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Savonarol

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Tout ce qui a été posté par Savonarol

  1. hahaha t'es sérieux là ? putain les mecs y a juste desfois où faut savoir arrêter la mauvaise foi. http://www.isfoundation.com/fr/news/les-scientifiques-reconnaissent-que-les-animaux-aussi-sont-conscients Alors continue à te taire au lieu de venir me troller avec tes points godwins débiles Tu vois comme c'est vecteur de HS ? Pas bien. Aucun de tes liens ne démontrent autre chose que le fait qu'un végétal est vivant, ce qu'on sait déjà. Et donc ?
  2. Ben c'est la vérité, un végétal n'a pas de nerfs, pas de système nerveux et pas de conscience. Il ne souffre pas. Quoi tu rigoles, c'est à moi d'aller chercher tes arguments maintenant ? Selon la définition du dictionnaire de ce qu'est la conscience. Quoiqu'il en soit, on ne peut pas se passer de manger des légumes (on mangerait quoi sinon ? ) tandis qu'on peut se passer de manger des animaux ( dont on est sûrs qu'ils souffrent, eux, on est pas dans la théorie et la SF)
  3. J'en mange aussi de la viande, comme dit 100 fois ( ) . Le végétal n'a ni de système nerveux ni conscience (comme dit cent fois) Est-ce que tu peux me montrer ces études dont tu parles concernant la sensibilité végétale stp ? C'est surtout facile de pointer du doigt un genre de sensibilité du navet ( absolument théorique et non démontré) pour justifier son carnisme. J'ai dit ça moi ? J'y ai travaillé, aux abattoirs. Je connais un petit peu mon sujet du coup. Sauf qu'à cette époque, je ne me suis posé aucune question. C'était "normal", la souffrance et le sort animal était institutionnalisé dans ma tête, je ne l'ai pas remise en question un quart de seconde. Tous les animaux que je voyais étaient pour moi des entrecôtes, des steaks, des gigots. C'est plus tard, avec le recul, la volonté d'esprit critique et de contradiction ( et face à l'embrigadement psychologique de la foule) que je me suis mis à m'intéresser à la question.
  4. Du coup tu n'as toujours strictement rien démontré et ta petite intervention continue à ne ressembler qu'à un caprice d'enfant boudeur à la hauteur de ta vignette "point godwin". Moi j'argumente, toi tu brailles. clap clap Toujours pas d'arguments ? Je vois Non, mon argument principal est en fait dans le post que tu cites SANS y répondre. Regarde, en voici le contenu (c'était facile, tu le citais)
  5. C'est pourtant ce qui arrive, et tu le sais, tu es donc complice de cette souffrance en continuant à être client de ce qu'elle produit. Je ne suis pas végan, en revanche la plupart des végans que je connais évitent en effet de tuer les araignées et les mouches chez eux. Je trouve que pousser ses actes à défendre les parasites relève de l'intégrisme, quand bien même c'est cohérent pour ceux qui le font. Après on est pas à un paradoxe près, mais j'imagine qu'il n y a pas beaucoup de végans à prendre des animaux en appartement. Et je ne crois pas un quart de seconde à ta solidarité soudaine envers les navets pour mieux légitimer ton droit à bouffer des entrecôtes.
  6. Tout chose vivante est par définition "sensible", il faut ensuite être honnête et aller jusqu'au bout de son raisonnement. La sensibilité d'un yuka à la lumière n'est pas du même ordre que la sensibilité d'un être vivant à la douleur. Du coup de quoi parles-tu quand tu évoques la "sensibilité" des végétaux au juste ? En effet, pourquoi pas ? Peut-être parce que ça va poser des problèmes logistiques de pister les charognes de vieux gibier et que le vieux gibier ça a un goût de carne ? Et peut-être ensuite qu'on va bouffer des végétaux parce qu'on a pas le choix et qu'il faut bien se nourrir. D'ici à ce qu'on ait réussi à démontrer , prouver que le végétal souffre de sa mort, ça nous laisse beaucoup beaucoup beaucoup de temps pour nous préoccuper de leur sort. En attendant, on a celui des animaux sur les bras. (Mais entre nous, le subit intérêt des gens à la souffrance végétale quand il s'agit de défendre leur droit à croquer dans un steak, je la trouve d'une mauvaise foi absolue ^^ ) Ton plaisir passe par la souffrance de l'animal, c'est bien ça le soucis.
