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Tout ce qui a été posté par Verax
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Parce que tu confonds encore nulle chose avec la moindre des choses. Le vide ne décrit pas l'espace, mais l'absence de matière dans l'espace. Le rien dont je te parles est la plénitude de l'espace, pas la vacuité, rien que l'espace en tant que chose, en tant qu'être. Je croyais avoir été assez clair pourtant, selon tes dires. :p Mais si le vide et l'espace sont la même chose pour toi, alors on dira que l'espace qui est plein d'espace, c'est le vide dont tu parles. Alors puisqu'on parlera d'un plein d'espace, aussi bien l'appeler pleinement ''espace''. Tantôt c'était de la théologie, maintenant c'est de la science! Quel sera la prochaine étape dis? De la philosophie peut-être? :p Mais je dois t'avouer une chose que tu ne sais pas, le big bang, c'est rien de moins que de la métaphysique. Ça parle d'un objet qui vient d'on ne sait où et auquel on fait faire des tours de passe-passe inexplicable pour qu'il s'adapte à la réalité. Alors, on discute encore de ce petit rien philosophique que serait la moindre des choses, on en cause par principe et en principe. Moi j'ai pas parlé de Dieu, ni de néant, je cherche à partir de rien, et j'en partirai lorsque le petit rien, l'espace d'un instant, aura l'assentiment d'assez de gens. Alors mon rien n'est pas le vide, n'est pas le néant, n'est pas l'absence, c'est juste une bulle d'espace pure et dure. Tu comprends? Diantre, mon rien vient de tomber à l'eau. Ben je vais t'apprendre une chose, si la lumière ne voyageait pas encore, alors l'espace voyageait plus vite que la lumière, rien que par le fait de voyager. Même si la lumière n'existait pas, l'espace aurait encore voyagé plus vite qu'elle. Alors conmme ça allait de soi, même pas besoin de dire que la vitesse de l'espace dépassait celle de la lumière dans l'absence de l'absence de matière. Je ne confonds rien du tout, puisque je ne relativise même pas encore. J'en suis au point ou il n'y a rien qu'une seule chose qui existe, le petit rien en question. Ce petit rien n'est même pas là, c'est le lieu lui même. C'est un volume baignant dans sa surface. Le volume existe, la surface non. Pourquoi donc, serais-tu un contenant et moi un contenu? Un ensemble cherchant à comprendre un quelconque élément? Pour comprendre ce que je te dis, il te faudra devenir toi-même ce petit rien dont je parle, devenir la moindre des choses, alors tu comprendras de quoi je parles, tu te comprendras par le même fait. Ben tu vois, je tourne pas encore en rond, j'avance à tous petits pas, des pas gros comme rien. Lorsque le petit rien que je suis se mettra à tourner sur lui-même, la danse commencera. En attendant, j'avance encore et toujours, la preuve, c'est que tu ne me suis pas. T'as qu'à parler de rien, de ce que serait la moindre des choses pour toi. Moi je suis ce petit là auquel tu fais face et qui te fait face, je ne me dérobe pas. C'est toujours un plaisir d'échanger, d'argumenter et de partager nos points de vue. T'as qu'à avoir l'esprit ouvert et chercher à comprendre ce qui est posé ici et maintenant comme étant justement l'ici et le maintenant. Je ne cherche pas à comprendre les sentiers déjà battus, puisqu'ils ne mène pas à l'explication et à la création de l'univers, je cherche à être ce sentier, et je ne demande qu'à être battu. Ce que je veux dire, c'est qu'il est inutile de dire qu'une hypothèse est inutile à la base sans l'avoir prouver et démontrer comme étant inutile dans un cadre précis. Car une hypothèse n'a pas besoin d'être vrai ou fausse pour être posée, ni même d'être utile ou inutile. Aucune hypothèse n'est inutile dans l'absolu, mais si on relativise l'hypothèse et l'utilité, alors cette vérité sur l'hypothèse en soi devient cette petite sentence, soit que la plus inutile des hypothèses, c'est l'hypothèse voulant qu'une hypothèse soit inutile. Un rien, depuis le début d'ailleurs. Je sais pas, t'es un corps toi? Moi j'en ai un, et je pensais que c'était pareil pour tout le monde. Je trouve rien d'illogique là dedans si on considère que le ''je'' dont tu parles n'est pas un corps. Je croyais plus m'adresser à un esprit combatif qu'à un corps défendant. Pour moi, tu peux fort bien avoir donner naissance à ton grand-père en ayant été dans le corps de sa propre mère, en autant que le corps de ton arrière grand-mère ne soit pas présent en même temps que celui que tu as présentement. Tu trouves ça illogique toi? Tu ne comprends pas, je constate que tu auras beaucoup appris, mais pas vraiment compris. :p Tes 2 expressions illogiques sont exactement la même chose, ''l'effet précède la cause'' et ''je nais avant mon grand-père'' sont exactement la même proposition, le ''et'' liant tes 2 propositions en une seule est une erreur de base, remplaces-le par un ''ou'' et tu verras que c'est du pareil au même. T'as pas logiquement 2 propositions, t'as la même qui est répétée. Tout le reste n'est que de la poudre aux yeux et une occasion pour toi de montrer que tu connais un peu la logique mathématique. Je vais te montrer un autre exemple de ce qu'est la logique, soit l'art de trouver un lien entre 2 choses différentes : Je peux trouver un nombre tel qu'il sera plus petit que lui-même. Les 2 seront un nombre (chose) et seront différents. Voyons si tu a l'art de la logique, si tu peux trouver le lien qui les unit. Dans le fait que les briques de départ d'un édifice font partie de l'édifice. CQFD. Bien certainement, si le manche est flexible et assez long, tu peux trancher un bout du manche, comme il fait partie du couteau, ben tu couperas le couteau avec le couteau. Bien certainement, tu regardes la règle et elle te donneras sa propre mesure, une règle de 30 cm, ben ça mesure 30 cm. C'est uniquement ta propre croyance, tu peux la dépasser en ne te limitant pas au départ à ce que tu prendrais pour des dogmes. Je viens de t'en donner des exemples.
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Si il suffisait d'en manger pour vivre éternellement, ben si il en avait manger alors il vivrait éternellement. Sinon, combien de fois faut-il en manger pour vivre éternellement, une éternité? Dans ce cas, il ne vivrait pas éternellement, il mangerait éternellement. Alors t'as mérité ta condamnation : continuer à écrire n'importe quoi. Tu peux considérer que ce que je te dirai pas, ben je te le dirai jamais. Si je te le dis, t'as pas à l'interpréter, là y a vraiment pas de différence entre les deux, tu peux prendre pas pour jamais et jamais pour pas. C'est écrit noir sur blanc.
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Ben tu vois, moi j'ai cette prétention, mais je suis pas un scientifique digne de ce nom, ça doit être pour ça. Je peux même te montrer que l'auto-référence serait possible sans que ce soit paradoxale. Avec le paradoxe du menteur comme matériel. Mais puisque tu juges que c'est impossible, tu ne voudras certainement pas voir la démonstration, n'est-ce pas? Ce ne serait pas possible que ce soit possible si c'est impossible, n'est-ce pas?
