Cassandre 0101

madame je vous demanderais de bien lire mes propos et accessoirement apprendre à les comprendre car je n'ai jamais dis que les violences psychiques pouvaient causer la mort, c'est pep psy qui parle de suicide= mourir de violence verbale je vous serais gré donc de faire attention à vos réponses merci. au cas où vous m'auriez lue en diagonale , voici à nouveau la réponse que je vous avais donné...:) c'est tout à fait cela et bien souvent les 2 s'accompagnent ensemble: violence physique et psychologique.

la violence psychologique...une personne use de violence psychologique contre unE autre personne quand par exemple elle la manipule ou manipule son entourage afin d'obtenir des choses des acquis ou de la notoriété afin de faciliter sa propre vie au détriment de la personne manipulée... la ou le manipulateur ose tout sans détour sans morale et se contrefiche des dégâts que cela pourrait occasionner dans la vie de l'autre personne, c'est donc faire preuve de violence psychologique envers elle ( l'autre personne).... exemples: l'éloigner puis la faire se séparer de ses amis par la calomnie, répandre des rumeurs odieuses ou mensongères pour lui faire perdre son travail, vouloir que cette personne soit toujours dispo pour soi donc tout faire pour la contraindre à faire ce que l'on veut d'elle , la priver du pouvoir de decision (toujours decider pour elle) ... tu vois les exemples font légion, comme le dit ptitepao, cherche, renseigne toi et tu comprendras que la violence psychologique fait de réels dommages et diminue la personne et à terme lui ôte toute confiance en elle comme de dire pendant toute son enfance qu'elle n'est capable de rien, qu'elle n'arrivera jamais à rien, qu'elel comprend rien de ce que l'on lui dit, fera qu'adulte elle n'osera pas s'affirmer devant les autres donc plus apte à l'échec... je te ferais remarquer que pep psy l'avait déjà mentionné ce point précis

vous avez raison toutes les 2 angedemon quand vous dites qu'avant que la violence morale soit jugée il faut d'abord la dénoncer, oui, encore faut il que la victime puisse le faire et là je rejoins les avis de pep psy à ce sujet également et angedemon quand tu dis: et le but de cette violence c'est de désarmer, encore oui, celui qui use de la violence contre une personne fait tout ce qu'il faut pour réduire cette personne à rien du tout niveau psychologique et en la disqualifiant, la discréditant de sorte que personne ne puisse la croire si elle dénonce! par contre je suis d'accord avec january quand elle dit que la violence morale se voit par contre je ne suis pas d'accord avec toi january: la victime elle elle la voit en face la violence! ce sont les gens qui détournent le regard et ne veulent pas se méler de ça qui ne la voit pas, plutôt qu'ils refusent de la voir! et tant que ce sera ainsi, rien ne pourra être fait pour protéger ces victimes là ... c'est ce qui me semble le plus difficile pep psy dans ce monde où celui ou celle qui va bien, qui ne subi aucune violence morale , ces personnes là ne se sentent pas concernées et donc ne dénonceront pas ni n'agiront pour aider la victime , car tout simplement penseront que ce n'est pas leur domaine de profession par exemple, donc elles se désinterresseront du problème! ! et c'est comme ça que tout stagne, le silence, le silence des gens qui ne se sentent pas concernés, le silence des gens qui entendent mais n'y croient pas et le silence qu'adoptent enfin les victimes car de guère lasse, n'etant ni écouté ni entendu finissent par baisser les bras et se taire

caresse.

justement...je m'interroge...pourquoi les forumeurs et forumeuses continuent à prodiguer maintes conseils vu que depuis la page 33 l'initiatrice du sujet n'y participe plus? :gurp:

En ce lieu vit une louve mystique Partie à la chasse du cerf et du faon Parcourant la forêt de pin magnifique En ce matin unique tout frais et blanc. Ses petits louveteaux présents Jouant à cache cache ici et là Attendent au petit jour naissant Sur la neige brillante leur repas. Le vent souffle fort sur la plaine Froid mordant étincelant émerveille Allant entre les plants de verveine Leurs museaux humant l'air en éveil. Petits bruits sons et chuchotements Grouillants de vie sur ce soleil figé Vent dans les branches souffle chantant Roulent cristaux multicolores dispersés. Paisible et calme est cette montagne Reposant et glacé est cet hiver Bois alentours loin de ma campagne Où réside un peuple de loups fiers.

