Jim69

Je trouve Télérama un peu dur. Bon ok, c'est vrai que c'est peut-être une série inutile vis à vis de l'histoire de Dexter. C'est presqu'un reboot au final, mais bon ça reste plaisant à voir.

View movie Cigognes et compagnie Pendant longtemps, les cigognes livraient les bébés. Désormais, elles acheminent des colis pour un géant de l’Internet. Junior, coursier star de l’entreprise, s’apprête à être promu. Mais il actionne accidentellement la Machine à Fabriquer les Bébés… qui produit une adorable petite fille, en totale infraction avec la loi! Avec l’aide de son ami Tulip, seul être humain sur le Mont Cigogne, Junior se précipite pour effectuer sa toute première livraison de bébé. Le temps presse car son patron ne tardera pas à apprendre la nouvelle… Junior pourra‐t‐il redonner aux cigognes la vraie mission qui est la leur? Submitter Jim69 Type Movie Running Time 1hr 27min Catégorie Cinéma   La critique complète est disponible sur le site Télérama

View movie Star Trek: Lower Decks Suivez les aventures de l'équipage du vaisseau le plus insignifiant de la flotte Starfleet. En 2380, à bord de l'U.S.S. Cerritos, Mariner, Boimler, Rutherford et Tendi s'efforcent d'accomplir leur devoir, tout en poursuivant leur vie, même lorsqu'ils sont secoués par une multitude d'anomalies... Submitter Jim69 Type TV Show Episode Time 0 Catégorie Séries  

View movie Young Sheldon Au Texas, un état où le football et la religion règnent, il n'est pas facile d'être un esprit scientifique hors du commun. Cette série raconte la jeunesse de Sheldon Cooper, personnage atypique et excentrique de la série THE BIG BANG THEORY. Alors que le jeune garçon cherche comment évoluer au sein de sa très normale famille, cette dernière doit aussi trouver un moyen de comprendre cet être à la fois malaisant et attachant. Submitter Jim69 Type TV Show Episode Time 0 Catégorie Séries  

View movie Dexter: Les origines En 1991 à Miami, Dexter est un étudiant en passe de devenir un tueur en série. Lorsque ses pulsions sanguinaires ne peuvent plus être ignorées, le jeune homme trouve réconfort et compréhension auprès de Harry, son père adoptif. Celui-ci lui enseigne des règles pour l’aider à repérer et à tuer des personnes qui méritent de mourir, tout en évitant de se faire coincer par les forces de l’ordre. C’est un défi particulier pour le stagiaire débutant en médecine légale au département de police de Miami. Submitter Jim69 Type TV Show Episode Time 0 Catégorie Séries   La critique complète est disponible sur le site Télérama

Ça n'aurait pas été dans son jardin ou celui d'un de ses proches comme sa mère, est-ce que la chasse l'aurait autant gêné ?

OK tu penses quoi du film et de la série ? Parce que juste créer tes fiches je ne vois pas trop l'intérêt. Personnellement, quand je crée une de ces fiches, je donne mon avis. J'ai pas juste créé la fiche. Et particulièrement pour une série ou un film qui est très confidentiel, je pense.

Deux fois le même topic, c'était nécessaire ?

Il a le droit de refuser ? Si oui => il n'est pas hors la loi (au dessus des lois comme tu dis) Si non => il est hors la loi et condamnable pénalement. Voilà. Fini.

1) J'sais pas qui c'est. 2) Pourquoi la commission des finances veut l'auditionner ? 3) A-t 'il le droit de refuser ? Si c'est un responsable qui doit être auditionné pour une bonne et raison et qu'il n'a pas le droit de refuser, oui il se croit au dessus des lois. Sinon... ben non. Quand un mec refuse quelque chose qu'il a le droit de refuser, même si ça fait mal à cul à Mediapart, ben non il n'est pas au dessus des lois. Justement la loi est de son côté. Et quelle polémique stérile un fois encore.

Je pense que Bolloré se fout clairement de leur gueule.

Quand tu regardes les programmes actuels de CSTAR, clairement, c’est extrêmement vide. https://www.programme-tv.net/programme/chaine/programme-cstar-28.html Visiblement, ils peuvent foutre à peu près toutes les merdes qu’il y avait sur C8 sur cette chaîne.Ils vont renommer CSTAR en CS avec un logo qui changera de celui de C8 juste sur le 8 qui deviendra un S et hop comme avant. L’Arcom va passer pour des cons. Et dans 10 ans quand la concession de CSTAR arrivera à terme, l’Arcom ou le truc qui la remplacera, va ne pas renouveler la concession et hop. Hanouna ira sur CNews lol

Oui, ça m’a surpris d’ailleurs, je m’attendais plutôt à un non renouvellement de CNews

Ainsi que Jordan Delux et il n’y a que la verité qui compte. Les animaux de la 8 irait sur TF1. NRJ12 était clairement une chaine en abandon depuis bien longtemps. Comme CStar d’ailleurs. Mais comme CStar appartient à Bolloré ils allaient pas arrêter 2 chaines à Bolloré ça aurait ressemblé encore plus à un kabbale lol.

