Aller au contenu

Verax

Banni
  • Compteur de contenus

    809
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Verax

  1. Verax

    À partir de Rien.

    Ça me fascine à chaque fois, le fait que de ne même pas prendre la peine de lire ce qui est écrit pour ce qui est écrit. La réponse à ta question, à savoir si c'est bon ou pas, elle est dans le message #315. Si tu avais lu ce qui est demandé explicitement dans la formulation, tu aurais compris tout de suite que ça ne répond pas aux critères demandé, tout comme si tu avais bien regarder le modèle proposé, dans lequel il n'y a qu'un seul terme répété, seulement X et rien que des X. Cette faculté d'interprété sans tenir compte de ce qui est simplement décrit, c'est ça que je voulais mettre en évidence. C'est à la fois l'un et l'autre, une façon de joindre l'utile à l'agréable. Une pause pour montrer le travers dans lequel vous tombez constamment et involontairement, celui de chercher à tout compliquer alors que c'est d'une simplicité désarmante, et c'est en effet exactement le développement proposé pour la bulle d'espace. Tu aimerais connaître la réponse, et bien je te dirai que ça m'est égal, et que le fait que ça m'est égal te sera certainement égal à toi aussi, que nos deux faits reviendront à dire que c'est du pareil au même, que ça nous est égal. C'est tout ce je peux te dire et c'est tout ce qu'il y a à en dire, c'est la seul réponse que je te donnerai à ce sujet. Prends une sphère compact et incompressible, disons de rayon 3. On dira qu'elle a un volume 36 pi3 et une surface 36 pi2. La seule chose qui existe, c'est le volume, il ne s'en crée pas, il ne s'en perd pas, il se transforme et se conserve. Selon ce critère cette sphère contenient 36 pi3 d'espace, la sphère est la forme et l'espace est le fond. Maintenant transforme cette sphère, compartimente le fond en 27 parties, fractures-la en 27 petites sphères de rayon 1. Elles auront encore un volume total de 36 pi3, mais leur surface totale aura augmenté, elle passera de 36 pi2 à 108 pi2 (27 X 4 pi2). Tu auras ainsi conservé le volume de départ, mais l'ensemble occupera plus de place, tu auras crée de la surface et un espace virtuelle entre chaque sphère, la distance entre les points de surface les plus éloignés du centre aura augmenté et la forme générale aura changé. Rien ne rayonne de la sphère, c'est la sphère elle-même qui rayonne, qui prend plus de place. Sa fracture fait ainsi apparaitre un phénomène mesurable. Cette sphère est la profondeur et elle existe, elle est cette profondeur existentielle. Puisqu'elle représente la moindre des choses, alors ce qui lui est antérieur n'est pas quelque chose qui existe, on peut dire que cet antérieur c'est l'existence elle-même, or l'existence n'a pas l'existence pour être qualifiée d'existant, elle est l'existence, elle est la substance qualifiant tout ce qui existe d'existant. Elle n'occuperait pas de place dans ce cas, donc n'aurait pas de lieu, elle n'aurait ainsi pas lieu d'être. Je suis franc, si tu penses que je vous regarde de haut, c'est uniquement parce que vous avez une mauvaise opinion de vous-même, que vous êtes incapable de chercher à vous élever le moindrement et que vous préfereriez que je m'abaisse. Je ne me mettrai pas à genoux devant vous tout comme je ne vous ai jamais demandé de le faire, c'est uniquement dans le regard que ça se passe, dans le regard que vous portez sur vous-même. Je marche à vos côtés, personne n'est devant ou derrière. Je ne suis pas ce type de croyant bon et gentil pour lequel vous me prenez, j'apporte la division, je cherche à détruire les édifices que vous construisez pour en mesurer la solidité, pour que vous en voiyez et en corrigiez les failles. Je rend au centuple, comme je l'ai dit précédemment, et quiconque tombera dans les commentaires gratuit ou les attaques personnelles se verra répondre sur le même principe. La beauté de la philo, c'est que chacun a la sienne et sa façon de faire, pour ma part, je ne suis pas du genre à donnez du tout cuit dans le bec, j'aime mieux pousser les gens à réfléchir et à comprendre dans leur propre mots, cette construction à partir de rien, c'est avec vous que je la fais, en vous demandant vos idées, des idées constructives, qui reposent sur quelque chose de logique et dont on peut éprouver le sens et la cohérence, ce n'est un pavé déjà construit que je vous propose d'apprécier mais plutôt une construction où j'apprécierais de vous voir mettre vos propre pavés à côté des miens. Plusieurs ici sont venus pisser sur le pavé, n'apportant rien d'autre que ça, ne répondant pas à la question de départ, ne cherchant pas à comprendre ce rien dont il est question, et je ne croit pas t'avoir vu leur dire ta façon de penser, tu en as un précieux exemple dans les dernières pages. En ce qui concerne Genesiis, il n'est pas toi et tu n'es pas lui, c'est sa cohérence bien personnelle que j'ébranle, et la réaction qu'il a à ce sujet, il sait très bien que ça ne lui ressemble en rien, il sait trèes bien que si la frustration le gagne et qu'il émet des commentaires plutôt que des contre-arguments, c'est que son univers est en train de chambranler et de veciller sur ces bases. Connaissant le personnage, sa réaction aura été beaucoup plus disproportionnée que la mienne, il aura fait ce qu'il n'a jamais fait auparavant, pour les raisons qu'il connait, alors que je n'aurai fait qu'une fois de plus ce que je fais presque tout le temps. Je ne vous demande qu'une chose, d'être constructif et de participer avec cohérence, ce n'est pas faute de ne pas l'avoir dit dans l'introduction, je me fais donc à votre image, si vous cherchez à être destructif alors je le serai également, si vous n'avez pas l'intention de mettre votre pavé alors je vous en lancerai. Voilà, c'est dit, si ma façon de faire vous déplait, alors rien ne vous oblige à rester.
  2. Verax