:smile2: une ch....que j'ai connue ce fut fait en 12h après sa demande

En cette terre mon infante Ton reflet dans l'eau si flou Image de toi que j'invente Se baignant dans ce tout Ton être que je désire De mes doigts toucher Désormais en mon délire Glisse hors des pensées Tes ailes sur ta robe sage Ton regard qui m'attire Fait naitre d'un autre âge Sur ma peau Un martyre Aucune rivale ne t'égale En ce lieu bleu de plaisir Fée de glace ma cigale A tes pieds je suis ivre En cette nuit lunaire Frémissante enivrante A l'unisson dans cet air Je te rejoins ma galante Entre caresses et baisers Jouir ensemble de ce feu Sur cette surface enjolivée Plongeant dans l'entre deux

Ce qui ne peut être extrait Comme un songe se flétri Oh mon très cher ce n'était Qu'un de ces mille feux épris Réduite en peau de chagrin Ma bulle floconneuse étoilée Sphère de senteurs au jasmin Vaporeuse blanche illuminée Dans mon rêve avec toi Constellation nous berce Nébuleuse enchainée à moi Titanesque en une pièce Viens vers moi n'aie pas peur De ce vide au dessus de nous Unis ensemble en cette heure Au sein de notre univers doux Fantasmes et images ailées Me voilà enfin prête à courir Vers ta cabane et ses vallées Venir dans tes bras pour en jouir

lool remplacée par un autre pseudo?

moi ce que je me dis... c'est que les histoires se ressemblent tant... et même façon de raconter et de s'enerver après les gens qui n'abondent pas dans son sens et celui de pep psy donc... et en attendant ça fait des pages et des pages où encore uen fois on tourne en rond sans être écouter bizarre non?

ou ces membres là....pas sûr que ce soit vrai non plus...

et toutes celles qui papotent papotent sans rien dire... de bien consistant...

Mes mots écrits sur son instant Mais nulle dérobade juste notés Au temps où lui je l'aimais tant Nos regards pétillants de gaieté J'admire tout ce qui m'entoure Mère Nature les fleurs les forêts Ces petits rien remplis d'amour Ce monde splendeur, ces bleuets Ces gens qui s'agitent sans fin Tels des fourmis me fatiguent Me heurtent en courant en vain Tout prêt à faire rompre ma digue Je me hâte vers mon havre Trésors de vie mon bonheur Sans me détourner mon brave Même si distance demeure Dans la brume de l' étang Là où je me suis réfugiée Vol perdrix à l'horizon s'étend En ce palais empli de félicité.

Elle monte les escaliers pas à pas Le palier sombre étroit si bas Dans la pénombre de la pièce Elle s'avance alors vers la fenêtre Le regard rivé vers l'extérieur Sur ce parquet où plus rien ne demeure. Ses pensées s'envolent avec ce parfum De ces souvenirs anciens d'un matin Elle frissonne de ce petit air frais De ce lieu isolé qui l'effraie Debout à la vitre elle contemple Ce petit monde éloigné qui tremble. Immobile sans faire de bruit Elle reste à attendre la nuit La lumière disparaissant peu à peu Elle compte les heures en ce lieu A attendre la venue d'un signe Pour partir loin de cette ville.

de tout ce que l'on ne voit pas arriver, de ce qui vous tombe dessus sans préambule, de tout ce qui est déséquilibrant...:(

Réveillée soudainement par un doux chant De ces petits oiseaux piaillant heureux M'extirpant avec peine de ce rêve béant Assise sur le lit je m'interroge songeuse. Je naviguais toujours à vue détendue En songeant à tous ces moments fous A tous nos vers et nos rimes ténus A nos partages du soir du matin flous. Je m'élançais dans ses songes son ombre Ravie sur ses pavés mouillés sur son fil Confiante abandonnée dans sa pénombre Avec dans les yeux promenades sur le Nil. J 'écrivais enivrée juste pour lui Mes plus coquins secrets inavoués Je lui destinais joyeuse mes envies Mes escapades arc en ciel passionnées. Ce poète il était si beau et si grand Dans ces écrits à moi ses attentions Je m'étais habituée timide à son élan Qui à présent sonne en une trahison.