si je n'en parle pas ça n'est pas un problème et si j'en parle, je me garde d'avoir l'air de penser que c'en est un". Alors qu'en fait, tout le monde sait que les addictions posent un problèmes, SURTOUT celles qui désocialisent. Et y a pas de choix entre "la vraie vie ou le suicide", en arriver à faire un constat pareil , c'est accepter l'échec et on ne peut pas baser sa vie sur un postulat de perdant.
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Ben j'appelle ça une putain de vie de loser. Tu vis, tu joues, tu crèves, quel intérêt ? T'as rien produit, rien laissé, on se souviendra pas de toi, t'existes qu'en 1010001110 , quelle réussite.
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On remarque que les réponses ressemblent bien souvent à des justifications d'ordre personnel qui ressemblent beaucoup à celles que sortent les alcooliques, du type "c'est pas un problème, ça me fait rencontrer des gens" . Ca renvoit au bouquin "le dernier pour la route" d'Hervé Chabalier.
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Dans une lettre ouverte publiée sur Rue89, l'ami journaliste du vice-président du Front national estime que son image est marquée «de façon indélébile» au sein de sa profession. «Je ne suis pas de ceux qui aspirent à être connus. Certains cherchent la lumière, d'autres pas, et il est important de respecter ce choix.» Dans une lettre ouverte publiée ce mardi par Rue89, le compagnon de Florian Philippot s'adresse à la directrice de la rédaction de Closer, Laurence Pieau, lui faisant savoir qu'il est désormais la cible de menaces de mort. En cause, les révélations du magazine people: dans le numéro de vendredi dernier apparaissent en effet sur quatre pages des photos de Florian Philippot en week-end à Vienne en compagnie de son partenaire, un «journaliste de télévision». http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/12/16/01016-20141216ARTFIG00306-revelation-de-closer-le-compagnon-de-florian-philippot-se-dit-menace-de-mort.php
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J'espère que les prochaines études intégreront le déni des personnes concernées dans l'équation. Tu crois vraiment qu'on peut avoir passé un tiers de sa vie à gamer sans se dire qu'on est pas passé à coté de quelque chose ?
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Pourquoi fallacieux ? Si tu lis le reste du post que tu cites concernant FF7, j'explique bien pourquoi je le prends comme exemple, comme étant un RPG très chronovore et enfermant dans un monde féérique. FF7, ça fait vachement penser aux JDR franchement.
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On dirait que j'ai touché à votre maman en osant discuter du rôle du saint jeu vidéo. C'est d'un ridicule.
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Produire un raisonnement ne peut être considéré comme une insulte que par ceux qui ne voient le monde qu'au travers de leur nombril.
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Par exemple, mon propos n'a jamais été de considérer que le jeu vidéo était l'unique responsable du chômage ou de la dépression. "Les chômeurs jouent à des jeux vidéos" ne peut pas mener à "le jeu vidéo entraine le chômage" , à moins qu'on soit de très mauvaise foi. Tous les jeux chronovores je pense, et qui implique un "personnage" virtuel qui autorise le joueur à ne pas affronter la vraie vie. Un avatar. Bah j'ai jamais prétendu le contraire. Heureusement qu'on ne souffre pas quand on joue, sinon ça serait carrément du masochisme :gurp: En fait, je me contente de le pointer du doigt, je ne suis même pas dans le jugement, mais (et c'est toujours une question d'égo) , pour beaucoup : montrer un problème c'est vouloir tuer, déporter, écarteler ceux qui le subissent ( et nient le subissent, le déni étant le problème majeur de notre époque) Après, t'imagines bien qu'en créant un topic sur un forum de discussion, j'attends rien d'autre que ... créer une discussion. J'ai pas la prétention de changer les esprits, je suis pas le messie et j'ai pas vocation à sortir les gens d'une merde où ils pensent ne pas se trouver. Alerté. Tu avais pris mon sarcasme au premier degrés, le premier degrés n'est pas une forme d'humour, c'en est l'incompréhension totale et manifeste.