    À partir de Rien.

    Y'a rien à comprendre, tu l'as pas encore compris? Comprendre ça c'est comprendre la moindre des choses. P.S. Je tiens à remercier la modération ( je l'aurais bien fait en privé mais comme c'est anonyme alors!) pour la suppression de ma réponse précédente, elle était beaucoup moins pertinente et beaucoup plus HS que le message auquel elle répondait. Vous pourrez d'ailleurs consulter le message en question, ci-haut, dont la teneur philosophique contient un indice élevé de compréhension.
  3. Verax

    À partir de Rien.

    Je passe sous silence le début de ton message, ça regarde Genesiis. Je ne parlerai pas non plus du retour des vautours, je parlerai seulement du fait que je n'en parlerai pas. C'est fait. Maintenant, en ce qui concerne l'être et l'avoir, elle a son importance avec le sujet, puisqu'il est question de ce qui est et de ce qui n'est pas, de l'être et du non-être. Logiquement, seul l'être est absolument l'être, tout ce qui n'est pas l'être existe en tant que ce qui n'est pas l'être, sur ce plan, le non-être (le ne pas être) est équivalent à l'avoir, ni l'un ni l'autre n'existe en tant que l'être. Or, toute la pollution qui s'inclut dans ce topic touche cette question. J'ai désigné le rien dont je parle comme étant l'espace, c'est l'être de départ, et tout ceux qui sont passés à côté, se sont accroché au non-être de départ, prenant ce qui n'a pas été défini en tant que point de départ comme étant ce qui a été défini en tant que point de départ. Ainsi a été défini un espace de compréhension, et il fait face à l'incompréhension la plus tenace, celle de ceux qui ne cherche pas vraiment à comprendre mais qui aimeraient bien qu'on cherche à les comprendre.
  4. Verax

    À partir de Rien.

    Excuses acceptées. C'est justement dans l'optique du sujet, définir tout l'univers à partir d'un tout petit rien, d'un espace de réflexion logique.
  5. Verax

    À partir de Rien.