  7. Comment quantifies-tu la souffrance d'un légume ? (Je t'aide, un légume n'a ni système nerveux ni conscience) Par ailleurs : il faut bouffer. Commençons par ceux dont on est sûrs qu'ils souffrent et on s'occupera des endives et de leurs droits après. Sur le "c'est naturel", toute la problématique de l'humanité n'est-elle justement pas de s'éloigner de la Nature ? Sur le plaisir, certes, mais ton plaisir vaut il la mort et la souffrance d'être vivant doués de sensibilité ? Toute comparaison qui te gêne n'est pas pour autant absurde parce qu'elle te gêne. On a là depuis des siècles une industrie qui abat et conditionne des êtres vivants pour que tu les bouffes, êtres dont on a longtemps dénié la sensibilité tout comme on déniait aux juifs leur appartenance à l'humanité chez les nazis. On abat les animaux de manière industrielle tout comme on abattait les juifs de manière industrielle dans les camps de la mort. Donc oui, mon parallèle est tout sauf inapproprié et je suis loin d'être le premier à le faire, d'autres en ont écrit des livres entiers. Développe ? Ah non rien. Du coup tu peux faire mumuse avec alain75 (au fond à droite le bac à sable) Les végans oui si ça leur chante, j'en parlais un peu plus tôt : pourquoi ne pas manger nos morts au lieu de gâcher toute cette nourriture en les enterrant ? N'est-il pas plus moral de bouffer pépé qui vient de crever que Marguerite qui a encore toute la vie devant elle ? Après tout , comme on nous le répète tant : "c'est la culture qui fait tout", alors quoi ?
  8. Oui, tout pareil, pour illustrer le déni des polissons ( ) dans ton genre qui, au lieu de tenter une contre argumentation, pètent, rôtent, font des blagues de cul et postent des images qui illustrent parfaitement leur incapacité à sortir du stade anal. 5 ans, donc. Et je suis généreux. Pour le reste : http://fr.wikipedia....aux_et_la_Shoah
  9. C'est pas parce qu'il te gêne qu'il est douteux, mon rapprochement.
  10. Alors évite au moins de jouer au clown avec tes points godwin, on a déjà dino marin comme boulet professionnel en la matière.
  11. Il serait vraiment fier de lui, Hitler, de savoir que 70 ans après sa mort on brandit son nom comme une formule magique pour éviter le débat. Je connais tout ça. Oui c'est vraiment fascinant. Le monde entier vit au centre d'une forclusion générale pour éviter d'avoir à affronter la réalité.
  12. La question de la santé est à balayer d'un revers de main puisqu'il est facile de compléter l'alimentation à coup de pilules, ou si l'on est pas intégriste, en se mangeant un oeuf ou deux. Donc tu l'as dis, c'est pour le coup une "croyance" mais en tout cas une fausse excuse. Le plaisir gustatif, en effet, c'est un argument recevable qui mais ne dédouane pas de la question morale. "J'aime chasser le nègre, pourquoi n'aurais-je plus le droit de chasser le nègre ? Quoi ? Ce sont des êtres vivants qui souffrent? :( On en veut à ma liberté ... " Sérieux, les bonnes raisons manquent quand même vachement. Je précise que je ne suis pas vegan, j'aime bien juste mettre les croyants de tous poils face à leurs contradictions.
  13. Je pense que les réactions des nazis lorsqu'on les mettait face à leurs crimes étaient du même ordre. "On suivait les ordres, c'était la guerre" , le déni quoi.
  14. T'es pas sortie de l'auberge, ce sont des réactions de défense et de déni auxquelles tu fais face. Reconnaître la souffrance animale, c'est admettre que l'on est soi-même un assassin et un tortionnaire égoiste qui se repaît de la souffrance pour le plaisir égoiste du contenu de son assiette, tout comme reconnaître qu'un embryon est vivant c'est admettre que l'IVG est un homicide, et nous vivons dans la génération du déni absolu. Déni soigné à coup de sarcasmes, qui prouve qu'on a posé les bonnes questions et qu'ils ont du mal à fournir de bonnes réponses.
