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Anna Kronisme

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Messages posté(e)s par Anna Kronisme

  1. Tu me plais :coeur:

    Mais t'exagères.

    J'aurais jamais cru qu't'étais comme çaaaaa

    J'ai la chanson dans la tête, maintenant... :'(

    Pour l'amour d'une benz

    Jamais je ne voudrais d'un mytho

    Les vieux dossiers, quoi...

    Vivez votre tabou réglé comme du papier à musique et usez de poésie, mesdames... dites que vous êtes lunatiques durant ces périodes sombres où dentelles et froufrous se morfondent dans un coin reculé de votre boudoir. Et si malgré tout, un inopportun insiste en vous demandant pourquoi vous refusez de lui passer le sel, répondez le plus simplement du monde :

    PARCE QUEEEEEEEEEEEEE !!!!!!

    Puis souriez.

  2. Verdict

    Chapati, en vertu des preuves irréfutables données par la kamarad Louise et au vu de votre persistance à ne pas vous repentir malgré les trois injonctions conformes à nos lois, l'évidence est que vous n'êtes pas suffisamment évolué pour avoir pu vous doter du caractère révolutionnaire indispensable à la création de notre future société libre, fraternelle, juste et vraiment tellement chouette.

    En conséquence, et au vu de notre magnanimité fraternisante et populaire, l'Etat vous offre gracieusement un stage de réinsertion sociale d'une durée modulable afin de vous libérer de vos pensées malsaines et de vous faire retrouver le sens populaire des vérités vraies.

    Vous êtes donc prié de vous rendre immédiatement sous peu au bloc 217A28B pour vous apprendre à penser comme il sied. Les kamarad Tovarich et Mororich vous aideront à trouver la voie 17 terminus Vladivostok ou vous attend un train spécialement mis au service par la révolution fraternelle et populaire.

    Vous nous remercierez un jour kamarad Chapatich, vous nous remercierez !

    Tu nous réciteras:

    - 3 fois Les noms du père (Lacan - Les non-dupes errent)

    - 1 fois Le trait d'esprit (Freud)

    - 10 fois Psychopathologie de la vie quotidienne (Freud, itou)

    C'est mieux que ces c*nneries sur Marie, Joseph et l'étoile du Berger...

  3. C'était juste pour répondre à cette idée qu'il fallait

    nettoyer le topic " la PHYCHANALYSE" et supprimer les témoignages

    de Samira qui fait état de son expérience personnelle !

    Ce serait donc HS :blush: dit-on !

    Je dois dire que je suis étonnée !

    J'ai donc redescendu ce qui est certainement considéré

    comme très intéressant dans la rubrique PHILOSOPHIE, n'est-ce pas !

    :smile2: :smile2:

    Personne d'autre que Samira123 n'a demandé la suppression de son témoignage, à ma connaissance... Je pense que tu aurais pu t'abstenir de produire ce petit numéro d’adulescente post-pubertaire qui en plus de rendre grâce à l’odieuse idiotie qui anime tes propos, gêne considérablement la lecture.

    Comme je le suggérais hier à Demonax, agis plutôt que de réagir. Economie et plus libre circulation d'énergie.

    --------------------------------

    La psychanalyse provoque des "réactions", nous avons tout loisir à le constater ici quand il s'agit simplement d'en discuter. Nous voyons que se mettent à l'oeuvre, dans l'ignorance de ceux qui en font montre, des énergies contraires nommées Éros et Thanatos, Amour/Vie et Haine/Mort. Bien que de nombreuses sciences et notamment médicales aient su élaborer certains traitement médicamenteux permettant de "contrôler" (et non maîtriser) ces énergies (pulsions), il n'en reste pas moins qu'elles demeurent présentes et actives, sournoisement agissantes... La réflexion, la raison, la logique, l'étude, la méditation et tant d'autres choses permettant une élévation de l'esprit n'y pourront jamais rien.

  4. Nous devrions enfermer Demonax le roi de la logique avec contre-exemple (qui visiblement l'a en horreur) sur un topic et les laisser s'entre-tuer mdr.

    :coeur:

    Et LouiseAragon avec, elle nous fera des recueils des arguments les plus pertinents commentaires les plus amusants de chacun d'eux ! Retraçant les faits avec sa légendaire minutie d'historienne-Roudi-Cocotte-minute forumique... Ah ! Ça promet du bel ouvrage !

  5. Non, tu n'es pas un interlocuteur, Demonax (file voir la définition de ce terme), tu es celui qui évite d'aborder le sujet en émettant une critique poussive des arguments des autres, qui eux, se risquent dans le sujet.

    La différence entre la hyène et toi, tout de même, c'est qu'elle agit en groupe alors que tu es seul... comme le petit de cette créature à qui il est donné une ridicule proie vive afin qu'il s'exerce. Tu ne fais de mal à personne... Tout petit deviendra grand... s'il ne se fait pas bouffer avant.

    Je t'invite à relire les métaphores du miroir, un peu plus haut dans ce fil...

  6. Demonax, "l'argument fallacieux de l'homme de paille", tu le sers à quasiment tout un chacun... souvent accompagné de "sophisme", "procès d'intentions", "préjugé/méjugé". Je ne sais pas si tu t'en rends compte. Du coup, il s'agit d'une suite de mots que j'exclue de ma lecture lorsque je veux tenter de comprendre ce que tu souhaites exprimer derrière tout ce verbiage mirobolant.

    Ensuite, j'ignore où tu souhaites arriver avec cette liste d'ouvrages de critique de la psychanalyse... si c'est pour faire ton Chapati (en carrément moins bien) et me tanner avec "Si tu n'as pas lu ce(s) bouquin(s), tu ne peux pas discuter de la psychanalyse objectivement, t'as zéro argument, t'es nul(le) !" alors je vais te demander de m'en faire un bref résumé, de ces bouquins ; et applique-toi car je serai très sévère en notation.

    Quant à la distinction que tu sembles faire entre psychanalyse et psychanalyse d'obédience freudienne, screan-shot du Larousse à l'appui, j'admets que là, je vais te laisser tout seul. Je ne vais même pas te demander une reformulation ni d’approfondir et même chose pour autisme et psychose ! ^^

    Je reconnais un de mes torts, ici... celui d'avoir espéré que tu comprendrais ce que je t'exprimais avec, pourtant, beaucoup d'attention et de tolérance. Enfin non, je n'ai pas tant tort que ça d'être optimiste et je crois tout de même en ta raison et ta logique pour t'ouvrir le coeur... un de ces quatre... Ne puis-je ne être témoin.

    Tu n'as pas à t'en excuser, on est là chacun pour donner son avis d'ailleurs j'ai demandé la suppression de ce post puisque tu n'es pas la seule à trouver qu'il n'avait pas sa place dans ce topic bien que mon but avait juste été de faire comprendre un peu la pratique de la psychanalyse sans plus.

    Oui, je l'avais compris en ce sens aussi.

    Heureuse de savoir que tu n'en es pas blessée.

  7. Ça je peux l'entendre Demonax, même si je trouve que cela déborde assez du sujet qui nous occupe, des tendances paranoïaques ?