    Il t'apporte une chose essentielle, te demander pourquoi une chose t'influencerait au point de causer un tel chamboulement menant à une irritation généralisé de ton être. Une fois que tu as décidé de faire en sorte que ce que tu ne sais pas n'existe pas, tu tombes dans la déraison. Déraison parce que c'est déraisonnable de penser que ce que tu ne sais pas n'existe pas pour autant et n'aurait aucune influence sur toi. Mauvaise expression, on ne définit pas la propriété elle-même comme étant ce qui a la propriété elle-même, être la propriété et avoir la propriété sont aussi distincts que d'être la masse et avoir la masse. N'est pas l'idée celui qui l'a. N'est pas la raison celui qui a la raison. L'être ne s'a pas Genesiis, c'est un non-sens, l'être s'est, et s'être ce n'est pas s'avoir. Exactement, l'espace a ''des propriétés qui le définissent'', il les a parce qu'il n'est pas ''des propriétés qui le définissent''. La chose n'est pas l'idée de la chose Genesiis, la chose est ce qui a l'idée de la chose. Cherche encore Genesiis, cherche en ne te faisant pas le chantre de l'obscurantisme, soit en ne faisant pas abstraction de ce que tu ne sais pas et en croyant que ce serait raisonnable de faire comme si ça n'existait pas. Soit raisonnable et raisonne sur ce qui suit, la propriété n'est pas une propriété comme toutes les autres le sont, la propriété n'a pas une propriété faisant d'elle ce qu'elle est, elle est ce qu'elle est tout simplement et c'est ce qui fait en sorte qu'une propriété peut en être une dans l'ensemble mais ne soit jamais l'ensemble lui-même. Ce que je te dis est catégorique et c'est catégoriquement logique. Cherche ce que tu as, tout ce que tu trouveras, tu ne l'es pas. Si tu as un corps alors tu n'es pas un corps, tu es ce qui a un corps. Si tu as un dieu alors tu n'es pas un dieu, tu es ce qui en a un.
  6. Exactement ma petite wipette, rien n'est jamais sorti de rien, rien a toujours été égal à lui-même, soit rien, puisque si quelque chose en serait sorti alors c'est qu'il n'y avait pas rien. CQFD. Exactement, il y a toujours eu quelque chose, il y a toujours eu un petit rien, trop petit pour que la science en parle, c'est la moindre des chose. La création, c'est ce qu'il n'y avait pas avant le créateur, le mouvement, la transformation, l'évolution de ce rien lui-même. Ce qui fait le créateur, c'est l'acte de créer, on peut fort bien exister et n'avoir jamais rien créer, du moment qu'on fait apparaître quelque chose de différent, alors on devient créateur. Alors oui, il y a un créateur, tout ce qu'il avait à faire pour l'être, c'est de faire n'importe quoi à partir de l'immobilité, juste de bouger et le mouvement lui-même devenait une création. C'est justement là qu'on voit toute ton incohérence, dans le fait que t'as besoin de ne pas empêcher, mais que t'as pas besoin de permettre. C'est justement là que l'on voit ton dogmatisme avec évidence, dans le fait que ce que tu dis n'est pas discutable, que même l'idée d'y voir une erreur ne serait pas envisageable, pas besoin d'amélioration, elle est parfaite et sa perfection n'est pas à remettre en cause, une remise en cause serait déjà un sacrilège en soi. Voilà, la vérité, c'est que la tienne ne tient pas logiquement la route, qu'elle n'a rien de scientifique, qu'elle est incohérente, et que si tu avais relevé le débat en montrant la forme positive de ton affirmation, mais comme je l'avais prédis tu l'as pas fait (ma théorie m'aura permis de faire une prévision, c'est cool!), tu aurais vu la contradiction et l'absurdité de ton propos. Tout comme j'avais prédit que tu serais incapable de montrer un seul de mes écrits disant que ''Dieu existe'' ou que ''Dieu n'existe pas'' (c'est fou, une autre prédiction que m'a permis d'offrir ma théorie sur ton bigotisme dogmatique!). Alors, encore des qualificatifs infondés à mon sujet, mais t'as ta vanité à satisfaire, hein! et faut que tu penses à ton petit public aussi, hein! the Wipette show must go on!
  7. Verax

    À partir de Rien.