  15. Le veganisme prend la question du point de vue des animaux là où le végétarisme le prend du point de vue humain (santé, écologie, tout ça) Mais j'ai toujours pas lu une seule réponse à la question posée dans ce topic : si (puisque ) nous pouvons nous passer de viandes, pourquoi continuons nous à en manger (trop en plus) et donc à détruire des vies pour remplir nos estomacs d'humanoïdes gras et passifs ?
  16. C'est surtout autour de la souffrance que se conçoit notre éthique. L'éviter ou la provoquer.
  17. Dans une moindre mesure il est assez logique que nous nous soucions du sort du règne animal puisque nous en faisons partie, plutôt que du sort des protozoaires ou des virus tout vivant soient-ils. Si : l'observation et le ressenti qui fait qu'on ressent plus d'empathie pour un animal , puisque nous faisons partie de ce règne, que pour un végétal ou une bactérie, qui par ailleurs ne souffrent pas. C'est très rationnel, pourvu qu'on est pas envie de couper les cheveux en quatre. (ce qu'on ne se prive pas de faire malgré tout) Eh bien la question de pose dans notre civilisation.
  18. Non mais j'ai un chat sur mon canapé et des endives dans mon frigo, j'arrive à voir la différence entre les deux. Cela dit rien ne t'empêche de militer contre la souffrance des endives si tes arguments parviennent à me convaincre.
  19. La salade n'est pas un être vivant douée de sensibilité. Il suffit d'adopter une salade pour s'en rendre compte. Dénoncer la destruction des arbres, je n'ai aucun problème à le faire également, mais pourquoi chercher des excuses ailleurs pour se dédouaner d'être un assassin ? C'est un système de défense qui me laisse toujours sans voix. Genre "tu as tué ma mère" réponse " oui mais ta mère tuait bien des mouches". Avec vos salades vous êtes quand même bien barrés les mecs. La salade n'a pas de système nerveux, pas de conscience, pas de nerfs, tandis qu'il est facile de comprendre en observant un animal qu'il réagit à la douleur exactement comme nous. Oui , et ? Ce qui me cloue c'est le perpétuel déni. On se croirait sur le topic de l'IVG où pendant 30 pages le camps des défenseurs de l'IVG va tenter de démontrer qu'il n y a pas homicide puisque "l'embryon n'est pas un être vivant" au lieu d'assumer que c'en est un pour ensuite expliquer en quoi il est légitime de le tuer. Je mange de la viande, moi, mais face à un vegan j'aurais bien dû mal à légitimer ma position de carniste autrement qu'en invoquant mon bon plaisir (comme le fait Alain75 par exemple) . Ethiquement, ça n'est pas défendable à partir du moment où : on sait faire autrement / on peut faire autrement.
  20. Surtout que cette phrase est en fait de WILLIAM WALLACE :) Charb n'a fait que se l'attribuer pour faire le malin.
  21. Tuer sans faire souffrir c'est respectueux tu trouves ? Oui tout à fait, pourquoi pas ? Pourquoi ne pas bouffer nos morts comme je l'ai dit plus haut ? Je ne reçois pas l'argument de la souffrance végétale ( du moins jusqu'à ce qu'on me prouve qu'il y a une réelle souffrance comparable à ce qu'on peut imaginer comme étant "souffrance" sur le plan animal) Ben c'est pas plus con que de manger des animaux qu'on doit tuer avant , quand on y pense. Manger des morts déjà morts après tout, c'est déjà plus "humain". Perso si j'ai le choix entre les deux, je préfère me taper un bol de riz.
  22. Selon quels critères désignes-tu un abattage "respectueux" d'un abattage "non respectueux" ? Ce peut être une raison en effet
  23. Pourquoi ne pas manger nos morts ? Après tout ils sont morts, ils ne souffrent plus. Pourquoi ne pas bouffer ton grand père en grillades avec un bon chianti après sa mort plutôt qu'un animal qui a encore toute sa vie à vivre devant lui ?
  24. En attendant nous n'avons jamais eu besoin " d'études" pour comprendre que les animaux souffraient si on les torturait. Il suffisait pour cela d'ouvrir les yeux et de voir. La souffrance de la salade et son approche expérimentale peut difficilement être mise sur le même plan que celle d'animaux qu'on exécute à la chaîne pour en faire des steaks.
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