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Ce que tu oublies, mais je ne t'en veux pas, c'est que le rien dont il est question n'est pas rien, c'est la moindre des choses, le rien qui porte son nom et non celui qui se porte comme pronom jumelé. Si t'avais suivi, je dirais même si t'avais cherché à comprendre le moindrement ce dont il est question, ben t'aurais aussi vu que je l'assimile à l'espace. Si t'avais cherché et pris ça comme base, ben t'aurais aussi pu faire le rapprochement avec le fait que lors de l'expansion de l'univers, lors de l'inflation, l'espace se propage plus vite que la lumière, mais que ça ne viole pas les lois de la relativité pour autant, celle voulant que l'information ne puisse se propager dans l'espace plus vite que la lumière, logique puisque ''dans'' l'espace et ''de'' l'espace, ben ça veut pas dire la même chose. Ça veut même pas dire que l'espace ne serait pas de l'information. Alors je construis avec du matériel, parce que pour construire quoi que ce soit, ça prend de la place pour commencer. Et comme l'espace est un objet physique, que c'est matériel, alors j'ai le matériel de base. Je vais te fournir une information de base, tu pourras construire notre relation à l'avenir, si tu veux l'entretenir évidemment : ceux qui ne posent pas de questions et qui viennent dire que celui qui parlerait n'aurait pas compris ce qu'eux pensent comprendre, ben ça me pue au nez. Si tu veux construire, alors applique ton beau principe, demande de l'information. :p Tu peux faire la différence entre les propositions suivantes : - La plus inutile des hypothèses, c'est celle disant qu'une hypothèse est une inutile. - La plus inutile des hypothèses inutiles, c'est celle disant qu'une hypothèse est inutile. Tu me diras si t'as bien analyser la chose ensuite. Ben d'accord avec ça, ton affirmation n'est pas plus futile que drôle. C'est toute la différence existant entre une simple affirmation futile et la plus futile des affirmations qui lui donne son sérieux. Y'a une grosse différence entre ce qui est inexact et ce qui est illogique, tu devrais revoir tes ouvrages. L'illogique par excellence se fait via une vérité de base, (tomber = attirer) en disant que deux deux chose différentes n'auraient pas le même lien face à cette vérité, soit que les petits cailloux s'attirent alors que les gros ne s'attirent pas. Ça se serait illogique, puisqu'un caillou, c'est un caillou, petit ou gros, ça reste un caillou même si il y a une différence. Ce qui fait le lien logique dans cet exemple, c'est que (tomber = attirer) agit sur les deux, qu'ils sont une même chose face à cette vérité, que le petit et le gros marque la différence, donc qu'ils devraient réagir de la même façon quand même. Tu veux dire que la logique dont tu parles n'est pas logique par elle-même, c'est cool! Tu veux dire que la croyance est comme ta logique, qu'elle n'est pas logique par elle-même, c'est cool! Te reste plus qu'à faire le lien.
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''La métaphysique est une branche de la philosophie et de la théologie qui porte sur la recherche des causes, des premiers principes.'' http://fr.wikipedia....C3%A9taphysique (Wiki est ton ami) :p S'appuyant sur le Trésor de la langue française. Je me demande, la branche qui s'occupe de redéfinir ce dont traite la philosophie, tu l'appelles comment? Le nœud est dans la branche, la branche est dans l'arbre, l'arbre est dans ses feuilles, marilon-marilé... :p Pour le reste, ben tu te fais ta philosophie, et je me contente d'en faire, aussi médiocre qu'elle puisse être, la moindre des choses, c'est que ça en est. ''L'ontologie est une branche de la métaphysique qui étudie les propriétés de l'être d'une manière générale, telles que l'existence, la durée, le devenir. Le métaphysicien essaie également de clarifier les notions par lesquelles les gens comprennent le monde ; l'existence, l'objet, la propriété (d'une chose), l'existence ou le concept de Dieu, l'espace, le temps, la causalité, la possibilité.'' http://fr.wikipedia....C3%A9taphysique (Wiki est encore ton ami) Si t'as vu que Dieu alors qu'il n'est question que de rien (pas le rien dans le sens que t'as pas compris, évidemment) dans le sens du nom, de celui de la moindre des choses, ben tu n'as rien compris à rien. J'ai choisis judicieusement mon quartier général, et il est parfait, même en ce qui concernerait d'éventuels pouvoirs phénoménaux. J'y suis, et j'y reste, parce que c'est la place, le rien adéquat pour partir.
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Lorsque celui qui n'a rien à opposer aux arguments de quelqu'un se sent piégé, alors il attaque la personne, faute de mieux.
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Écoute Pascalin, si t'es là pour faire le frustré, t'as pas de raison. Je te rappelle ce que j'ai écrit : Et je te rappelle ta question : J'ai souligné que t'avais perdu l'inexistence en cours de route, juste pour faire le lien de perdu à perdu, parce que dans le texte, t'as pas vu qu'il y a l'inexistence qui sépare les 2 propositions. Alors si tu veux jouer aux cons, ben tu vas te rendre compte que comme con de service, je suis difficile à battre! :p Ce qui me rends dangereux comparé à toi, c'est que moi, je sais que je suis con. Alors tu te calme SVP, et on marche en paix. Sinon on donne dans le ridicule et t'as tout à y perdre. À toi de voir.