    Je pense que tout le monde a son mot à dire, qu'importe qui tu es, d'où tu viens, ton parcours, seul compte ce que tu as à dire en adéquation avec la rubrique dans laquelle tu interviens, à savoir la philo, je dis tu, mais c'est valable pour tout un chacun postant dans cette section, comme je l'ai déjà entrepris par le passé.

    Ce qui veut dire entre autre que blablater, comme tu l'écris, fait parti de l'exercice, comme nous le faisons en ce moment, quitte à être HS.

    Tu vois ça illustre ce que je te disais précédemment, tu ne tiens pas compte de l'énoncé en entier que t'a fait Anna, à savoir que l'enfant peut être chinois, africain ou mexicain !

    Dans ce cas je m'en excuse, telle n'était pas mon intention, te faire réagir oui, te choquer non !

    Ce sont sans doute de bons conseils pour de la " bobologie ", mais là on parle de traumatismes profonds, de blessures béantes, de situations inextricables où il n'y a pour l'enfant aucun échappatoire viable, aucun refuge qui le préserverait, il est face à la violence et rien ne peut s'interposer, il est question de douleurs insupportables qu'il faut quand même encaisser/subir, parce que l'on ne peut pas s'en extirper, si tu veux pour le gamin, ce serait comme un prisonnier de guerre que l'on torture: où est l'acceptation, pour tourner la page ? Les chocs post-traumatiques des soldats revenus de la guerre ne sont pas une broutille qu'il suffirait d'enlever comme on se lave les mains avec un savon aux détergents pour faire partir une tâche, une salissure, une souillure, c'est tout l'inverse du superficiel, ce serait plutôt comme de vouloir guérir d'un cancer de la peau avec de l'eau et du savon, les outils que tu proposes sont malheureusement complètement inadaptés, en tout cas tel que tu les présentes, comme une évidence, ou manichéens.

    Sans chercher à être désagréable, encore une fois. ;)

    Non, tu tronques, tu oblitères le problèmes, tu réponds qu'à une fraction de la problématique, ce qui au final ne répond pas à ce que l'on attend de toi.

    Ce que tu as bien voulu mettre en rouge, est aussi à comprendre en rapport à l'éducation bien évidemment, le " trop tard " est intrinsèquement lié à " l'éducation " comme méthode corrective, or si celle-ci a déjà fait son oeuvre, il ne sert plus à rien de changer cette éducation, et non pas les conséquences sur l'enfant. Pour la seconde je ne peux certes pas l'affirmer, d'où l'emploi d'une formule plus nuancée/réservée que " il est " ou " il sera ", c'est donc plus une supposition forte qu'une affirmation, c'est ainsi que la langue française fonctionne, ce qui est écrit littéralement, n'est pas forcément en phase avec la sémantique associée, comme c'est très souvent le cas dans les dictons ou expressions, à ne pas prendre au pied de la lettre, le sens dépasse les mots employés stricto sensu, donc " doit être " n'est pas synonyme d'un état de faits, mais bien d'un a priori. ( c'est peut-être subtil, mais ça a, manifestement, son importance )

    Mais tu fais la même erreur que la psychanalyse d'obédience freudienne que tu ne chéries pourtant pas, en disant " je luis donne les moyens de comprendre, [ donc ] les moyens de s'en sortir ", n'avons nous pas dit et répété que le fait de comprendre et de remédier au problème étaient deux choses distinctes, enfin surtout moi d'ailleurs !? Reproche que j'ai intenté contre la psychanalyse de tout bord qui plus est.

    Dans l'absolu oui, mais c'est aussi un formatage, comme un circuit imprimé, qui une fois gravé, perd pratiquement toute possibilité d'évolution. Ce qui explique entre autre, pourquoi majoritairement, des enfants battus deviennent des parents maltraitants, des parents alcooliques sont des pourvoyeurs de futurs parents alcooliques par leur progéniture.

    Ce que je voulais que tu vois, c'est que l'éducation parentale, si elle est corrompue/défaillante, ne peut pas se rectifier, se remettre en cause, parce qu'elle fait force de lois en quelque sorte, et comme toute autorité, elle ne se met que rarement en cause elle-même, elle s'auto-entretient, c'est pourquoi il faut un déclic extérieur, une motivation qui soit étrangère à l'éducation pour contrecarrer celle-ci, sinon elle a toute les chances de perdurer telle quelle, de génération en génération.

    Tu vois où le bât blesse ?

    Mais justement, ce qui t'échappe a fortiori, c'est qu'une défaillance comportementale parentale fait partie intégrante de l'éducation, volontairement ou pas, elle est incluse dedans, pas à l'extérieur, c'est pour cela que l'on ne peut pas la déloger avec l'éducation elle-même, ce serait comme de vouloir effacer une rature sur une feuille avec le stylo qui a permis cette rature, ou même un autre crayon, ça ne change pas l'incohérence, la non pertinence de l'entreprise !

    La méthode utilisée ne sera choisie, au plus près des besoins, que si un des protagonistes en fait la démarche en amont, l'imposer est pratiquement voué à l'échec, comme c'est aussi le cas chez un fumeur, pour qu'il y ait une chance de réussite, quelle que soit la méthode employée, il faut qu'il le veuille au préalable, dans les autres cas, c'est l'échec assuré.

    Presque... non qu'il y aurait une réponse définitive ou consensuelle, mais que tu ne traites pas la question, difficile certes, à la hauteur de celle qui t'a été posée par Anna !

    Allez courage, on(j') attend(s) mieux :cool:

    Merci pour ta patience et ta pédagogie, Deja-utilise... Tu es un peu mon bâton de vieillesse qui corrige ce garnement de Demonax ! Huhu !

    D-U pour les intimes s'il te plait !

    Bah, je crois que Ping aussi avait entendu quelque chose de similaire de ta bouche, mais si tu me dis que non, je m'en remets à ton jugement, après tout c'est ta personne que tu as engagée, je ne vais pas parler en ton nom ou à ta place de ce que tu ressens, ça serait un comble, ici qui plus est.

    Lucidité oui je crois que l'on peut dire ça comme ça, en rapport/écho-inconscient avec le lien, que je t'avais fourni sur la lucidité, de l'autre fois, c'est ça ?

    Voilà ma grande, satisfaite, que dis-je comblée !?

    Bon ben en vérité, c'était un moyen détourné d'attirer ton attention, car j'ai le sentiment désagréable de faire chou-blanc jusqu'à présent, il est bien évident que j'attends une sorte de signe, tout ceci avec la grande maladresse qui me caractérise tant, il va s'en dire...

    Je n'aime pas écrire "D-U", c'est trop impersonnel et castrateur, comme tous les diminutifs... **sifflote**

    Je n'ai pas écrit que tous les parents étaient de mauvais parents même si je donne aussi raison à Ping qui dit que le mauvais parent est en soi, envers et malgré soi... Et je n'ai pas cette nécessité d'user d'optimisme pour affirmer qu'il existe de bons parents, j'ai simplement à le constater tout comme je constate que le pire existe aussi et puis le juste milieu également. Bref, il y a beaucoup de variables car il y a autant de façon d'être parent que de parents sur cette planète.

    Pour ton lien sur la lucidité, merci de me le refaire passer car il m'échappe totalement... :blush:

    Et alors, seulement alors je serais satisfaite et comblée !

    Que t'arrive-t-il ? Chou-blanc ? C'est très bon, en vinaigrette...

