Savonarol

Trop long, ça fera l'objet d'un autre topic. :D

Le docteur Petiot alors

C'est dino marin qui dit ça, c'est LUI qui parle de la shoah , et la shoah ne concerne que le génocide juif. Moi je lui fais remarquer que je ne partage pas ce point de vue. Quoi, donc on devient soudain patriote pour commémorer les génocides et mondialiste le reste du temps ? On a le patriotisme uniquement victimaire ? Alors dans ce cas, exaltons le patriotisme au point de ne plus célébrer que les morts français de la 2nd guerre mondial, et non en en essentialisant leurs origines religieuses ou ethniques. Ce que moi je regrette, c'est l'utilisation de la mémoire de l'holocauste et de la culpabilité de la France concernant la période de la collaboration à des fins bassement, crapuleusement politiques.

Comment tu fais pour comprendre ça en lisant ce que j'écris ? T'as un sérieux problème mental mon pote: la shoah ça compte autant qu'un autre génocide. Y'a pas de hiérarchie à adopter dans le classement des génocides, la hiérarchie engendre le sentiment d'injustice et la volonté de compétition.

Qui te dit que je n'en fais pas déjà ? C'est problématique pour un végan de défendre le droit d'un oeuf de poule à vivre tout en militant pour le droit d'une femme à occire un foetus humain.

Quoi, parce que toi tu hiérarchises les génocides ? Selon quels critères ? C'est quoi ton top 3 ? Reprends ta phrase dans l'autre sens : "L'holocauste est finalement aussi grave que n'importe quel autre massacre", ça va mieux là ? Génocide Rwandais : Combien tu estimes le nombre de charniers goys qu'il faut pour valoir un charnier juif ?

Ca veut dire que la pauvreté en occident à des allures de richesses vue de l'étranger, la preuve : nos pauvres sont obèses. L'homme n'a précisément de cesse de sublimer sa nature animale pour se distinguer de ce règne. Nous sommes des animaux politiques, à ce titre il est logique que nous utilisions l'outil éthique et morale que nous avons élaboré depuis que nous marchons debout pour être cohérent avec nous mêmes et avec ce qui nous entoure. Qu'est ce qu'on est pas près à cautionner comme délire sur la violence pour continuer à se bâfrer de travers de porc dans son fauteuil. IV est paradoxale, elle est pour l'IVG. Même là t'arrives à invoquer l'extrême droite ? :gurp:

Oui mais c'est cuit (caramélisation) C'est grave de tuer si on peut faire autrement.

Je suis bien plus ouvert d'esprit que tu l'imagines.

Je ne m'en fais pas parce que si on a déployé autant d'imagination pour asservir, tuer, découper, conditionner et vendre des animaux, on aura pas de mal à mon avis à trouver un moyen de les laisser vivants. Comment on faisait avant ?

Mes papilles me guideraient naturellement vers ce qui les excite, et un animal (mort ou vivant d'ailleurs) ne les excite pas. T'as déjà salivé en caressant ton chien ? Moi en sentant les framboises de mon jardin, oui. Et les poireaux en salade c'est très bon

Eh bien déjà, la prise de conscience que notre régime alimentaire est vecteur de souffrance animale et que nous n'y sommes pourtant pas forcés. Pour la nature, je ne m'en fais vraiment pas pour elle. Elle régule ce qui se trouve en son sein très bien, fais sortir des maladies au bon moment, fait disparaître des espèces au profit d'autres. En tout cas, j'imagine bien qu'il y a d'autres solutions , pour la préservation de l'écosystème, que de bouffer nos animaux ^^ Ca aussi ça se change. Caramélisation, comme je viens de le dire. Ils aiment les condiments ajoutés au tartare, la viande rouge crue toute seule, c'est immangeable. (essaie tu verras) Bah dans le jardin de mes parents, j'ai l'habitude de croquer de la ciboulette, de l'oseille, de la laitue, mais j'irais moins naturellement croquer dans une charogne de souris. Toi si ?