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Je sais pas , je prends pour base que le simple fait d'être, juste ''être'' c'est lorsque ce qui précède ('') être et ce qui lui succède ('') sont identiques. Que si il n'y a rien devant (espace vide) et rien derrière (espace vide) alors ça veut dire que rien être rien, en faisant abstraction du temps. Que ça signifie : rien était rien, rien est rien et rien sera rien. Ontologiquement parlant, il a une fonction logique pour moi. C'est à partir de rien, soit de la moindre des choses, que je le déduis. Admettons que tu prends tout ce que tu n'es pas, une chaise, une goutte d'eau, un rocher, etc... et que tu te trouves dans l'état ou tu n'es pas ces choses, que te reste-t-il pour l'être, sinon ce que tu es? Un être, c'est ce qui n'est pas ce qu'un être n'est pas. L'être, c'est ce qui n'est pas ce que l'être n'est pas. Être, c'est ne pas être ''ne pas être''. Moi, je vois ça comme une bonne chose, le fait que tu ne me comprennes pas, que tu ne me suives pas, ça veut dire que je ne suis pas plus petit que toi et que je ne suis pas devant toi, qu'on est côte à côte et qu'on se questionne. Je t'ai déjà dis que je jouais avec les mots, pas sur les mots. Que je cherche à les réduire à la moindre des choses de ce qu'ils signifient. Lorsque je parle de rien, j'ai bien spécifié que c'était quelque chose et non nulle chose dont je parlais, je l'ai dit clairement, ce n'était pas un piège, c'est selon sa définition. Lorsque parle de moindre vérité, je n'invente rien, ce n'est que le principe d'identité logique, la vérité de base (ceci est ceci est toujours vrai). Je pars toujours de la moindre des choses, je prends ce qui est pour ce que c'est, et je prends ce qui n'est pas aussi pour ce que c'est, ce sont des concepts, ce sont donc des termes identiques lorsque réduits à la moindre des choses. Je ne vide pas le concept de sa signification, je la lui donne pleinement. Voilà en quoi je joue avec les mots, je les mets face à face et côte à côte, je les mets face à eux-même lorsqu'en vérité, je compte 2 mots pour 2 mots et 1 mot pour 1 mot, et encore, je ne suis pas encore rendu au pied de la lettre pour distinguer Être et être, mais lorsque ce sera le cas, alors Être sera différent de être, parce que différence il y a. Alors, tu peux te perdre dans ma simplicité, elle peut même être trop complexe pour toi, mais je me dis que pour le complexe lorsqu'il est question de complexité, c'est la simplicité qui est pointé du doigt. C'est un peu le pendant de notre univers, dans son infini complexité, il a dû commencer le plus simplement du monde, voilà pourquoi le big bang ou Dieu serait si complexe pour les êtres complexes que nous sommes. En effet, je personnalise mes réponses, pour certains, elles sont directes, pour d'autres, elles sont à double sens. Je ne sais pas À toi de voir si tu peux joindre le ''ce n'est pas ça'' à quelque chose de moindrement concret et finir par dire que c'est ça qui est ça au final, et que ça, ben c'est vrai. Peut-être que le jeu des devinettes te conviendrait mieux, dans ce cas, je te donnerais le moindre des indice, ça, c'est vrai. (mode sphynx) :p
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Ton raisonnement est étrange, puisque la simple projection de la conscience dans le monde de l'imagination est en soi une réalité complètement différente de celle où elle existe. Quand ''ce qui n'existe pas'' n'existe pas, ben ça donne ce qui existe. C'est aussi vrai que faux est faux, ou que lorsque que ce qui n'est pas vrai n'est pas vrai. J'attendais aussi sa réponse avec impatience, et je me demande si le manque de cohérence dont il fait preuve par ce louvoiement ne voudrait pas dire que ce ne serait que ce qu'il croit être et non ce qui est. :p
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Sérieusement, c'est depuis le tout début du livre que t'as rien pigé à l'histoire, normal que t'interprètes n'importe quoi de chez n'importe comment par la suite. Je vais juste te poser une question très simple, qu'est-ce que Dieu a créé, un beau jour il n'avait rien d'autre à faire : l'homme ou un homme. Ça me dira déjà si tu sais lire ou non. En fait, je pense pas que ce soit que tu ne saches pas lire, je pense plutôt que c'est uniquement que tu sais pas ce que les mots sont et ce qu'ils veulent dire. Capacités n'est pas pouvoir, en effet, c'est pouvoirs. Ce sont des noms et pouvoir signifie : Capacité, possibilité de faire qqch, d'accomplir une action, de produire un effet. (Petit Larousse Grand format, 1996, page 814). Dans la seconde partie de ta phrase, ben tu le transforme en verbe. Et le fait de pouvoir, ben c'est le fait d'être capable. Ouvre ton dictionnaire, tu verras que les mots ne veulent pas dire ce que tu penses, c'est toi qui doit trouver les bons. Mais, puisqu'on débat sur la mauvaise foi, c'est normal que t'en apporte la preuve sur un plateau d'argent. :p Tu craches sur l'humanité, dis? Si tu ne te mens pas à toi-même alors tu peux aussi te cracher dessus, parce ce qu'y a un peu d'elle en toi et qu'elle te contient dans toute sa splendeur. Le fait que je ne sois pas désobéissant présentement, ça ne veut pas dire que ça ne sera jamais autrement. On n'a pas lu la même chose, non, pas du tout, moi je lis ''pas'' et je pense ''pas'', toi tu lis ''pas'' et penses ''jamais''. C'est la différence entre être au pied de la lettre et avoir le pied dans la bouche. Pour moi, Dieu c'est le pied, pour toi, dieu a le pied. Et je me doute bien où dieu aurais le pied en ce qui te concerne. Question de regard. Tu veux dire que t'es incapable d'en parler, de faire un petit texte à son sujet. Faudrait tu sais, comme ça t'aurais tous les athées au derrière pour l'interpréter comme étant médiocre et incohérent, normal, ils ignorent ce que c'est, mais ce sera certainement pas ça quand même, que non! :p T'es incohérent l'ami, on dirait que tu te dépêches. Si Il est écrit que Dieu ordonna de ne pas manger l'arbre de la connaissance, il n'a pas ordonné de manger de tous les autres, il en a donné la permission et non l'ordre. Si je te dis que tu peux mettre tes doigts où tu veux sauf dans ton nez, ben ça veut pas dire que tu dois obligatoirement te les mettre dans Q. Et si jamais il te vois avec les doigts dans le nez, ben ça veut pas dire que tu te les auraient mis dans le Q avant. Tu comprends la distinction ou ta pas juste pas ça dans le regard? Suffirait donc d'être immortel pour être Dieu? Immortel voudrait-il dire que tu ne pourrais pas te couper les ongles d'orteils? Je vais faire un deal avec toi, parce que là, tu mauvaise foi commence à sentir le purin. Trouves où j'aurais évoqué ''qu'Adam ne pouvait pas goûter à l'arbre de vie'' et je t'envoies ma photo avec mon pied dans la bouche, sinon ben tu pourras continuer à faire ce que tu fais déjà, dire n'importe quoi, et je n'embêterai plus. Tu pourras le prendre comme une condamnation si tu veux. Tu vois bien que t'es nul en interprétation, ''Si c'est le cas'' ben y'en aura plus de riches, de voleurs et de meurtriers, puisque l'humanité aura compris. Faut se mettre en situation tu sais, faut lire et comprendre ce qui est écrit pour ça, faut être minutieux et patient, méthodique même. C'est ce que je viens de te dire. Quand la richesse est collective, on est tous riches en général et personne ne l'est en particulier. Quand l'humanité l'aura compris, mais elle n'a pas encore tout à fait compris, puisque le terme n'est pas encore arrivé, ce sera un pour dans la balance de la rédemption. Tu sais ce que c'est ''toi-même''? T'en a idée? Pour être en paix avec toi-même, faut premièrement que tu te connaisse toi-même, quand tu connaitras l'autre que toi qui complète le toi-même, tu verras que le même, ben c'est Dieu. Parce que si t'es à son image, ben c'est qu'il est la tienne. Pour ce qui est du reste, ben c'est encore là que je me trompes, parce que je penses échanger avec quelqu'un qui serait de bonne foi. Mais ce sont mes démons, la naiveté et la simplicité, je ne t'apprends rien là-dessus. Alors j'attends, ma photo est prête. J'espère que t'es prêt aussi de ton côté, à continuer de dire n'importe quoi.