  8. Je suis joueuse aussi !:wub:

    Mais est-ce que tu es bonne perdante aussi ? Parce que sinon ça ne me donne pas envie de jouer :hehe:

    Puis après avoir lu tout ça, je n'ai plus envie de jouer.

    Ha ! .... mauvaise (joueuse) perdante ? :o°

    Je n'aime pas gagner, par défaut :dev: donc voici ma réponse:

    [...]

    Victoire par K.O. ! :p

    Bon... Je vais argumenter davantage mes propos affirmant que tu n'as aucun argument pour participer à ce sujet.

    Mais avant, je dois détailler quelques observations faites quant à ta façon de participer ici. Parce que lorsque j'écris en toutes lettres que je n'ai plus envie de jouer, ce n'est pas pour plaisanter. Mais sache que je suis plutôt bonne perdante face à un adversaire de mon niveau, je reconnais facilement mes torts même si je ne donne pas facilement raison.

    Je ne sais pas si tu saisis le sens des métaphores mais il y en a une qui me vient à l'esprit lorsque je te lis, Demonax.

    La hyène... Elle ricane, elle mordille et elle fatigue... c'est sa stratégie. Prédatrice très intelligente et endurante, elle gagne son repas à l'usure.

    Appliquer ce type de fonctionnement sur un forum est judicieux mais, plus adéquat en Actu et Débats, par exemple... Ici, en philo, ça ne prend pas... C'est comme si tu t'exprimais dans une langue que personne ne connaît. Comment veux-tu être entendu, compris et retenir l'attention de qui que ce soit ? Et encore davantage si tu persistes à répondre dans les parties "quotées", ce qui est complètement anti-communiquant (je sais, tu n'es pas le seul à faire ça, par ici... -__-').

    Bref, tu as certainement une pensée qui mériterait d'être mieux exprimée, de façon plus posée et moins défensive. Plutôt que d'être dans la réaction, sois dans l'action et tu n'auras plus à perdre ou à gagner face à un vainqueur ou un perdant... c'est moins éprouvant et plus économique, énergétiquement parlant.

    Pour en venir au sujet de la psychanalyse, enfin, tu n'as de cesse de remettre sur le tapis la psychanalyse d'obédience freudienne et l'autisme.

    Or, dès le début de ce topic, il a clairement été dit que la psychanalyse ne se résumait pas à Sigmund Freud, qu'elle ne se pratiquait pas uniquement comme la pratiquait Sigmund Freud et que depuis plus de cent ans, elle avait évolué et occasionné l'avènement de nombreuses autres thérapies.

    Il a également été dit et reconnu que de nombreux hommes et femmes avaient abusé de la méthode et méthodologie psychanalytique à des fins franchement dégueulasses et avaient causé du tort à de nombreuses personnes en souffrance dont les familles d'enfants autistes et aux enfants autistes eux-même - d'ailleurs, j'en profite pour en rajouter une couche : la psychanalyse n'a rien à foutre dans la psychose ! Et je maudis les "psy stars" sur-médiatisés qui rendent la psychanalyse peu ragoutante pour qui aurait envie d'y goûter.

    Alors, je comprends que tu n'aies pas "tout lu", moi-même, j'ai zappé quelques pages ; notamment la partie témoignage de samira123 (excuse-moi, samira, ce n'est pas contre toi ni ton histoire, elle n'avait pas sa place ici, à mes yeux) car je suis d'accord avec toi sur le fait qu'il n'apportait rien, philosophiquement parlant ; et l'insistance de Chapati avec Deleuze-Guattari/L'anti-oedipe car elle a occasionné le flot de réponses-connes-stéréotypées-propagandistes de LouiseAragon et que c'était franchement vomitif (Et non, je ne suis pas insultante, je suis outrée).

    Mais, tu comprendras, Demonax que tes arguments n'apportent rien de neuf ou de percutant permettant de faire évoluer le sujet. Enfin, je l'espère... Et je pense que j'ai raison d'avoir de l'espoir.

    Tu vois, il n'y a pas de victoire. Pas de gagnant ni de perdant, il y a une conversation... avec des failles.

    :smile2: je t'avais prévenue Anna :smile2:

    Oui, tu l'as fait parce que "Femme avertie en vaut deux"... Tu es canaille... !

  9. Oui bien sûr. En fait oui, une métaphore peut-être une bonne entrée en matière et aider à entammer un questionnement. Mais ce questionnement ménera invariablement au fait qu'il y aura toujours un travail à faire face à son miroir. C'est peut-être finalement le miroir qui est crasseux et deformant. Le travail consistera alors à nettoyer et à rectifier le miroir. On pourrait d'ailleurs se representer l'inconscient comme l'eau-delà du miroir. Le miroir etant sa surface qui renvoit à la personne l'image qu'elle se fait d'elle même, et qui evidemment depend en grande partie du regard et du desir de l'autre.

    Une autre histoirette?

    Revenant d’un voyage, un homme pieux achète en ville un miroir, objet inconnu pour lui.

    Il croit y reconnaître le visage de son père et l’emporte ravi chez lui.

    Il le cache dans un coffre sans rien dire à son épouse.

    Quand il se sent triste, il va de temps en temps voir "son père" dans le miroir.

    Sa femme l’épie et voit qu’il ouvre un coffre et reste longtemps penché au-dessus.

    Une fois le mari parti, elle ouvre le coffre à son tour, regarde le miroir et y voit une belle jeune femme.

    Elle devient très jalouse et fait une scène à son mari !

    Mais lui répond que ce n’est que son père et qu’il n’y a pas de mal à ça !

    Par bonheur passe une très vieille femme.

    Elle veut régler le conflit et se fait montrer l’objet du délit.

    Elle déclare peu après à la femme :

    "Tu n’as aucun souci à te faire, cette femme est une très vieille femme et ton mari ne peut rien lui faire !"

    J'aime bien cette "histoirette" !

    Il y a une phrase qui dit que le miroir n'est pas responsable de la laideur de celui qui s'y regarde (si Louise sait qui en est l'auteur, j'apprécierais, merci), et même s'il est crasseux ou déformant, chacun y voit ce qu'il peut et/ou veut voir alors j'entends d'autant mieux ce que tu suggères dans ce "travail de surface".

    "Miroir, Miroir, dis-moi qui est la plus belle ?"

    **Un miroir brisé est toujours celui qui a répondu autre chose que "Anna Kronisme"... **

  10. Alors ça, pour l'illustrer, voici la celèbre petite histoire du billet de dix euros. Un prof prend un billet de dix euros et, devant ses elèves, le froisse furieusement en le traitant de tous les noms. Puis il se met à ecraser le billet par terre, à lui cracher dessus, toujours en lui lançant des propos haineux. Puis il s'arrête, rammasse le billet, le defroisse, et demande à ses elèves medusés quelle est la valeur de ce billet. 10 euros evidemment. Les mauvais traitement ne peuvent priver de sa valeur un enfant ( oui je sais, un enfant n'est pas un billet mécéunemétaphore, :smile2: ), et heureusement. Il ne manquerait plus que seuls ceux ayant été choyés et bichonnés ne deviennent des adultes" de valeur".

    Il est même loin d'être certain qu'une education, aussi bonne soit-elle, puisse premunir de problèmes psychiques. Problèmes qui, n'en deplaise aux dresseurs comportementalistes, ont souvent une origine qui n'a rien à voir avec des causes et effets apparents.