Oui tout à fait, dans ce décorum, avec cette cadence, c'est complétement de la putain de propagande. Ensuite, on peut justifier bien sûr cette propagande, mais ça reste de la propagande; t'appelles ça comment toi ? Un documentaire historique ? Tu veux dire 300 documentaires historiques, tous les jours toutes les semaines, de plus en plus souvent sur toutes les chaînes à mesure qu'on s'éloigne de la guerre. J'ai jamais autant vu un sujet traité à la TV, et pourtant c'est pas les sujets d'histoire qui manquent. Donc au bout d'un moment : QUI n'est pas informé qu'il y a eu une guerre contre les nazis et qu'on l'a gagné ? Une fois le but d'information dépassé : on est dans la propagande. Purée, comment tu veux qu'on oublie un truc pareil vu à quel point on nous en parle tout le temps ? Et je commence à en avoir plein le dos du caractère perpétuellement "exceptionnel" de cette guerre qui place un génocide au dessus d'un autre. Merci pour les noirs qui ont subit des siècles d'esclavages, merci pour les amérindiens dont le peuple et la culture ont été décimé par les colons, merci pour les arméniens, merci pour les rwandais, merci pour les victimes du communismes, des khmers rouges, de Mao, ils doivent être vachement content de savoir que "c'est pas pareil" car c'est une guerre " pas comme les autres". C'est bon pour la paix civile, cette unicité de la souffrance.

De toutes façons la question de la nature animale de l'humain ne se pose pas dans le débat : nous sommes capables de réfléchir à cette problématique parce que nous sommes humains, et depuis notre philosophie, conception de l'humanité, éthique humaine. Si nous décidons de sauver les animaux, nous le ferons depuis nos règles d'humains. Du coup savoir si éthologiquement on est herbivore ou pas, c'est pas très utile au débat.

Un jour, un ami m'a fait cette remarque : " si nous étions herbivore, alors nous ne saliverions pas devant l'odeur d'un steak". C'était pas idiot, je l'ai souvent ressortie, et puis je suis tombé tout seul sur le défaut de cette logique. Lorsqu'on salive devant un morceau de viande, une entrecôte, un steak, c'est pas l'odeur de la viande qui nous fait saliver et nous donne envie ( on ne salive pas devant de la viande fraîche dans une boucherie), c'est la caramélisation due à sa cuisson qui nous fait saliver. C'est à dire le sucre ! En fait, quand on regarde ce qu'on mange, tout ce qui nous permet de faire "passer" ça , c'est l'assortiment de légumes, la cuisson, les condiments, c'est à dire ce qui donne du goût à la viande car sans cela elle n'en aurait pas autant. Ca veut dire qu'on est obligé d'imaginer des combines pas possible pour être capable d'ingurgiter quelque chose qu'on ne mangerait pas sans ça. Et on appelle ça "gastronomie". C'est tout proprement humain, mais y 'a rien qui relève de notre instinct de mangeur de viande hypothétique Non il ne suffit pas, mais t'avoueras que c'est quand même essentiel dans la démarche.

Non mais tu le fais tout le temps et partout. Si je devais prendre un seul mot pour te décrire, c'est "banalité". Sans surprise, si on me faisait lire un de tes posts en me demandant d'en déduire dans quel sujet tu l'as posté, j'en serais incapable parce que tu écris la même chose dans tous les topics. "on peut revenir au sujet merci" "et voilà des attaques personnelles" " moi moi moi je" " ouiiiin " Je sais pas, je me suis pas occupé de la finition liée à la mise en pratique.

3) et le troisième, c'est qu'à force de taxer tout le monde de nazi n'importe comment, tu vas complétement vider ce mot de son sens, et les gens en face de toi vont se dire " non mais attends, si ne pas être d'accord avec ce troll de dino marin c'est être nazi, alors être nazi c'est cool " Silence sale nazi !!

