Aller au contenu

Anna Kronisme

Membre
  • Compteur de contenus

    2 134
  • Inscription

  • Points

    615 [ Donate ]

Messages posté(e)s par Anna Kronisme

  1. C'est pour alimenter les magazines féminins :hehe:

    Foutaises ! Depuis que la plupart des femmes ne sont plus capables d'être des femmes, les hommes ne sont plus des hommes.

    Ils s'épilent les poils du c*l, utilisent des crèmes et des pilules bleues, s’approprient le verbe en délaissant l'acte et sous couvert d'être "actuels" fondent en larmes en parlant de leur enfance. Ils ne savent pas ce qu'ils veulent parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils sont.

    Pendant ce temps, les forums fleurissent... pleins à craquer de la fatigue de tous.

    • Like 1
  2. Petite coquine désireuse de goûter (entre autres) aux joies de la double pénétration :hehe::dev: ... ;)

    Non, c'est pour que le second me fasse la conversation pendant que le premier s'évertue à me bourrer... le crâne avec ses pauvres petits problèmes existentiels.

    Les hommes, désormais, parlent trop de ce qui atteint leur slip.

  3. Faut arrêter avec la frustration.

    Ce que j'ai écrit tout à l'heure n'est pas un diagnostic psychanalytique... j'ai employé des termes psychanalytiques car Rato évoquait Sigmund en personne (j'crois pas qu'il utilisait le latin, d'ailleurs). Mon intervention était en quelque sorte, du trollisme.

    Bref, Yeats décrit avec brio le Donjuanisme qui occasionne une réelle souffrance... mais, je ne pense pas que ce soit son histoire. Il me donne plutôt l'impression d'être un bon gros misogyne de première catégorie. Une espèce assoiffée qui vampirise l'attention féminine pour... oh bon sang ! Nous allons toutes mourir dans d'atroces souffrances par les mains d'un pervers narcissique !

    Bon voilà, je viens d'énoncer tout ce que les femmes finiront par penser de toi, Yeats.

    Un homme averti en vaut deux... et moi... deux... c'est mon fantasme...

  4. même le grand Sigmund y perdrait son latin

    J'pense pas. C'est super grave ce qu'il arrive à notre ami Yeats. Il souffre d'une faille narcissique si constante et si désordonnée qu'il ne parvient plus à saisir où se situe sa frustration. Et tout le monde sait que sans frustration, pas de désir...

    • Like 1
  5. tu parles!! la finalité de la relation c'est une bonne galipette! alors tu as deux solutions le romantisme ( ça peut être chiant et faut toucher sa bille....et la plus part du temps ça fini par Peter au lit !!

    ou la deuxième, la rigolade coquine, ça brise les tabous, et tu connais ce qui fait vibrer ta partenaire et là tu peux y insérer du charme coquin, inviter au désir!!! :noel::hehe:

    Avant que l'autre soit ta/ton partenaire, il y a un gouffre qui échappe à ta vue restreinte au trou de gland, semble-t-il... et pourtant, la bite n'a pas d'oeil, paraît-il. Ne le prends pas mal, j'ai tendance à être une véritable counnassière au réveil, quand je n'ai pas ma dose de chaleur humaine. Kiss kiss !

    • Like 1
  6. Je n'ai pas franchement envie de penser à la mort ou à tous ces trucs mais j'ai bien envie de vivre et de voir la vie comme un cadeau; Alors ne donner d'importance à rien comme tu l'insinue je trouve ça très triste :)

    Je n'insinue rien, c'est toi qui comprends ce que tu veux bien comprendre dans mes propos.

    Te bouffe pas l'foiE, quand tu seras morte, je ne serai plus là pour te rappeler que parce que tu vis, un jour tu vas mourir. smile.gif (bis)

    **Lapalissade anachronique**

    • Like 1
  7. Quelle tristesse !

    Ce qui est triste, ce sont les personnes qui soutiennent mordicus l'utilité de leurs paroles et de leurs actes. En quoi est-ce utile au regard de l'existence ?

    Le psychanalyste Jacques Lacan a dit :

    La mort est du domaine de la foi. Vous avez bien raison de croire que vous allez mourir, bien sûr... ça vous soutient ! Si vous n'y croyiez pas, est-ce que vous pourriez supporter la vie que vous avez ?! Si l'on n'était pas solidement appuyés sur cette certitude qu'ça finira, est-ce que vous pourriez supporter cette histoire... ?

    La religion, la médecine, la science, la folie, ... l'Humanité quoi !... rien ne pourra te sauver de ta mortalité.

    Ce qui est triste, c'est de penser la vie comme on se pense soi : une perpétuité.

  8. Je suis assez d'accord avec cette phrase pour reconnaître qu'en fonction de cette certitude, nous ne devrions même pas nous poser la question de ce qui fait peur à l'autre ou pas. Notre solitude est exigeante... elle annonce une quête perpétuelle et le questionnement insoutenable de savoir si elle finira un jour.

    Alors nous cherchons l'Autre... enfin, soi à travers cet Autre.

    Se demander si j'inquiète un homme en étant entreprenante, n'est-ce pas moi que j'inquiète ? Ne suis-je pas en train de pâlir à l'idée que cet homme effrayé pourrait bien se faire la malle et en aimer une autre plus que moi ? Je redeviendrai seule parce que je croyais ne plus l'être... quelle m*rde !

    Ouais... bon... de façon basique, il est constaté qu'un homme reste sensible à un fonctionnement ancestral - pour ne pas dire génétique. Il a besoin d'organiser un stratagème pour obtenir les faveurs sexuelles d'une femme. En dehors du sexe, pour TOUT le reste, la femme peut y aller avec le dos de la louche, elle ne rendra pas son mâle tout mièvre et sans consistance. Enfin... tout dépend de celui que l'on a en face de soi.

    Vous l'aurez compris, faire des généralités c'est perdre son temps... je n'ai rien d'autre à faire aujourd'hui.

    • Like 1
×