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Sérieusement l'humanité est morte? Ça nous fait une belle jambe! Tu veux dire que tes potes ont exactement les mêmes capacités que toi, c'est cool de vivre avec tes clônes. Moi, la première chose que j'ai appris, c'est qu'il n'y en a pas 2 pareils sur cette planète, que c'est pas parce que Einstein a pondu la relativité que t'aurais le pouvoir le faire si t'avais été à sa place, juste parce que t'es pas lui. Tu vois, moi je crois que l'humanité devient de plus en plus belle, elle murit bien. Comme tout n'a pas foiré, puisqu'on est encore là, (je me disais aussi que le bébé n'était pas mort), ben y'a pas de problème à ce que Dieu lui donne ses pouvoirs et sa confiance quand elle s'en sera montrée digne. Ben tu vois, moi j'ai pas lu la même chose que toi, quand on me dit de ne pas toucher, je ne comprends pas que j'y toucherai jamais, je comprends juste que je pourrai y toucher quand on me le dira. Je me dis que c'est pas tout le monde qui peut faire la différence entre un simple petit ''pas'' temporaire et un ''jamais'' définitif. Donc, t'es pas tout le monde faut croire. Je sais pas pour ton dieu, il a l'air plutôt vulgaire et imbécile, mais mon Dieu lui, je l'imagine comme un être suprême, et il n'est pas dit qu'il ne pardonnera pas à Adam, ni qu'il aurait appris, à ce jour, tout ce qu'il y avait à apprendre de ses erreurs. Lorsque l'humanité, lorsque l'homme (pas un homme) viendra à terme, on verra, en attendant, elle ne perd rien pour attendre. Non, t'es sérieux? Dans ce cas, tu comprendras que le visage de Dieu a évolué avec le temps aussi, que ce n'est plus un dieu jaloux et stupide comme l'idée figée que t'en a gardée. Je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas comprendre notre monde si Dieu pardonne à Adam, parce que pour moi, c'est justement la compréhension du monde qui lui vaudra le pardon. Il comprendra alors que rien n'est bien, que rien n'est mal, seulement que chaque chose est ce qu'elle est et qu'elle a sa place dans ce monde. Ben tu vois, je n'ai pas eu connaissance que Dieu aurait tué un seul de ses enfants, il n'en a eu qu'un en fait, et l'humanité est encore là à ce que je saches. Dieu est aussi fortiche que toi avec son enfant, il ne fait que lui interdire ce qui n'est pas encore bon pour lui, et en cas de pépin, ils l'avise de ce qu'ils rencontrera comme conséquence. Adam n'était pas immortel, Dieu ne lui a pas retiré ce qu'il avait déjà, il l'a simplement éloigné de ce qu'il n'avait pas encore consommé. Je pourrais te dire que si tes enfants étaient immortels, ben tu ne les laisseraient certainement pas jouer avec des couteaux et de la dynamite, ils finiraient par n'être qu'un tout petit bout de ce qu'ils étaient, même à ne plus ressembler à rien du tout à la longue, ça doit pas être barjot de toujours recoller les morceux, surtout quand on a plus de bras et de jambes pour le faire! Ben tu vois, moi je ne regarde pas un quelconque abruti, c'est de Dieu dont on parle. Si tu cherches la vérité sur Dieu, ben t'es mal parti. C'est pas parce que tout le monde le fait que je devrais le faire, moi je vois Dieu comme n'ayant pas encore perdu son enfant, l'humanité a perdu des morceaux et en est sortie blessée plus souvent qu'à son tour, c'est certain, mais elle n'est pas morte. Y'a mort d'hommes, mais l'homme n'est pas encore mort pour sa part. La vérité, on ne la trouve pas. On la met sur la table et on vérifie si c'est conforme avec la réalité. T'as qu'à trouver le faux dans ce que je dis, je ne fais que te mettre la vérité sur la table, t'as qu'à comparer. Ben moi, je vois ça comme des prévisions. Les 10 commandements, c'est de plus en plus ce qu'on est rendu à faire le plus naturellement du monde. T'as qu'à les prendre un à un et tu verras que c'est de plus en plus ce qui nous rassemble. Si tu prends l'humanité dans son ensemble, ben elle est presque devenue ce que Dieu aurait prédit à son sujet. Y'a menace d'enfer dans la bible? Tu fais bien de ne pas en avoir peur, on y est déjà. On a un feu d'enfer qui nous purifie comme de l'or pur, c'est ce jugement qu'on porte sur soi-même, ce regard insoutenanble qui nous fait fondre comme neige au soleil au point de chercher à se mentir à nous-même. Si t'es en paix avec toi-même alors t'es béni. T'as rien à te reprocher en rien, alors ça doit être le paradis pour toi, parce que le paradis, c'est le seul endroit ou personne n'avait rien à se reprocher. Sinon, t'auras fait une drôle de paix avec toi-même, le genre de paix que se donnent ceux qui se mentent à eux-même. Dieu lui a dit quoi faire avec le bâton, il lui a dit de ne pas se battre avec, c'est juste Adam qui s'est cogné dessus tout seul avec le bâton. Il n'était pas obligé de le faire, c'était son choix. Un symbole d'abrutissement le plus total, et une probabilité de stupidité sans équivoque. C'est ton choix et ce sont tes médailles. Sans doute les auras-tu mérités au fil du temps, à grand coups de libre-arbitre, j'en suis certain.