    Le lien avec la réalité, c'est que quelque chose existe. Voilà pourquoi je pars de quelque chose. Le lien avec la réalité, c'est que l'espace existe. Voilà pourquoi je pars de l'espace. T'as l'information de base, c'est l'espace. Pour le reste, si tu es incapable de participer, si t'as pas la volonté de jouer le jeu, ben continues sur ta lancée, ne propose rien de concret, ne répond pas à la question posée et continues à faire le commentateur, je serai toujours là pour faire le mur. Pour moi, t'as rien apporté du tout, et en plus t'as toujours pas pas compris ce qu'était ce rien dont je parle. Je ne construis pas rien à partir de rien, je construis simplement à partir de rien, à partir de quelque chose, car ce rien qui a été défini comme étant la moindre des choses, comme une bagatelle, c'est quelque chose en partant, de l'espace pur et dur. Tu l'as toujours pas compris. T'as toujours pas répondu à la question, t'as toujours pas proposé quelque chose d'autre, alors pour moi, tes interventions n'ont aucune valeur. En fait, je me dis que t'as pas idée de ce qu'est l'espace, de l'objet physique, alors c'est normal que t'aies rien à dire à ce sujet. Y'avais une question, un rien pour partir, et tu l'as toujours pas compris. Je n'ai nul besoin de revoir ma façon de penser, elle me permet de faire la distinction entre ceux qui cherchent à comprendre, ceux pour qui l'information est importante et considérée comme une chose concrète, qui en demande et ne se gênent pas pour questionner, et ceux pour qui c'est un concept vide, qui n'en font pas de cas et ne se donne que la peine de juger sans en avoir assez pour ça. L'information, t'as toujours pas compris ce que c'est et ce que ça implique. Ton ''cordialement'', il pue l'hypocrisie, si tu avais le moindrement de cordialité, tu chercherais à comprendre sincèrement, au minimum, ce dont il est question, tu n'agirais pas de cette façon vaine et inutile dans ce contexte. Ça aussi tu l'as toujours pas compris. Alors je te le dis cordialement, t'es pas le bienvenue dans l'état actuel des choses, revois tes priorités et participes ou oublies-moi. Commences par le commencement si jamais t'as un accès de lucidité, ce sera déjà une preuve de politesse et d'un certain engagement, pour moi ça suffira pour te considérer comme étant de bonne foi, autrement tu peux aller voir ailleurs sur le forum, il est assez grand pour que tu y satisfasses ta vanité. Ça j'espère vraiment que finira par le comprendre. Alors, pour la ''je ne sais plus combienième fois'' soit tu propose quelque chose comme alternative à l'espace, soit tu disposes de ton temps ailleurs en le mettant à profit de ton mieux.Tu m'as compris, là?
  8. Non, que tu en soit l'auteur ou non ne me fait pas un pli, je dis seulement que tu ne comprends pas ce que tu dis, et tu ne serais pas le premier. Le fait que tu n'en discutes pas, que tu ne comprennes pas que si rien n'existe, alors rien n'empêche ni ne permet, que tu n'apportes aucun contre-argument à ma réponse, c'est révélateur de ce que tu sais faire de mieux, tenir pour indiscutable ce que tu penses savoir, être dogmatique, et l'exprimer par une bigoterie évidente. Pour ma part, je te mets au défi de trouver dans mes écrits une seule petite phrase où j'affirmerais que Dieu existe ou n'existe pas. Ce défi, tu ne le relèvera pas, comme d'habitude, tu te défilera en cherchant à poursuivre sur autre chose, tu ne comprends pas que ce n'est pas parce que je critique quelque chose que suis adepte automatiquement de son opposé, ni que si je défend quelque chose, je ne l'endosse pas nécessairement. Je dis que tu ne relèvera pas comme tu n'as pas relevé le fait de le présenter d'une façon positive, que tu préfère ne relever que ce qui t'avantage, mettant toi-même tes propres contraintes pour préserver ta vanité malsaine. Alors, non, tu ne comprends pas ce que tu dis, tu ne le comprendras que lorsque tu laissera tomber tes dogmes, que tu cesseras d'être un petit bigot aveuglé par la dévotion à leur endroit. La seule vérité s'appliquant à ce que tu dis, c'est que tu le dis, ça s'arrête là.
  9. Il y a longtemps que je ne me contente plus de lire, retourner à cet état de base ne me dis plus rien, je préfère lire dans le but de chercher à comprendre et non de lire pour le simple fait de lire. Ta petite phrase, tu ne la comprends pas, tu la lis et elle te plait, mais tu ne cherches pas à en comprendre la signification, elle est simplement le reflet de ce que tu es en réalité, elle ne contient que du négatif. ''Si rien n'existe, rien ne peut empêcher quoique ce soit d'exister.'' Si rien n'existe, rien ne peut empêcher ni ne peut permettre, cela va de soi, alors si permission d'exister il y a, c'est que quelque chose existe, que rien existe. Ce qui t'empêche de permettre à quelque chose d'exister, c'est uniquement le dogme dont tu te fais le bigot par excellence. T'as qu'à retourner ta phrase pour la présenter de façon positive, là tu verras plus loin que la simple lecture, tu comprendras, car pour comprendre, tu devras faire l'effort de traduire les termes, de les choisir, d'en peser le sens. Mais je sais que tu ne le feras pas, parce que ton dogme t'en empêchera, et tu reviendras faire ce que tu sais faire de mieux, être bigot.
  10. Quelqu'un ici peut-il affirmer que dans les fondements de la toute première forme de vie, les germes nécessaire à l'apparition de l'homme n'était pas présent? Quelqu'un ici peut-il affirmer que si je mets au point (que je crée) un environnement propice, et que de cet environnement émerge une graine qui évolue ensuite dans cet environnement pour devenir un arbre gigantesque, et que de cette arbre je cueilles un fruit que je savoure, alors ce n'est pas moi qui aurai créé ce fruit? Quelqu'un pourrait-il affirmer alors que le programme qui se déroule sous ces yeux ne serait pas mon œuvre, et que ce ne serait pas le but de ce programme inscrit au plus profond de cet environnement que de faire surgir ce fruit? On me dira que c'est l'arbre qui produit le fruit, que c'est la graine qui produit l'arbre, que c'est l'environnement qui produit la graine, et que c'est le hasard qui produit l'environnement. Et je répondrai que c'est sans doute vrai, mais que de toute façon, c'est mon œuvre puisque j'ai moi-même produit le hasard en question, que c'est mon programme et que ce programme aura vraiment bien fait les choses.
  11. Verax