Sortie en 2017 dans l'album La science du cœur, la chanson "Sais-tu vraiment qui tu es" de Pierre Lapointe est une introspection poétique sur l'identité et la quête de soi. À travers des paroles évocatrices, l'artiste interroge les multiples facettes de l'individu moderne, souvent tiraillé entre apparences et réalité intérieure. Dès les premiers vers, Lapointe évoque une recherche incessante d'appartenance : "Tu cherches toujours ta famille". Cette quête identitaire est contrastée par des actions destructrices : "Tu tues à l'aide d'une aiguille", suggérant peut-être des comportements autodestructeurs ou des dépendances. L'opposition entre le "beau" et le "laid" souligne la dualité présente en chacun de nous, et la difficulté à discerner nos véritables désirs. Le refrain, "Mais sais-tu vraiment qui tu es?", répété tel un mantra, pousse l'auditeur à une réflexion profonde sur sa propre identité. Les images de voyages et d'errance, comme "Paris c'est trop petit pour toi" et "Tu préfères partir à dos d'oie", symbolisent une fuite perpétuelle, une incapacité à se fixer ou à se contenter d'un seul lieu, d'une seule réalité. La mention de "tes yeux sont des lasers broyeurs" et "Tu préfères jouer les agresseurs" peut refléter une façade agressive ou défensive adoptée pour masquer une vulnérabilité intérieure. L'évocation de "faire l'amour à quatre pattes" et d'être "née en 84" ancre la chanson dans une réalité contemporaine, abordant des thèmes de sexualité et de génération. Enfin, l'obsession de l'image et de l'apparence est mise en lumière : "Tu te regardes sur l'écran", "Tu figes tes rides dans le temps". Cette fixation sur le paraître peut être vue comme une critique de la société moderne, où l'image prend souvent le pas sur l'essence même de l'individu. En somme, "Sais-tu vraiment qui tu es" est une œuvre riche en métaphores et en questionnements existentiels, invitant chacun à une introspection sincère sur sa véritable nature et les masques que l'on porte au quotidien.

Sorti en 1986, Too Much est un condensé de pop synthétique aux accents funky, typique de cette deuxième moitié des années 80 où les boîtes à rythmes et les basses slap dominaient les productions. Hong Kong Syndikat, groupe allemand souvent associé à l’Italo Disco et à la synthpop, livre ici un titre à l’ambiance nonchalante, presque désinvolte, porté par une mélodie accrocheuse et une production léchée. Le groove est immédiatement séduisant, avec une basse bondissante et des percussions électroniques qui donnent une texture dansante au morceau. La voix détachée, presque parlée par moments, apporte une touche sophistiquée, un peu à la manière de certaines productions de Bryan Ferry ou de Style Council. Le refrain, quant à lui, reste en tête avec son côté répétitif et hypnotique. Avec Too Much, Hong Kong Syndikat capture parfaitement l’essence d’une époque où la pop se voulait à la fois élégante et légère. Ce n’est peut-être pas le morceau le plus connu du genre, mais il illustre à merveille cette fusion entre funk, new wave et synthpop qui définissait tant de productions européennes des années 80. Un petit plaisir rétro qui mérite d’être redécouvert.

Sorti en 2007, Acceptable in the 80’s est un hommage électro-funky à la décennie des synthés criards et des looks extravagants. Calvin Harris y injecte une bonne dose de second degré, tant dans les paroles que dans la production ultra-référencée. Dès les premières secondes, la ligne de basse sautillante et les nappes de synthés évoquent immédiatement l’esthétique kitsch et colorée des années 80. Le morceau repose sur une boucle simple mais redoutablement efficace, avec une rythmique funk qui n’est pas sans rappeler Prince ou les débuts de The Time. La voix trafiquée et détachée de Harris accentue l'effet rétro-futuriste, comme s'il jouait avec les clichés de l’époque tout en les modernisant. Si le titre peut sembler répétitif, c’est précisément ce qui lui donne son efficacité sur le dancefloor : une vibe nostalgique assumée, une production léchée et un groove irrésistible. En résumé, Acceptable in the 80’s n’est pas seulement une déclaration d’amour aux eighties, c’est aussi l’un des morceaux qui ont contribué à définir la patte électro-pop de Calvin Harris à ses débuts.

Ah ben si ! Complètement zappé Hong Kong Syndikat - Concrete and Clay. So 80's

Ah ben si ils en ont fait au moins une... Je l'avais oublié (en même temps j'aime moins que Hong Kong Syndikat - Too Much ça doit être pour ça)

Ont-ils fait un autre truc (connu) ?