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Ben tu vois, pour moi c'est juste de la poudre aux yeux que lance le prétentieux pour cacher son ignorance. Le ''il me semble'' est toujours plus agréable à dire que le ''je sais pas''. :p Ben tu vois, il n'a pas peur de s'en faire planter un, puisqu'il aurait déjà une solution en cas de problème. Il serait ben con de pas se protéger si son but était que son petit dernier finisse par avoir les mêmes pouvoirs que lui, encore faut-il qu'il apprenne à s'en servir. Le serpent n'est qu'un outil dans l'histoire, ce n'est pas le fusil qui tue, c'est celui qui s'en sert. Dieu aura jugé que l'outil n'était pas là au bon moment, que si le bébé s'est blessé avec alors il devra apprendre à s'en servir à l'avenir, même si il se brûlera les doigts plus souvent qu'à son tour avant de l'apprivoiser. C'est normal de penser que celui qui aurait les mêmes pouvoir que toi puisse être dangereux pour toi, surtout si t'as le pouvoir de faire tout ce que tu veux. Ce que tu ferais si t'était immortel, ça te regarde, mais si t'es pour faire n'importe quoi alors aussi bien que tu le sois pas, moi je me dis que Dieu se ballade déjà dans tous ces endroits, mais qu'il ne le fait pas juste pour le plaisir d'y être, il irait au-delà de ça, il serait ces endroits. Le plaisir, c'est juste la prérogative des petits hommes. Ben tu vois, Adam c'est justement cet univers qu'il a mis 6 jours à créer. C'est lui le joujou, comme ton bébé est ton joujou, tu ne le partages pas avec ses propres joujoux, tu décides seulement avec lesquels ils devraient jouer ou non. C'est le jeu de l'apprentissage. À la base, Adam est comme Dieu, tout comme un bébé est à ton image, il est comme toi, mais c'est pas toi pour autant, il est encore inconscient pendant toute son enfance, tu le laisses pas au volant de ta voiture quand il a un an, simplement parce qu'il y a un temps pour chaque chose, c'est pas qu'il le mérite pas, c'estjuste qu'il a encore aucune idée de comment s'en servir, et ça peut être dangereux autant pour toi que pour lui, le laisser faire, ce serait être son image, celle d'un inconscient. L'idée del'image, comparéeau modèle, c'est que l'image n'a pas la profondeur requise, il n'en a que l'apparence. Tu vois, croquer une pomme, c'est pas manger l'arbre au complet, c'est pas parce que tu croque dans la connaissance que tu sais tout pour autant, c'est juste que tu commences à savoir, c'est plus dur à avaler que tu le penses, la connaissance, c'est long à digérer avant d'être assimilé. Adam fera forcément du mal, puisqu'il vient d'apprendre à pouvoir distinguer le bien du mal, il ne pourra savoir si ça l'est que lorsqu'il en fera. Alors aussi bien le laisser digérer sa pilule plutôt que de le figer éternellement dans cette état. Aussi bien attendre qu'il est fait le tour de la question, si nécessaire, pour qu'il puisse en juger en connaissance de cause. Il n'est pas condamné, ni jugé, il a la chance de se racheter en complétant son apprentissage par lui-même, il est au courant de ce qui l'attend sur la route, à lui de se servir des renseignements pour ne pas se décourager devant l'inconnu. T'es le genre à laisser faire tout ce qu'ils veulent à tes enfants toi? T'as pas besoin de les punir ou de les récompenser selon le cas? Ben si c'est le cas, t'es vraiment fort, même lorsque ce qu'il font n'est pas dans leur bien, ben c'est pas grave, qu'ils mangent de la boue et qu'il boivent de la piquette, c'est correct, faut pas les condamner à quoi que ce soit pour de si petite bourdes, ce serait inhumain, non? Quand tu leur dit, si vous manger des cailloux, vous aurez mal au ventre, ben tu les condamne à la douleur, c'est ça? On décide toujours du regard qu'on portera sur une chose, si on ne cherche pas à comprendre, alors c'est qu'on remplit notre regard de toute l'incompréhension qui nous habite, t'as choisit la teneur de ton regard, tu pourrais choisir de jeter un oeil différemment, mais tu préfères pas. C'est peut-être là le problème, tu ne t'interdirais rien, tu t'interdirais juste de t'interdire quoi que ce soit, tu serais un paradoxe ambulant pour qui le vrai et le faux se confondraient, tu resterais au niveau du petit homme inconscient qui vient juste de croquer dans la pomme, sachant qu'interdire serait mal, mais t'interdisant de le faire sans même savoir que tu fais le mal en ce faisant. Tu vois, moi, Dieu ne m'a jamais ordonner de rien faire, j'ai compris que tout ce que je fais, c'est ma responsabilité première. Par contre, je peux pas dire qu'il me donne pas d'avertissement, et qu'il n'y aurait pas de conséquences à mes actes. Rien ne me dis qu'il faut prendre au pied de la lettre ce qui serait écrit, que je ne pourrais pas trouver une symbolique ou une métaphore dans ce que je lis. Mon libre-arbitre, je le vis à plein, il me permet même de choisir entre Dieu ou non. Tu vois, je me dis qu'il exaucerait le plus grand de mes souhaits, et si ce souhait est qu'il n'existe pas pour moi, ben il se fera un plaisir de l'exaucer, il n'existera plus pour moi. Pour le serpent, ben c'est évident que si tu ne fais rien, alors t'as rien à craindre, tu peux même boire tes selles liquides si c'est tout ce qu'à faire, là tu t'aimeras vraiment à 200%. Mais tu devras te rendre compte d'une chose, si le serpent n'est pas là comme tentation pour l'homme, ben il sera utile à Dieu, sinon ça ne lui tenterait pas de faire quoi que ce soit. Alors je comprends que Dieu est à ton image, incompréhension et absurdité sont ton lot et le tien. T'as qu'à changer de regard et y mettre autre chose, tu verras, Dieu deviendra autre chose comme par magie.
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Moi tu sais, quand ça me semble, ben c'est juste une apparence. Ben, faudrait peut-être penser que Dieu ne voudrait pas de quelqu'un qui pourrait lui planter un poignard dans le dos. Si tu donnes les pouvoir de Dieu à un inconscient, tu te retrouves avec un enfant de 5 ans qui jouent avec des bombes atomiques dans ton jardin, c'est pas ben intelligent de ta part. Tu aimerais peut-être profiter de toutes les faveurs immérités qu'il te serait possible d'obtenir, mais puisque tu ne juges pas au mérite, alors faut comprendre que Dieu pourrait en faire autant à ton endroit. Il pourrait bien te donner ce que tu ne mérites pas, ce serait selon ta propre justice. C'était pas une condamnation, il n'aura fait que les renseigner sur les embûches qu'ils rencontreront sur le chemin de la connaissance et de la conscience. Quand t'es pas conscient de la douleur, ben c'est normal d'en éprouver quand tu devient conscient. Même chose pour la souffrance. Même chose quand tu deviens conscient de la honte qui t'habite, quand tu te rends compte de ce que t'as fait, tu cherche à te cacher, tu cherche à cacher l'innocence que tu viens de perdre. Je ne suis pas plus cool que lui, c'est juste que t'as décidé dans ta tête qu'il était pas cool, que t'as décidé de le voir comme un gros épais qui comprendrait rien, juste parce que tu cherches pas à le comprendre, tu préfères te caler dans la facilité du ''il me semble que...''. Tiens, t'as qu'à faire l'exercice, c'est gratuit : mets toi à sa place pour voir, si t'es un gros rancunier, ben tu feras en sorte de faire sécher l'arbre de vie, si tu l'es pas, ben tu trouveras un moyen pour que ceux dont tu les en a privé puissent se racheter. T'es quel genre de Dieu, dis? Compréhensif ou vindicatif? Ben tu devrais te relire, t'es dans le champs là, pas dans le jardin.