    Oui, je connaissais cette petite "illustration", Ping !

    Elle est parfaite pour étayer mon intervention mais, je la trouve tout de même incomplète.

    Il faudrait parler d'un billet de 10 euros complètement recouvert de crasse, méconnaissable, illisible... Dire que lorsqu'il se regarde dans le miroir, il ne voit que de la m*rde et que lorsque les autres le regardent, il ne voit encore que de la m*rde parce que même si les autres lui disent et veulent lui montrer qu'on dirait bien qu'il ressemble à un billet de 10, il n'entend pas, ne voit pas, ses oreilles et ses yeux sont encombrées et obstrués et puis même s'il l'entend, il ne sait pas ou n'ose pas y croire. Bref, il sait au fond de lui qu'il n'est pas ce qu'il voit mais n'est-il pas fou de croire que ce qu'il voit n'est pas lui ?

    Je pense qu'il y aura un sacré travail à faire pour le nettoyer et le convaincre de ne pas se recouvrir de crasse à chaque couche enlevée... Non ?

    J'overkiffe les métaphores ! :happy:

    Et c'est moi le pessimiste de l'équipe ? Et bien, je ne te connaissais pas ce penchant plus que mélancolique, presque défaitiste, petite Anna... :mouai:

    Je ne comprends pas, Deja-utilise...

    En quoi est-ce pessimiste, mélancolique voire défaitiste de dire qu'il existe de mauvais parents ? o_O

    C'est de la lucidité, non ?

    Puis "Petite Anna"... Franchement, tu abuses ! :sleep:

  11. ATTENTION: je construit ce message de la même façon que Anna Kronisme, samira123 et ping.

    Tu parles de Freud ?

    Oui, moi aussi, je suis surpris de voir ces partisans, tout le monde sait qu'il dit de la merde :smile2:

    On le démontre ici.

    Non, je parle de toi et je vais te citer puisque tu veux t'amuser, nous amuser... Je suis joueuse aussi !:wub:

    Voici donc ce que tu écris sur cet autre sujet dont je parle, c'est dans la rubrique "Amour et séduction", Je suis la maîtresse d'un homme en couple

    Tu t'y connais en analyse verbale, comportemental, la sociologie, la psychologie, la lecture à froid, la lecture à chaud, etc.... ?

    Moi, oui :cool:

    Déjà si tu sais pas ce que tu dis... ou si tu le dis mal.

    Ton amphibologie est sympas, mais je m'en passerais bien.

    :bo:

    Éthique de la responsabilité.

    C'est bien de faire de la sociologie et de déculpabiliser les actes malsains des gens qui sont conditionnés pour les faire, en culpabilisant ceux qui les conditionnent.

    Mais il faut aussi responsabiliser les gens qui font le choix de mal tourner.

    Tout extrémisme mis à part, on ne récolte que ce que l'on sème.

    Si l'éducation ne fonctionne pas, c'est possible.

    Mais ce n'est pas une raison pour utiliser des méthodes dysfonctionnel, tel que la psychanalyse d'obédience freudienne.

    La psychanalyse d'obédience freudienne fait beaucoup de mal pour les enfants du spectre autistiques, qu'ils sont à des années-lumières de pouvoir comprendre/aider.

    La psychanalyse d'obédience freudienne se base sur des prémisses établies comme erroné, il faut évoluer maintenant !

    La psychanalyse d'obédience freudienne ne résout pas un problème, il le déplace (sur les parents) à un autre problème (ce qui en fait 2, et ne résout rien).

    Et puis il y a des choses qu'on ne dit pas à des enfants, on les y préparer pour qu'il le comprenne à leur adolescence ou à l'âge adulte. Mais tu dis pas à un enfant, même si c'est le cas, que c'est une merde, parce que ces parents sont des merdes, ne l'éduquent pas, ou ne l'aiment pas.

    Sans parler du fait, que la plupart des psychanalystes d'obédience freudienne, agissent par habitude, sur des prémisses erronée. Si un enfant fait de la merde, parce que c'est parents fond de la merde, c'est peut-être le cas dans 6/10 des cas, ce n'est pas pour autant qu'il faut l'imposer au 4/10 restant !

    Son éducation n'est qu'un paramètre parmi une dizaine d'autres, qui font de lui, ce qu'il est ! Et on ne peut pas généraliser l'influence de ces paramètres.

    Je ne suis pas un professionnel, donc je l'inviterais à en consulter un (mais pas un psychanalyste, je parle d'un psychologue, ou psychiatre). Mais si je dois jouer le jeu, alors voilà ma réponse:

    • Si cet humain est apte à l'attendre, et si son comportement nous permet de l'établir objectivement, alors oui, je le responsabilise, en confirmant que c'est une merde, et qu'il doit changer.
    • Si cet humain n'est pas apte à l'attendre, et si son comportement nous permet de l'établir objectivement, alors je lui donne de bon médicament pour se calmer, et contacte son environnement pour donner des conseils.
    • Si cet humain est apte à l'attendre, et si c'est le conditionnement d'autrui qui le rends merdeux, je lui donne des moyens de s'en protéger. Et responsabilise son environnement.
    • Si cet humain n'est pas apte à l'attendre, et si c'est le conditionnement d'autrui qui le rends merdeux, je lui donne des médoc, pour le calmer. Et je responsabilise son environnement.

    Bien sûr, comme je ne suis pas un professionnel, ces réponses ne sont pas absolut, ni applicable, ni la représentation de la critique de la psychanalyse d’obédience freudienne, je ne fais que jouer à ton jeu. Pas débattre rigoureusement.

    Ne parles pas, si tu n'as rien de bien à dire...

    *------------*

    Une analyse, tout le monde peu en faire ! Ce n'est pas pour autant qu'elle sera juste.

    Une analyse, n'est pas un jugement.

    Une analyse, n'est pas une conclusion.

    Une analyse n'est pas une acceptation de ces problèmes. Dans le meilleur des cas, une analyse réussit permet, avec un bon jugement et une bonne conclusion d'accepter ses problèmes.

    Et quand on accepte un problème, on tourne plus facilement la page (mais ce n'est pas une obligation).

    Le psychanalyste d'obédience freudienne, ne fait qu'analyser, et il le fait avec des prémisses erronées.

    Il n'y a rien de bon à ça !

    Puis après avoir lu tout ça, je n'ai plus envie de jouer.

    Je te remercie néanmoins d'être allé jusqu'au bout de ta démonstration qui avait donc pour but de nous faire comprendre et/ou confirmer que tu n'as aucun argument pour traiter ce sujet, qui je le rappelle, est en rubrique Philosophie.

    Tu donnes également confirmation que tu n'as rien à répondre à quelqu'un en souffrance parce que tu prétends user uniquement de raison et de logique.

    Alors il est vrai que la raison et la logique sont indispensables dans tous domaines et il est vrai que te concernant, "il y a de l'avenir" mais pour l'heure, ta raison et ta logique sont deux adolescentes parties en fugue à faire les 400 coups.

    Elles ne seront matures que lorsque elles auront enfin accepté que leur sort est d'être au service du Coeur.

    Chaque chose en son temps...