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Actuellement, beaucoup de no life pensent garder une vie sociale saine : ils passent le reste de leur temps libre sur leur ordinateur sans que cela affecte pour autant, à leurs yeux, leur personnalité et leur vie sociale de manière dangereuse. Pour eux, le jeu est un loisir comme un autre, et le terme no life, dans les jeux vidéo, est perçu comme une banalité. Cependant, selon certains psychanalystes, les accros du virtuels souffriraient tous d'une image de soi défaillante et cette addiction jouerait le rôle d'antidépresseur1. D'autres causes peuvent être évoquées : l'ennui, qui fait que faute de mieux, le no life se consacre uniquement aux jeux vidéo. le besoin de combler un vide émotionnel ou d'être reconnu par les autres. l'envie pour le joueur de fuir son quotidien pour diverses raisons, l'addiction aux jeux vidéo est parfois consciemment considérée comme un moindre mal par le joueur lui-même (notamment par rapport à la consommation de drogues ou à des relations sociales douteuses). les systèmes de récompenses des jeux vidéo établis de manière à entrainer une dépendance lourde au jeu vidéo2, et ce par le biais de la compétition et de la reconnaissance sociale entre les joueurs, ou par le biais de l'augmentation de la difficulté ou du temps nécessaire à l'obtention d'améliorations envisageables appâtant les joueurs soucieux de se perfectionner (rareté des objets). Tout ceci est caractéristique des jeux dits sans fin. l'existence de systèmes formels et informels de réputation, très importants aux yeux des joueurs, qui va privilégier, entre autres, une disponibilité importante des joueurs2 et sera un critère d'admissibilité dans de nombreuses guildes. le goût de parader, afficher son avancée virtuelle (titres, équipement, richesses en « points »). la tendance générationnelle croissante à privilégier les divertissements et activités à domicile au détriment de celles qui s'effectuent à l'extérieur5. Certains parlent même d'expériences physiques lorsqu'ils vivent des événements virtuels socialisant (par exemple se promener ou pêcher avec un ami par le biais des avatars)6. l'aliénation possible entre l'internaute et l'avatar, intermédiaire mais seul dépositaire du regard de l'autre. Cette interdépendance présente un danger connu des psychologues3,6 ou même tout simplement le côté normatif de la société, qui affecte de considérer comme catégorie à part, voire méprisable, tous les individus ne conformant pas leur existence au modèle considéré comme standard. L'univers virtuel étant idéal pour favoriser son narcissisme, l'avatar devient un moyen d'être reconnu et aimé sans être attaquable dans la vie réelle3. Les no life s'investissent lourdement dans la recherche d'échanges, de relations, qui ne pourront pas leur causer de souffrances ou remettre en cause l'image qu'ils ont d'eux-mêmes. C'est l'aspect « social » virtuel, puisque les joueurs sont anonymes et peuvent donc se faire passer pour ce qu'ils ne sont pas, à l'abri derrière leur écran et leur skin (apparence virtuelle et idéale de leur personnage)7. Néanmoins, plus rarement2, certains joueurs peuvent créer des liens dans leur vie virtuelle (à la suite d'aventures en commun, par exemple), qui seront transférés dans la « vie réelle » : certains adeptes de ces jeux se rencontrent réellement et deviennent amis dans la vraie vie (IRL, In Real Life, par opposition aux rencontres dites virtuelles, ou « I.G », c'est-à-dire in game). Conséquences Sociales : La pratique ininterrompue entraîne plusieurs conséquences finissant par affecter à la fois le joueur et son entourage. Cela se répercute sur les liens sociaux du joueur, puisqu'il fréquente beaucoup moins ses amis s'il en a. Privilégiant ses connaissances virtuelles, (liste d'amis, guilde, alliance, et autres systèmes de regroupements dans les jeux vidéo). Il ne pratique que peu plus d'activités de groupe ou plus généralement à des activités en extérieur. Sanitaires : Son hygiène de vie peut également souffrir d'une pratique intensive du jeu vidéo. Il peut également, dans les cas les plus extrêmes, mettre en péril sa propre santé en se nourrissant de manière aléatoire et déséquilibrée, allant de l'anorexie à l'obésité. Il peut aussi faire l'objet d'une fatigue visuelle car les yeux travaillent beaucoup plus longtemps et sont soumis à une concentration permanente (en moyenne, un être humain