Yeats

En fait non, l'amour est un sentiment qui n'a bien aucune motivation liée au mérite, au contraire. Il n y a rien de plus arbitraire que l'amour, et si l'amour était rendu au mérite, alors il n y aurait pas de peine de coeur. C'est justement parce que l'amour n'est pas logique qu'on peut s'attacher à des salauds/salopes , des drogué(es), des losers ou des psychopathes, et c'est aussi pour cette raison qu'un type comme Guy Georges reçoit des lettres d'amour en prison. Rien à voir avec le mérite, tu en conviendras. ( et heureusement dans un sens)

Mais pourquoi "jouer" ?

Pourquoi la fragilité ferait forcément partie de la part de féminité ?

Heureusement qu'il y a eu les nazis, sinon on se demande ce qu'invoquerait les gens tout le temps et à toutes les sauces.

Mais qu'elle est difficile en plus ! C'est du bon pain dur que je dépose sur le mur pour qu'il soit picoté !

*Jette des miettes de pain à Léna *

Ben tu rencontreras des spécimens de vrais machos ( et donc qui ne se revendiquent pas macho) en vieillissant, oui

Doux Jésus, quelle poigne :wub: !

J'envoie un message télépathique à Léna dans lequel je lui souhaite nubienv' dans mon univers

En même temps tu as 18 ans et un vrai macho ne se revendique pas comme tel, ça se voit

Je n'ai jamais cherché la perfection au sein de ma paume. C'est fort possible, gente dame :wub:

Mais non c'est pas ça, tous les machos n'ont pas envoyé leur femme à l'hopital et tous ceux qui ont envoyé leurs femmes à l'hopital ne sont pas machos !

Haaaa les hommes et les poils ! :p ça va ça vient, de 20 à 30 ans, j'étais complétement obsédé par les poils, accroc du rasoir et aujourd'hui j'ai une grosse barbe et des poils partout. Comme quoi la mode ...

Quelle horrible caricature que de réduire un macho à un violeur !

Le coup des insulte et du tirage de cheveux au lit est pourtant bien à l'opposé de la tradition machiste , il faut le souligner (un macho aime sa maman, et donc n'insulte pas sa femme en levrette tout en lui tirant les cheveux)

Une coutume née avec et grâce à Rocco Sifredi, on dit merci à l'industrie porno mesdames

C'est assez inhabituel de lire ce genre de propos venant de la bouche ( ô combien savoureusement douce :wub: ) d'une femme ! Un vrai mec avec des bollocks de guedin :cool: Il y a des femmes qui regrettent la virilité

L'espèce humaine est anarchique dans ses besoins et ses envies, il est impensable de penser tout expliquer, tout compartimenter et tout égaliser ! On ne pourra jamais atteindre : 50-50 de femmes / hommes, de noirs / blancs, d'hétérosexuels / gays, de gros / maigres ! C'est pour ça qu'outre le sexe ou la couleur ou l'orientation sexuelle, il y a pour obtenir un travail : les compétences ! Et que c'est bien ça qui décide de qui obtient quoi dans un monde qui marche sur la tête. Le mérite ne se fait pas dans le dos de l'égalité des uns ou des autres : il est le mérite !

Pourvu qu'on aille se coucher ensuite ...

Je voudrais parler de ce post que j'ai lu : Les hommes se féminisent-ils au grand dame des femmes ?

Oui, la société se féminise et appelle ça "modernisme" ! Bienvenue au XXIe siècle

Non mais t'es d'accord que demander un genre de parité homme femme dans le secrétariat , personne va le faire. Bah j'ai envie de dire que c'est pas vraiment un problème de savoir pourquoi, suffit de constater. Y'a des corps de métier préférés par les femmes et d'autres par les hommes, comme pour le sport par exemple. L'équitation attire bien plus les femmes que les hommes, et le rugby bien plus les hommes que les femmes.

C'est pour alimenter les magazines féminins

Je pointe comme exemple, le secrétariat complétement fermé aux hommes et réservé aux femmes. Mon grand père était secrétaire dans les années 50 , aujourd'hui c'est un domaine quasiment réservé aux femmes. Ben si on part du principe qu'hommes & femmes sont des êtres humains égaux, on a pas trop à se poser de questions sur la différence de leur motivation, c'est leur libre arbitre.

Il y a de base , des différences entre les êtres humains, donc s'attendre à une stricte égalité niveau sexe, c'est faire un postulat mathématique sur une base qui est pourtant aléatoire. (cf l'exemple des bouchers, des infirmières)