    Oh ! Et pour ton petit message tout en haut, apparu à l'édition de ton commentaire, je n'ai rien contre que tu construises tes messages comme moi, au contraire, j'y gagnerais en confort de lecture.

  12. Nolibar et Blaquière, je vous laisse sortir seuls du cocon du premier degré de la cage et de l’oiseau... Je n'ai pas l'envie ni la prétention de théoriser sur la métaphore et son usage lorsqu'il s'agit de parler de l'humain. Ping, je te remercie pour ce conte papillonesque, il mérite d'être sauvegardé dans ma mémoire vive.

    Par contre, je vais aider un intervenant qui semble en très grande difficulté sur ce topic. Et je suis bien surprise quand je le lisais, sur un autre sujet, prétendre être un grand spécialiste du psychisme.

    La réponse que je vais formuler le concerne mais concerne également ceux qui croient encore qu'en psychanalyse et dans l'inconscient, "Maman et Papa" sont deux personnes physiques et mortelles dont l'une a planté une petite graine dans le chou de l'autre... ou dans la fleur, la rose, enfin, c'est métaphorique tout ça ! (Pourvu que Nolibar et Blaquière ne se décident pas à disséquer cette assertion... :x )

    Alors voilà, nous avons cet intervenant qui nous dit ceci :

    L'éducation aussi... c'est moins cher, on y dit moins de connerie et il y a moins d'escroc :bo:

    D'un premier abord, j'ai presque envie de le féliciter tant il est vrai que si toute éducation était menée d'une façon juste et respectueuse, aucun humain n'aurait de problème et n'en causerait aux autres êtres vivants et même à ce qui est nommé "non-vivant" (végétation, minéraux, etc.).

    Mais, je suis obligée de lui demander comment ça se passe pour ces gosses qui poussent dans des familles particulières...

    Le gamin qui grandit dans une cité ghettoïsée (environnement) et qui est éduqué dans la négligence, la violence, le rejet, le racisme, la haine de soi et des autres, la maltraitance, la peur, etc., et qui a donc des représentations parentales (les adultes) complètement éloignés de lui-même et qui sont pourtant autant de modèles à suivre pour "vivre", en réalité il s'agit davantage de survivre... et qu'en plus, dans l'intimité de son foyer, il est éduqué à être le parfait paillasson d'un ou de ses deux parents : il sera tout autant le responsable de leur sautes d'humeur, de leurs dérives caractérielles et névrotiques, de leur violence, de leur pulsions destructrices voire sexuelles, de leurs échecs compulsifs, etc.

    Qu'il retrouvera dans le milieu scolaire, d'autre figures parentales qui lui confirmeront qu'il est bien tout ceci et plus encore...

    Le gamin qui grandit dans un beau quartier et qui est éduqué dans la restriction religieuse, la violence punitive, l'ignorance, le mépris de soi et des autres, la crainte, etc., et qui a donc des représentations parentales toujours aussi éloignées de lui-même et qui pourtant sont des modèles à suivre pour "vivre" quand il s'agit avant tout de ne pas vouloir mourir parce que dans l'intimité de son foyer, il sera éduqué à être la "poupée" d'un parent (ou des deux) qui passeront sur lui leurs frustrations à force de paroles humiliantes, intimidantes, cassantes visant à le faire rentrer dans un moule bien spécifique, à suivre une carrière spécifique, à épouser une femme spécifique, etc. etc. etc.

    Nous pourrions aussi parler du gamin qui grandit en Syrie, à Bangkok, en Chine et tous les environnements possibles mais, guerre ou pas guerre, pédophilie ou pas pédophilie, abandon ou pas abandon, le mauvais parent sévit partout dans chaque contexte, dans chaque milieu et chaque couche sociale.

    Que répondra-tu à un tel gamin venant te "consulter", Demonax (alias le grand spécialiste du psychisme) ?

    Que son éducation l'a aidé à être qui il est au fond de lui ? Qu'il est effectivement une souillure, un punching-ball, un assassin, un sac à foutre, un bon fils, et tout ce qu'il aura été attendu de lui ?

    Ne réponds rien, si tu ne trouves rien à répondre...

  13. C’est oublier qu’un oiseau même né en cage possède des instincts, pulsions, etc.

    Il finira par prendre conscience en s’étirant et en développant ainsi ses ailes, qu’en animant celles-ci de haut en bas, il peut s’élever au-dessus du sol de sa cage.

    Il saura alors qu’il est fait pour voler haut dans les airs, et attendra impatiemment que l’on veuille bien ouvrir la porte de sa cage pour pouvoir enfin prendre son envol vers la liberté tant espérée.

    Ben ce n'est pas l'oublier justement, c'est un constat du refoulement induit par la cage. Sa cage saccage l'être oiseau qui en arrive à s'identifier à elle, et à oublier ce qu'il est. Ouvrez la cage aux oiseaux, la plupart auront si peur de ce qui se passe ailleurs qu'il resteront dans leur cage malgré la porte ouverte.

    Les plus téméraires partiront les premiers et les autres, malgré la peur de l’inconnu, finiront timidement par suivre leur exemple poussés par la curiosité.

    Les plus peureux ne s’éloigneront guère de la cage et y retourneront peut-être à la recherche de sécurité les premiers temps puis, ayant pris goût à la liberté, n’y reviendront plus par la suite.

    Comme l'exprime Ping juste au dessus, l'oiseau né en cage oublie ce qu'il est, donc il sera compliqué pour lui de s'identifier à un autre oiseau, s'il se vit "cage". Il y a des chenilles qui meurent sans jamais être devenues papillon, soit parce que "Pas de chance, emportées trop tôt" soit parce qu'elles n'ont pas pu ou pas su évoluer dans l'environnement adéquat à leur métamorphose.

    Si nous appliquons cette métaphore de l'oiseau né en cage - et attention à ne pas le confondre avec l'oiseau capturé et emprisonné, non, celui qui naît dans la cage, qui n'a jamais connu autre chose que la cage, qui est lui-même devenu une cage à force d'identifications - cette métaphore, disais-je, appliquée à un humain pour qui tout ce que fait l'autre semble absurde voire maladif car il ne se reconnaît pas dans cet autre, il ne s'identifie pas à la liberté de l'autre par méconnaissance de sa propre "puissance", de sa propre liberté... est-il condamné à mourir ainsi ? Si un miroir lui est posé devant le nez et qu'une voix lui souffle que ce qu'il y voit, c'est lui, et qu'il comprend tout à coup qu'il est ressemblant à l'autre mais, étant né en cage, il ne sait pas comment s'y prendre pour se vivre tel qu'il le devrait, tel qu'il est... Comment peut-il y parvenir ?

    Il suffirait d'ouvrir la porte de la cage et puis voilà ?

    N'y aurait-il pas tout un travail de "ré-éducation" à faire avant qu'il puisse (s')en sortir ?

    N'y aurait-il pas, finalement, cette nécessité de tout reprendre "depuis le début" afin de faire évoluer ses représentations fausses et invalidantes ?

    Et là, Dolto nous dit, avec une simplicité déconcertante :

    "La psychanalyse, c'est aider les gens à devenir ce qu'ils sont"

    Alors, je le réécris, la psychanalyse ne s'adresse pas à tous. Certaines personnes ne sont pas nées en cage et souffrent pourtant, certes, mais elles auraient tort d'insister auprès de la psychanalyse quand elles pourraient s'apaiser avec d'autres méthodes plus adaptées. La psychanalyse, elle ne guérit de rien, elle est un remède à l'ignorance (cf. J. Lacan).