cligne six fois des yeux par minute devant un écran). Le manque de sorties implique souvent une diminution de masse musculaire. http://fr.wikipedia.org/wiki/Nolife Ca alors, wikipédia est un organe média d'Alain Soral ! Actuellement, beaucoup de no life pensent garder une vie sociale saine : ils passent le reste de leur temps libre sur leur ordinateur sans que cela affecte pour autant, à leurs yeux, leur personnalité et leur vie sociale de manière dangereuse. Pour eux, le jeu est un loisir comme un autre, et le terme no life, dans les jeux vidéo, est perçu comme une banalité. Cependant, selon certains psychanalystes, les accros du virtuels souffriraient tous d'une image de soi défaillante et cette addiction jouerait le rôle d'antidépresseur1. http://fr.wikipedia.org/wiki/Nolife
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J'aime bien Bastien Vives dont j'ai mis une BD un peu plus tôt. C'est pas à proprement parlé un "comique", mais il est super drôle quand il veut. En comique de scène, j'ai pas mal rigolé devant le spectacle de Gaspard Proust, je ris toujours de bon coeur devant un vieux sketche des inconnus, je suis pas mal client de l'humour des Robins des bois à la bonne époque de "la cape et l'épée". Dieudonné aussi est bien drôle, même si il a tendance à pas mal recycler ses spectacles.
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Je me demande si la consommation massive de jeux vidéos contribue à faire perdre le sens de l'humour des gens. :D
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Oh, j'ai beaucoup de mal à le croire ^^ Tue pues la nervosité colérique, ça se sent même à travers un écran. Sans vos interventions HS, à toi et casdenor, autour de la redevance tv, des médocs et autres monoligne, ce topic aurait moitié moins de post et aurait gagné en qualité. Amusez-vous bien.
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Non mais c'est tellement évident; si je te dis "t'es con comme un âne" c'est pas de la discrimination envers les ânes. Cela dit ça fait longtemps que j'ai compris que tu étais totalement dépourvu du moindre sens de l'humour.
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CA ALORS MAIS QUELLE SURPRISE.
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C'est de l'humour purée, un peu comme quand tu dis à quelqu'un qui prend des antibios et qui dit des conneries "mais qu'est ce que tu prends comme médocs?" Sérieux, redescends.
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C'est un neuroleptique et je le mentionne parce que j'en ai plein le cul de devoir répondre à des interprétations de la réalité plutôt qu'à la réalité elle-même.
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Purée stop le tercian sérieux. Je réponds tout seul à tout plein de personne en même temps, et je ne crois pas qu'on puisse trouver dans le moindre de mes posts la plus petite trace de victimisation, contrairement à d'autres qui passent leur temps à pleurnicher sur leur sort sans même s'en rendre compte.
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Je suis totalement démasqué. Je vais maintenant fouetter mes esclaves nègres. C'est aussi généraliste que de me reprocher l'assertion inverse, ça.
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En quoi la création d'un topic annule la totalité des autres points de vue que je défends ailleurs sur ce topic depuis presque un an ? Genre je créé un topic sur les femmes et la drague " buhuhu t'en as rien à foutre des noirs" , je créé un topic sur les noirs " buhuhu t'en as rien à foutre des femmes", je créé un topic sur les femmes noires "buhuhu et les femmes noires gays?" Et les mêmes me soulent avec leur "intersectionnalités".
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Rien ne t'oblige à y participer, qu'est ce que tu fous là ?
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Il faudrait inventer un monde dans lequel le RSA n'ait plus aucune raison d'être et où les gens se sentiraient plus attiré par la vie en communauté, qu'isolés chez eux à se croire unique parce qu'ils ont un pseudonyme et un blog.
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L'outil marxiste est mon outil d'analyse parce que c'est celui que je juge le plus performant dans une société capitaliste. Mais, pour la énième fois, je ne suis pas communiste. Je ne suis pas un idéologue tout court, l'idéologie est un truc de taré , de fanatique et de loser.