Ce genre de campagne de propagande pose deux problèmes: 1) le premier c'est qu'à force de crier au loup (au nazi) 30 fois par jours, on va finir par ne plus le voir, le loup, quand il se présentera à nos portes, banalisé qu'il aura été par une surabondance de docu en tout genre sur le même thème. 2) le second, c'est qu'en période de crise, si on présente l'Allemagne nazie comme on le fait aujourd'hui, l'ennemi du monde libre dans lequel on vit, alors ceux qui n'aiment pas ce monde libre ( qui ne le trouve ni libre ni sain) vont se poser des questions sur celui qu'il désigne comme étant le mal. Voilà pourquoi normalement, une fois que la guerre est finie, on s'occupe de l'avenir et pas du passé.

On dirait une bande-annonce sketch des inconnus.

Raconte ? Je me rappelle avoir vu un jour une émission sur la flexibilité du temps avant le big bang, où en gros avenir , présent et futur n'existaient pas avant le big bang sous leurs formes chronologiques actuelle, mais étaient contenus sous la forme d'une "information" un peu comme un CD contient de la musique. Pour lire cette musique, il faut mettre le CD dans un lecteur et appuyer sur "play". Le fait d'appuyer sur "play" déclenche la lecture ( début, milieu et fin du CD) , mais ces données existaient avant que l'on démarre la lecture, sous forme d'information. Selon cette théorie, si je ne m'abuse, passé, présent et futur existant sous forme d'informations, l'avenir existe tout à fait comme donnée exacte. Ca tort le coup au coté "libre arbitre" de l'humanité, parce que ça implique que tout ce qui se passe, ce que tu dis, moi qui écrit ce message, a été programmé et que nous ne sommes pas maître de nos destins ni de nos actes, mais ça reste intéressant.

Ah oui tiens je la cherchais cette vidéo ^^ (merci) Je te parie que tes autres possibilités ressemblent vachement à des synonymes de ces deux mots que j'ai utilisé. T'es une victime en fait.

Qu'est-ce que tu comprends pas dans cette phrase ? Bah tu bouffes de la viande, que le vegan non.

Sans aller si loin dans l'exagération, comment qualifierais-tu une personne qui a la possibilité de causer moins de souffrance mais ne le fait pas ? Un monstre, ou un lâche ? C'est normal, cette remise en question du mode de vie de l'homme occidental lui est insupportable dans une société qui base absolument tout sur le plaisir immédiat et individuel. "Touche pas à mon steak" et autre slogan ont remplacé la morale, la foi et l'éthique, faut donc pas s'étonner que "jouir" (même au dépend de la souffrance animale) soit quelque chose auquel l'homme du XXIeme siècle s'agrippe comme un camé à sa seringue : il n 'a plus que ça. On vit dans une société du "je veux" , c'est à dire un slogan d'adolescents pleurnichards; et quand on pense en terme de "je veux" on ne se pose plus la question de savoir ce à quoi on a droit et ce qu'on doit donner en échange. "On veut", assis sur ses fesses de consommateurs transparent et geignard. Si tu retires (ou juste tempère) le plaisir de bouffer, de boire, de baiser, de gamer ( )à un homme qui n'a rien d'autre, ni cause ni destin, ni combat ni oeuvre, tu lui retires son identité, et sa raison d'être, si pathétique soit-elle. Les romains appelaient ça la décadence, et c'est ce qui a marqué la fin de leur civilisation.

Lequel à ton avis ? A partir de 1h22 (normalement ça démarre à ce passage) https://youtu.be/znYc--p2EjM?t=1h22m

Et pour toutes les autres questions soulevées ? Le temps de construction, les mesures, le nombre d'or, l'utilisation du mètre qui n'existait pas encore , etc etc Y'a 1h40 de docu, alors je veux bien que la personne qui l'a fait se plante parfois ou ne soit pas rigoureuse sur quelques éléments, mais sur la totalité ? Pourquoi personne n'apporte de réponses à ses questions ?