  14. Je ne sais pourquoi tu attribues cette citation à NELSON MANDELA !

    C'est un texte de Marianne Williamson, auteure étasunienne du XX° Siècle.

    Et pour ce qui concerne "le désir de surpuissance", Mandela en était dépourvu !

    Il était d'une grande humilité et d'une grande générosité, il avait le sens du collectif,

    au point de faire 30 ans de prison au nom de la liberté et de la justice.

    C'est à cause de sa simplicité que le peuple sud africain en lutte le reconnut et en fit son représentant!

    [...]

    A Ping et à la compagnie !

    Pourrait-on dire que l'inconscient, c'est le savoir indisponible, celui

    qui ne fait que clignoter ....

    On pourrait dire aussi peut être que l'inconscient c'est ne pas savoir ce que l'on dit

    et ne pas dire ce que l'on sait ...

    :hi: à la compagnie !

    En effet, une citation attribuée à Mandela alors qu'il n'en est rien. Merci Roudinescocotte (en papier ou en chocolat, comme tu préfères :blush: )

    Et j'ai même trouvé une version plus belle à lire :

    « Notre peur la plus profonde n'est pas d'être inadéquats, notre peur la plus profonde est d'être puissants au-delà de toute limite. C'est notre lumière, pas notre part d'ombre, qui nous effraie le plus. Nous nous demandons, qui suis-je pour oser être brillant, magnifique, talentueux, fabuleux ? Mais en fait, qui suis-je pour ne pas l'être ? »

    Marianne Williamson

    Par contre, je suis convaincue que ces quelques lignes n'ont aucun lien avec un quelconque "désir de toute puissance".

    Elles racontent davantage que nous en avons peur de cette puissance (oui, c'est écrit en toutes lettres).

    Pour le savoir indisponible, Mandela, Williamson, Jung (tu confirmeras ou infirmeras) disait que chaque individu s'incarne avec toute la Connaissance... Connaissance qui sera refoulée durant les premières années de l'individu éduqué. L'inné étant relégué en "arrière-plan" afin de satisfaire les exigences de l'éducation reçue (constitution du Surmoi). Elle ne clignote pas, elle se manifeste continuellement et simultanément avec la conscience mais, elle ne surgit que là où l'autre a des défaillances (c.f Jacques Lacan)

    [...] Il s’ajoute au fait que "l’inconscient est structuré comme un langage", reprend Jacques Lacan, un enrichissement du langage qui lui-même se trouve structuré sur deux portées : le pré-conscient et l’inconscient – ce dernier étant, j’y insiste bien, non pas plus difficile d’accès mais radicalement inaccessible, et qui se manifeste en poussant des surgeons vers l’autre niveau. Je crois qu’on peut employer l’image d’un palimpseste, vous savez, ces manuscrits sur lesquels un premier texte avait été effacé pour être recouverts d’une autre écriture. Oui, un palimpseste, vous avez deux textes à lire dont un ne surgit que là où l’autre a des défaillances, mais qui ne se relie pas du tout au premier texte et que vous ne pouvez pas entendre, aussi longtemps que sa structure n’a pas été reconnue.[...] J. Lacan.

    NB : La Connaissance est différente du Savoir qui, lui, est un acquis.

  15. Je viens enfin de retrouver un petit quelque chose dans mes archives, pour étayer quant à l'adversité salutaire, donnant à progresser et faire un clin d'oeil à Ping qui a déjà évoqué cet homme profondément intéressant et passionnant, en amont dans ce sujet :

    Alejandro JODOROWSKY

    Extrait de “Une séance, deux patients” (On aura tout vu) par Christine Masson et Laurent Delmas - France inter - Emission du 7 septembre 2013 à 10h.

    [...]

    Mais je ne me plains pas parce que pour moi, c’est le cadeau que j’ai reçu, c’est cette souffrance, ces limitations… c’est ça qui m’a fait, à moi.

    Il y a un homme de la campagne qui appelle Dieu. Dieu arrive :

    - Dieu, c’est terrible ! Je mets mes graines et il y a les corbeaux, il y a la pluie, il y a le vent, il y a la chaleur ! C’est terrible ! Pourquoi vous me faites ça ?!

    - Bien, cette année, tu n’auras aucun problème.

    - Formidable.

    Il met les graines et ça ne pousse pas car il n’y a pas la force. Elles pourrissent car il n’y a pas les obstacles.

    Alors moi je remercie chacun des obstacles que j’ai eu et mon film (La danza de la realidad), c’est le chant à mes douleurs et mes obstacles. Je ne viens pas ici me plaindre, non.

    [...]

    Oiseau_Cage-Jodorowsy.png

  16. Pas foncièrement "mauvais", on est d'accord.

    Mais dangereusement cons !

    La connerie n'est pas si dangereuse... C'est plutôt l'intelligence prostrée dans la passivité qui m'inquiète.

    Amis intellos, levez-vous et prenez place parmi les cons afin qu'ils ne persistent plus à l'être !

    Ça va, ça va, je déconne...

  17. Oh c'est compliqué !

    Il y a une dimension de jeu aussi, et encore et encore...

    Mais le truc c'est que je ne peux plus raisonner comme un occidental... que je suis.

    Les problèmes qu'ils se posent, leur façon de les aborder... je lis les fils à droite à gauche, c'est pas comme ça, c'est pas ça les problèmes (faux problèmes, Bergson) : la logique, le virus wetico etc.

    La philosophie est une langue étrangère, la pensée oui. On pense pas comme on communique, c'est deux choses différentes, deux émotions différentes. Je joue ou je pense, essentiellement. Je sais pas bien ce qu'ils font. Je sais pas faire grand chose d'autre mais sais distinguer les deux. Je comprends pas leurs trucs de pouvoir, leur fascination du jugement, c'est complètement con.

    Et si j'avais un message à transmettre j'en aurais un seul : la méchanceté la violence le racisme c'est tsointsoin tout ça, l'ennemi c'est la bêtise.

    (effroyable danger de la bêtise)

    Bah...

    .

    Ouais mais bon...

    As-tu d'autres choix que de trouver une peau de brebis pour camoufler le loup que tu es ?

    Est-ce que la psychanalyse n'avait pas (et a toujours) quelque chose à communiquer, à transmettre ? N'a-t-elle pas été conduite, en tant que telle, à user de subterfuges pour se faire une place dans le troupeau ? Devenir grossière et séduisante, insultante et faussement méprisante puis faussement inaccessible et vulgarisée... Bref, tant de facettes marquantes et discutables mais qui permettent toujours d'en parler, de parler d'elle. De faire venir à elle du sang neuf motivé pour la faire progresser et tout autant, faire venir de l'adversité pour la faire progresser aussi !

    C'est un champ ouvert... Elle crée un mouvement constant qui la rend un peu immortelle... Du pour, du contre, du "ne se prononce pas", de l'amour à la haine en frôlant l'indifférence. C'est un peu ce "jeu" dont tu parles, un jeu n'est un jeu que lorsqu'il y a des joueurs. Certains aimeront simplement s'amuser avec, d'autres le prendront très au sérieux (avec la notice sous les yeux), d'autres inventeront des variantes, d'autres tricheront et enfin, il y aura les mauvais perdants. Quant aux indifférents, eux, ils commettent le meurtre du jeu : en l'ignorant.