    À partir de Rien.

    Nous constatons encore une fois que tu n'apportes rien du tout Genesiis, que si tu avais vraiment des arguments valables montrant que l'espace physique ''est'' une propriété et non qu'il en ''a'' alors tu ne te gênerais pas pour nous les montrer et nous les remontrer, ne serait-ce que pour le plaisir de nous faire fermer notre clapet. Mais encore une fois, tu n'as rien à offrir, ce qui est en soi très décevant. Nous constatons d'ailleurs que tu en serais rendu à l'étape des mesquineries, ce qui ne nous dit qu'une chose : tu en es acculé à tes derniers retranchements. Nous avons bien cherché, mais nous n'avons rien trouvé de ta part nous montrant que l'espace physique serait une propriété, et pour chercher, nous l'avons fait. Alors si il faut nous mettre à genoux pour te prier de nous confondre avec un exemple décent, exemple que tu dis nous avoir offert, nous le faisons maintenant : S'il te plaît, Genesiis, aurais-tu l'obligeance et la magnanimité de nous présenter à nouveau ton argument montrant que l'espace physique est une propriété, nous appuyons encore sur le s'il te plait, nous t'en conjurons, notre déception sera sans nom si tu ne réponds pas à notre invitation. Sinon, nous te prions de ne plus venir dire que tu aurais dit, car si tu est incapable de montrer que tu aurais dit ce que tu dis avoir dit, c'est que tu n'est pas un homme d'honneur.
  12. Verax

    À partir de Rien.

    Nous constatons que tu n'aurais pas la magnanimité de nous remettre tes propres réponses, nous constatons que tu ne dois pas en être assez fier pour les laisser ainsi dans l'ombre sans chercher à les ressortir à la lumière. Nous comprenons donc que tu préfères qu'elles tombent dans l'oubli, nous nous rendrons donc à ton souhait.
  13. Pourquoi? Même quand rien n'empêche, y'aurait quelque chose qui empêche quand même? Faudrait bien que t'explique ce qui t'empêche de pas l'empêcher, c'est sûrement pas rien. Toujours aussi dogmatique, Wipe? Toujours aussi bigot? Sinon, t'as un calcul pour nous prouver que c'est pas possible? :p
  14. Donc, rien n'empêcherait Dieu d'exister. C'est cool!
  15. Verax

    À partir de Rien.