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Ben tu vois, les scientifiques seraient d'accord avec moi, en ce sens que se serait l'espace qui prendrait plus d'espace, car l'expansion, c'est à ça que ça se résume. Alors si toute l'histoire tient dans le fait que l'espace gonfle, alors c'est qu'il était déjà là à la base, que la quantité de base c'est mise à prendre de plus en plus de place, que quelque chose s'est mis à créer de l'espace ou encore que l'espace s'est multiplier par lui-même. Je me dis même que si le temps passe et que l'espace gonfle, ben c'est que l'espace prend le temps pour se faire de la place. Alors dans ces circonstances, il ne restait plus à l'espace qu'à se décider de prendre son temps pour faire autre chose que de juste passer le temps et être immobile. Nuance, avant le big bang, la physique ne peut dire ce qu'il y avait et ce qui était, loi de la physique obligeant. En fait, l'existence de tout ce qui est physique était né, la physique elle-même venait de naître. Il suffit simplement de se rendre compte que tout n'est pas physique pour remettre ça en question. Comme la physique est déjà divisée en deux, alors ce qui n'est pas physique pour l'une de ses faces et ce qui n'est pas physique pour l'autre existe déjà. C'est logique, donc quelque chose devait déjà exister pour bénéficier de l'évolution nommé big bang. Et comme rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme, alors on n'aura rien perdu de ce rien de départ, et on aura toujours que ce rien de départ, il s'est transformé, et a pris la forme de tout ce qui existe. Tu peux t'imaginer un volume quelconque, et le transformé en plusieurs petit volume, mais dont le volume total ne change pas. Dans l'ensemble, ces petits volumes n'auront pas la même forme que le volume initial, mais tu auras quand même le même volume dans le fond. En fait, t'as même pas besoin d'avoir quelque chose d'autre que le milieu, si le milieu change de forme, il évolue. Ben tu vois, moi je vois plutôt l'esprit comme étant à l'origine de la cogitation, et l'âme comme en étant l'effet. Qu'il vienne d'ici ou de là, ça lui prenait de la place pour partir. Alors dire qu'il part de rien, de toute façcon, c'est la moindre des chose. L'espace se serait tellement gavé de lui-même, qu'il en aurait eu mare de seulement être. Il se serait alors projeté dans le néant, en faisant prisonnier chacunes de ses parcelles sur sonpassage, leur donnant juste assez de place pour être enfin ce qu'elles ne pouvaient pas être. Poésie scientifique? :blush: Y'a pas de ''si'' qui tienne : Dlv. :p
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T'as une drôle de façon de voir les choses, surtout en ce qui concernerait ce que serait une condamnation! Admettons que je te dises : Tu ne traverseras pas la rue sans regarder. Et que tu traverses la rue sans regarder en te prenant un camion en plein nez. Je me présente ensuite pour te ramasser, et pendant que tu baignes dans ton sang je te dis : Parce que tu as traversé la rue sans regarder, alors tu vivras maintenant comme un cul de jatte, tu seras priver de ton droit de parole et tu devras quémander la nourriture qu'on t'offrira au compte-goutte pour le restant de tes jours. Après être sorti des nombreuses opérations qui t'auront sauvé la vie, les jambes en moins et la mâchoire en bouillie, diras-tu que c'est moi qui t'ai condamné à un tel sort ou encore que je t'avais juste prévenu de ce qui t'attendait, que je t'avais seulement mis face à la conséquence de ton geste? Alors? Est-ce que je te condamne ou est-ce que je te renseigne?
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C'est simple, tu peux interpréter comme tu veux ce qui est écrit, mais faut que tu te limites à ce qui est écrit. Quand t'as un écrit qui en précise un autre, ben tu peux pas en faire une contradiction. Là le pacte est bien établi, y'a qu'un interdit au départ. Quand l'interdit est violé, il est remplacé par la suite par un autre. Mais t'as jamais les 2 en même temps. Maintenant tu peux te demander si Adam avait ou non mangé du fruit de l'arbre de vie avant de manger de l'interdit, tu peux même te demander si il avait mangé du fruit de tous les autres arbres aussi, tout ça ne me dérange pas, mais chose certaine, c'était pas interdit de manger de l'arbre de vie, tout comme c'était pas interdit de s'empiffrer du fruit de tous les autres aussi. Tu peux même te demander si c'est nécessaire de ne manger qu'un seul fruit de l'arbre de vie pour être éternel, si c'est sans retour et qu'une fois que t'a croqué dans l'éternité ben t'es pris avec, ou encore si tu peux revenir en arrière et décider de ne plus vivre éternellement, en cessant d'en manger tout simplement. Alors tu combles ce que tu veux avec ce que tu veux, je me fais un plaisir de proposer, t'as qu'à te faire le plaisir d'en disposer comme bon te semble.
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Y'a donc des embryons qui ne sont pas crées dans un projet parental, qui sont pas l'objet de leur protection et dont le développement n'est pas l'affaire. Donc qui n'ont pas de parents et qui n'en auront jamais. Je vois donc que tu sais pas ce que c'est un parent, sinon t'aurais pas parler d'une décision de parents. Si tu protèges pas l'embryon et que t'assures pas son développement, ben c'est que t'es pas un parent. CQFD Là tu redeviens la petite wipette que je connais, celle qui comprend pas le fond des choses et qui prend tout le monde pour des imbéciles, surtout les croyants. Tu vois, je penses pas que les parents devraient les sauver tous, je crois que seuls ceux qui parviennent à les protéger et assurer leur développement sont digne de porter le titre de ''parents''. Ceux qui n'y parviennent pas ne sont pas digne de ce nom. Tu comprends ça ? Ta haine religieuse t'aveugle-t-elle encore trop pour ça? Y'a pas à le dire, personne n'a personne, c'est seulement un fait. Y'a que les esclavagistes qui pensent que d'autres être humains seraient à eux. J'ai des enfants, mais ils ne m'appartiennent pas, ils s'appartiennent à eux-même. Je suis juste le gardien de leur évolution. T'es un gros possessif je vois, tu penses que tes enfants seraient vraiment à toi? Sinon, tu peux dédouaner les scientifiques en disant que les ''parents'' leur aurait donné la permission, et un embryon en prime, pour qu'ils ne s'occupent pas de le protéger dans son développement, pour pour le mener à son terme d'avorton. Puisqu'il faut tout t'expliquer, alors ne va pas croire que je suis contre l'avortement, ou contre la recherche sur les embryons. Je suis juste contre l'hypocrisie voulant qu'on appele parents ceux qui décident de ne pas protéger et assurer le développement du projet parental jusqu'à terme. Alors elle est où l'éthique du parent qui n'en est pas un? Sinon dans de la petite politique?