    Transmettre et se transmettre, voilà le jeu, voilà l'enjeu !

    Si tu ne penses plus comme un occidental, tu penses comme un quoi ? Je veux tout savoir, hein... ? :blush:

  18. Anna je comprends ce que tu dis mais je ne suis pas d'accord.

    C'est pas moi qui ai soumis les autres a des injonctions de pouvoir, c'est le contraire. C'est pas moi qui suis venu cracher sur Freud. Moi depuis le début j'ai proposé une critique claire et depuis le début je ne lis strictement rien en réponse, zéro !

    (arguments et contre-arguments, comme tu dis)

    Les insultes de Louise, avec le même contenu répétitif sous forme de tract (vive la psyK) du premier au dernier post, quelques lignes de Ping qui ne répondent jamais.

    Depuis le début je propose quatre objections, dont chacune fait trois lignes ! C'est trop trois lignes ?

    Faut avoir lu tout Deleuze pour répondre a trois lignes ?

    Non, faut juste les lire et y réfléchir.

    Et ça il semble que ça n'intéresse personne, ce soit trop compliqué.

    "Penser suscite l'indifférence générale" est une phrase de Deleuze qui n'a de cesse de me fasciner...

    Je croyais qu'on était en section philo... alors si en section philo, discuter d'un thème ça consiste à liker ou pas, à donner son opinion et à ne pas supporter de lire autre chose, à refuser de penser en clair, je ne vois absolument pas l'intérêt.

    Moi c'est pas comme ça que je conçois un fil de philo.

    Alors c'est très simple, on peut aussi dire que Deleuze défend l'entreprise hein... on peut aussi n'avoir rien à dire mais répéter 50 fois la même chose comme si l'autre n'existait pas, ou encore dire qu'on était bien tranquilles avant... dans une petite structure avec trois pelés qui discutent entre eux depuis x années, le chef le sous-chef le poète l'inspiratrice le modéré et les ouailles disséminées ça et là, et ronronner le même chewing-gum ad vitam jusqu'à ce que la vie nous propose plus intéressant que de passer des plombes sur un forum et qu'on commence enfin à vivre pour le quitter en courant, mais on n'est pas obligé pendant cette parenthèse forumique de proposer n'importe quoi pour passer le temps.

    Donc il y a un thème sur la psyK, j'ai proposé quatre objections il y a dix pages et n'ai reçu en retour strictement rien.

    Moi j'en suis là.

    Quant à ta "croyance", c'est juste une invite à la réflexion : tu dis que si on était ce qu'on n'est pas, on se souviendrait de sa vie intra-utérine ? Moi je dis que c'est la croyance en une théorie qui amène à imaginer ce genre de choses.

    C'est comme les gens qui te disent que si tu étais Bouddha ou si tu n'avais pas d'ego, tu ne peterais pas les plombs devant la bêtise, tu serais comme ci et comme ça... come si quoi : ils avaient la moindre idée de ce que c'est que d'être Bouddha ?

    Il en ont une image, voilà tout, et moi je vois autre chose : je vois ce qu'ils font en les voyant se servir de cette image (oui c'est de la philo).

    A la suite d'autres, Deleuze, pour moi, c'est une autre façon de penser, c'est une révolution philosophique, c'est la fin de Platon Descartes Kant Hegel et bien d'autres, la fin d'une pensée morale ou la raison écrase le sensible.

    Moi toute ma vie, j'ai jamais pensé de façon platonicienne, cartésienne hégélienne ou autre, c'est comme ça et j'ai pas attendu Deleuze !

    Et encore une fois, c'est sûrement pas moi qui incite à quelque rapport de force que ce soit. Moi je ne fais qu'y réagir en refusant cette forme-là, en refusant les jugements tout puissants que la raison raisonnante se permet de faire à l'encontre de tout et de n'importe quoi.

    Ça se voit ou pas, on le comprend ou pas, c'est pas mon problème... j'ai pas de plan B.

    Bises

    A un moment donné, faut savoir lâcher, aussi.

    Si personne ne veux discuter avec toi des arguments que tu amènes, je comprends que ce soit contrariant. Et je le comprends d'autant plus qu'il m'est arrivé aussi d'être parfaitement ignorée dans mes interventions (pourtant, je les trouvais carrément chiadées) et alors quoi ? Aurais-je dû insister ? Aurais-je dû faire un caprice ? (Oui, tu fais ton sale capricieux, tu iras au coin. Non mais !) Je me suis concentrée sur une reformulation, sur une autre voie d'accès, sur un plan B pour entrer en contact avec les autres êtres humains. J'ai investi dans un traducteur de langage et il n'est pas encore au point, mon discours reste parfois incompréhensible... Si ce n'est pas ton problème, ça le devrait parce que tu crèves d'envie de communiquer et de transmettre tout ce que t'as ! Et moi je sais (intuitivement) que tout ce que t'as, il y en a à profusion et que ce n'est pas de la camelote de contre-façon !

    Est-ce une invitation à la réflexion ? Pour celle que tu m'as envoyée, en revanche, tu sauras qu'il ne s'agit pas d'une croyance en une théorie qui m'amène à imaginer ce genre de choses, c'est simplement une réponse personnelle que j'ai mise en favoris suite à un questionnement dont je ne me satisfais pas de ce qu'il y est répondu, et ce, toutes sciences confondues, ni la psy ni la philo ni rien ne répond à mon questionnement, jusqu'à présent.

    C'est comme dire "Moi, grand chercheur en Machin Truc, j'affirme que l'Homme parle car il a des cordes vocales pour le faire.", moi, j'ai envie d'y répondre autrement parce que ce n'est pas satisfaisant. Je suis frustrée, voilà.

    La psychanalyse est un outil formidable, entre autres (philo, math, sciences, etc.) et comme chaque outil, il peut être détourné de son usage premier. Si un tailleur de pierre ou un peintre n'avait jamais été empêché dans son travail pour cause de temps pourri, d'incapacité de travail (physique ou psychique) ou parce qu'il n'y a tout simplement plus de boulot, il n'aurait pas usé de ses instruments pour faire une sculpture, une toile ou améliorer sa façon de faire.

    L'ordinateur à partir duquel je te réponds n'avait aucune vocation à cet usage, il s'agit d'un outil de travail à l'origine.

    Bref, réduire la psychanalyse au seul usage de l'être humain (pour le guérir ^^ ) alors qu'elle peut s'appliquer à tout et permettre une compréhension du monde comme le fait la philosophie, comme le font les sciences et encore tous les Arts qui existent à travers le monde, c'est vraiment en avoir une méconnaissance qui devrait être dépassée.

    Réduire pour réduire conduit au rien.

  19. C'est qui " presque personne", toi, les pro-psyK ?

    Prométhée veut lire l'Anti-Oedipe et Samira écouter deux cours de deux heures chacun... c'est juste les pro psyK qui savent déjà tout et ne sont intéressés par rien d'autre que leurs chères certitudes : bravo pour l'objectivité !