    Nous te disons que tu ne nous a pas répondu correctement, que de nous répondre que tu nous a répondu ne répond pas à notre question, nous te disons que tu confonds le fait d'être une propriété et celui d'avoir une propriété. Nous te disons de même que si tu avais répondu selon ta satisfaction alors tu n'aurais aucune gêne à nous remettre ta réponse construite selon la forme des exemples que tu nous as exposé. Nous te demandons de chercher encore. En fait, l'énoncé parle d'un seul terme et de répétition de ce terme unique. La lecture chaque ligne devra avoir le même sens que celui donné au terme choisi.
  16. Verax

    À partir de Rien.

    Il y a la même chose avant le (il y a) qu'après, soit un espace blanc. En disant (il y a) et en ne précisant rien, en laissant un blanc, alors tu dis qu'il y a un espace blanc, et c'est justement un espace blanc qui constitue le terme précédent. Donc ton (il y a) décrit ce qui le précède sur la ligne précédente, et ce qui suit décrit toujours ce qu'il y a sur la ligne précédente, et ainsi de suite.
  17. Verax

    À partir de Rien.

    X - (Il y a), c'est vrai ça a du sens. X X - Il y a (il y a) ça a moins de sens puisque tu dis que : il y a (il y a) alors qu'en fait il y a (il y a) (il y a). Ça parle plus de ce que c'était avant que de ce que c'est présentement. Autrement dit, tu développes une logique descriptive de ce type : 0 10 1110 3110 132110 ... Plutôt qu'une logique auto-descriptive de ce type : 10713223141516271819 Je ne sais pas si tu saisi la différence, elle est minime, mais elle est là quand même. Dans le premier cas, la suite parle de la suite précédente, dans le second, la suite parle d'elle-même. C'est un bel essai. :) Tu peux réessayer, tu ne perd rien.
  18. Verax

    À partir de Rien.