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Ben tu vois, moi je vois une porte de sortie, soit t'es la propriété, soit t'as la propriété. Si t'es la porte au fond du sac, et que t'es fermé au point de ne plus faire la différence entre ce que t'es et ce que t'as, ben si on te dit qu'il y a un cul au fond du sac, tu diras que t'es dans un cul de sac, mais en fait, t'as qu'à t'ouvrir le moindrement pour te rendre compte que le cul de sac, c'est toi. Exactement, il est juste existant. Il existe en tant que ''ce qui n'est pas''. Normal, t'as rien que perdu l'inexistence en cours de route, c'est ce qui t'aurait permis de suivre. Le néant a une existence, mais une coche en dessous, y'a l'inexistence, elle tu peux pas l'affubler d'une existence. En fait, Verax est encore plus retors que ça! Il ira jusqu'à dire que l'inexistence est à l'essence ce que l'existence est à la substance. Si c'estpas de la substance, c'est de l'essence. Alors l'inexistence est de la même trempe que tout ce qui n'est pas l'existence elle-même, c'est un phénomène qui en émane, comme pour tout existant, puisque un existant n'est pas l'existence, seule l'existence est l'existence en vérité, dans le cadre de la moindre des vérités, évidemment. C'est peut-être la moindre des vérités, mais elle a une suffisance absolue! C'est rien de le dire! Ben, je serai passé comme un voleur dans ce cas! Ça fait concept. :p Est-ce que de suffirait pour m'excuser? C'est bien de le dire, c'est encore mieux de le faire! :p
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Ben, puisque t'as pas tout lu, t'as certainement manqué le passage disant que rien, c'est la moindre des choses, et que si je prends l'espace pour rien, ben c'est pas l'univers pour autant puisque je me propose d'en créer un à partir de là. Alors le rien est constitué de rien, et ce rien, c'est rien que de l'espace, un tout plein d'espace. Rien que de la place. C'est bien cela, si c'est le rien (le nom, quelque chose), ce n'est pas ce qui n'est rien (le pronom, nulle chose). Comme l'espace c'est quelque chose, alors c'est comme rien, c'est la moindre des choses pour ce qui prend place et ce qui a lieu, pour exister. Devant ce rien (le nom), t'as tout ce qui n'est pas rien (le nom), tu peux y inclure le temps (ce n'est pas rien), des propriétés (ce n'est pas rien, c'est ce que rien a, sa propriété), des lois (ce n'est pas rien, c'est sa façon d'être rien). Le minimum à comprendre en ce qui concerne l'univers, c'est que si il n'a pas de place pour l'être, ben il lui reste juste à être la place en attendant de s'en faire une en temps et lieu. Si c'est ça ta vérité, ben c'est ta propre philosophie qui te dépasses. :p
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Formellement, je cherche à partir de rien, et de là, à construire tout l'univers. Alors tu peux en tirer les conclusions que tu veux, ça me semble assez clair comme plan. En ce concerne la progression, ben j'ai commencé par dire que je cherche à partir de rien, que ce rien, c'est quelque chose, que c'est la place, celle qui serait la meilleure pour partir. Je m'efforce donc depuis, de la protéger du néant que tous cherche à y faire entrer, de la rendre solide et indestructible, de sorte que si quelqu'un réussi à y mettre quelque chose à la place, ben ce quelque chose deviendra la place à sa place. :p J'ai donc un petit rien qui existe et qui fait face à ce qui n'est pas rien, à ce qui n'existe pas en tant que rien, autrement dit, qui fait face à tout, et qui résiste encore et toujours à l'envahisseur. :p Ce que tout ce qui n'est pas rien ne sait pas encore, c'est que ce petit rien s'apprête à l'envahir, à pénétrer les ténèbres qui l'entourent, et je mise un petit rien sur le fait que le petit rien prendra la place des ténèbres, qu'il apportera la division en leur sein, sa division, et qu'à force de petits riens, mine de rien, il épousera sa vérité, soit que tout finira par prendre place, à avoir lieu, grâce à lui. Parce que c'est ce que ça prend pour avoir lieu, le lieu. C'est encore un lieu vague et vide, mais il gagne en puissance. Je sais pas si tu te rends compte, mais si le concept existe, c'est que quelque chose y aurait conduit, c'est la moindre des choses. On peut voir le superlatif lui-même comme un impératif y conduisant nécessairement. Il fait bon penser, mais ce n'est plus une pensée lorsque ça devient une conviction. La question reste que tu ne peux expliquer le monde, donc que ta conviction ne se base sur rien du tout. Laplace n'a pas pu expliquer le monde, même en partant de ce beau principe, il a sans doute expliqué beaucoup de choses qui ne sont pas le monde, qui sont à l'intérieur de celui-ci, mais le monde lui-même. La science aussi n'en est pas capable, elle connait ses limites, elle ne peut expliquer que partiellement son fonctionnement, mais jamais le ''ce'' de ''ce'' qui fonctionne en tant que tel. Moi je dis que la plus inutile des hypothèses, c'est l'hypothèse voulant qu'une hypothèse soit inutile. :p La logique, c'est l'art de faire des liens entre ce qui est différent. On fait le lien entre deux choses illogiques, et ça devient logique. La croyance est une logique en soit, elle fait un lien de certitude entre deux incertitudes.
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Y'a un peu de Lui dans tout ça en effet, un tout petit rien en fait. Je me dis qu'y a pas besoin d'y croire pour y penser. Ceux qui croient que le simple fait d'y penser ferait d'eux des croyants sont mal partis, le penseur n'est pas le commettant, il ne se commet pas, il ne comment que des pensées si il y a quelque chose à commettre. Je me dis aussi que ce ne sera pas un croyant qui prouvera Dieu d'une façon où d'une autre, celui qui le fera ne sera pas de ceux qui croient, ils sera de ceux qui savent. :p
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Je vois pas le problème, Dieu est un sujet philosophique à part entière, on parle d'être, pourquoi se priverait-on aussi de l'être suprême? Je l'ai déjà dit, le plus beau de mes trésors, c'est ma liberté de penser, si je censure ma propre pensée d'une façon ou d'une autre, si je m'interdit de penser à une seule chose, alors je crache sur le plus beau de mes trésors. Je n'ai rien contre ceux qui se le permettraient, mais pour ma part, je ne me le permets pas. Ce qui est dommage pour moi, c'est que tu y vois un dommage quelconque pour toi.