    Quant a donner son point de vue et ses arguments, je l'ai fait pour la part depuis un bon moment, mais tu te réveilles maintenant, pas ma faute...

    Mais bon Louise Ping et toi vous êtes forcément des esprits subtils et Foucault, Deleuze et Guattari c'est des gros cons...

    Merci pour l'intervention constructive.

    Moi c'est très simple, Louise me désintéresse, j'attends de coir si Ping aurait quelque chose à dire, et surtout le point de vue de Samira qui est une fille honnête.

    Et si ce fil a une allure de champ de bataille, c'est surement pas de mon fait. J'ai dit que la pratique pourquoi pas, mais pas la théorie, mais c'est blasphème poir les pro-psyK et il n'y a pas moyen d'avoir le moindre argument, la moindre réponse a quoi que ce soit que j'ai écrit ici.

    Tu parles si c'est intéressant !

    Mais si tu ne le vois pas c'est ton problème.

    A part ça tu a aussi le droit de répondre... a moi a Deleuze a Foucault... ou à Prométhée si tu veux, au lieu de venir te poser en arbitre partial.

    C'est pas interdit !

    Foucault et Deleuze ont la trouille de la psyK ? Ben on se mouche pas du pied dans ce forum : qui en fait un champ de bataille avec de tels procédés, oui : procédés ?

    C'est dingue !

    PS :

    Qu'est-ce que t'en sais ? De quoi tu parles ?

    Tu vois donc pas que de seriner ce genre de certitudes parfaitement invérifiables démontre que tu es dans la croyance ?

    (...)

    .

    Franchement, je ne vois aucun intérêt à répondre à Deleuze ou Foucault... J'ai décroché mes wagons de ce train parce qu'à un moment donné, nous nous sommes trop éloignés du réel sujet.

    Les grosses dérives d'aller cracher sur un psy (Freud et d'autres) parce qu'ils sont humains et qu'ils font des conneries, ça va deux minutes mais c'est très puéril... Autant puéril que de ramener son gros bouquin et râler compulsivement "Si vous ne l'avez pas lu, nous nous pouvons pas discuter de ce sujet sérieusement, z'êtes tous nuls, z'avez rien pour contre-argumenter !". Puis la théorie, c'est pareil, si tu n'as pas tout lu Freud ni Lacan ni Jung, Winnicott, Dolto et l'innombrable rayon d'ouvrages en la matière (d'ailleurs, Tisseron est bien plus intéressant, en passant et il est encore vivant !) viens pas me parler de théorie... Puis tant qu'à faire, si tu n'as jamais fait une analyse "aboutie", n'en parlons pas non-plus... Non mais c'est vrai, qui faut-il être pour oser parler de psychanalyse, à la fin ?

    C'est pas que je n'ai pas envie de lire tout ce que tu nous proposes, Chapati Chou (parce que c'est certainement intéressant et pertinent et aimable à toi de nous l'offrir en partage) c'est simplement que je n'ai carrément pas le temps et que j'aimerais franchement discuter de ce sujet ambitieux sur ce forum sans avoir dix-mille liens à lire pour y participer. Derrière Anna Kronsime, il y a une humaine qui, comme toi et tous les autres, a plein d'autres trucs à faire quand elle est déconnectée.

    Si je dois être exclue de la discussion parce que je n'ai pas le temps de lire autre chose que vos mots à vous, alors ok, je sors. Mais vraiment, j'aimerais que les liens vers des documents soient proposés et non pas imposés pour argumenter et contre-argumenter. Ils ne sont pas le sujet présenté par l'auteur du topic, ils ne sont pas le coeur de la discussion, ils ne sont que des arguments à titre d'exemple permettant d'étayer un propos.

    Tu sais quand est-ce que je suis dans la croyance ? C'est quand je me dis que les gens qui participent à ce forum ne sont pas foncièrement "mauvais"...

  20. Savez-vous que vous êtes épuisants (surtout Louise et Chapa Chou) avec vos copier-coller et vos renvois vers des liens que presque personne n'a envie de lire ? Ce qui serait intéressant, c'est que vous nous en fassiez une synthèse personnelle, que vous nous disiez, avec vos mots à vous remplis de votre être, ce que vous avez retiré de vos lectures plutôt que de chercher à nous convaincre de les lire.

    Vous rendez ce sujet complètement abstrait, complètement illisible, complètement incompréhensible et pourquoi ? Parce que vous n'en comprenez rien, vous êtes à l'extérieur...

    Ce n'est pas une accusation comparative, c'est un constat. Je vous vois fébriles et frileux, hésitants et mordants comme un animal blessé qui ne tolérerait pas une approche de plus, de crainte qu'elle soit davantage douloureuse.

    La psychanalyse est effroyable ! Oui, elle fout la trouille !

    Elle nous emmène là où personne ne veut réellement aller parce que si tout un chacun avait ce désir surpuissant de connaître sa propre vérité, il se souviendrait de tout, oui, de TOUT. De sa vie intra-utérine à ce qu'il vient de faire il y a une seconde. Sa conscience serait vaste et il en émanerait une puissance phénoménale !

    Mandela nous dit la chose suivante :

    "Notre peur la plus profonde n’est pas d’être incapable.

    Notre peur la plus profonde est d’être puissant au-delà de toute mesure.

    C’est notre lumière, pas notre ombre, qui nous effraie le plus."

    Alors je veux entendre que vous ayez une foutue trouille de la psychanalyse.

    Je veux bien comprendre que comme d'autres l'ont fait avant vous, vous ayez cette hargne à la rendre inconséquente et inefficiente mais, sachez qu'elle vous survivra, quoi que vous en pensiez, disiez ou fassiez. Votre énergie contraire l'alimente, et à son avantage.

    Ce qui pourrait véritablement assassiner la psychanalyse, ce serait l'indifférence...

    Heureusement, vous incapables d'en éprouver.

    • Like 2
  21. Le réel problème des personnes étant "contre" plutôt que "pour", c'est qu'il n'ont aucun moyen d'aller s'en plaindre. Y a pas de maman République pour chouiner dans ses jupons, pas de papa Cadre Légal pour justifier une faute professionnelle.

    Heureusement qu'il existe ce topic. :wub:

  22. Normalement c'est réglé.

    Si tu viens sur le forum du boulot ou si tu partages ton pc avec le reste de la famille, il vaut mieux se déconnecter, ça oblige a s'identifier à la prochaine connexion.

    C'était bien ça, merci d'avoir rassuré/informé ;)

    Oui, c'est réglé, en appliquant les conseils de Black Dog, tout est rentré dans l'ordre.

    Et tu as raison de préciser "rassuré/informé", _Dolph car mon imagination est tellement fertile...

    Penser qu'un pirate puisse être en train de fouiner dans ma messagerie privée et ainsi capturer toutes les photos que je partage avec la majorité des membres masculins âgés d'au moins 18 ans de ce forum... J'en étais cramoisie ! :blush: :blush: :blush:

    [Pirate, si tu me lis, sache que je pratique un humour qui n'a pas honte de ce qu'il est]

    Bref, savoir qu'il s'agissait d'un simple certificat de sécurité expiré a mis fin à ma parano exacerbée et m'a permis, l'esprit frais et dispo, de venir vous faire croire que je mène une vie palpitante et sous-marine en compagnie des autres utilisateurs.

    Merci, one againe.

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