    Logique de base. Entre cette ligne et la ligne du début, celle où il est écrit ''Logique de base'' se trouve la vérité absolue. Cette vérité est absolue car elle ne s'exprime qu'en fonction d'elle-même, elle parle d'elle-même et ne se limite qu'à elle-même sans avoir de limite quand à la quantité d'elle-même qu'elle pourra utilisée pour exprimée sa vérité en se répétant, elle n'a pas de sens, elle ne nécessite pas de savoir par où commence sa lecture, elle est une symétrie en elle-même. Ces lignes utilisées pour mettre en lumière cette vérité absolue, forment une vérité relative, elles exposent cette vérité relativement à des termes, avec des termes qui ont un sens précis, elle nécessite de savoir par où commence son expression et ce qui fait qu'elle se termine ou non. Cette vérité absolue, si on la décode, en la mettant sous forme de terme, alors elle se présentera comme un seul terme qui se répétera et qui aura toujours le même sens peu importe la quantité de répétition, elle se suffit en elle-même. Ainsi, chacune des lignes si dessous, ne seront que des façons différentes d'exprimer cette vérité, elle restera égale à elle-même sur toute la ligne. X X X X X X X X X X X X X X X ... Maintenant, à vous de voir si votre logique est aiguisée, si vous pouvez trouver un terme logique permettant de remplacé chacun des X par quelque chose qui, une fois lu, donnera comme conclusion au final de chaque ligne: c'est vrai, ça a du sens Logique ludique, bonne chance à tous.
  19. En effet, ici il serait plutôt question de la probabilité faisant que le tirage au sort lui-même est lieu ou non. À savoir si le tirage au hasard serait lui-même dû au hasard! :p
  20. Et non, t'as vraiment rien compris. La question n'est pas de ''penser'' que l'univers aurait 100% de chance d'être ce qu'il est, ce n'est pas une pensée mais une tautologie, le premier de touts les constats, la vérité indiscutable, mais bien qu'il aurait pratiquement 100% de chances de ne pas être ce qu'il est si on ne modifie que d'un iota les bases sur lesquels la science le fait reposé. C'est cette précision remarquable qui est discuté ici, le fait que le hasard aurait ses limites, que si la science avance elle-même que si une probabilité serait aussi éloigné que de 50 ordres de grandeurs de la certitude, alors elle considère cette probabilité comme nulle. Donc si la science est cohérente avec elle-même, elle dira que son modèle, qu'elle ajuste avec une finesse telle qu'elle obtiendra une probabilité d'une chance sur moins de 1050, a une probalité nulle d'être cohérente avec la réalité du hasard. Donc que la probabilité voulant que le hasard soit la cause du fait que l'univers est ce qu'il est serait scientifiquement rejeté selon les propres critères que se donnent la science, les limites de l'acceptable scientifique. Et non, un scientiste, c'est quelqu'un qui pense que la science aurait priorité sur tout autre domaine en ce qui concerne l'interprétation, qui fait de la science un dogme indiscutable. Un scientiste, c'est un bigot dogmatique qui te diras que si c'est pas scientifiquement prouvé, ben c'est pas vrai. Mais en fait, c'est juste que c'est pas scientifiquement vrai, la science n'est pas tout pour ceux qui ne sont pas des bigots dogmatiques, tout comme la religion n'est pas tout pour ceux qui ne sont pas des bigots dogmatiques. Mais en ce qui te concerne, ben la science, c'est la seule explication, c'est la seule chose que tu considère comme valable, alors t'es un scientiste, un bigot dogmatique dans sa plus pure essence.
  21. Le monde, comme toute chose n'a aucune probabilité d'être ce qu'il est, il est ce qu'il est, même si il était autrement, il serait ce qu'il est. Tu n'as rien compris à la question encore une fois. Ce qu'il te dit, c'est que la probabilité qu'il ait pu être autrement se résume à près de 40 ordre de grandeur dans la réalité de certaines constantes, que si tu ne change qu'un iota (40 chiffres après le point) de certaines valeurs constantes, alors tu passeras de la réalité à la fiction, le monde ne sera plus tel qu'il est, il sera différent. Alors, si tu ne prend qu'une seule de ces constantes, que tu n'en changes que d'un iota, tu pourras te la représenté facilement en imaginant un projectile de dimension ''iota1'' que tu lancerais dans l'immensité pour atteindre une cible de dimension ''iota1'' située à une distance de iota40. Et ça. c'est uniquement si tu ne prends qu'une seule constante, or il y en une vingtaine, si tu considères de changer ne serait-ce que d'un iota ces 20 constantes, alors tu obtiendras une probabilité faramineuse de voir apparaître un univers différent de ce qu'il est maintenant. Si tu demandes des calculs et des équations à tout bout de champs comme preuve, c'est la preuve que t'es incapable de produire toi-même des équations à partir de simple raisonnement logique, incapable de construire toi-même un raisonnement et juste bon à t'accrocher et entacher celui des autres. Wipe, je l'ai dit et le maintiens source à l'appui, est un scientiste. Hawking ne pense pas que la probabilité que l'univers existe tel qu'il est serait de 1, il comprend la chose lui, il a la certitude que l'univers existe tel qu'il est et que ce n'est pas une probabilité. De même tu penses que Hawking pense que la probabilité que Dieu en soit le créateur serait de 0, mais la probabilité que tu sois toi-même Hawking pour savoir ce qui trotte dans sa tête est encore plus faible que celle voulant qu'un changement d'un iota de chaque constante fondamentale de l'univers en fasse un univers différent. Et tu es convaincu à 100% de son existence, ce qui est anti-scientifique par nature puisque la science ne sait pas ce qu'elle ne sait pas, elle pourra te dire que certaines causes ou variables (tant locales que globales) n'ont rien à y voir, mais jamais elle n'affirmera qu'elle sait avec certitude que d'autres causes, qu'elles ne connait pas encore, ne feront pas s'effondrer cet échaffaudage. Tiens, une citation laissée en anglais, pourquoi ne l'as-tu pas traduit pour qu'on voit si tu l'aurais fait correctement et comprise pour ce qu'elle dit? Ce qu'il m'interresse vraiment de savoir (ce que je me demande vraiment) c'est comment Dieu aurait pu créer le monde d'une autre façcon; en d'autres mots, comment le recours à la simplicité logique accepterait une marge de manoeuvre. Il se demande comment Dieu aurait pu faire autrement pour créer l'univers tel qu'il est. Comment la simplicité logique pourrait s'embarrasser d'une complexité, ou d'un vague, alors que par définition elle doit être logiquement simple. T'as oublié les mots Dieu et Création dans ton petit résumé simpliste, ce qui n'est pas logique puisqu'en n'en tenant pas compte, tu t'offres une marge de manoeuvre te permettant d'en venir à la conclusion que tu veux bien, de lui faire dire ce qui te plait et non de chercher vraiment la vérité toute simple, soit ce qu'il voulait vraiment dire. Comme d'hab : des wipetteries de scientiste.
  22. Verax