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Faudrait que tu m'expliques ta pseudo-réflexion, celle qui implique le terme ''parent''. Je pense que tu sais pas ce que c'est que d'être parent, sinon tu verrais que l'embryon doit être considéré comme un enfant ou comme un membre de la famille, le membre qui est l'objet de sa protection, dont le développement est du ressort. Nier la protection et le développement, ça ne fait plus de toi un parent digne de ce nom. Encore plus, faudrait que tu m'expliques la règle éthique voulant qu'un être humain soit la propriété d'un autre être humain? Parce qu'un embryon, c'est pas une partie du corps humain, c'est un corps humain en soit, c'est considéré comme un intrus par le corps de la mère, ce corps doit même prendre des dispositions pour que ne pas attaquer le petit intrus, pour le protéger contre elle-même. T'as déjà le corps de la mère qui te passes le message sur ce que serait le devoir de protection et de développement de l'embryon, si tu fais en esprit ce que le corps se défend de faire, ben t'es incohérent et pas éthique du tout, tu fais juste de la petite politique égoïste. :p
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Ben tu vois, t'as une jolie façon d'ouvrir la '' ''. Tu me dis donc que ce qui est un concept, ben ça n'existerait qu'entre parenthèses, selon cette logique, l'existence, qui est aussi un concept, n'existe pas plus que le néant. Tout ce que précède le déterminent ''le'' n'existerait pas au même titre que ce qui porte le déterminant ''un''. Ainsi un existant existe, mais l'existant n'existe pas, ainsi la chose existe mais l'idée de la chose n'existe pas. Ben tu vois, pour moi les deux mondes existent, dans chaque monde, y'a tout ce qui existe pour ceux qui s'y trouve, pour une chose, seule une chose comme elle, ayant une substance identique à celle qu'elle a, a l'existence. Pour la chose, seule la chose comme elle, étant la substance à l'identique de ce qu'elle est, est l'existence. Alors t'as ce qu'est l'existence, et t'as ce qui a l'existence. Logiquement, l'existence ne s'a pas, elle s'est. C'est ce petit rien qui nous sépare, un rien de différence. On n'a pas ce qu'on est, si le non-être n'a pas de propriété, alors rien ne l'empêche d'en être une. Il n'a pas la propriété qui le qualifie d'être, il est la propriété qui qualifie l'être, la propriété qualifiant l'être, c'est de ne pas être ce qu'il n'est pas. Si le néant n'est pas, alors il n'est pas ce qu'il n'est pas, pas plus qu'il est ce qu'il est. Il existe, mais n'est pas, il n'est pas existant, il n'est pas inexistant, il n'existe pas en tant qu'être, il existe en tant que non-être. Dans l'absolu, l'absolu n'est pas absolu. Absolu, c'est un mot, l'absolu, c'est 2 mots. On relativise déjà (l') et (absolu). :p (L') est absolument (L'). (absolu) est absolument (absolu). (L'absolu) est absolument (L'absolu). Si (l'absolu) est (absolu), alors il n'est absolument pas (l'absolu). Alors si tu veux parler d'absence absolue, on dira que c'est l'absence d'absence, comme la présence absolue serait la présence de présence. Alors on se retrouve tout simplement à tirer le vrai du faux, tout comme c'est vrai lorsque c'est le faux du faux, alors c'est la présence lorsque c'est l'absence de l'absence. Sinon, qu'est-ce que serait l'absence absolue selon toi, sinon celle qui contient sa propre fin. Si tout est présent, alors c'est que l'absence d'absence est présente. Tout n'étant qu'absence d'absence, rien n'étant qu'absence de tout ce qui n'est pas de l'absence, alors l'absence n'est que cette place ou tout ne se trouve pas, c'est la place qu'il fait bon d'être lorsqu'on est rien. Un petit coin d'espace ou on ne trouve pas tout. Moi je dis que l'absence a tout pour elle, parce qu'elle n'est pas tout. Elle a ce qu'elle n'est pas pour l'être, et elle est ce qu'elle n'a pas pour l'avoir. Un être n'est pas l'être, il en est fait, il en a pour être ''un''. Tu vois, je suis un être, c'est mortel pour moi, comme pour toi! Normal, puisque chacun de nous se sera payé la mort en échange du pouvoir d'être ''un'' et non pas ''le'', le pouvoir d'être différent. Je conçois le big bang comme étant ce qui est l'évolution de tout ce qui est. Je ne le vois pas comme tout ce qui est. Tout ce qui est n'a pas besoin d'évoluer pour être, c'est tout ce qui est aussi lorsque ça n'évolue pas, lorsque l'évolution n'est pas. Le bing bang, c'est que l'effet d'une petite chiquenaude, (tiens, ça me fait penser à une image, celle du majeur qui s'appuie sur le pouce et qui s'apprête à se relâcher, l'index levé au ciel, mes doigts prennent justement cette position lorsque je lève la main pour poser une question). C'est la tension contenu dans la chiquenaude qui se propage dans tout ce qui existe. Je dirais que c'est un peu comme la pression que fait peser le néant sur mon petit rien. Si ce petit rien finit par éclater un jour, il finira bien par remplir d'absence tout ce qui n'existe pas, il ne reste plus qu'à attendre qu'il prenne la forme d'une absence de limite. Qu'il prenne la forme d'un fond plein de vague et de vide, un vide plein de vague, comme le vide quantique quoi! Pour moi, Dieu se résume à un mot, compréhension. Quand tu veux comprendre rien, tu veux comprendre la moindre des choses, et rien, c'est rien de moins que la compréhension elle-même. C'est la moindre des choses pour être compréhensif. Ça se comprend? On se comprend? Parce que si on se comprend, alors la moindre des choses, pour la moindre des choses, serait déjà de comprendre la moindre des choses. Alors, le petit rien d'où je cherche à partir, c'est un outil qui me permettrait de comprendre, un outil qui incarnerait la compréhension, un espace assez puissant pour tout comprendre. Si j'étais cette outil, or ce serait comme rien, je serais Dieu. Mais je ne suis pas cet outil, je l'ai en partant, je cherche à partir de lui, pas à l'être. Du moins, pas encore! :p Pour ça, je verrai un coup parti. Ce sera peut-être possible à ce moment là.
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Ben tu vois, moi je distingue Existence et être, et je distingue inexistence et non-être, je les nommes différemment parce qu'ils ne veulent pas dire la même chose. Y'a ''Qui''. Y'a ''qui existe''. Y'a ''ce qui existe''. ''Qui'' n'existe pas en tant que ''qui existe'', il existe en tant que ''qui''. Dans un cas t'as un mot, dans l'autre t'as une combinaison de mots, au minimum 2, qui existe donc en tant qu'un mot et n'existe pas en tant que 2 mots. 2 c'est autrement que 1, c'est la dessus que je compte à la base pour faire la distinction. Tu peux donner la dimension que tu voudras à ce qui serait à l'origine du big bang, moi j'y vois juste la différence, ce ne sera pas le big bang, ce sera autrement, c'est tout. Ça voudra juste dire que le big bang n'est pas ça. Si le big bang marque l'évolution, alors avant le big bang, ce ne sera pas l'évolution. Y'a qu'à se demander qui est qui et qui a qui, est-ce que l'évolution a la création pour en être l'évolution ou est-ce la création qui a l'évolution pour en être la création. Sinon, est-ce l'évolution qui crée ou la création qui évolue? Évolution créatrice ou Création évolutive? Moi je dis que la création absolue, c'est celle de sa propre évolution, sinon, si l'évolution évolue, c'est qu'elle aura évolué à partir de ce qu'elle n'était pas, la création aurait donc évolué en évolution, créant celle-ci du même coup. :p Si c'est la cohérence qui sert de preuve, alors y'a qu'à trouver la cohérence, ce sera la preuve. Je cherche à partir de rien, faut pas l'oublier, je ne cherche pas qui part, je cherche à partir d'où le qui en question va partir. C'est pas métaphysique, c'est juste un petit lieu vague et vide, un rien d'espace. C'est juste qu'il n'est pas dans l'espace, parce ce serait l'espace. Je sais pas, ça supposerait que l'esprit, c'est comme rien, ce serait la moindre des choses. Pour que l'esprit soit dans un état, encore faut-il qu'il soit.