    À partir de Rien.

    Mais nous les lisons tes réponses Genesiis, et nous nous faisons un plaisir de les remontrer pour que tu puisses les lire toi aussi, tes réponses. Alors nous prendrons encore une fois notre éditeur à témoin, le laissant mettre grassement en évidence ce que tu ne semble pas comprendre. '' ... alors il a les propriétés de toutes choses.'' Encore une fois, nous te disons que tu n'a pas répondu à ta propre affirmation, soit que l'espace est une propriété. Nous te disons que tu ne l'as toujours pas fait sur le modèle d'une phrase complète et selon la forme de tes propres exemples. Nous te disons de chercher encore Genesiis.
  23. Verax

    À partir de Rien.

    La bulle éclate enfin, première fracture de l'espace, premier phénomène émergeant des ténèbres, de ce qui n'est pas, du non-être : le temps prend place, c'est le commencement, le commencement est. L'espace prend enfin le temps, lui offrant un espace virtuel, celui laissée par l'espace réel, l'endroit qu'il occupait et dont il s'est écarté en se partageant. La bulle s'étend dans les ténèbres, d'une, elle devient plusieurs. Du ponctuel, elle devient un ensemble. La pomme change de forme, elle prend celle de pommes plus petites, celle d'un amalgame, et entre chacune de ces partie, elle aura mis le temps qu'il faut. Cette bulle, la compréhension, est absolue, elle commence à comprendre le temps.
  24. Verax

    À partir de Rien.

    L'éditeur l'a fait pour que tu puisses bien lire ce que tu as écrit, pour que le ''a'' signifiant ''avoir'' te saute à la face. mais comme ce n'était sans doute pas encore assez gros, alors je vais voir si mon éditeur fonctionnerait mieux que le tien en ce qui concernerait l'initiative : Il (l'espace) en a au moins une (propriété). T'es toujours incapable de sortir de ton cadre Genesiis, comme demandé, fais moi une phrase complète selon la forme que tu as donné à tes exemples, en tenant compte de l'espace comme d'un objet physique, comprends-tu seulement que l'espace puisse être un objet physique? Je dis ça parce que selon ta raison, selon ce que tu crois être raisonnable, selon le cadre dans lequel tu t'enfermes, l'univers n'en serait pas un, n'est-il pas?
  25. Verax

    À partir de Rien.

    Pas vraiment l'ami, si c'était réparé, ça fonctionnerait. T'as ta vanité qui te travaille Zenalpha? Faut pas faire ta précieuse, tu traite en ennemi un simple contradicteur, car c'est uniquement ce que t'as, n'est-ce pas, des contradicteurs? Sinon, tu viens de te gagner un précieux petit public, tu deviens populaire, c'est cool! Maintenant faudra que tu m'expliques une chose, tu te souviens, on s'en était parlé auparavant lors d'une de nos discussions mémorable, lorsque tu étais bien assis en te tenant debout alors que tu essayais de boire la tasse qui flottait dans du café : Lequel contient lequel? Si tu parles de C comme d'un sous-ensemble et de R comme d'un ensemble, pour ma part je trouverais ridicule de dire qu'on étirerait cette bulle d'univers puisque R est déjà, en soi, une bulle contenu dans l'univers C. Serait-ce trop complexe pour toi?
×